C'est bon les gens, on enterre

P'tain, ce qui vient d'arriver est juste plus que chiant...

Comme un idiot, alors que j'étai en train d'écrire la seconde partie de ma mission, j'ai appuyé sur un bouton qui a effacé ce que j'avais pas sauvegardé... 25 % de ma mission, quoi. /

Bref, je vais tout devoir recommencer, génial.

Je propose qu'on fouette Jet en punition

Non, Alec du passé est en train de souffrir pour Jet.

Alcatraz : Bordel ! Foutu feu Grégeois ! Ma jambe !

Je vous épargne les détails. /

Je plains ton enfant

Je lui ai rien fait, à mon gosse, vu que je l'aime.

A.P. : Alec du Futur ! Si tu as de la compassion pour moi viens m'aider !

Non.

Ouais mais avoir un père skyzo c'est pas le top

C'est Alec du Passé le schizophrène.

Elementaire mon cher Alec ! Maintenant sors-moi de là !

Ca t'apprendra à tenter de me faire un AVC.

Bon, ma mission est prête dans dix minutes même pas, je me relis et je poste. /

Pourquoi on veux me fouetter?

Car tu as noté pgm

Et qu'ensuite il a pété les plombs.

Au fait, vous ne connaîtriez pas une bonne musique assez mouvementée, qui convient bien au stress et aux combats, par hasard ?

Les musiques de Silent Hill ...

Les musiques de Far Cry 3, aussi, mais y'en a une que j'arrive pas à trouver...

Ok, je verrai pour Silent Hill, autre proposition ?

Je me sens déjà assez souillé comme ça, ça fait un peu dans le genre à sincarab

Pas de proposition

Merde.

'Faut que j'en trouve une car :

Après avoir tué Annie, Alec assiste à une grande explosion dans le port, et est obligé de se battre contre les gardes tout en tendant de sortir Richard d'un incendie.

Fin du

]marg[ Tu peux me dire le nom de la musique s'il te plaît ?

Oui je cherche, j'avais enregistrer le lien mais je sais plus où!! je vais te le trouver je pense

Mission :

http://www.youtube.com/watch?v=iZ9iflvCwok

Chapitre 218
Les artificiers.
27 juin 1514, Fiesole, auberge du chapeau tremblotant.

Je me réveillai alors, effrayé par mon cauchemar. Je venais de rêver du meurtre de toute mon équipe. Mathurin, Richard, Flore... Tous s'étaient fait tués. Je les avait tués. Après m'être rendu compte que je ne faisais que rêver, je posai mes mains sur mon visage, puis me levai. J'enfilai ma veste, mon manteau et quittai ma chambre. Je descendis au rez-de-chaussée, écoutant les bruits de voix. Plusieurs tables étaient placées un peu partout dans la salle et plusieurs serveurs se baladaient pour servir les clients. Je repérais alors Richard et Annie, les assassins qui m'avaient accompagnés pour ma mission, qui était de détruire un nouveau feu gégreois, crées par des artificiers Florentins pour lutter contre les Ottomans.

Je m'assis à la table où discutaient mes deux compagnons.

"Bonjour, les saluai-je. Quel est le plan ?
_ C'est simple. Expliqua Richard. Le feu Grégeois ainsi que de nombreux barils de poudre se trouvent au port. Je vais tenter de distraire les gardes tandis qu'Annie et toi, vous irez détruire le matériel. On étudiera le terrain une foi sur place. C'est d'accord ?
_ Oui, approuva Annie, allons-y."

Nous nous levâmes, Richard partant payer le serveur. Soudain, un garde me bouscula.

"Hey ! T'es aveugle ou quoi ? Me lança-t-il.
_ Je te retournes la question !"

Tout en disant cela, je m'approchai de lui. Il me poussa. Je lui donnai alors un grand coup de poing qui le fit s'écrouler au sol. Le garde se releva tout en se massant la mâchoire. Il me fit face.

Je lui assénai un coup de pied dans le ventre, puis un autre dans le pied. Il recula dans un grognement de douleur puis me donna un coup de genou entre les jambes. Je me courbai pour me remettre du coup puis lui mit un pin.

"Ah, raté, connard ! Ricana l'homme."

Je sentis alors une drôle d'impression dans le bras, qui se mit à bouger tout seul. Je perdis le contrôle tandis que je sortais mon épée. D'un coup de tête, je projetai au sol le garde puis appuyai mon arme contre sa gorge tout en remarquant que ses camarades accouraient. D'un geste sec, je décapitai ma victime, saisis sa tête et l'envoyai contre un des autres soldats. Un cri de terreur déchira l'air, et plusieurs personnes s'empressèrent de quitter la salle.

Je fis face à mes agresseurs.

"J'vous tuerai d'un coup bref. 'Faut pas trop faire souffrir ses proies."

Un des gardes recula, choqué par ce que je venais de dire. Je bondis sur un autre homme et l'assassinai, mais son ami me zébra le bras. Je me retournai et l'empalai avant de faire face au dernier garde. Je le pris par le col, le plaquai contre le mur et serrai à deux mains sa gorge. Le soldat se débattit quelques instants, puis sa tête tomba en arrière et il me lâcha. Je repris enfin le contrôle et reculai, posant mes mains couvertes de sang sur mon visage.

"Mon Dieu... Qu'ai-je fais... Me lamentai-je."

Une larme coula sur ma joue. Carmine possédait désormais la totalité de mon esprit. Il pouvait faire ce qu'il voulait à mon corps et donc me faire porter le chapeau. Même si ce garde méritait une leçon, on ne pouvait pas en dire autant des autres.

Je sentis une main amicale se poser sur mon épaule. Je me retournai, Richard me regardait d'une façon méfiante mais amicale. Il désigna alors les corps.

"Je n'aime pas comment tu les as tués, mais bien joué quand même. Il faut juste partir d'ici avant qu'un des civils n'alerte les gardes.
_ Trop tard. Déclara Annie."

En effet, nous vîmes un civil sortir du bâtiment en tentant d'ameuter les gardes. Annie désigna une fenêtre par laquelle je m'empressai de passer, suivi de près par Richard. Je pus voir que deux gardes couraient vers nous. Je sortais mon épée et Richard sa dague. Annie sauta au même moment par la fenêtre.

Le premier garde, armé d'une hallebarde, m'attaqua. Je parai son coup et le désarmai mais il me repoussa violemment. Je reculai, puis me jetai sur lui pour l'assassiner. Je vérifiai alors la situation de mes camardes. Richard avait plongé sa dague dans le cou du soldat. Il ne risquai plus de causer de soucis. Annie remarqua au loin que d'autres hommes arrivaient. Nous courûmes donc jusqu'à l'écurie où nous prîmes nos chevaux, mais Richard était à la traîne.

"Richard, dépêches-toi ! Hurlai-je.
_ Ouais, j'arrive, désolé, ce garde m'a blessé...
_ On a plus le temps !"

Tout en disant cela, j'avais désigné du doigt les gardes qui étaient presque sur nous.

Richard était assez maigre et petit. Il avait les yeux bruns et les chevaux roux, et une petite cicatrice barrait son front. Je savais qu'il avait deux ans de plus que moi, et qu'il était marié. Il avait aussi une petite barbe de trois jours digne de monsieur-tout-le-monde.

Saisi par l'angoisse, je fis galoper mon cheval tout en tendant la main à mon ami.

"Annie, vite ! Richard, attrapes ma main !"

Il ne se fit pas prier et suivit mes ordres. Nous évitâmes les soldats et purent poursuivre notre route vers Florence.

Deux heures après, nous arrivâmes aux portes de Florence. J'entendais beaucoup de bruits venant de l'intérieur de la ville, et beaucoup de passants se promenaient dedans. Des étals de marchands bondaient les rues, à tel point qu'il était assez difficile de passer sans renverser rien ou personne.

Nous finîmes enfin par arriver au port, qui était, comme prévu, défendu par de nombreux gardes. Richard nous fit signe de nous cacher derrière des tonneaux.

"Bon, on y va. Chuchota-t-il. Annie, Carmine, passez par cette rue et attendez mon signal, qui sera un coup de feu. Ensuite, vous attaquez le feu Grégeois et vous le détruisez, ok ?
_ Bien. Commençai-je. Annie, on y va."

Nous nous séparâmes donc. Une fois entré dans la ruelle, je perdis le contrôle. Sans le vouloir,une fois bien enfoncés dans la rue, je me retournai avec un étrange sourire. Je m'avançai vers Annie qui me regarda, méfiante.

"Il y a un problème, Carmine ?
_ Non. Répondis-je, ah, si. Toi."

http://www.youtube.com/watch?v=HsGPsqFEFXE (Musique que j'ai, je vous le rappelle, découvert par le plus grand des hasards. )

D'un geste violent, je plaquai Annie contre le mur. Totalement incontrôlable, je posai mon doigt sur ses lèvres.

"Chuuuut..."

Je l'embrassai, puis reculai après avoir posé ma main sur sa poitrine. Annie me regarda, n'ayant, apparemment, rien compris à ce qui se passait. Je me mis donc à parler en Anglais.

"When a soul is taken, the murderer is not often found. But in other cases, the killer is punished. Where, then, is not the right person. Alec will die, darling, do not worry. And I've already been punished for all my future crimes. We'll talk, okay ? (Lorsqu'une âme est prise, le meurtrier n'est pas souvent découvert. Mais dans d'autres cas, le tueur est puni. Où alors, ce n'est pas la bonne personne. Alec va mourir, chérie, ne t'en fais pas. Et moi, j'ai déjà été puni pour tous mes futurs crimes. On se reparlera, d'accord ?)"

Je reprenais enfin le contrôle, mais trop tard. Ma lame secrète lui transperça la poitrine. Mon amie m'adressa un dernier regard empli de haine, d'incompréhension et de regret. Son corps s'écroula.

"Annie ! Putain ! Gueulai-je."

Une énorme explosion déchira l'air. Je levai la tête, abandonnai le cadavre et montai sur le toit d'un des bâtiments bordant la ruelle. Ce que je vis me fis pousser un cri d'horreur : le tir de Richard avait accidentellement fait explosé un baril de poudre au milieu de ses camarades, provoquant une réaction en chaîne. Un des bâtiments s'était carrément écroulé à l'endroit où se trouvait les barils, et un incendie rongeait ce qui restait. Je remarquai plusieurs cadavres autour de l'accident, et une foule de gardes se précipita pour aider les survivants. Il était presque impossible que Richard survive ou du moins ait survécu. Craignant pour leurs peaux, les artificiers commencèrent à mettre en marche le feu Grégeois, mais il fallait voir comment se portait mon compagnon.

Je sautais du haut du bâtiment et atterrissais dans un tas de foin. J'en sortis et regardait en direction des ruines. Soudain, un cri m'intrigua.

"Ahhh ! Carmine... Au secours !!"

Richard ! Le pauvre se trouvait dans une mauvaise posture ; une poutre du bâtiment lui était tombé dessus, et il était immobilisé. Je courus vers lui,sautai par-dessus des corps et freinai devant lui.

"T'inquiète, je vais te sortir de là ! Le rassurai-je.
_ Bien, toussa-t-il. Prends la poutre et écartes-la, je pourrais m'échapper !"

Je poussai de toute mes forces la poutre, mais elle ne bougea d'un pouce. Plusieurs gardes, m'ayant vu, s'approchèrent.

"Hey ! S'exclama l'un d'eux. C'est le saboteur !"

Je le plaquai au sol et le tuai, puis me retournai vers les autres. Le feu gagnait du terrain. Il fallait que je sorte Richard de là au plus vite.

L'un des hommes m'agressa. Mais je saisis son bras et l'assassinai. Un autre homme me blessa au dos. Je baissai son arme et lui tranchai la gorge. Plus que trois. Deux d'entre eux m'attaquèrent. Je sautai en avant, tuai leur compagnon puis blessai l'un d'eux. Le dernier homme me renversa d'un coup de pied et demanda de l'aide. Je lui sautai dessus, l'assassinai et m'approchai de Richard.

"Faut qu'on te sorte de là, et tout de suite !"

Je poussai de toutes mes forces la poutre qui finit par bouger lorsqu'un bruit de roues me glaça le sang. Paniqué, je me retournai et fit face au feu Grégeois. Par réflexe, je courus vers la rive pour m'échapper tandis que l'arme fit feu. J'entendis le cri de douleur de Richard, le feu crépiter, puis plus rien. C'était comme si tout s'était déroulé sous mes yeux. Pas besoin de regarder. Mon ami était mort. Toute mon équipe avait été décimée. Sous le choc et attristé, je plongea alors dans l'eau, puis, une fois sur la rive, m'assis. Les yeux remplis de larmes, je contemplai l'incendie qui s'éteignait peu à peu au loin.

"Adieu, mes amis. Vous allez me manquer..."

Stats :
Force : 7
Résistance : 8
Déviation : 7
Vitesse : 7,5
Escalade : 7
Discrétion : 7
Folie meurtrière ( Augmente la schizophrénie d'Alec et le transforme en vraie bête sauvage ) : 8
Argent : 11 950

J'espère que vous aimerez.

2 points et 400 d'argent , je laisse jet corriger vu que je ne suis plus l'histoire depuis un moment