Rien que ça

Ils sont forts les ancêtres

Voila ma timeline, elle n'est pas encore finie, bien sûr, je l'ai arrêtée à la mort de Shan.

Je compte la continuer, et par la suite, la mettre régulièrement à jour

jet : bah dans les glyphes d'ac2 ils disent qu'abstergo a découvert une pomme sur la lune ~ ~
Donc c'est grâce à Dietrich qu'ils ont su qu'il y en avait une sur la lune ~ ~

désolé pour les répétition et les anachronismes

un légionnaire corrompu > par les templiers

château saint-ange > j'avais oubliais, Gaius est né en en 388 et l’infiltration du fort se passe en 410 or en 403 le fort devient milliaire comme écrit ici : Très vite, le bâtiment est détourné de ses fins funéraires pour devenir militaire. Il est intégré à la muraille aurélienne en 403, en tant que bastion avancé.
(source : http://fr.wikipedia.org/wg/wiki/Ch%C3%A2teau_Saint-Ange )

merci pour ta critique très constructive de mon texte
compétence de Gaius :
Force 1
Résistance 1
Déviation 2
Vitesse 1,5
Escalade 1
Discrétion 1

Anecdotes n°8

« Révélation » ; Boston, 1804

David avait mal dormit. Trempé de sueur et fatigué, il se leva pourtant. Il avait rêvé de morts, de ses parents et de cadavres vivants. Il enfila une chemise et un pantalon. Tout en se frottant la nuque, il observait son reflet dans le miroir. Depuis une semaine, il essayait de trouver une explication à l'étrange sensation qu'il ressentait durant les combats au corps à corps. Il pouvait à la seconde près dire savoir chaque mouvement de ses adversaires. Il attrapa le carnet noir de Bear ( voir « Violence Nocturne » ). Il l'ouvrit encore une fois et regarda chaque page méticuleusement. Après quelques jours de recherches, il avait créé une liste de nom qu'il ne connaissait pas sauf Burr. Le nom du Vice-Président de l'Union faisait tâche dans la liste. Que diable pouvait-il faire dans ce carnet ?
David avait souhaité un entretient avec Jack, le maître assassin de Boston, mais ce dernier été toujours absent ces derniers jours. Mais aujourd'hui, David allait avoir son entretient.

Vers onze heure, David se présenta devant le bureau de Jack. Situé dans les souterrains, David n'y été jamais rentré malgré qu'il fut un assassin depuis maintenant deux ans. Il frappa et attendit qu'on vienne l'ouvrir. Jack invita David a rentrer et ils s'assirent tout les deux sur des sièges confortables. Jack fouilla dans les papiers qui jonchaient son bureau avant de prendre la parole :

« Alors David, tu vas bien ? Tu voulais me voir à quel sujet ? »
« Sa va, je vous remercie. » répondit David. « Je souhaitait vous voir car j'ai quelque chose à vous demander. »

David sembla réfléchir un moment. Le maître allait-il le prendre pour un fou ?

« Et bien voilà, depuis une semaines, je ressent le monde qui m'entoure différemment. Mes ennemis ont beau m'attaquer de toutes leurs forces et avec fougues. Mais moi, je les sent venir. Je sent chaque mouvement comme si le temps s’arrêter et mon corps réagit automatiquement en esquivant ou en parant des coups d'une difficulté remarquable. Je ne peut pas décrire plus cela mais je sait que cela n'est pas naturelle. Avez vous une explication a me fournir ? »

Jack avait saisit chaque parole de David et savait que le temps était venus. Dès le premier jour ou Jack avait vu David, il avait vu Adams et Marie dix ans plus tôt. Il savait parfaitement que leur fils ne connaissait en rien la double vie de ses parents. Malgré les recommandations de Adams, qui ne souhaitait pas voir son fils devenir un assassin, David était entré dans la Confrérie. Il fallait maintenant tout dévoiler au jeune homme car le don des Maxwell s'était réveillé.

« David tu possède un don unique appelait clairvoyance. Tu peut sentir ce qui t'entoure sans avoir recours à tes autres sens. Ce don est accentué en combat car tu est dans un état de concentration absolu. »
« C'est donc un don. Mais pourquoi je ne le ressent que maintenant ? »
« Cela je ne peut te répondre mon garçon. Mais tu doit savoir que ce don est un héritage lointain qui se transmet dans ta famille de génération en génération. »

David remarque le changement d'attitude dans l'expression de Jack. Ce n'étais plus l'homme sur de lui mais un homme qui n'ose pas avoué quelque chose.

« Comment pouvez vous dire ça. Vous n'avez jamais connu ma famille avant moi. Je suis le premier des Maxwell a intégré votre confrérie. »

David avait parlé d'un ton sec et franc. Il n'aimait pas que l'on dise des choses sur sa famille, surtout si cela n'était pas vraie.

« Écoute mon garçon, je te doit des excuses. J'aurais du le début te dire la vérité concernant ta famille et en particulier tes parents. Adams et Marie Maxwell n'étaient pas simplement des fermiers de Lexington, ils étaient aussi membres des Assassins. Que tu le veuille ou non le croire, ton destin a toujours été lié aux Assassins. »

Cette révélation secoua David. Non ce n'était pas possible. Le maître devait certainement ce trompé de Maxwell.

« Tu peut ne pas me croire mais en te voyant, je vois tes parents. Les mêmes yeux verts que ta mère. Le visage de ton père et ce don unique des Maxwell. Tu pensais tout savoir. Ce n'est pas un crime, car tes parents ne voulaient pas que tu deviennent un assassin comme eux. Ils voulaient pour toi une vie libre de toute contrainte. Tu peut au moins comprendre cela : tes parents t’aimaient et ils voulaient te protéger. »

Un moment ce passa avant que Jack ne reprenne la parole :

« La mort de tes parents est survenus à cause des templiers et nous leurs avons offert une mort digne de cela. David, tes parents étaient des gens bien et des assassins irréprochables.
Si tu veut quitter la confrérie, je ne t'en empêcherait pas. »
« Non je ne partirais pas. »

David avait enfin repris la parole. Toute ces révélations sur le passé de ces parents, sur leurs vies et lui. Il comprenait parfaitement que ses parents que ses parents avaient eu peur pour lui. Il comprenait tout maintenant.

« Si je part, je ne vaudrais rien. J'ai fait allégeance à la Confrérie. Même si mes parents ne souhaitaient pas ce futur pour moi, la destinée semble m'avoir rattrapé. Comme vous me l'avez dit, je suis lié aux Assassins. Peut importe mes douleurs, mes souffrances, mes regrets, je suis un assassin et je combattrais nos ennemis comme mes parents auparavant. »

David avait parlé d'un ton qui endiable les foules. Jack restait médusé devant l'assurance de jeune homme de 22 ans. Il avait la même fougue que son père.

« Soit. Je te remercie pour ton engagement sincère envers la Confrérie. »

David avait parlé mais dans sa tête tout ce bousculait. Pourtant en apprenant tout cela, il ressentait une fierté nouvelle envers ses parents.

« Je suis soulager de t'avoir dit ce que je gardais pour moi. Tu deviendra un grand assassin. J'en suis convaincu David. Tu veut peut-être que l'on parle un peu plus de tes parents ? »
« Non, j'en ais assez entendu pour aujourd'hui maître. Nous discuterons de cela un autre jour si cela vous convient. »
« Heuh, oui bien sûr. Je suppose que tu souhaite aller te reposer avec toutes ces émotions. Tu peut sortir. »
« Je souhaite partir pour Washington le plus vite possible. »

Jack fut surpris de la demande de David par un pareil moment qui plus est.

« Et pourquoi puis je savoir ? »
« Je souhaite enquêter sur une affaire qui toucherais le Vice-Président de l'Union : Aaron Burr. Je pense qu'il est un templier et qu'il prépare quelque chose. »
« Tu tient tu ses informations ? »
« Ce n'est que supposition mais mes informations viennent du carnet de Bear. C'est la personne qui ténorisai le quartier Est et que j'ai tué sous votre ordre. »
« Ah oui. Sache alors que ce Bear était un membre reconnu des templiers. Sa mort va sérieusement handicapé nos ennemis à Boston. »

Jack se mit à réfléchir. Si David devait partir à Washington pour découvrir un complot, il se devait de promouvoir David.

« David je vais te laisser partie. J'ai pleine confiance en toi. Je te fait aussi maître assassin. Nous manquons cruellement d'officier et tes exploits ainsi que tes capacités te font honneur. Je te ferais livré ta nouvelle tenue dans ta chambre avant que tu ne parte. »
« Je vous remercie. »

David se leva enfin et sortit du bureau. Il remonta dans sa chambre sans même manger et s'endormit tellement les émotions avaient été exténuantes.

Je m'excuse pour les fautes. Je vient de voir que y a des trucs bizarres.

Traîtrise (partie 1) :

1769, France…

Edouard, au centre du bureau du mentor, était appuyé sur une table et parcourait des yeux une immense carte du monde. Le mentor, assis non loin de lui, fumait la pipe en se balançant sur une chaise en bois et en jouant avec un poignard.
-Foutus traîtres, cracha Edouard en secouant la tête. Ils nous empêchent de nous concentrer sur de vrais problèmes, comme les Templiers. Ca fait déjà six ans que ça dure !
-Tu ne les considère pas comme des « vrais problèmes » ?
-Ils ne sont pas spécialement dangereux. Pour l’instant, du moins.
-Quels sont leurs modes opératoires, Edouard ?
-Ils s’infiltrent dans les grandes familles d’Assassins ou les Confréries les plus prestigieuses, afin de profiter de leurs richesses et de leur influence. Dans l’ombre, ils s’immiscent dans les affaires les plus importantes et, sans que personne ne s’en aperçoive, avec grande habilité, ils financent les ennemis des Assassins, ce qui affaiblit indirectement la guilde et leur permet d’accéder à des postes de plus en plus hauts, profitant de la crise et du désordre.
-Intéressant. Et le plus beau, c’est qu’ils seraient, selon nos sources, infiltrés partout dans le monde depuis plusieurs décennies.
Le mentor se leva.
-Quels sont leurs objectifs ? Leurs motivations ? Leurs alliances ? Leurs adversaires ? Nous sommes quasiment sûrs qu’ils ne sont pas alliés avec les Templiers ou avec un quelconque ennemi de la guilde. Ils ne les financent que pour nous faire perdre, nous.
-Que devons-nous faire ?
-Que préconises-tu ?
-Une grande opération, afin d’infiltrer les réseaux des traîtres avec nos propres espions et les détruire de l’intérieur, rapidement et proprement, sans éclats.
-Combien d’espions cela demanderait-il ? Des dizaines ? Des centaines ?
Le mentor s’approcha d’Edouard.
-Des milliers ? On ne connait ni le nombre de traîtres, ni leurs identités. Ils sont des ombres. Dès que nous pensons tenir une piste, elle se dérobe sous nos yeux et le suspect disparaît, comme s’il n’avait jamais existé. Et en prenant bien soin de ne laisser aucune trace derrière lui.
-Hum…
-De plus, imagines-tu le coût d’une telle opération ? Rien que le fait de la faire rester secrète et en dehors des préoccupations des autres Assassins requerrait plus de richesses que n’en possède toute la Confrérie Française.
-Mais alors… ?
Le mentor recracha un nuage de fumée et fit volte-face, se tournant vers la cheminée.
Dehors, le soleil se couchait, et le Q.G s’endormait, sans penser au danger qui planait au-dessus de lui.
-Nous allons organiser un sommet. Un sommet des plus grandes familles d’Assassins et des mentors les plus influents.
Edouard resta silencieux. Le mentor continua.
-Les Lenski, les Rakish, les Rosier, les Abdul-Seim, les Selpio, les Shung-Lang, les Pietrchko, les Schweffnër, les M’Karampayaba, les Düstelorf, les Elkow, les McHuber, les Lane, les Lagirard, les Beaujardin, les Enismel, les Okkopullos, les Djingi, les Starshal, les Johnson…
Le mentor se retourna.
-Il nous faut des appuis surpuissants pour mener à bien une telle opération, partout dans le monde.
-Tu as oublié les Magerlan.
Le mentor se tut un instant, comme avec regret.
-Tu sais très bien que nous avons perdu contact avec les Magerlan il y a deux générations, avec Samson Magerlan, quand il a quitté la Confrérie pour protéger son fils et le cacher. Il a été remarquablement habile. Il a coupé tous les ponts. A tel point que même nos meilleurs agents ne sont pas parvenus à le retrouver.
Le mentor posa une main sur l’épaule d’Edouard.
-Non, cette fois-ci, les Magerlan ne combattront pas aux côtés des Malroy, comme du temps de Marco Magerlan. Je sais que tu regrettes cette époque glorieuse. Mais elle est terminée.
Edouard recula de quelques pas.
-Mais cela fait des décennies qu’un tel sommet n’a pas été organisé.
-C’est le seul moyen.
Le mentor claqua des doigts et un Assassin de sa garde personnelle sortit de l’ombre.
-Oui, mentor ?
-Fais envoyer un message à chacun des chefs de famille que j’ai cité, et aux mentors les plus influents. Angleterre, Russie, Amérique, Chine, Japon, Inde, Espagne, Autriche, Italie, Moyen-Orient… Dis-leur que l’évènement durera plusieurs jours et qu’ils peuvent emmener leur famille avec eux, s’ils le souhaitent. Ils seront logés ici, au Q.G, tout le temps que durera les négociations.
-Très bien.
-N’évoque pas le problème des traîtres, dans les lettres. Ce n’est pas le genre de chose qui se couche sur le papier. Et n’écris pas directement le nom des destinataires, utilise un code.
L’Assassin hocha la tête et disparut dans l’ombre, sans un bruit.
Le mentor retourna s’asseoir et inspira longuement avant de relâcher un nuage de fumée. Edouard s’adossa à un mur et croisa les bras, en haussant un sourcil.
-Et tu crois que toutes les familles vont se présenter à la réunion ?
-Bien entendu, répondit le mentor en souriant. Ca ne fait aucun doute. Pas une seule d’entre elle n’accepterait de rester à l’écart lors d’un évènement aussi rare et important. Ces grandes lignées ont toutes un point faible, auquel les Malroy ne font pas exception non plus : Vous êtes tous trop fiers et imbus de votre personne pour concevoir qu’un sommet pareil puisse avoir lieu sans votre présence. En vérité, il est facile de lire en vous.
Edouard éclata de rire.
-Touché. Et tu penses qu’ils vont tous accepter gentiment de verser des sommes d’argent colossales pour financer cette opération ?
Le mentor ferma les yeux avec une mine soucieuse.
-Eh bien… Les Elkow accepteront. Ismard Elkow m’est fidèle depuis longtemps. Il me suivra jusqu’en enfer. Les Djingi ne devraient pas poser de résistances non plus. Quant aux Abdul-Seim, ils sont tellement simples à comprendre qu’ils me font pitié… Ils comptent parmi les trois lignées d’Assassin les plus fortunées du monde. Leur Q.G est un palais royal, leurs Assassins sont couverts d’or. Ils ne manqueront pour rien au monde de participer à une telle opération financière, dussent-ils en être ruinés. Ils verraient cela comme un insulte, de ne pas verser eux-aussi leur part. Il y a même fort à parier qu’ils financeront plus que plusieurs familles réunies. C’est presque une question d’honneur pour ces gens-là.
-Certes, mais il y’a d’autres familles.
-Je sais. Les Pietrchko ne vont pas être faciles à convaincre. Ces bêtes sauvages ne vivent que pour la violence et se fichent éperdument des magouilles financières et politiques. Ils ne pensent qu’à la guerre. Un dicton populaire dit qu’un Pietrchko qui n’est pas né sur un champ de bataille, le fusil à la main, n’est pas un Pietrchko.
-Et les Rakish ? Et les Selpio ?
-Les Rakish n’aiment pas dépenser mais ils accepteront si la Confrérie d’Inde nous suit. Les Selpio aussi, si la Confrérie Italienne est de notre côté.
-J’imagine que les Lagirard vont nous poser problème.
-Effectivement. A cause de leurs querelles futiles et stupides avec les Beaujardin, il y a des siècles, ils risquent de refuser de participer, uniquement à cause de la présence des Beaujardin. Ces gens se comportent comme des enfants.
Il y eut un silence.
-Et les Lenski ? fit Edouard.
Le mentor s’enfonça dans son fauteuil et se frotta le menton et soufflant de la fumée par les narines.
-C’est compliqué. A l’instar des Shung-Lang, les Lenski sont imprévisibles et difficiles à cerner. Il est presque impossible de prédire ce qu’ils décideront. Si c’est Vladimir le porte-parole des Lenski, lors du sommet, j’imagine qu’ils nous suivront. Mais je ne peux pas te donner de réponse satisfaisante. Quant aux Shung-Lang, ils sont en pleine guerre interne pour la succession du clan. Je ne sais pas s’ils seront prêts à risquer leurs richesses dans une opération au résultat incertain alors qu’ils en ont grandement besoin.
-Nous verrons bien, dans ce cas. Attendons déjà leurs réponses à notre invitation.
Le mentor fixa la fenêtre.
-Oui, attendons.

Et oui, les traîtres qui sont évoqués dans ce chap sont bien les traîtres que Shan a traqué en 1782, et dont le chef était le mentor Britannique de l'époque, que Lucien a tué.
C'est donc une intrigue qui a duré plus de seize ans.

Tiens c'est pratique , ça va me permettre de se faire rencontre Dimitri et Alexander vu qu'à un moment j'avais sous-entendu qu'ils s'étaient déjà rencontré plus jeunes ~ ~

Toute les familles que tu cite Bilbo, elles sont fictives? à part les Lenski, là je sait d'ou elle vient.

Je pense qu'elles sont toutes fictives \ /

Elles sont toutes fictives

Bilbonch \ /

Lenskonche ? \ /

Awa ? \ /

Bon, je go me relire mes tomes Hunter x Hunter

Maxwell

La famille écossaise qui vous aime

Ah que coucou ici.

• Pose ses valises et balance une couverture bleu au sol*

Ca m'a l'air bien ici.

Nan, plus sérieusement, une âme généreuse peut me faire un résumé pour les critères des personnages, de l'activité des MJ, etc...

Allez, faites plaisir à une pauvre âme égarée.

Bilbonch
lenskonch

spit ...

Sympa la petite anecdote avec les parents, j'ai bien aimé ( j'ai suivis l'éllipse, aiggght!!! )

j'ai pas cherché les fautes, mais ça m'a l'air correcte, la lecture est fluide. Seul bémol, tu enchaine trop vite. Pas dans le sens où ça va trop vite, mais les révélations sont acceptées trop vite, pas assez digérées. J'aurais aimé une plus grande description dessus

3point et 800

Dès que j'aurai repris l'écriture je posterai