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Sujet : [JEU] L'ère des Assassins

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ReyGunners ReyGunners
MP
Niveau 10
07 décembre 2012 à 20:25:59

Si on crée son perso, il faut attendre l'accord de quelqu'un ou on peut faire les missions ? :hap:

[Laflamme] [Laflamme]
MP
Niveau 10
07 décembre 2012 à 20:27:00

Bah t'es accepté tu peux faire ta première mission ou anecdote :pf:
D'ailleurs il faudrait que j'en refasse en m'inspirant d'AC3 :pf:

Lenski Lenski
MP
Niveau 10
07 décembre 2012 à 20:38:54

Il vient seul \ :pf: /

Etant donné que personne ne l'aime :rire:

ReyGunners ReyGunners
MP
Niveau 10
07 décembre 2012 à 20:39:44

Ok, merci flamme. :hap:

Je vais jouer un peu à AC III, avant de faire ma première mission. :hap:

Jet_lag Jet_lag
MP
Niveau 10
08 décembre 2012 à 00:17:55

Rey, y apas trop de fautes, mais le plus gênant, ce sont les répétitions, très nombreuses. >Relit le passage où tu décris attirail de ton pp, précisément au passage de l'épée. Mais l'histoire est pas mal, tu peux prendre une mission dans le tableau ou faire une anecdote

Spit... :sournois:

car ils quittait > car il quittait

rien ne manquer > rien ne manquait

Beaucoup plus élégant que ses anciens habits, la nouvelle tenue > Beaucoup plus élégante ( on accorde la tenue :-))) )

Je ne part pas > Je ne pars pas

Mais sa me fait > Mais ça (cela)

je tient à toi > je tiens

je peut > je peux (ça y est, t'as vu que c'était pas un "t" ? :-p )

deux bonne journée > deux bonnes journées

Tu est David Maxwell > Tu es ( J'avais dis pas de "t" ! :-(( :hap: )

Ou dois-je > Où dois-je

Sa dague était bien rangé > Sa dague était bien rangée

ils étaient bien rangés = répétition :-(

-Bonjour, vous devez être Paul, non ?
- En effet
-je me nomme David
-Enchanté, je suis Paul ( :hap: )

Le voyage allait être plus long que prévue > prévu ( masculin)

La nature n'était pourtant pas habiller > habillée

Il avaient > Il avait

Possédait > Posséder

me donnait > me donner

Quelle mot de passe > Quel mot de passe

aussi tôt > aussitôt (un mot :ok: )

suivait moi > suivez moi

une salle éclairé > une salle éclairée

la situation l'exigé > la situation l'exigeait

Un cavalier lançait > Un cavalier lancé

Le cavalier ralentit sa monture. Il arrivait à peine à tenir sur sa monture = répétition...

un de ces hommes. > un de ses hommes.

cette endroit > cet endroit

je serais me débrouiller > je saurais me débrouiller

David lançait comme un projectile filait à toute à l'heure / J'étais mort de rire quand je l'ai lu celle là :o))
David lancé comme un projectile filait à toute allure

Bréfouille, je pense en avoir citées assez :p)

Le pharaon, c'est une référence au compte de monte cristo de dumas, ou rien à voir?
Enfin t'as un très bon style, j'aime beaucoup. Donc relis toi une deuxième, même troisième fois, fous enlever toute les fautes et les répétition :ok:

2 points et 800

Spitfire-XII Spitfire-XII
MP
Niveau 6
08 décembre 2012 à 03:42:10

Pour les fautes, j'avoue n'avoir pas relu mon texte. :hap:
J'étais pressé de le poster j'avais aussi des trucs de prév.

Sinon, pour le Pharaon, on ne peut rien te cacher :)
Le Compte de Monte-Cristo est l'un de mes livres préféré.

Bilbo1997__ Bilbo1997__
MP
Niveau 10
08 décembre 2012 à 11:13:03

Traîtrise (partie 2) :

1769, France…

La salle était immense. Elle s’étendait sous le Q.G de la Confrérie et était conçue pour assurer une sécurité maximale à ses occupants, même en cas d’attaque. Une gigantesque table ronde, en bois, trônait au centre de la pièce, entourée de plus de cinquante chaises.
Plusieurs Assassins d’élite étaient disposés à divers endroits, sur leurs gardes, afin de pouvoir gérer n’importe quel évènement imprévu.
Edouard Malroy et le mentor Français accueillaient eux-mêmes les arrivants, se tenant de chaque côté de l’entrée.
Les représentants des lignées d’Assassins les plus anciennes et les plus puissantes défilaient.
Les Lagirard entrèrent les premiers, en lançant des coups d’œil enragés aux Beaujardin. Ils étaient vêtus comme des nobles Européens, et la femme du chef de famille se cachait le bas du visage avec un éventail en papier.
Les McHuber firent leurs entrées en costumes de politiciens. Ce n’était un secret pour personne qu’ils appartenaient tous au gouvernement Américain et qu’ils y entretenaient des relations très importantes, depuis la nuit des temps.
Les Selpio semblaient s’être donnés le mot car ils portaient tous des chapeaux à plume, où figuraient le symbole des Assassins. Le porte-parole des Selpio, Benjamin Selpio, avait l’air à moitié endormi. Edouard savait que ce n’était qu’un rôle qu’il jouait, car il était évident qu’il était parfaitement éveillé et avait l’esprit vif.
Les Abdul-Seim, pour faire honneur à leur réputation, se présentèrent en faisant grands bruits. Le patriarche, Mohammed Abdul-Seim, portait un turban de tissu sur la tête et était vêtu d’une djellaba blanche, avec une capuche. Ses doigts étaient couverts de bagues, de bijoux et de pierres précieuses. Ses dents étaient faites d’or. Une rumeur disait que tous leurs animaux domestiques subissaient le même traitement. La panthère domestique de Mohammed Abdul-Seim aurait même des griffes en diamant.
Les Beaujardin saluèrent le mentor Français avec courtoisie, ainsi qu’Edouard. Ils passèrent devant les Lagirard en les ignorant royalement et en lançant des petits sourires charmeurs aux autres familles. Le porte-parole des Beaujardin, Nathan Beaujardin, était incroyablement jeune, les dix-huit ans à peine passés, des cheveux soyeux lui tombant sur les épaules et un visage angélique. Mais personne n’ignorait qu’il était exceptionnellement malin et qu’il ne fallait surtout pas le prendre à la légère. C’était un intellectuel, un politicien de génie et un futur stratège militaire de renom.
Tous les Beaujardin portaient les couleurs de Napoléon, ce jour là. Nathan était même vêtu d’un uniforme de soldat, et d’un fleuret à la ceinture.
Les Rakish les suivirent de près. Leur porte-parole était une femme, très grande, suivit de son fils aîné qui représentait son escorte, et qui était promis à prendre les rennes du clan très bientôt. C’était un colosse, une masse de muscle à la peau mâte, torse-nu, un cimeterre dans le dos. Il n’avait d’yeux que pour Lisianna Selpio, la demi-sœur et future épouse de Benjamin Selpio, une femme magnifique mais déjà une tueuse hors-pairs, malgré ses seize ans.
Les Schweffnër firent une apparition discrète, eux-aussi vêtus d’uniformes militaires, comme les Beaujardin, mais ne dégageant pas leur charisme et leur présence.
Les Lenski, ou plutôt le Lenski, étant donné qu’Igor Lenski était venu seul, uniquement accompagné d’une escorte d’Assassins voués à sa protection, suivit les Schweffnër de près. Il n’accorda pas un regard au mentor Français, jeta un coup d’œil dédaigneux à Edouard, et un émit grognement dans la direction des autres familles présentes.
Quelques autres familles moins importantes entrèrent à leurs tours, tels que les Enismel, les Okkopullos, les Djingi, mais aucune n’était aussi magnifique que les M’Karampayaba, pas même les Abdul-Seim.
Ils étaient cinq, tous vêtus comme des shamans Africains, arborant des tatouages et les bijoux de leurs tribus, des masques exotiques, des plumes de toutes les couleurs, des senteurs de fruit, des sceptres en bois garnis d’osselets.
Edouard serra chaleureusement la main du patriarche et lui fit signe de s’asseoir.
D’autres familles firent leurs entrées, sans se faire remarquer.
Enfin, les Pietrchko arrivèrent, vêtus, comme à leur habitude, de manière très austère, de simples tuniques beiges ou des gilets en cuir, pour la plupart. Le porte-parole, Zenia Pietrchko, portait une armure crasseuse et une épée rouillée par le sang. Un serviteur de onze ans le suivait, lui-même laissant apparaître une rangée de pistolets à la ceinture.
Puis, la dernière lignée se présenta.
Les Shung-Lang, la famille d’Assassins Chinoise la plus antique de toutes.
Ils étaient vêtus de costumes traditionnels asiatiques et leurs gardes du corps portaient même des tenues de ninja, aux couleurs de la Confrérie.
Soudain, ils s’écartèrent pour faire place à Edo Shung-Lang, le doyen du clan.
Agé de 113 ans, une rumeur disait qu’il était l’un des Assassins les plus vieux du monde. Il dégageait une aura et une prestance hallucinante, forçant le respect, malgré le fait qu’il s’appuyait sur des béquilles pour marcher et qu’il était soutenu par plusieurs Assassins.
Il avait les yeux à moitié fermés mais respirait le savoir et l’expérience. Si quelqu’un avait tout vécu dans sa vie, c’était lui.
Tous les Assassins, même les moins amicaux comme les Pietrchko ou les plus vaniteux comme les Abdul-Seim s’inclinèrent respectueusement à son passage, baissant les yeux et cessant de parler, comme si cela pouvait troubler le calme qui les envahissait quand Edo les frôlaient.
Le mentor Italien lui-même, pourtant un vieillard, s’agenouilla et baisa la main du doyen.
Le mentor Français lui avait réservé une place à ses côtés.
Silencieusement, Edo alla s’asseoir, avec soulagement, et croisa ses mains noueuses sur la table. Sa bouche se perdait dans le taillis de barbe blanche qui lui envahissait le visage. A son âge, il n’avait guère l’énergie de s’exprimer, et il n’était donc là qu’en spectateur.
C’était son arrière petit-neveu, le porte-parole des Shung-Lang, qui représenterait son clan, une capuche noire sur la tête et un katana posé sur la table, à portée de main.
Edouard eut un petit sourire et un frisson.
Les hommes les plus importants et les plus puissants du monde, dans l’ombre, étaient réunis là. En vérité, il devait bien y avoir une centaine de personnes présentes. Bien que seuls les porte-paroles des familles n’aient le droit de s’asseoir et de s’exprimer, ainsi que leurs proches comme leurs épouses ou leurs frères, chaque chef de clan était venu avec une solide escorte.
La salle fourmillait d’Assassin et un grand vacarme régnait.
Certains discutaient avec leurs voisins de table, d’autres restaient groupés avec les membres de leurs lignées, et certains, comme Igor Lenski, gardaient les bras croisés, en attendant la suite des évènements.
Finalement, le mentor de France glissa un mot à l’oreille du doyen des Shun-Lang, fit un signe amical à Ismard Elkow qui était placé à l’autre bout de table, et se leva.
Il leva son verre et tapota sa cuillère dessus.
Les rires, les discutions et les murmures se turent en quelques secondes et tous les regards convergèrent vers le mentor.
Edouard alla s’asseoir à sa droite, sur la dernière chaise libre.
Le mentor reposa son verre.
-Nous allons pouvoir commencer.

Lucien, penché par la fenêtre de sa chambre, observait la cour du Q.G, sur laquelle il avait une vue magnifique.
D’habitude, à n’importe quelle heure de la journée, des Assassins s’y exerçaient, dans des petites arènes de combat, au maniement des armes ou s’adonnaient à diverses occupations comme la course libre ou les étirements, sous le regard de leurs maîtres.
Lucien aussi y passait ses après-midi, en compagnie de Wyald.
Mais cette semaine-là, les Assassins, y compris les plus importants, avaient reçu une interdiction formelle de s’entraîner dans la cour, ou même de s’y rendre.
Des dizaines et des dizaines de chariots, de carrosses, de caravanes et de convois s’alignaient sur les petits chemins sablonneux, entre les arènes.
Tous ces chariots appartenaient aux grandes lignées qui étaient arrivées au Q.G, la veille. Certains étaient venus depuis l’autre extrémité de l’Europe, d’autres avaient même du faire une partie de leur voyage en navire.
Certains convois étaient magnifiques, comme ceux des Abdul-Seim. D’autres étaient austères, en bois et en toile, tels que ceux des Pietrchko.
Les chevaux, eux, avaient été placés dans les écuries. Celles-ci étaient pleines à craquer, car, en plus des montures et des serviteurs – qui logeaient dans les box -, des familles avaient tenues à emporter avec eux leurs animaux domestiques.
Les Abdul-Seim avaient apportés avec eux trois chameaux très nobles, qu’ils avaient l’intention d’offrir au mentor Français. Les Beaujardin avaient insistés pour venir avec des chevaux pur-sang, à la robe éclatante, qui n’étaient pas fait pour être montés mais pour parader.
Lucien, qui avait eu l’occasion de jeter un coup d’œil aux écuries, avaient même aperçu une cage gigantesque contenant un animal énorme et effrayant, doté d’une épaisse fourrure autours de la tête, une crinière.
Edouard lui avait dit que cette bête était un « lion » et qu’elle venait d’Afrique. Les M’Karampayaba avaient apportées le leur avec eux. Un monstre, capable de tuer un homme d’un coup de patte, sans même s’en rendre compte.
Le jeune Malroy avait aussi entendu des serviteurs Russes parler d’un « Grizzly », mais il avait reçu l’interdiction de se rendre dans la pièce où était enfermé l’animal. Et il ignorait à quelle famille il appartenait.
Mais Lucien s’ennuyait, accoudé au rebord de sa fenêtre.
Pendant toute la semaine, il n’aurait pas le droit de s’entraîner. Il allait être obligé de jouer et de parler avec les enfants des autres lignées, qui étaient venus aussi.
Il avait déjà croisé dans un couloir le futur héritier des Lagirard, un petit noble de sept ans au regard mauvais et arrogant, ainsi que la nièce du chef de clan des Rakish, une jeune fille de quatorze ans, se promenant presque nue, uniquement couverte de quelques pièces de tissus de toutes les couleurs et de bijoux.
Mais la plupart des enfants l’ennuyaient.
D’abord, il ne les comprenait pas, car la plupart de ne parlait pas le Français, ou l’Anglais. Et les autres… Eh bien l’héritier des Lagirard était trop vaniteux et insupportait Lucien et le petit frère de Nathan Beaujardin était introuvable, dans tout le Q.G.
Lucien aurait préféré s’entraîner avec Wyald, dans la cour d’entraînement.
Il n’aimait pas passer ses journées à ne rien faire. Sa mère venait bien de temps en temps l’aider à étudier mais elle était très occupée et n’avait que quelques heures à lui consacrer.
Lucien soupira et pria pour que le sommet se termine rapidement.

Lenski Lenski
MP
Niveau 10
08 décembre 2012 à 11:26:55

Bil : c'est bien mais pourquoi Tous les Beaujardin portaient les couleurs de Napoléon vu que le dit Napoléon avait à peine un an à l'époque ? :hap:

Lenski Lenski
MP
Niveau 10
08 décembre 2012 à 12:30:52

France ,1769]
-Prince Asman, je présume.
Alexander s'inclina devant un jeune indien qui lui répondit par une révérence. Bien qu'encore jeune, l'indien portait déjà un cimeterre à sa ceinture, malgré les quelques couches de vêtements dont il était affublé, probablement pour tenir au froid des pays européens. Dimitri arriva à son tour et les salua respectueusement.
-Je crains de ne pas avoir l'honneur de vous connaître, admit le français.
-Prince Asman troisième du nom, septième fils du souverain du Bengale, présenta Alexander.
-Pour ce qu'il en reste, ajouta Asman. Mon peuple manque de bien des choses, à commencer par des armes pour s'opposer aux anglais et à de la nourriture. Lorsque les anglais sont arrivés, ils ont pillé nos trésors et aujourd'hui mon peuple connaît une cruelle famine.
-Croyez bien que j'en sois désolé, répondit Dimitri.
-Si le mentor russe acceptait enfin de bien vouloir nous vendre des armes, cela nous aiderait beaucoup mais... Avec tous les respect que j'ai pour vous, Alexander Lenski, votre père.... Est bien trop rigide sur la question.
-J'en suis navré, croyez-moi.
-Et vos assassins ? Demanda Dimitri.
-Jusque là ils se tenaient tranquilles mais l'arrivée des anglais les a fortement affaibli. Mon royaume, mon peuple et nos assassins sont menacés de mort.... J'espérais honnêtement rencontrer un enfant d'Angleterre pour implorer la grâce de sa famille mais je n'en vois aucun....
-Avez-vous pensé à vous rapprocher de la Chine ? Demanda Dimitri.
-Les chinois semblent avoir leur propres problèmes.... Mais vous, Dimitri, votre famille est française, n'est-ce pas ?
-En effet, avoua le jeune garçon.
-Pourriez-vous en toucher quelques mots à votre père ? J'imagine qu'il doit être présent.
-Malheureusement non, répondit Dimitri. Pour une raison que j'ignore, il a préféré laisser le père d'Alexander représenter toute la famille.
-Pour quelle raison ?
-Je l'ignore.
-Je vois.... Cela m'attriste, répondit Asman.
-Je vous promet que moi hetman des assassins, je vous aiderai ! Proclama Alexander.
-Je vous remercie sincèrement de votre promesse mais j'ai bien peur que cela ne risque d'arriver que bien trop tard. Je me souviendrai cependant de votre bonté et, si vous restez fidèle à l'homme que vous êtes aujourd'hui, je vous promet de vous accorder toute mon aide le jour où vous me le demanderez.
-Vous maniez bien la langue mais vous ignorez que les Lenski sont des trompeurs habiles, des politiciens sournois et des ennemis sadiques.
Ils se tournèrent et virent une personne légèrement plus vieille qu'eux. À son accent et à ses vêtements ils l’identifièrent aussitôt comme faisant partie de la suite du mentor suédois.
-Oliwer, lâcha simplement Alexander. Je suis surpris de voir une famille aussi illustre pour ses défaites présente en ta personne.
-Alexander... Ta famille de sauvage m'impressionne.... Qu'avez-vous promit pour gagner votre présence ici même ?
-Je sens une certaine aigreur dans tes propos Oliwer... Ce que vous avez fait à mon pays devrait pourtant te rendre heureux, ajouta un autre garçon d'une quinzaine d'années.
-Stanislas.... Décidément, les perdants viennent en groupe.
-Perdants ? Je vous signale que vous avez essuyé un sérieux revers.....
-Vous n'avez fait qu'écraser une armée à bout de force à Poltava. Et encore , les polonais n'ont joué aucun rôle. Sans ces lâches de russes vous seriez encore sous nôtre domination.
-C'était il y a soixante ans, les interrompit Dimitri. Je comprend bien la fierté de vos pays respectifs mais je pense que nous devrions au moins tenter de rester unis aujourd'hui.
-L'histoire ne s'efface pas, répondit simplement Stanislas.

Plus loin.
Vladimir tendit son bras protégé par un gant en cuir épais et attendit quelques instants qu'un aigle ne vienne se poser. Il retira le message attaché à la patte de l'animal et le lut avant de le déchirer.
-Très bien, ça a enfin commencé.... Igor devrait rester attaché à ses principes : la lutte contre les templiers et le refus d'investir de l'argent ou des hommes. Il est très probable que certains confréries se rangeront de son côté. À la tête de ce groupe, il renforcera la position diplomatique de la Russie au détriment de l'union des confréries. Si nous parvenons à ralentir les républicains ou à les distraire, peut-être auront-nous le temps de convertir le roi de France à notre cause....
Il laissa partir l'aigle après lui avoir donné une souris morte.
-Bezhoukov.... Il est très probable qu'elle tente de prendre possession de la confrérie des assassins russe.... Face à Igor elle a toutes ses chances.

[1782, Turkistan]
-Courrez ! Stop !
Les soldats russes qui s'étaient lancé dans une course avec toute leur vitesse s'interrompirent pour mettre genou au sol, laissant une partie de la ligne s'écrouler lamentablement et une autre trébucher sur la première. Dietrich leur fit répéter l'exercice plusieurs fois, les forçant à répéter inlassablement les mouvements nécessaires au rechargement de leurs armes. Il n'y avait pas que ça. Il sélectionna plusieurs hommes et leur enseigna les bases du commandement afin qu'ils puissent coordonner le feu des autres soldats. Un feu nourri étant la meilleur solution face aux cavaliers kazakhs. Malgré cela il manquait encore beaucoup de choses. Ils ne savaient manifestement pas se servir de leurs baïonnettes là où leurs ennemis, probablement par tradition ou manque d'argent, n'hésitaient pas à tirer les sabres. L'entraînement allait être très long mais ce n'était pas le plus urgent.
-Maintenant l'autre impuissant, pensa Dietrich.
Il alla chercher Aleskei et lui confia un fusil. Il se mit face à lui et dégaina son revolver.
Tire moi dessus, ordonna Dietrich.
-Quoi ?!
-Tire !
Le prussien tira une balle qui érafla l'épaule du russe qui se dépêcha aussitôt de charger son arme. Un second coup de feu érafla le genou du russe, le forçant à mettre un genou à terre. Enfin il parvint à pointer son fusil vers Dietrich. Celui-ci tira une balle qui érafla le bras portant le fusil de tout son long. Un second coup de feu fut tiré, laissant Dietrich dubitatif en se rendant compte que ses vêtements semblaient ne pas avoir été abîmés. Aleskei, lui, tremblait de tout son corps et lâcha simplement le fusil au grand dam de l'allemand qui poussa un long soupir.
-Tu ne me facilites pas les choses.....
Dietrich rengaina son revolver et alla reprendre le fusil à Aleskei. Il alla chercher plusieurs bouteilles et les aligna avant de redonner le fusil au russe.
-Brise-les.
-Mais ….
Dietrich rechargea l'arme, prit le fusil à une seule main tout en se tournant vers les bouteilles et tira en ne prenant presque aucun temps pour viser. L'une des bouteilles éclata aussitôt à cause de la balle qui venait de la percuter.
-Je veux que tu sois capable d'en faire autant.

[Laflamme] [Laflamme]
MP
Niveau 10
08 décembre 2012 à 15:12:47

Désolé c'est de ma faute les uniformes de Napoléon :pf: /
J'ai pas encore totalement refermé la faille temporelle qu'avait ouvert Jet la dernière fois alors il y a encore des fissures par-ci par-là :pf:

[Laflamme] [Laflamme]
MP
Niveau 10
08 décembre 2012 à 15:16:24

Et elle a dût se ré-ouvrir un peu plus car Dietrich se bat alors qu'il n'est pas né :pf:
Il faut être fort pour se battre alors 62 ans avant sa naissance et encore plus fort quand ton père et ton grand-père ne sont pas encore né :pf:

Lenski Lenski
MP
Niveau 10
08 décembre 2012 à 15:20:24

C'fou les dégâts que cause jet :pf:

Je propose qu'on lui arrache les deux bras et qu'on les lui enfonce dans le fion :pf: /

[Laflamme] [Laflamme]
MP
Niveau 10
08 décembre 2012 à 15:23:03

Non on le frappe avec un de ses bras et on rame avec l'autre :pf:

ReyGunners ReyGunners
MP
Niveau 10
08 décembre 2012 à 15:24:00

C'est une idée originale flamme, mais c'est pas très gentil. :pf:

[Laflamme] [Laflamme]
MP
Niveau 10
08 décembre 2012 à 15:26:06

OSEF de la gentillesse :pf:

ReyGunners ReyGunners
MP
Niveau 10
08 décembre 2012 à 15:34:29

Ouais, j'avoue. :pf:

ReyGunners ReyGunners
MP
Niveau 10
08 décembre 2012 à 15:40:38

Pavé de 2100 mots posté. :hap:

Bonne chance au correcteur qui devra se taper 2100 mots. :hap:

Alcahe Alcahe
MP
Niveau 10
08 décembre 2012 à 15:40:48

On nous a encore plagié les gars. :pf:

ReyGunners ReyGunners
MP
Niveau 10
08 décembre 2012 à 15:47:20

Qui ? :pf:

Alcahe Alcahe
MP
Niveau 10
08 décembre 2012 à 15:50:09
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