Nom : Zaack

Prénom: Clark

Age: ~20

Pays: Indéfini

Sexe: Homme

Description:
Physique: Jeune homme avec une faible carrure, qui a des cheveux sombre et des yeux bleu.

Moral:Clark est une personne simple et pas difficile. Il respecte tout le monde, même ses victimes et ses pires ennemies.

Histoire: Abandonné depuis sa plus tendre enfance et ensuite recueillie par un assassin. Personne connait ses origine ni qui sont ses parents. Il combat désormais pour les assassins.

Force 1
Résistance 1
Déviation 1
Vitesse 1
Escalade 1
Discrétion 1
Médecine 1 (permet de rendre 1/4 de point de vie par point a la fin d'une mission achever. Permet d'avoir tous les 5 point 10 f de réduction chez les médecin)

Arme: Lame secrète , dague

PS:Si cette version est meilleur peut tu me donner une mission ?

http://l-ere-des-assassins.forumjv.com/1-90243-1688-1-0-1-0-le-tableau-des-missions.htm

Allez chercher les missions ici /

B'jour

bilbonch
()()

Dark, j'aime l'histoire de ton perso, ça me fait rapidement penser au compte de monte cristo

Et online, pourquoi t'as changé l'histoire? Enfin lens à mis un liens, tu peux prendre ta mission là
Jour bilbo

J'ai redirigé quelqu'un ici
Reste a voir si il viendra

Il s'appelle darkonline99 je crois

Bah regarde juste en haut

Ah oui merde..
J'avais pas vu dsl

http://l-ere-des-assassins.forumjv.com/1-90243-1688-1-0-1-0-le-tableau-des-missions.htm
J'ai mis à jour le topic des missions

Jet tu mavais pas dit que c'était trop classique ?

Si ça la mission entière, c'est très court

Ps: je pense que je vais revenir petit a petit pour lire des textes et on verra si j'ai le temps pour poste des textes

• si c'est
• • poster

Anecdote

Ceglan Varl
Chapitre 4
...met fin au devoir
15 février 1514

- Mort ?
Le mentor le fixait d'un regard qui ne cillait pas, et il avait lâché sa question de façon impassible.
Pourtant, Varl savait qu'il devait être fier, dans un minuscule recoin de son âme.
- Et dans les formes, confirma-t-il. Il a gardé son honneur jusqu'à la toute fin.
Son père approuva d'un hochement de tête, et se fendit finalement d'un sourire inhabituel.
- Alors dorénavant tu fais entièrement partie de la confrérie, mon fils ! s'écria-t-il.
Plusieurs assassins semblèrent se détacher des ombres autour d'eux, pas deux n'étaient semblables dans leur panoplie de pièces d'armure, et chacun d'eux posa son poing serré contre son plastron, symbole qu'ils le reconnaissait maintenant comme leur frère.
Varl en eut le coeur remplit de fierté.
- Tu as mérité ceci, ajouta le mentor, en tendant sa main, paume ouverte.
Varl posa sa main dans celle de son père, pour saisir l'objet qu'elle renfermait, un V retourné et stylisé.
Le symbole des assassins.
- N'oublie jamais qui tu es, lui fut-il ordonné.

Une heure après, dans les quartiers pauvres de Bastia, Varl sourit en repensant à ce souvenir, dont il savait qu'il le garderait jusqu'à sa mort.
- Concentre-toi.
Varl fronça un sourcil, et se retourna vers l'homme qui l'avait accompagné depuis le repère. Il ne payait vraiment pas de mine, son visage barbu arborant la même mine mauvaise qu'il avait gardé depuis leur première rencontre, trois ans plus tôt, lorsque Varl avait été présenté à la confrérie pour la première fois.
Le maitre assassin lui retourna son regard, de ses yeux verts jaunes, et comme chaque fois, Varl laissa glisser son regard jusqu'à la cicatrice en forme de V des assassins sur sa tempe.
- Je suis en alerte, répliqua-t-il.
L'autre acquiesça, bien qu'il soit manifestement non convaincu.
Juste après la cérémonie d'intronisation, le mentor avait pris à part Varl pour lui spécifier sa prochaine tâche.
Le marchand qu'il avait surpris en train de traiter avec les templiers allait devoir répondre de ses actes, et le maitre assassin qui accompagnait Varl, appelé Barzano, était doué pour soutirer des réponses.
- Nous y sommes bientôt ?
- Oui, répondit Varl.
- Oui maitre, rectifia Barzano.
- Nous y sommes presque, maitre, fit le jeune assassin à contrecoeur.
C'était clair, il ne l'aimait pas. Et le sentiment était réciproque.
Mais à bien y réfléchir, Barzano n'aimait personne.

Et c'était peut être là la clé de son expertise, pensa Varl, en regardant avec empathie le marchand encaisser un autre direct du maitre assassin en pleine mâchoire.
- Il nous le faut en état de parler... commença Varl, avant d'être coupé par le malheureux.
- Je vais tout vous dire, par pitié, arrêtez ! hurla-t-il.
Barzano s'arrêta, non sans regret, remarqua Varl, et le marchand reprit son souffle avant de parler.
- Je ne suis qu'un intermédiaire, plaida-t-il, je ne fais que passer l'argent !
- Entre qui ? grogna Barzano.
L'homme sanglota, et parvint à prononcer :
- Ils me tueraient...
Barzano acquiesça, et lança un direct fulgurant.
Mais l'homme n'était pas la cible.
Une vitre se brisa sous le coup, et Varl regarda d'un air inquiet derrière eux, vers l'accès qui donnait sur la petite impasse ou ils avaient trainé le marchand.
Ils savaient que les gardes devaient fouiller la zone pour les trouver, alertés par les passants qui les avaient vus.
- Non, NOOON !
Il y eut un bruit humide, et Varl se retourna pour voir Barzano replier son bras, un éclat de verre ensanglanté dans la main.
- Alanu ! gémit le marchand, une épaule ensanglanté. Il s'appelle Alanu, et il fait passer de l'argent à plusieurs nobles de la région !
- Leurs noms ! réclama le maitre assassin, et même Varl frémit face à tant de fureur.
- Je ne sais pas. Je ne connaissais qu'Ulivieru...
- Alors tu ne nous es plus d'aucune utilité, souffla Barzano.
Et il lui enfonça sa lame cachée en plein coeur.

Varl assista aux derniers instants de l'homme, partagé entre le dégout et la satisfaction.
Un autre ennemi des assassins venait de mourir, mais de quel façon !
Et Alanu...
Il n'eut pas le temps de méditer d'avantage. Barzano lança sans se retourner :
- Ils arrivent.
Et effectivement, Varl vit tout un groupe de soldats débouler au pas de course, puis hurler lorsqu'ils les virent.
- On se voit au repère, lui lâcha le maitre assassin avant d'attaquer l'ascension d'une baraque à une vitesse sidérante.
Il trouvait des prises avec une aisance époustouflante, et Varl ainsi que les gardes restèrent une seconde ébahis devant ce spectacle.
Puis le temps reprit son cours, et Varl se mit à courir en direction du mur de pierres entassées qui marquait l'impasse, analysant avec frénésie les points où il pourrait se hisser sur ses cinq mètres de hauteur.
Les cris des gardes semblaient de plus en plus proches.
Prenant appui sur une table usée et profitant de l'élan de sa course, Varl sauta contre une parcelle du mur, à deux mètres du sol.
Et passa proprement au travers.
Clignant des yeux d'un air hébété, il se releva au milieu du nuage de poussière soulevée, et repartit en direction de la rue la plus proche, ou il allait pouvoir se dissimuler facilement dans la foule.
Derrière lui, le mur finit de s'effondrer, masquant les cris de déception des gardes ainsi bloqués.

[Bazeilles , 1er septembre 1870]
-Ne faîtes pas trop de bruit ….
Dietrich a la tête des soldats bavarois entrait dans le village , tous sur leurs gardes . Ils savaient que la présence d'une simple vingtaine d'homme dans deux maisons pouvait faire commencer un bain de sang . Son pistolet tiré , l'officier passa dans une petites rues au cas où des tireurs auraient été dans la grande rue . La présence possible de tireurs d'élites était une véritable menace pour tous , à commencer pour lui dont le costume et les médailles le distinguaient des troupes . Il y eu aussitôt un coup de feu puis de nombreux autres . Pour le prussien ce fut le signe qu'il avait eu raison de se cacher . Il ouvrit le feu vers une fenêtre avant de reculer lentement et d'être rejoint assez vite par d'autres soldats . En tentant aussi bien que possible de garder le bon ordre il fit reculer les soldats , rejoignit les autres hommes et retenta un nouvel assaut qui cette fois-ci fut bien plus efficace . De nouveau la lutte fit rage , et de nouveau le nombre de morts augmenta à un rythme inquiétant , les soldats prussiens devant se ruer dans les maisons . Là , La surprise de Dietrich fut grande en constant la présence de soldats de l'infanterie de marine , les meilleurs soldats français . Sans perdre de temps , il abattit tous ceux qu'il pouvait abattre avec son revolver avant de quitter la maison pour se presser vers une autre .
-C'est pas vrai ….
Dietrich et ses soldats se baissèrent tous par réflexe tandis que l'artillerie prussienne ouvrait le feu sur une maison qui fut purement et simplement réduite en poussière . Des villageois se ruèrent sur les forces prussiennes qui furent forcées de se battre à la baïonnette . Depuis leur arrivée dans le village ils avaient du se battre maison par maison face à un ennemi faisant preuve d'une grande bravoure . L'avantage du nombre aidait beaucoup mais les français résistaient incroyablement , surtout aux alentours d'une auberge . Ils finiraient par les avoir dés lors qu'ils manqueraient de munitions mais pour le moment , leur grande portée leur offrait un avantage bien trop décisif pour qu'ils puissent raisonnablement les attaquer .
-Tenez bon ! Hurla Dietrich .
Il sentit soudain un étrange vent et vit les troupes autour de lui reculer . Il rechargea à la hâte son revolver avant de reculer aussi vite que possible tandis que des marsouins arrivaient dans les rues , repoussant les bavarois grâce à l'excellente portée de leurs fusils . Pour cette bataille il avait reçut le commandement de soldats bavarois avec lesquels il livrait un combat sans merci aux forces françaises . L'artillerie leur permettait de se débarrasser de grande menace en passant littéralement à travers les maison en ruine mais leurs adversaires savaient à qui ils avaient à faire et surtout comment les contrer . Une telle sortie était d'un risque incroyable mais la force des fusils et leur précision leur permettait de traverser plusieurs hommes et donc d'augmenter les chances françaises d'éliminer plus d'hommes qu'ils auraient pu en restant dans les bâtiments . Dietrich fit un signe à quelques soldats d'aller se cacher derrière une maison puis d'attendre . Des marsouins arrivèrent et passèrent devant eux sans les remarquer , leur offrant l'ouverture dont ils avaient besoin . Ils leur sautèrent dessus et engagèrent le corps à corps . Voyant cela , les autres soldats bavarois vinrent les rejoindre pour ce combat à l'ancienne . La force du nombre et la capacité de Dietrich au combat leur permit de les faire reculer . Le corps à corps fut violent à tel point qu'un marsouin parvint à planter sa baïonnette dans la cuisse de l'assassin qui hurla de douleur .
-Capitaine !
-Non ! Ne Cessez pas l'assaut !
Dietrich parvint difficilement à se relever grâce à l'aide de soldats bavarois qui l'emmenèrent dans une maison pour le soigner sommairement tandis qu'une femme arrivait . Son brassard et la croix rouge indiquait très clairement ce qu'était son rôle sur le champ de bataille . La femme lui retira sa balle et commença à essayer de le soigner tandis que le prussien écoutait les coups de feu , les reconnaissant aux bruits des détonations qui indiquaient que les prussiens parvenaient à prendre le dessus . Après quelques minutes il demande à un homme d'aller lui chercher un fusil français pour qu'il puisse défendre le bâtiment qui était devenu une sorte d’hôpital improvisé .

[Début octobre 1870]
Dietrich était assit sur un tambour , en haut d'une colline . Il prit les jumelles et observa l'armée qui se dressait face à lui . Des soldats français et des civils venant rejoindre la lutte . Réguliers et irréguliers réunis par le gouvernement de la défense nationale française et ce dans le seul but de les repousser eux . Cette guerre aurait au moins eu pour mérite de souder les peuples de deux côtés du Rhin . Un homme portant quelques médailles s'approcha de lui avant de se mettre au garde-à-vous .
Général ….
-Que l'artillerie ouvre le feu . Attendez encore un peu avant de faire intervenir l'infanterie et que les cavaliers continuent à se reposer . Je les veux parfaitement frais pour lancer la charge .
-À vos ordres .
-Les tirailleurs sont ils en position ?
-Ils n'attendent que votre ordre pour intervenir .
-Parfait ….
Il observa les troupes françaises se mettre en ordre puis , quelques instants après , un déluge de feu s'abattit sur leurs positions pour les forcer à les quitter . La réplique de l'artillerie française fut étonnante car les mauvais obus français à retardement et non à impact parvenait à exploser en hauteur avant de toucher leurs cibles . Dietrich tendit la main à l'officier qui transmettait ses directives pour donner l'ordre de charge des bavarois . Ceux-ci se mirent à avancer discrètement dans les forêts qui bordaient la plaine où le combat avait lieu . Le but était évidement l'encerclement, si cher aux officiers prussiens . Dans ce cas précis , il comptait former une sorte de triangle pour envelopper les troupes français et que le feu prussien se croise sur l'infanterie en question . La cavalerie française était une menace mais il comptait sur l'artillerie pour la disperser . Les premiers échanges de tirs d'infanterie se firent en faveur des français ce qui força Dietrich à accélérer ses plans . Il fit signe , à contrecœur , que l'on prépare la cavalerie à se lancer tandis que celle des français commençait justement à s'activer . Il laissa ses jumelles à l'officier qui le secondait et alla lui-même prendre son cheval pour rejoindre les autres cavaliers .
-En avant mes frères ! Pour le monde allemand !
Le sol se mit à trembler sous leur charge tandis que les bavarois commençaient à s'en prendre aux flancs français et que la cavalerie aux pantalons rouges se lançait . Celle-ci fut aussitôt la cible d'un bombardement massif de la part de l'artillerie avant d'encaisser la charge prussienne . Surprise et affaiblie elle encaissa le choc avec difficulté , Dietrich parvint même à traverser le bloc de cavalerie, se séparant ainsi de ses hommes et se mettant en danger de la même occasion . Il s'éloigna , dégaina son revolver et tira sur les cavaliers français jusqu'à disperser ces malheureux . Plutôt que les poursuivre ils se dirigèrent à toute vitesse vers les lignes françaises qui commençaient à s'effondrer , les irréguliers ne supportant pas le choc morale de la bataille et des morts . L'arrivée des hommes de Dietrich dans leur dos termina de faire s'écrouler le moral des troupes et les mit en déroute presque aussitôt . Pour se débarrasser de l'artillerie il sépara rapidement la cavalerie en deux groupes qui se dirigèrent sur les deux flancs de l'artillerie française tandis que l'infanterie la prenait de face et que l'artillerie prussienne la pilonnait . Les malheureux artilleurs ne tinrent pas longtemps et prirent la fuite tandis que Dietrich observait les soldats en déroute puis ceux tombés sur le champ de bataille .
-Vivement que cela finisse ….

[Galerie des Glaces du château de Versailles , 18 janvier 1871]
-Vive l'empire ! Hurlèrent les princes d'Allemagne .
Dietrich se tenait un peu à l'écart , l'épée levée . La guerre contre la France avait été bien plus courte qu'il ne l'aurait crut mais la victoire moins coûteuse que prévu . Cette nation autrefois à la pointe du progrès et de la stratégie militaire venait d'être profondément humiliée par le très jeune empire allemand . L'équilibre des forces européennes venait d'être profondément bouleversé en un temps incroyablement court . Face à la Prusse , l'Autriche était tombée ainsi que la France . Mettre ces deux nations à genoux assurerait aux allemands un statut international de premier ordre . Seuls les anglais ou les russes pourraient encore peser contre eux quoi que l'armée russe était également en retard tandis que celle des anglais était en réorganisation . Les américains , eux , étaient bien trop éloignées pour intervenir . Forts de leurs victoire , protégés par une armée auréolée de gloire et crainte , les allemands voyaient en ce jour la fondation de l'Empire Allemand , un empire qui durerait probablement un temps avant de disparaître . Dietrich savait que sa famille avait lutté pour faire tomber l'Empire Français , qu'ils avaient combattu l'Empire Ottoman jusqu'à le réduire à sa faiblesse actuelle et affronté les Suédois pour leur faire perdre leur place de superpuissance nordique . L'Empire Allemand durerait un temps avant de tomber à son tour mais , pour l'heure , l'humeur était à la fête et à la victoire !

J'ai écrit quelques chapitres sur Words mais ils ne me conviennent pas

Quand je les relis, je trouve que ça ne va pas du tout dans la direction que je veux

Je crois que personne ne lit les chaps sur le site de flamme /

Mais... Les chap la bas, c'est que des anciens non?

Oui mais quand même /

Sinon t'as abandonné ton Lenski Ultime?

Force 1
Résistance 1
Déviation 1
Vitesse 1
Escalade 1
Discrétion 1
Medecine 1 (permet de rendre 1/4 de point de vie par point a la fin d'une mission achever. Permet davoir tous les 5 point 10 f de reduction chez les medecin)
Arme: Lame secrète , dague

Mission Sauvetage: Les templiers ont capturé un de nos précieux alliés, sauvez-le.

Claark relisait attentivement sa mission, et puis il dit "j'ai déjà eu pire comme mission". Il commençait a se diriger vers son objectif, un marchand qui donnait des information au assassin ,
mais les templier le détenait. Après avoir vu les trois garde emmenant le marchand, Claark aller commencer le coeur de sa mission. A un coin de rue, il put assassiner un garde a un coin de rue,
mais le deux autre, il dut se lancer dans le combat. Le premier garde fonce sur le jeune assassin pour le transpercer mais Claark l’évita et lui transperça la gorge, et le dernier se mit a fuir.
Claark emmena le marchand au assassin pour le cacher un petit peu de temps. Quand il le remercia Claark vit l'home et s'ecrou...
*DESYCRONISATION*

...Quand il le remercia Claark aperçue un canonnier viser sont allier. A se moment la, le jeune assassin le mit a terre et se prit la balle sur le bras mais sella ne l’en péchait pas de terminer sa mission. Devant un repaire d'assassin des gardes à se moment attaque le marchand . Heureusement, des allier sont venus se battre a sa place, comme sa il pourra mètre le marchand a l'abris et s'occuper de sa blessure avec des les instrument se trouvant dans le repaire.

2 point de vie perdue / 0.5 vie gagner

j'espère que se n'est pas trop cour ...