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Sujet : [JEU] L'ère des Assassins

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[Laflamme] [Laflamme]
MP
Niveau 10
20 septembre 2012 à 18:14:32

Le jeu bide complètement :pf:
Je me demande si je vais pas mettre en place mon idée de créer un forum perso pour le jeu :pf:

Lenski Lenski
MP
Niveau 10
20 septembre 2012 à 18:16:29

Ce sera pire :pf:

+ postez quelque chose aussi qu'il n'y ait pas que moi et bilbo pour faire tourner la boutique \ :pf: /

Bilbo1997__ Bilbo1997__
MP
Niveau 10
20 septembre 2012 à 18:22:53

Bah ouais, Lenski et moi postons régulièrement au final, et des textes assez conséquents, mais forcément, s'il n'y a que nous deux d'actifs et les autres qui se contentent de lire :pf:

Laflamme, crée-toi donc un personnage :pf:

[Laflamme] [Laflamme]
MP
Niveau 10
20 septembre 2012 à 18:31:16

Non pas envie j'aime pas ce que j'écris :pf:

Bilbo1997__ Bilbo1997__
MP
Niveau 10
20 septembre 2012 à 18:43:23

Bah essaye au moins :pf: Toi aussi, Jet :pf:

[Laflamme] [Laflamme]
MP
Niveau 10
20 septembre 2012 à 18:44:14

Non je ne suis jamais satisfait de ce que j'écris et en plus j'ai aucune idée :pf:

Lenski Lenski
MP
Niveau 10
20 septembre 2012 à 18:48:37

Oui enfin on va pas faire tourner le topic à deux :pf:
Moi et bilbo l'avons déjà fait mais ça finit par tourner en rond :pf:

Bilbo1997__ Bilbo1997__
MP
Niveau 10
20 septembre 2012 à 19:01:37

Ouais, on a quand même bien tenu sur l'ancien RP, les cent dernières pages, y'avait que nous et deux trois gars qui passaient en coup de vent pour lire nos textes :pf:

[Laflamme] [Laflamme]
MP
Niveau 10
20 septembre 2012 à 19:03:22

Et bah on laisse couler le jeu qu'est que vous voulez que je vous dise :pf:

Lenski Lenski
MP
Niveau 10
20 septembre 2012 à 19:04:00

Bah non bouges toi un peu et écrit \ :pf: /

[Laflamme] [Laflamme]
MP
Niveau 10
20 septembre 2012 à 19:04:57

Je sais pas écrire point barre :pf:

Bilbo1997__ Bilbo1997__
MP
Niveau 10
20 septembre 2012 à 19:05:10

Contre-attaque (partie 2) :

1943, frontière de l’U.R.S.S…

-Ne lâchez rien ! hurla le général en Russe. Tenez bon, camarades !
Une balle lui explosa le crâne à la fin de sa phrase. Son cadavre retomba dans la neige, la teintant de rouge.
Abrités derrière une ligne de rochers, au milieu d’une forêt enneigée, une troupe de soldats soviétiques contenaient les assauts Allemands. Les nazis avaient installés une base à quelques kilomètres et tenaient un point stratégique.
Ils avaient aménagés la forêt pour y installer des lignes de mitrailleuses lourdes, enfoncées dans le sol. Cela faisait plusieurs semaines que les soviétiques ne parvenaient pas à les déloger de là pour reprendre la base.
C’était pour ça que John Magerlan avait été envoyé ici.
Un soldat jeta un coup d’œil hors de sa cachette et y revint aussitôt, juste avant qu’une pluie de balle ne s’abatte sur la couverture des combattants. Sous les coups de feu, les morceaux de pierre volaient dans tous les sens.
Une odeur de poudre emplissait l’air.
Les nazis, positionnés au-dessus d’une colline, derrière leurs mitrailleuses, riaient en arrosant leurs ennemis. Pour eux, cela allait être une victoire facile. Il était impossible de traverser leurs défenses. Ils formaient un véritable rempart infranchissable.
Le premier soviétique à sortir de sa cachette se ferait déchiqueter par les rafales.
John Magerlan, seul Français au milieu des soldats Russes, se tenait accroupi derrière un gros rocher couvert de givre, un casque sur la tête, l’emblème des Assassins Républicains sur son torse, un fusil d’assaut dans les mains.
Il hurla, dans un Russe impeccable :
-On ne tiendra pas longtemps comme ça ! Il faut que nous les contournions et que nous les prenions à revers !
-Comment ?! répondit un soldat en essayant de se faire entendre dans le vacarme.
-Il faut que certains se sacrifient pour détourner leur attention ! C’est le seul moyen !
-Qui accepterait de servir d’appât ici ?! Nous ne sommes pas fou, Assassin !
-Pour votre patrie, soldat ! Il le faut !
-Allez-y vous-même, le Français ! Montrez-nous que vous avez des tripes !
-Pas de problème ! Observez, et prenez-en de la graine, troufion !
John Magerlan décrocha une grenade de sa ceinture et la balança vers les nazis, quasiment à l’aveuglette.
Alors qu’elle n’était pas encore retombée au sol, John se leva d’un bond, la visa et tira. Elle explosa en plein vol, soulevant un nuage de neige et de poussière, et bouchant momentanément la vue des nazis.
John s’élança vers la droite, sous les balles Allemandes. Il contourna un arbre, roula derrière un tas de neige, se remit à courir et bondit par-dessus un tronc écroulé avant de se laisser tomber à plat ventre, hors du champ de vision des Allemands.
Il mit en joue le premier et fit feu.
L’Allemand fut projeté en arrière, la poitrine percée de multiples trous fumants.
John fit pivoter son canon vers deux autres nazis et laissa son doigt appuyé sur la gâchette.
Les Allemands bondirent pour se mettre à couvert, en abandonnant leurs mitrailleuses, mais ils tombèrent les uns après les autres, arrosés par les rafales mortelles du fusil d’assaut de John, toujours caché dans la neige.
L’Assassin tira une autre grenade de sa ceinture et la jeta vers les mitrailleuses.
L’explosion en mis plusieurs hors-service.
A ce moment là, motivés par l’exemple de John, plusieurs soviétiques sortirent de leurs cachettes et gravirent la pente qui les séparait de la ligne Allemande tout en vidant leurs chargeurs dans leur direction.
Certains n’hésitèrent pas à dégainer des couteaux de combat et à aller au corps-à-corps avec les nazis.
John les rejoignit en même temps que les derniers soviétiques récalcitrants.
Ils réussirent à dépasser les mitrailleuses et à déloger tous les Allemands de la colline. Ceux-ci s’enfuirent en courant, maintenant en infériorité numérique, mais la plupart se firent faucher par les balles Russes.
John, ayant vidé ses chargeurs, ramassa un fusil Allemand et s’élança derrière les fuyards.
Il les coursa pendant plusieurs minutes, se baissant pour éviter les branches d’armes et sautant au-dessus des cadavres et des tas de neige, filant entre les arbres, tenant son arme à bout de bras, haletant.
Il les abattit tous d’une balle dans la tête.
Une fois sûr qu’il avait tué tous ses adversaires, John fit demi-tour et revint vers ses alliés.
Les soviétiques s’étaient assis en rond au sommet de la colline et faisait le compte des morts et des munitions restantes, ainsi que des blessures graves ou légères des survivants. Mais ils affichaient tous de grands sourires, car ils avaient menés à bien leur mission.
John retira son casque et s’éloigna un peu avant de sortir une petite radio portative de sa veste, en contact avec celle d’un camp Russe à neuf kilomètres.
-Commandant, vous me recevez ?
-Je vous reçois, Assassin, répondit le commandant en Russe.
-La zone a été nettoyée. Le chemin vers la base est ouvert.
-Beau travail soldat. Nous enverrons des hommes prendre la base d’assaut tout à l’heure. Vous avez bien mérité un peu de repos. Restez où vous êtes, la troupe et vous. Nous envoyons un véhicule vous récupérer.
John coupa le contact, retira son casque et s’essuya le front.
Malgré le froid intense de l’hiver, il dégoulinait de sueur. Le combat était toujours quelque chose d’éprouvant.
John était épuisé.
Un soldat soviétique s’approcha de lui et lui envoya une claque sur l’épaule en riant.
-Bien joué, camarade ! Vous venez de nous prouver que les Français ne s’enfuient pas tous la queue entre les jambes quand il est affaire de se battre !
John savait que le Russe faisait allusion à la capitulation Française en 1941, qui avait été perçue comme une preuve de lâcheté un peu partout. Mais le soldat soviétique partit dans un grand rire et proposa à John d’aller boire un verre avec lui et ses amis un de ces jours.
Les deux hommes rejoignirent les autres à la colline et attendirent qu’on vienne les chercher.
Ils s’approchaient du sommet de la colline quand le soldat soviétique à côté de John se prit une balle dans l’épaule.
Le coup de feu avait déchiré le silence de la forêt.
Les autres soldats se levèrent d’un bond et saisirent leurs armes avant de regarder autours d’eux. John attrapa son compagnon et courut jusqu’à un tronc d’arbre écroulé au milieu de la pente. Le soldat gémit, l’épaule en sang. John le fit s’asseoir par terre et le laissa là.
Un deuxième coup de feu retentit, et John sentit une balle frôler son crâne.
Il roula dans la neige et s’abrita derrière un cadavre Allemand.
-On nous attaque ! hurla un des soviétiques, mais un peu tard.
Une douzaine de nazis jaillit d’entre les arbres, fusils en mains. Ils venaient visiblement de la base, toute proche, et avaient sûrement été appelés en renfort. En tout cas, ils étaient en supériorité numérique.
L’avantage venait de changer de camp.
-‘Chier, grogna John en se redressant et en mettant un Allemand en joue.
Il appuya sur la gâchette et fit exploser la tête du nazi. Les deux troupes ennemies prirent rapidement position, en évitant les quelques balles qui fusaient. Les soviétiques se dispersèrent mais restèrent perchés au sommet de la colline.
Les Allemands, eux, s’emparèrent des rochers derrière lesquels s’étaient abrités les Russes auparavant et s’en servir comme couverture.
John resta au milieu de la pente, entre les soldats des deux camps, autrement dit à la pire place possible.
Il vit les Allemands relever les canons de leurs fusils, les soldats soviétiques poser leurs doigts sur leurs gâchettes…
Il n’eut que le temps de bondir sur le côté et de courir à toute vitesse vers la forêt pour éviter le déluge de balle.
La neige volait dans tous les sens. Les balles fusaient, laissant de nombreux impacts sur les cadavres au sol ou les troncs d’arbre alentours, ainsi que les rochers derrière lesquels se couvraient les Allemands.
Mais ce fut le vacarme qui fut le plus impressionnant.
Les soldats soviétiques, bien en évidence sur la colline, tombaient comme des mouches. Sur leur perchoir, ils n’avaient aucun endroit où se cacher.
Quelques minutes plus tôt, les nazis se servaient de leurs mitrailleuses lourdes comme des cachettes mais John avait fait l’erreur de mettre la plupart hors-service.
-Bordel, lâcha-t-il et allant se cacher derrière un arbuste.
Des cris retentirent ici et là. Les soldats s’écroulaient, dans les deux camps, la tête percée d’un trou fumant ou la poitrine déchiquetée par les rafales. John, rechargea son fusil et visa un nazi proche. La balle l’atteignit à l’épaule mais lui arracha carrément le bras.
Un soviétique lança une grenade.
L’explosion aveugla les combattants un petit moment.
John saisit son couteau et bondit dans la mêlée, derrière les abris des Allemands.
La fumée, la poudre et la neige l’empêchait de bien voir ses adversaires mais John se battait plus à l’instinct qu’à la technique. Et il avait l’habitude de se reposer plus sur son odorat et son ouïe que sur sa vue.
Il lâcha son fusil d’assaut et attrapa un Allemand par la manche avant de lui enfoncer sa lame dans l’œil. L’Assassin sentit un liquide chaud éclabousser son visage et sa veste quand il retira brutalement le couteau de l’orbite du nazi.
Il lâcha son ennemi et égorgea un Allemand qui tentait de le contourner et de lui mettre un coup de crosse.
Une seconde grenade explosa, tout près.
John sentit des débris écorcher sa peau et des morceaux de chaire se coller à ses vêtements. Le souffle de l’explosion avait projeté plusieurs combattants à terre. Les autres tournaient sur eux-mêmes, désorientés, en tirant dans tous les sens.
John planta son couteau dans la gorge d’un Allemand, se jeta à terre pour éviter une rafale tirée à l’aveuglette, se redressa et sectionna la carotide d’un autre nazi.
Il sentit la crosse d’un fusil heurter violemment son crâne et la puissance du coup le força à poser un genou à terre. Il n’eut que le temps de voir d’autres soldats soviétiques courir dans sa direction avant qu’un second coup ne le projette au sol, le visage dans la neige.
Il se mit sur le dos, sonné, et vit le nazi lever son fusil pour lui asséner un troisième coup de crosse, avec l’intention de l’achever. Mais un soviétique apparut derrière l’Allemand et lui posa le canon de son pistolet sur le crâne avant d’appuyer sur la gâchette.
John ferma les yeux et sentit les morceaux de cervelle et de cartilage retomber sur lui comme des gouttes de pluie. La main du soviétique se tendit vers lui, l’attrapa par le col et l’aida à se relever, d’un coup sec.
John regarda sa veste couverte de sang, de tripe et de cervelle.
La guerre dans toute sa splendeur. Une boucherie.
-Il faut se ressaisir ! cria le soviétique. On doit…
Une balle lui arracha la mâchoire. Une seconde, juste après, lui transperça la tête. John se retourna et lança son couteau vers le dernier Allemand. La lame brilla, en tourbillonnant, et se ficha entre ses deux yeux.
John resta un instant immobile avant de soupirer.
Le vacarme s’était tu. La bataille était terminée.
Le sol était couvert de cadavres, Russes et Allemands. Il ne restait que quelques soviétiques en vie. L’un d’eux était assis sur le sol, adossé à un arbre, les mains plaquées sur son ventre ouvert par une balle nazie.
Un autre boitait, la jambe ensanglantée. Un troisième, un peu plus loin, avait eu un œil crevé par l’explosion d’une grenade et avait le visage dégoulinant de sang. John passa le dos de sa main sur son visage pour en essuyer la crasse et le sang.
Les hommes intacts s’occupèrent des blessés.
John entendit le véhicule soviétique, venu les chercher, s’approcher au loin.

CaptainBad CaptainBad
MP
Niveau 10
20 septembre 2012 à 20:08:29

Dommage qu'il bide, mais j'ai vraiment pas le temps pour écrire :-(

Jet_lag Jet_lag
MP
Niveau 10
20 septembre 2012 à 23:12:50

Je pense que je me prendrais des nuit courtes le samedi pour écrire, mais ça serait con que le jeu meurt ... :-(

elpadre0 elpadre0
MP
Niveau 10
20 septembre 2012 à 23:46:38

Le mien est plus bas sur cette page désolé si c encore une histoire de vengeance mais je n'ai plus d'idées ( ou peut être la flemme jsp )

elpadre0 elpadre0
MP
Niveau 10
20 septembre 2012 à 23:47:49
Jet_lag Jet_lag
MP
Niveau 10
21 septembre 2012 à 20:20:20

La guerre, c'est le maaal :pf:

elle était dans le genre plutôt gore cette scène, mais tu as fais du bon boulot :hap:

Lenski Lenski
MP
Niveau 10
21 septembre 2012 à 20:20:55

Jet : et moi ? :pf: /

Bilbo1997__ Bilbo1997__
MP
Niveau 10
21 septembre 2012 à 20:22:32

jet : tu parle de mon chap ? :pf:

Lenski Lenski
MP
Niveau 10
21 septembre 2012 à 20:39:32

kom je vay devoir mettre un petit passage sur la seconde gm faute d'inspi :pf:

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