Football?
Look all these fucks I give!! ~ ~
Ha bah l'om
Bah c'est pour ça que c'est bien le Bayern
Ils ont virés l'OM
Lenski ce serai pas plus abat l'OM ? -2000 ducats a la prochaine correction.
Flamme Tous ce qui batte l'OM perde en finale. Cette année le Bayern, l'année dernière Man United. c'est le châtiment céleste.
Le chemin de la rédemption (partie 2) :
Le soleil commençait à se coucher sur la lande et l’air se rafraîchissait lentement. Le chemin de campagne s’était transformé en sentier au milieu de hautes herbes. Cela faisait deux heures que les six Assassins n’avaient plus croisés personne.
Paris était maintenant très loin derrière eux.
Des arbres morts bordaient chaque côté du sentier et, avec la nuit tombante et le vent qui soufflait, donnaient au lieu un air de forêt hantée. Leeve ne se serait pas étonné s’il avait entendu le hurlement d’un loup, au loin, et un ricanement malfaisant provenant de derrière un buisson.
-Nous allons devoir nous arrêter, fit Edouard en tournant la tête vers sa troupe qui le suivait.
-L’endroit n’est pas sûr, répondit Pierre d’une voix sans émotion. Passer la nuit ici, c’est prendre le risque de se faire attaquer.
Le ton de l’Assassin s’était fait lugubre à la fin de phrase.
-Nous faire attaquer ? dit Eva. Par des bandits ?
-Oui, répondit Pierre en fixant la forêt. Ou par autre chose.
Un silence suivit ses paroles. Vladimir finit par plisser les yeux et pointer son doigt vers un point lumineux entre les arbres.
-Eh ! Regardez !
-Une maison, fit Georges. Avec un peu de chance, ses habitants voudront bien nous offrir le gîte et le couvert.
Un hululement d’une chouette retentit dans la nuit. Puis, un loup hurla, quelque part. Cela acheva de convaincre la petite troupe de tenter leur chance. Dormir dehors était bel et bien trop dangereux.
Pierre talonna son cheval et galopa jusqu’à la petite bâtisse en pierre et en bois. Il descendit de sa monture et toqua à la porte. D’abord, rien ne se produisit, puis des pas se firent entendre à l’intérieur et la porte s’ouvrit sur un homme barbu portant un chapeau de garde-forestier.
-Oui ?
-Nous sommes des voyageurs, fit Pierre. Nous craignons que dormir dehors soit dangereux et nous aimerions passer la nuit sous un toit. Accepteriez-vous de…
-Entrez, entrez. Mona ! La soupe est prête ?!
Les six Assassins attachèrent leurs chevaux à des arbres proches et entrèrent dans la maison. L’intérieur était réchauffé par un feu dans une cheminée, au-dessus duquel reposait une marmite remplie de soupe.
Une grosse femme blonde d’une trentaine d’année remuait la mixture avec une grosse louche et rajoutait de temps en temps une pincée d’herbe.
Elle vit les six personnes rentrer dans la pièce principale.
-Bonsoir.
-Bonsoir madame, répondit Edouard en exécutant une révérence noble. Nous vous remercions de votre hospitalité.
-Je m’appelle Jim, dit le barbu en retirant son chapeau. Et elle c’est ma femme, Mona. On s’apprêtait à manger et on a beaucoup de soupe, autant en profiter. Posez-vous.
Les Assassins se dévêtirent et posèrent leurs armes dans un coin. Ils allèrent s’asseoir à une table trônant au milieu de la pièce.
Mona servit un bol de soupe à chacun avec un morceau de fromage et une tranche de pain. Elle posa ensuite un plateau sur lequel reposait une imposante pièce de viande fumante et dégageant une odeur appétissante.
Tous se servirent et commencèrent à manger.
-Vous êtes garde-forestier Jim ? demanda Georges.
-Oui, mon père. Depuis vingt ans. C’est le duc François Dreygnan qui me paye pour surveiller ce bois. Je gagne bien ma vie et la nourriture n’est pas un problème. La chasse, ça me connait.
-Mais n’êtes-vous pas un peu isolé ici ? demanda Leeve en mordant dans son fromage.
-Ca ne me dérange pas. Je préfère la compagnie des arbres, des loups et des oiseaux à celle des habitants crasseux des villes. Et puis, tant que j’ai ma femme avec moi, je pourrais vivre dans une grotte complètement coupée du monde.
Mona l’embrassa.
-Nous accueillions parfois des voyageurs chez nous, dit-elle. Ce n’est pas rare. Voila pourquoi nous faisons toujours plus de soupe qu’il n’en faut.
Elle rit. Son mari trempa sa tranche de pain dans sa soupe.
-Fameuse votre soupe, m’dame, s’exclama Vladimir en buvant bruyamment à même le bol.
-Merci.
-La forêt ne grouille pas de bandits ? demanda Pierre.
-Oh, non. Il y a quelques années oui, mais plus maintenant.
-Pourquoi ?
Le sourire de Mona disparut. Jim baissa les yeux d’un air sombre.
-Depuis que la Bête est arrivée, dit le garde-forestier.
-La Bête ? répéta Leeve.
-Oui. Un énorme loup, aussi épais qu’un sanglier et haut comme un cheval. Une création du diable lui-même. Vous savez, les voyageurs qu’on accueille chez nous… On retrouve souvent leurs cadavres, le lendemain, complètement déchiquetés.
Personne ne répondit. Le feu crépita.
-Ca fait trois ans que cette monstruosité rôde dans les bois, continua Jim. Des fois, on l’entend sur le pas de notre porte. Il grogne et gratte contre les murs. Et puis, le matin, il s’éloigne et rejoint sa tanière. Le jour il dort, et la nuit il se nourrit. En vérité, ne pas passer la nuit dehors ce soir a sans doute été la décision la plus sage de votre vie.
Leeve lança un discret regard à Pierre. C’était lui qui avait refusé de dormir dehors. Ses mots lui revinrent en mémoire : « Nous faire attaquer ? Par des bandits ? Oui… Ou par autre chose. »
Comment l’Assassin avait-il pu deviner la présence de cette chose dans les parages ?
-Le duc envois sans cesse des soldats la traquer. Aucun ne revient jamais. Mais ma femme et moi ne voulons pas partir. Tant que nous resterons à l’intérieur de notre maison, la nuit, la Bête ne nous fera rien.
-Mais, répondit Edouard, si elle vient souvent gratter les murs, sous vos fenêtres, c’est bien qu’elle sait que des humains habitent là.
-Oui, elle nous sent. Elle attend que l’un de nous sorte, un soir.
-Un jour, elle parviendra à détruire votre porte. Et ce jour là vous ne pourrez rien faire.
-Et qu’est-ce que vous voulez qu’on fasse ? Cette maison appartient à ma famille depuis neuf générations. Je préfère crever que la quitter !
Il y eut un silence.
-Un loup gros comme un sanglier, fit Vladimir d’un air songeur. Ce n’est peut-être pas un monstre. Au-delà des mers, en Afrique, il existe des félins de la taille d’une vache, aux crocs monstrueux, dont les pattes sont si puissantes qu’un coup de griffe peut décapiter un homme en armure. Je crois qu’ils les appellent des… lions.
-En Sibérie, fit Pierre, j’ai affronté un grizzly. Une bête gigantesque face à laquelle un loup couinerait et s’enfuirait la queue entre les jambes. Je ne crois pas que votre fameuse Bête soit une créature diabolique. Et je pense que nous pouvons nous en charger.
-N… Non, intervint Jim. N’y allez pas ! Vous mourrez !
-Pour vous remercier de votre hospitalité, lâcha Edouard, nous allons vous débarrassez de votre Bête. Soyez tranquille, nous serons de retours demain matin. Et sinon… Nous serons morts.
A bas Bilbo aussi \ /
Moi j'ai peur que le fait que la punition du personnage de jet qui devait durer deux semaines et qui a en réalité duré plusieurs mois n'entraîne une grave faille temporelle
Yo tout le monde!
Ludo cookie!
Lens je pensais faire un clin d'oeil dans le genre dans celle que j'écris
un peu désert le topic aujourd'hui, vous trouvez pas ?
Salut
bon je retourne sur mw3
Quelqu'un n'aime pas que nous discutassions
T-redead tu joue en ligne a mw3?
Ouaip
Si c'est dit aussi joliment, je suis d'accord lenskonch
Qui joue sur Play3 ici ? Que je fasse une liste Non je dec mais sérieux qui y joue ?
+ Lens prépare toi je post ma suite ce soir. faut juste que je relise un couP.
Comment par lire mon chapitre
a ouai merde. J'y vais tout de suite (oooopas )
300 ducats. Un chapitre entier pour dire que t'es un putain de nationaliste en somme ? hap:
Même pas \ /
C'est une prequelle
Qui explique beaucoup sur les paroles prononcées par Alexander et sur pourquoi ses asssins ont pu devenir nombreux sans avoir à combattre les templiers
Bilbo qui part à la chasse de la bête du gevaudand?
Sympa, je sens que tu va nous tirer dans un jolie folklore.
Si tu veux des renseignement, regarde "le pacte des loups", il m'avait bien plut ce film.
Lens nan mais arrêté! on te l'a déjà dit, en plus... arracher les yeux des gens c'est mal! ROoh! Mais le met pas à ta bouche!
C'était la minute "Jet pète un câble"