Visite restreinte (partie 1) :
1803, Egypte…
Les trois hommes arrivèrent à l’oasis. Finalement, Leeve avait fait le reste du chemin à pied, ce qui l’avait passablement énervé.
L’oasis se composait d’un petit lac entouré de plantes et de fleurs du désert avec quelques palmiers. Des tentes de touareg étaient plantées ici et là et des chameaux, attachés à des poteaux en bois, broutaient paisiblement.
Moran et Lucien descendirent de leurs montures et les trois chameaux allèrent brouter à leur tour et se désaltérer.
Une des tentes s’ouvrit et un gros homme à la peau presque noire en sortit. Il portait une djellaba blanche rayée, un turban, un collier de barbe et des bijoux en or au cou et aux doigts. En voyant Moran, il éclata de rire et ouvrit ses bras en grand.
-Moran ! Mon vieil ami Moran !
L’Egyptien sourit et alla donner une accolade chaleureuse au gros touareg. Puis il se retourna et fit les présentations.
-Aynouk, voici Lucien La Desnis, un Français, et Leeve Hawker, un Américain. Ils font un voyage ici et je leur sers de… guide.
Aynouk serra la main des deux Assassins.
-Je suis Aynouk El Majaab, chef du clan Majaab. Je vous souhaite la bienvenue ici.
-Merci, fit Lucien.
Aynouk se tourna vers un rassemblement de tente.
-Sortez, ne soyez pas timides !
Plusieurs femmes voilées tenant des enfants sortirent des tentes.
-Tu as une nouvelle femme ? demanda Moran.
-Ma sixième ! répondit Aynouk en riant. Elle attend un enfant.
-Félicitation.
Moran alla saluer les femmes et les enfants pendant que Lucien et Leeve se dirigeait vers le petit lac. Leeve se pencha en avant et remplit les gourdes. Lucien, la main en visière, regardait l’horizon.
-Eh ben on n’est pas arrivés.
-Tu ne voudrais pas qu’on passe la nuit ici ?
-J’hésite mais je pense que nous allons rester ici. Le froid de la nuit pourrait nous fatiguer encore plus et il vaut mieux être en forme pour le voyage.
Le soir, Lucien, Moran et Leeve rejoignirent la plus grande tente du camp. Le sol était recouvert de coussins multicolores et de tissus et une table basse trônait au milieu. Aynouk servit du thé à ses invités.
-Restez ici autant de temps que vous le souhaitez, fit le touareg. Le clan Majaab est fier de vous accueillir.
-Vous faites honneur à la légendaire hospitalité touareg, dit Lucien en portant la tasse à ses lèvres.
-Hum, mon clan peut-être mais il en existe d’autres qui ne sont pas aussi gentils.
-C'est-à-dire ?
-Eh bien, disons que certains clans touaregs n’aiment pas voir des étrangers parcourir ce qu’ils considèrent comme leur désert. Leur terre. On ne compte plus les voyageurs imprudents qui ont été attaqués et tués par ces gens là.
-Effrayant, dit Leeve qui n’avait pas l’air effrayé le moins du monde. Vous savez où ces clans peuvent se trouver.
-Les touaregs ne sont pas sédentaires. Prédire l’endroit où ils se trouveront le lendemain relève du miracle. Ils sont plus mobiles que n’importe qui.
-Nous avons autant de chance de nous faire attaquer dès notre départ, ajouta Moran, que de ne jamais les croiser de tout le voyage.
-Alors croyons en notre bonne étoile, termina Lucien.
Le lendemain, les trois hommes partirent au lever du soleil. Aynouk ne s’était pas réveillé pour leur souhaiter bonne chance. Aussi, ils détachèrent leurs chameaux et s’éloignèrent de l’oasis après avoir de nouveau remplit leurs gourdes.
Très vite, le paysage redevint aussi monotone qu’avant.
Des dunes, des dunes et encore des dunes.
Leeve avait préféré s’endormir sur le dos de sa monture. Lucien fixait l’horizon, la main en visière, immobile comme une statue. Moran gardait le silence, comme à son habitude.
Des cris de vautours se firent entendre dans le ciel.
Leeve se réveilla en soupirant.
-On est arrivé ?
-Non, répondit Lucien dont le sourire se faisait de plus en plus rare. Finalement, on en a encore pour quelques jours.
-Combien ?
-Je ne sais pas.
Leeve leva la tête.
-Moran !
-Oui ?
-Dans combiens de temps arrivons-nous ?
-Il fait particulièrement chaud aujourd’hui. Cela risque de ralentir nos montures et rallonger le voyage d’au moins une journée.
-Et ?
-Je prédis notre arrivé pour… dans trois jours.
Leeve hoqueta et plaqua ses deux mains sur son visage.
-Nom de d…
Soudain, coupant la parole de l’Amérindien, un homme jaillit d’une dune dans une explosion de sable. Il hurla une phrase dans une langue inconnue des deux Assassins. Moran arrêta net son chameau.
Il répondit à l’homme avec une voix inquiète.
Celui-ci cracha par terre. Il était vêtu de tissus bleus et noirs et d’un turban. Il ressemblait à un touareg.
L’homme leva le bras et hurla un ordre. Aussitôt, une dizaine d’autres touaregs jaillirent du sol.
Lucien, avec un calme olympien, descendit de son chameau. Il s’approcha du chef en montrant ses mains ouvertes, signe de paix.
-Que voulez-vous ?
Le chef touareg sembla comprendre la question et montra les chameaux.
-Vous voulez nos montures ?
Le chef ricana, imité par ses hommes. Il hocha la tête. La seconde d’après, ses yeux se révulsèrent. Il regarda le poignard profondément enfoncé dans son ventre. A ce moment là, il dut se demander comment il était possible de dégainer une arme aussi vite.
Il dut aussi se demander si l’homme qui lui faisait face était bien humain. Puis, il mourut.
Leeve descendit à son tour de sa monture et tira son tomahawk de sa ceinture. Lucien reprit sa dague sur le cadavre et fixa les touaregs qui l’entourait. Aucun n’avait bougé.
L’un d’eux dégaina un sabre et hurla. Puis, tous chargèrent.
Bilbo je te note quand la mission sera complètement fini
Pas de l’impatience mais de l'ennui
Flamme Asgardien vien des comics MARVEL dont je suis fan. Mais je me le donne comme pseudo pour tous mes comptes, et en honneur au fils de la soircière rouge, qui dans ses début des jeunes vengeurs se faisait appeller Asgardien (il n'est pas d'asgard) voilà
Sinon bonjours tout le monde !!!
et sa ne me dérange pas de prendre Autosave15
Pergamme je te corrige tout de suite
j'ai du rêver, je pensais avoir vu un texte a pergamme
Tu rêves asgardonch
Bonjour tout le monde ! sinon je te comprends asgardien sur le fait de me prendre.
Ps : j'attends encore ma mission
Ps2 : Je sais je suis impatient mais je m'ennuie.
Auto Mon mentor me demande d'aller espionner le camp français pour voir si ils ont lien avec les templiers.
prend là
Merci
C'est Ludo qui a dit que ça venait de Thor moi j'ai rien dis
Tu dois être malade aussi As
A ouais, je suis fatigué ....
Je Re !
Ludo, je t'offre un bonbon et , attention attention, un cookie!
pas mal hein
Londres, 1750 environ
Je galopais vers le point de rendez-vous que m’avait fixé Brice, le chef du convoi. J’étais impatient car c’était ma première mission. Je voudrais que tout se passe bien même si d’après le psycho qui me sert de frère, »les missions parfaites, ça n’existe pas », je vais lui montrer que c’est possible moi. J’arrive au point de rendez-vous et une demi douzaine m’attend. L’un d’eux s’avance :
- Qui est tu ?
- Ace Warden, je lui tends la main, vous êtes Mr Brice je suppose, mon mentor m’a envoyé pour vous escorter.
- C’est une blague je suppose, il met ses mains dans ses poches, ton mentor n’a rien trouvé de mieux a m’envoyé qu’un borgne ?
- Trèves de politesses, je meurs d’envie de lui montrer de quoi un « borgne » est capable, et si on se mettait en route
Il me tourne le dos, monte sur son cheval et met le convoi en route. Je réfléchis, on devrait mettre un heure pour rallié le repaire en roulant en ville. Je grimpe sur un toit proche et suis le convoi depuis là-haut. Mis a part quelque gardes sur les toits dont je me débarrassa sans problèmes, tout se passait bien. Au bout de quarante minutes, le convoi s’arrêta. un cri retenti et je vis une vingtaines de gardes charger le convoi. Je sauta et en tua un en mode assassinat aérien. Le garde cria et les dix neuf autres se retournèrent vers moi. Les autres sortirent leurs épées et profitèrent de l’effet de surprise pour se jeter sur les gardes. Seuls deux gardes m’attaquèrent. Je sorti mon épée, fit quelques passes d’arme avec eux, puis j’en assomma un avec le pommeau de mon épée. Je me retourna, planta mon épée dans la gorge de l’autre, lâcha mon épée, me retourna et planta ma lame dans la tête de celui qui était assommé.
Bien, je repris mon épée et monta a un toit pour examiner la situation. Le dernier garde tombait, bilan: deux alliés étaient morts au combat. Le convoi se remit en route et rallia le QG. Je pris congé de ceux qui m’accompagnaient et alla voir mon mentor pour faire mon rapport de mission.
au boulot Jet, même si il est pas très long. il sera plus long la prochaine fois
Le nom de l’assassin : Deslimbes
Le prénom de l’assassin : Henri
Age : 34 ans
Le pays de l'assassin (donc sa langue) : France (donc parle français, mais a aussi quelques bases d’espagnol et d’italien)
Le sexe de l’assassin : Homme
Description de l’assassin (physique puis morale) : Voyons cela en image : http://hpics.li/a151fd2
Henri Deslimbes aime les grands espaces et l’océan. Ceci fait que la navigation est devenue sa passion et son rêve serait d’être aux commandes de sa propre frégate. Sa patience et son ambition, pimentée d’une pointe de fourberie, font qu’il est sur de parvenir à réaliser son rêve.
Biographie : Henri Deslimbes est né d’une famille bourgeoise, qui à fait fortune dans le commerce de vin. Il vécut une vie somme toute banal jusqu'à ses 16 ans, ses parents se firent arrêter et emprisonner pour diverse raisons (escroquerie, contrebande et tentative de complot contre un noble locale). Normalement, Henri aurait lui aussi dû se faire arrêter, mais ce dernier se trouvait au port et lorsqu’il voulut rentrer et qu’il vit plusieurs soldats devant sa maison, il sut ce qu’il ce passait. Il décida alors de prendre toute les économies de ses parent, et pris le premier bateau à destination du nouveau monde. Arrivé la bas, il utilisa ses économies pour se procurer petit navire, et fit quelques course pour des marchands locaux. Au fur et a mesure du temps, il finit par obtenir une petite frégate légère, mais rapide (pas d’une façon très légale à ce qu’on dit) qu’il finit par utiliser pour divers actes de contrebande et piraterie. Le nom d’Henri finit par être assez connu pour qu’il soit pourchassé, et l’inéluctable arriva. Une flottille de chasseur de pirate le coula près des cotes de la Floride, mais Henri survécut. Un pécheur le retrouva, échoué sur une plage non loin d’une petite colonie, et s’occupa de lui. Quelques mois plus tard, un étrange homme arriva en ville. Cette homme reconnu le capitaine Deslimbes, et lui parla d’une société d’assassins qui pourrait l’intéresser. Ainsi Henri partit rejoindre cette confrérie, en espérant regagner un jours assez d’or pour acheter un navire.
Force : 1
Résistance : 1
Déviation (combat, riposte mortelle) :1
Vitesse (Aussi bien en combat qu'en course) : 1
Escalade : 1
Discrétion : 1
Compétence spéciale (une compétence que vous inventerez de toute pièce et à laquelle vous donnerez un nom): Capitaine Canonnier (Cette ancien capitaine était un très bon canonnier et, de ce faite, est assez doué avec un pistolet)
J’espère avoir été original, par contre je ne sais pas quelle est la date actuel, donc je n'en ais pas ajouté dans mon texte.
Motoi, un bon texte, quoiqu'un peu court. T'as oublié des mots de temps en temps, et un peu de description en plus ne ferait pas de mal, mais peu de fautes dans l'ensemble. 1 point et 500 pièces.
Deslimbes Cool ton histoire pour moi c'est bon t'es pris
T'es pris et la date on est entre 1770-1820
Je te rajoute au MP
Merci, n'hésitez pas à me donner ma première mission.
Compétences: Force:1+0,5
Vitesse:1
Déviation:3
Résistance:1+0,5
Escalade:1
Discrétion:1
Vision de l'aigle:0
0+500=500 pièces d'or. Merci
Va voir dans les MP et choisit par contre attend un peu que je refasse la mise à jour du tableau des missions