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Sujet : [JEU] L'ère des Assassins

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Bilbo1997__ Bilbo1997__
MP
Niveau 10
08 mai 2012 à 13:07:26

Le Vautour Noir (partie 3) :

Les Assassins attendirent encore longtemps. Plusieurs heures. Quelques touaregs étaient allé dormir au fond de la salle alors que d’autres continuaient à monter la garde. Seuls trois hommes jouaient encore aux cartes.
Le chef touareg était assis en tailleurs à trois mètres des deux Assassins. Il fixait l’entrée de la grotte en silence.
Leeve, suivant un conseil de Lucien, avait tenté de s’endormir pour reprendre des forces et passer le temps mais en vain. Lucien, lui, regardait le plafond avec un air calme. Bien malin aurait été celui qui aurait deviné à quoi il pensait.
Puis, au milieu de la nuit, un touareg, qui devait guetter l’arrivée du mystérieux « il » depuis l’entrée de la grotte, arriva en courant dans la salle. Il lança quelque chose au chef. Sa voix réveilla tous les touaregs endormis.
Le chef se leva, imité par ses hommes. Ceux-ci se placèrent de chaque côté de la salle, formant une sorte de haie d’honneur, alors que le chef se plaçait à côté des deux Assassins, quasiment au garde-à-vous.
Leeve remarqua que les mains de l’homme tremblaient.
L’ambiance était devenue lourde et oppressante. Lucien avait cessé de fixer le plafond pour reporter son attention vers l’entrée de la caverne.
Un silence effrayant régna dans la salle pendant quelques secondes avant qu’un mugissement de chameau ne retentisse dehors. Le bruit caractéristique de pas dans le sable se fit entendre.
Une silhouette se dessina dans l’entrée. C’était un homme.
Il s’avança lentement. Leeve vit l’expression de Lucien changer. De grave, il était passé à étonné, puis à stupéfait et enfin à enragé.
L’homme se dévoila enfin à la lumière du feu.
Il était grand et mince, vêtu de la même façon qu’un Assassin à la différence que sa tunique était entièrement noire et qu’une cape flottait dans son dos. Sa capuche relevée ne permettait de voir que sa bouche et son menton, terminé par une courte barbiche.
Il eut un sourire macabre.
Le chef touareg s’approcha de lui et posa un genou à terre avant de lui dire quelque chose dans sa langue en montrant les deux Assassins. L’homme hocha la tête.
Lucien se débattit en tentant de déchirer ses liens.
-Sale chien ! Tu es venu pour le fragment ?! Ou pour Leeve ?! Shan ne t’as pas suffit ?!
L’homme leva la main d’un geste apaisant qui contrastait avec son sourire moqueur.
-Du calme. Bien que Leeve m’intéresse, je suis ici principalement pour le fragment d’Eden.
-Tu n’obtiendras aucune information !
Leeve tournait la tête et son regard passait de Lucien à l’homme en noir, puis de l’homme en noir à Lucien. Visiblement, ils se connaissaient et ne se portaient pas dans leurs cœurs.
-Lucien, fit Leeve, qui est cet homme ?
Lucien cracha par terre.
-L’As de Pique !
L’As de Pique ? Oui, Leeve en avait déjà entendu parler. Aucun Assassin ne pouvait ignorer ce nom. Ou plutôt ce surnom. Un tueur au service des Templiers spécialisé dans l’élimination des Assassins. Impitoyable.
Il avait parmi ses victimes d’illustres Assassins, des mentors même. On disait que sa puissance était surnaturelle, qu’il était impossible de le vaincre. Si l’on était sa cible, rien ne pouvait nous sauver. Leeve n’y croyait pas beaucoup mais maintenant qu’il l’avait en face de lui, il comprenait d’où venait sa réputation.
Il dégageait une aura sauvage, celle d’un prédateur.
-Que me veut-il ? demanda Leeve. Pourquoi est-ce que je l’intéresserais ?
-Tu n’as pas besoin de le savoir.
Lucien fixa l’As de Pique.
-Les tueurs à Alexandrie, ils étaient à ta botte ?
-Oui, répondit l’As de Pique. Je les ai payés. De toute façon, ils étaient minables.
-Et les touaregs sont à ta botte ?!
-Oui, tous.
Lucien écarquilla les yeux. Leeve aussi.
-Ca veut dire que…
-Ce cher Aynouk El Majaab aussi, fit l’As de Pique. C’est d’ailleurs lui qui m’a révélé votre destination. Sans ça, mes hommes n’auraient jamais pu vous attraper.
-Mais…
-Il est amusant de voir comment réagissent certaines personnes quand on leur promet de l’argent. Certains seraient prêt à n’importe quoi, même à trahir des amis de toujours. Ce pauvre Egyptien en a fait les frais. Comment se nommait-il déjà… Hum…
-Moran, fit Lucien les dents serrées. Il s’appelait Moran. Et il y avait plus d’honneur dans un seul de ses doigts que dans toi tout entier.
L’As de Pique ricana.
-C’est possible. Après tout, l’honneur m’attire peu. L’argent aussi. Mais toi tu connais mes motivations, je n’ai pas besoin de te les rappeler.
-Espèce de chien… Tu es venu ici pour rien. Tu n’obtiendras rien je t’ai dit !
-De toi peut-être, mais de lui…
L’As de Pique s’approcha de Leeve. Il l’attrapa par la gorge et le souleva carrément au-dessus du sol, d’une seule main. Sa force était étonnante.
Le poing de l’As de Pique s’enfonça dans ses côtes.
Leeve ouvrit la bouche mais aucun son n’en sortit. Ce coup n’avait rien à voir avec celui du chef touareg. L’Assassin avait l’impression qu’une masse d’acier avait percuté son ventre. Il entendit le craquement sinistre de ses côtes qui cédaient.
La douleur survint une seconde après et étouffa Leeve, l’empêchant de crier.
L’As de Pique le lâcha et l’Indien s’écrasa au sol, plié en deux, toussant et crachant du sang. Le pied du Templier se posa sur sa nuque.
-Tu veux qu’on parie sur le nombre de coup qu’il supportera avant de parler ? demanda l’As de Pique à Lucien.
Lucien détourna les yeux.
Leeve sentit la main de l’As le soulever par l’épaule et le redresser légèrement. Un uppercut dans la mâchoire le projeta contre le mur de la caverne. Du sang gicla.
Leeve, sonné, vit le monde tourner tout autour de lui. Lucien était devenu flou. L’As de Pique aussi. Un crochet à la tempe le cloua de nouveau au sol avec une puissance incroyable. Leeve ferma les yeux et serra les dents en essayant d’oublier la douleur.
A tous les coups, sa pommette était brisée. Sa mâchoire aussi, peut-être. Le sang lui dégoulinait sur le cou et la poitrine.
Une voix lui parvint à travers le brouillard de son cerveau.
-Alors Lucien ? Toujours pas envie de parler ? Tu sais, moi je suis endurant.
Un pied alla exploser une énième côte à Leeve, lui faisant vomir du sang. Il roula au sol et resta plié en deux, tordu de douleur. Il toussa et frappa le sol avec son poing.
« Je dois tenir… Pitié, faites que je tienne… »
-Eh bien, on atteint ses limites Leeve Hawker ? fit l’As de Pique avec une expression de dédain. Shan m’avait donné plus de mal, lui.
Leeve ouvrit les yeux.
-Shan ? gémit-il faiblement.
-Oui, ton père. Oh pardon, tu l’ignorais ? Eh bien en fait c’est moi qui l’ai tué. J’aurais bien aimé te l’annoncer avec plus de tact mais je n’en ai pas le temps.
Leeve serra les dents. Il se redressa sur un coude et fixa l’As de Pique.
-Que mon père ait été tué, je m’en contrefous. Mais ma mère l’aimait…
-Elle l’aimait ? Elle est morte ? Toutes mes condoléances.
L’As de Pique asséna un coup de pied puissant dans la poitrine de Leeve, lui arrachant un cri. L’Indien gémit avant de fixer de nouveau le Templier.
Il remarqua alors que ses poignets n’étaient plus liés. En effet, le chef touareg, quand l’attention de l’Assassin était portée sur l’As de Pique, avait tranché ses liens. Pour que l’As de Pique puisse le frapper comme il le souhaitait bien sûr.
Mais cette information donna de l’espoir à Leeve. Il n’était plus attaché !
Son espoir disparut quand il tenta de se relever. Son corps ne répondit pas. Tordu de douleur, les membres engourdis, les côtes brisées et le visage en sang, il n’arrivait pas à bouger. Même pas un seul doigt.
Comme si toutes ses forces avaient disparues.
L’As de Pique s’agenouilla près de Leeve et se pencha vers lui.
-Et bien ? Ton regard a changé quand j’ai évoqué ta mère. Tu l’aimais hein ? Et tu aimes ton village ?
« Pourquoi il me parle de ça ? pensa Leeve, les dents serrées. »
-Il se trouve à la frontière du Canada n’est-ce pas ? Et les maisons sont faites en bois, si je ne m’abuse ?
« Et alors ? Où tu veux en venir espèce d’enfoiré ?! »
L’As de Pique se redressa et fixa Leeve d’un regard sombre.
-Le bois ça brûle bien.
Leeve écarquilla les yeux. Il ouvrit la bouche et lâcha un cri de rage.
-Si tes hommes approchent de mon village… !!!
-C’est déjà fait.
L’information prit plusieurs secondes avant d’arriver au cerveau de Leeve. Et quand elle y arriva, il ressentit tellement d’émotions en même temps qu’il crut s’évanouir. Rage, peur, tristesse, souffrance.
Lucien baissa les yeux en serrant les dents.
-Enfoiré, lâcha-t-il. Tu avais besoin de lui dire ça ?
L’As de Pique sourit.
-La torture psychologique est parfois plus efficace que la torture physique.
Leeve n’écoutait plus. Il était anéantit. Complètement anéantit. Tellement anéantit qu’il ne sentit même pas le pied de l’As de Pique percuter ses côtes. Il n’entendait plus rien. Les lèvres de Lucien et de l’As bougeaient sans qu’aucun son n’en sorte.
Les coups ne faisaient plus de bruit.
Leeve ne sut jamais comment il était parvenu à se relever et à projeter son poing dans le visage de l’As de Pique.

[Laflamme] [Laflamme]
MP
Niveau 10
08 mai 2012 à 13:07:46

Qui survivra à ça? :sournois:

Bilbo1997__ Bilbo1997__
MP
Niveau 10
08 mai 2012 à 13:07:54

Le Vautour Noir (partie 4) :

Le poing de Leeve alla s’écraser dans le visage de l’As de Pique. Le Templier recula, la main plaqué sur son nez et… ricana.
-Qu’est-ce que c’est que ce coup de poing ? On dirait celui d’un nouveau-né.
Mais ce coup suffit à déconcentrer les touaregs. Il faut croire que cette nuit là, la bonne étoile de Lucien était en forme car l’un des touaregs cessa de le surveiller et recula de quelques pas jusqu’à se mettre à sa portée.
Lucien lui explosa la rotule d’un coup de pied. Le touareg tomba à genoux en hurlant. Avec son pied, Lucien parvint à tirer une dague de la ceinture du touareg.
L’As de Pique tourna la tête vers Lucien mais Leeve bondit et le repoussa d’un coup d’épaule avant de s’écrouler par terre. Dans le désordre général, Lucien réussit un tour de maître dont seuls les meilleurs Assassins sont capables.
Il mit la dague en équilibre sur son pied et fit un mouvement de la jambe. Le poignard tourbillonna dans les airs et retomba pile dans les mains de Lucien. D’un geste fluide, précis et maîtrisé, il trancha ses liens au moment où quatre touaregs bondissaient dans sa direction, sabres au clair.
Lucien se redressa. Les touaregs ne comprirent jamais ce qui leurs étaient arrivés. Ils se retrouvèrent au sol, la gorge ouverte. Le sabre de l’un d’eux était maintenant dans les mains de Lucien.
Tous les touaregs s’élancèrent.
L’As de Pique se redressa et tira une épée de sa ceinture. Leeve le vit passer devant lui. Avec les dernières forces qui lui restaient, réveillées par sa colère, il lui attrapa la cheville et le fit tomber au sol.
Lucien, malgré ses blessures, para les assauts des touaregs avec une vitesse sidérante. Ils étaient nombreux mais c’est justement ce grand nombre qui permit à Lucien de survivre.
Du fait de leur nombre, ils se bousculaient les uns les autres et s’empêchaient de frapper correctement. Au milieu, il suffisait à Lucien de balancer son sabre dans n’importe quelle direction pour en tuer un. Et il ne s’en privait pas.
Deux mètres plus loin, l’As de Pique tourna la tête. Leeve n’avait pas lâché sa cheville. Du sang lui couvrait tout le visage mais il gardait une expression de rage.
L’As de Pique ricana.
-Toi… Tu es bien un Magerlan !
Il lui asséna un coup de pied en pleine tête qui fit lâcher prise à Leeve. Le Templier se releva et continua de marcher vers Lucien.
Mais à ce moment, un des touaregs lâcha son sabre et fut repoussé par un coup de Lucien. Il recula de quelques pas et tomba dans le feu qui brûlait toujours.
Dans un cri de douleur atroce, il se releva et se mit à courir dans toute la salle, comme une torche humaine.
Les braises furent projetées dans tous les sens. L’une d’elle retomba dans une flaque d’alcool qui sortait d’une bouteille renversée qu’un touareg négligent avait oublié de refermer.
L’alcool s’enflamma et toucha les coussins alentours, eux aussi couvert d’alcool.
Pour ne rien arranger, le touareg enflammé se cogna sur un autre touareg qui s’enflamma à son tour et trébucha pour aller tomber sur un tonneau rempli de vin. Le tonneau éclata et l’explosion qui suivit projeta une bonne partie des touaregs survivants au sol.
Leeve roula sur lui-même pour aller s’abriter derrière une caisse d’armes.
L’As de Pique recula de quelques pas, son bras protégeant son visage.
Lucien bondit au-dessus des flammes et courut vers Leeve. L’As de Pique se retourna pour le poursuivre mais le feu continua à se répandre et, manque de chance, il remonta les diverses flaques d’alcool jusqu’à faire le tour de la salle.
Une ligne de flamme coupait maintenant le passage au Templier.
Lucien prit Leeve par l’épaule et le remit debout. L’Indien regarda autours de lui et contempla le chaos dans la caverne.
Des touaregs enflammés couraient dans tous les sens, le feu emplissait la salle et la fumée commença à s’amasser autours d’eux. L’As de Pique enjamba le mur de feu et fit tournoyer son épée entre ses doigts.
Plusieurs stalactites se mirent à tomber au sol. La salle commença à trembler et le plafond à se fissurer. L’explosion du tonneau d’alcool avait fragilisé la pierre. La salle n’allait pas tarder à s’effondrer sur elle-même.
Lucien repoussa Leeve et barra la route de l’As de Pique.
-Tu vas mourir Lucien, fit le Templier. Tu es blessé et affaibli alors que moi je suis en pleine forme.
-On va mourir tous les deux tu veux dire ?
L’As de Pique regarda le plafond se fissurer de plus en plus et des morceaux de pierres tomber tout autour de lui. La fumée commençait à être étouffante. Et le feu ne cessait de s’étendre de coussin en coussin.
-Tu n’arriveras pas à me retenir assez longtemps.
-On verra ça, répondit Lucien.
Puis, il tourna très légèrement la tête vers Leeve. Le jeune Indien, s’appuyant sur le mur, se relevait avec difficulté. Ses jambes tremblaient et chaque mouvement lui arrachait un cri de douleur.
-Leeve ! Prend un chameau dehors et enfuis-toi ! Je veux que tu te rendes en France, au Q.G des Assassins, et que tu préviennes mon père et le mentor de ma mort. Dis leurs que le fragment est en sécurité !
-Non… Je ne vais pas… te laisser…
-La ferme. Je suis un Assassin. Ma vie n’a été qu’une succession de meurtres. Je me rends aujourd’hui compte que je n’ai pas fait grand-chose de cette vie. Et je le regrette. Shan à sans doute pensé la même chose avant de mourir.
L’As de Pique se taisait. Pour une raison mystérieuse, il n’attaquait pas Lucien.
-Cependant, j’ai effectivement fait une bonne chose avant de mourir. J’ai sauvé le dernier des Magerlan. Toi. Maintenant, il faut que tu vives et que tu ailles prévenir le mentor de France. Prend ça comme… ma dernière volonté.
Dans ce moment critique, Lucien éclata de rire. Il tourna la tête vers l’As de Pique. Celui-ci se mit en garde.
-Finissons-en, lâcha Lucien.
-Viens, cracha le Templier.
Leeve fit demi-tour et, en boitant, la main plaquée sur ses côtes, sortit de la caverne. Il entendit le son des lames s’entrechoquer. Et le bruit du plafond qui ne tarderait pas à céder.
Il aperçut un chameau qui attendait sagement à l’entrée de la grotte. C’était celui de l’As de Pique.
Leeve ne réfléchit pas. L’adrénaline lui donna des forces qu’il ignorait posséder et lui permit de monter sur la selle de l’animal. Il tira les rennes avec difficulté, faisant exécuter un demi-tour à sa monture.
Haletant à cause de la douleur, Leeve secoua les rennes. Le chameau se mit en marche.
L’Indien serra les dents et jeta un coup d’œil derrière lui pour voir le plafond de la grotte s’effondrer dans un fracas apocalyptique, soulevant une masse de poussière. Un nuage de fumée s’éleva jusqu’au ciel.
Sur le dos de sa monture, Leeve soupira et s’évanouit.

Bilbo1997__ Bilbo1997__
MP
Niveau 10
08 mai 2012 à 13:08:29

Les pavés que j'ai posté me laissent sans voix :ouch:

Deslimbes Deslimbes
MP
Niveau 5
08 mai 2012 à 13:08:39

Ou sinon, il y a toujours la bonne vielle goutte d'eau qui tombe sur le front du torturé pendant des heurs et des heurs (voir des jours)
Tien, je crois que si mon assassin devait se faire torturer, ce serai comme ça.

Bilbo1997__ Bilbo1997__
MP
Niveau 10
08 mai 2012 à 13:11:13

Deslimbes : Ou alors tu mets un mec dans une petite salle totalement vide avec des murs blancs et tu ferme la porte. Tu lui mets du hard rock à fond avec la lumière allumée et t'attends plusieurs jours.
Il parait que si tu fais ça, le mec devient un légume au bout d'une semaine. ( véridique )

CaptainBad CaptainBad
MP
Niveau 10
08 mai 2012 à 13:16:06

Salut :)

Je ferai ma description plus tard (je dois partir en cours), mais je voulais savoir. Dans le premier post vous n'étiez pas sûr de l'époque, donc ma question est: Quelle est l'époque de notre jeu?

Seconde question: Est-ce que la création d'un forum est envisagé? Ca pourrait être pas mal, un p'tit forum RP :)

Bref, à tout à l'heure alors! :noel:

Deslimbes Deslimbes
MP
Niveau 5
08 mai 2012 à 13:16:46

Bilbo, je préfère ne pas connaitre tes sources... mais sinon, un bon coup sur la colonne vertébrale et tu a le même effet.

Jet_lag Jet_lag
MP
Niveau 10
08 mai 2012 à 13:31:45

Lucien! :snif:

À l'époque mon assassin était une sous merde. Maintenant c'est une sous merde, mais du grade au dessu :oui:

Bilbo1997__ Bilbo1997__
MP
Niveau 10
08 mai 2012 à 13:46:59

Jet : donc logiquement c'est devenu une merde :noel:

[Laflamme] [Laflamme]
MP
Niveau 10
08 mai 2012 à 13:48:13

Et moi mon Assassin c'est paumé :pf:
Sinon 2000 pièces d'or et 6 points :pf:

Jet_lag Jet_lag
MP
Niveau 10
08 mai 2012 à 14:03:21

bilbo, eh, j'ai pas dit qu'il avait gagné autant en grade! en tout il a fait une seule mission, qu'il a moitié réussie, moitié foirée, et du coup il est puni. Retourne 200 page en arrière, et tu trouvera peut être une de mes anecdotes :hap:

NpB-Asgardien NpB-Asgardien
MP
Niveau 7
08 mai 2012 à 14:35:50

Salut tou le monde !!!!

pergame35 pergame35
MP
Niveau 10
08 mai 2012 à 15:05:25

Hello tout le monde :noel:
Je poste la dernière partie du Nord
Le Nord (4e partie) Le fjord des secrets – Vinland
Yann était serein. Il allait tout droit vers le sceau après deux mois de recherches et d'exploration. Il avait affronté un volcan et un ours. Le froid du Nord, les vents, les petites privations l'avaient revigoré. Ses vielles blessures se refermaient enfin, que cela soit dans l'esprit ou dans le corps.
Le problème était maintenant d'arriver au Straumfjord, le village fondé par le frère de Leif. En fait suite à la rencontre avec Leif, Njàll et Yann avaient déduit que les Vikings ne pouvant pas coloniser l'Amérique à cause de leur petit nombre, ils avaient décidé d'en faire un sanctuaire pour l'artefact.
Le problème venait des Britanniques ; leur guerre avec les colons américains les rendaient nerveux. Ils avaient imaginé que lorsqu'ils arriveraient non loin du Labrador, ils s’arrêteraient, se signaleraient comme pêcheurs de phoque, qu'ils avaient chassés en abondance, et continueraient tranquillement vers la péninsule nord de Terre-Neuve. Hélas rien ne se passa pas comme prévu....
Un navire anglais patrouillait le long de la côte. Il les fit s’arrêter.
-Mister Le Brazh, dit-il avec son horrible accent anglais, vous êtes en règle mais il faut payer une taxe pour entrer dans les eaux de sa Majesté le Roi.
-Combien ?
-La moitié de votre cargaison de phoque.
-Mais c'est du vol ?!
-(Njàll fit un signe à Yann) Nous vous les livrons tout de suite.
-Vous êtes quelqu'un de raisonnable, Sir, pas comme votre subalterne...
Les hommes s'étaient rassemblés. Quand Njàll remonta le bras taché de sang, tous se ruèrent sur les marins anglais. Trop sûrs d'eux, ils se laissèrent surprendre. Le sang viking coulait toujours chez ces Scandinaves : ils coupaient, tranchaient, brisaient tout avec leurs haches. Yann lui enfonçait son cimeterre dans les rangs ennemis et brisaient les crânes avec une hache que les marins lui avaient offerts. Njàll tourbillonnait : il lançait des coup de feu avant de faire une roulade et d'utiliser son arme favorite, la dague ou sa lame secrète selon les occasions. Les tuniques rouges tombaient comme des mouches.
Bientôt le silence des batailles était sur le navire. Aucun assassin ne fut tué. Un fut blessé au bras, un autre à la cuisse mais c'était superficiel. Ils inspectèrent le navire.
-Belle ruse...fit Yann
-Quelle ruse ?
-Njàll, ce n'était pas des anglais au service de Sa Majesté. C'était des pirates qui avaient accumulés pas mal de richesses (désignant un coffre rempli de livres)
-Prends les pièces et laisse les autres marchandises. Faisons-leur des funérailles vikings Ils brûlèrent le navire pour effacer les traces. C'était une torche de lumière sur l'océan....
Ils allèrent ensuite à Terre-Neuve tranquillement, le navire qu'ils avaient brûlé ayant été déclaré traître et pirate par les autorités du Labrador. Ils ne risquaient rien : on les avait même récompensés pour avoir débarrassé ces eaux de cette vermine.
Le nord de la péninsule était encore sauvage, les colonies anglaises étant isolées. Yann savait où aller, l'artefact lui ayant gravé la route dans la mémoire. Ils débarquèrent dans une crique entouré de collines où apparaissaient encore quelques traces d'habitation.
-Voici ce qui reste de Stromfjord. Première trace d'habitation de l'Amérique.
Tous les marins observèrent une minute de silence solennelle en honneur de leurs ancêtres. Puis Njàll et Yann débarquèrent. Les habitations étaient recouvertes de terre et sans œil averti, on aurait pu les prendre pour de vulgaires collines. Ils allèrent au centre du village dans la maison principale. Une ruine, pleine de poussières. Les meubles avaient été rongés par les termites et la charpente ne tenait que par la volonté du seigneur. Ils fouillèrent la maison et ne trouvèrent rien. Le Groenland était plein d'indices mais ici les secrets n'étaient pas révélés.
-Njàll, tu peux me traduire cette inscription en runes. ( gravée sur la poutre principale )
-C'est du norrois :
« Les secrets ne se révèlent qu'à la lueur du soleil couchant »
-Génial une énigme !
-Attendons le coucher de soleil et nous verrons bien. C'est un vieux proverbe islandais. A une époque, la tradition voulait que les secrets se confient devant le soleil rouge pour apporter foi à la parole.
-Ouais..
Le crépuscule tombait. Les derniers rayons transperçaient l'air. Tout l'équipage s'était rassemblé et chacun scrutait un indice. Yann était resté dans la longère, ennuyé par ce nouveau contretemps. Le dernier rayon passa par la porte ouverte et mit en lumière une pierre mal ajustée dans le mur ; « Un passage ? » Yann se rapprocha du mur. Tout à coup, le sceau du Baronet Noir se mit à briller. La gravure du pirate était éclipsée par des lignes jaunes pleines d'énérgie comme sur les artefacts découverts lors du voyage. Yann le prit en main et crut entendre une sorte de plainte « Enfin ». Qu 'entendait Yann, une hallucination ? Une voix d'un autre temps ? Il n'arrivait plus à réfléchir... Tout se brouillait dans sa tête. Des voix multiples se faisaient entendre. Son bras se leva sans qu'il l'eut voulu. Il appuya sur la dalle. Puis le Noir....

Un navire de métal avançait sur l'océan en direction d'une ville bâtie sur l'eau. Des tours de métal et de verre s’élevaient hautes et fières. L'énergie circulait partout. Des hommes et des femmes avançaient dans ses rues heureux. On distinguait chez eux une intelligence hors du commun. En voyant le navire arriver, les habitants se retournèrent. « Il est revenu »

Yann n'était plus dans la longère. Il avançait dans une salle souterraine remplie de cette lumière sans flamme des artefacts. Devant lui se tenait, un homme comme ceux qu'ils avaient vu dans sa vision. En le voyant, Yann pensa immédiatement à ces hommes qui parcouraient la mer toute leur vie. Un loup de mer dans une tenue grecque ou romaine.
-Ainsi te voici, Yann. Sais-tu qui je suis ?
-Un dieu ?
-C'étaient ainsi que tes ancêtres nous désignaient. Des dieux.. Comme si la mortalité ne nous atteignait pas... On m'appelait Poséidon, Neptune ou encore Njörd. Mais ce temps est loin et je ne peux pas te parler longtemps. Sache que tu es sur une bonne voie. Il reste 4 sceaux. 3 sont cachés. Un est entre les mains de tes ennemis. Le sceau est derrière. Prends-le et trouve le trésor des Atlantes.
L'apparition disparut laissant Yann seul devant le sceau de Njörd. Il le prit. Avoir les deux sceaux dans les mains lui donnaient des idées à profusion. Des plans de bateaux, de nouveaux matériaux, des routes maritimes....

-Yann, ça va ?
-Njàll ?! Où suis-je ?
-Sur le navire. On t'a trouvé dans la longère tenant fermement les deux sceaux. Ils brillaient et quand on les a retirés tes mains étaient brûlées.
-Njàll, je..je me souviens d'avoir vu le dieu de la Mer.
-Tu te fous de moi !
-(Yann lui raconta) Ces sceaux sont trop dangereux. Je tiens à ce que tu gardes celui de Njörd. Tu m'accompagneras à l'Atlantide.
-Tu n'es pas sérieux.
-Plus que jamais, dit Yann, avec un regard déterminé.
-Après ce que l'on a vécu ensemble, je t'accompagnerais au bout du monde.
-Merci, mon ami

NpB-Asgardien NpB-Asgardien
MP
Niveau 7
08 mai 2012 à 15:10:13

Pergamme je te co se soir si sa te dérange pas , je doit y aller ... :pf: désolé

pergame35 pergame35
MP
Niveau 10
08 mai 2012 à 15:11:41

ok pas grave :pf:

Ludovico_Orsi Ludovico_Orsi
MP
Niveau 10
08 mai 2012 à 15:20:49

Des :d) T était un des apprentis de Lens. Paix à son âme :ange:

Bilbo :d) GG pour cette auto congratulation :hap:

Lens :d) T'es méchant ils se suicides pas tous. Actinelzz c'est enfui pendant la nuit :hap:

Jet :d) Pourquoi on a pas fêté ta promotion :fete:

[Laflamme] [Laflamme]
MP
Niveau 10
08 mai 2012 à 15:31:31

http://wiki.jvflux.com/linkc
D'après Linkc j'aurais fait renaître le jeu :content:

[linkc] [linkc]
MP
Niveau 10
08 mai 2012 à 16:26:07

C'est parce que t'es mon maitre que j'ai mis ça :noel:
nan mais faut avoué que tu as participé a son renouveau :pf:

Deslimbes Deslimbes
MP
Niveau 5
08 mai 2012 à 16:36:04

Donnant donnant : Deuxième partie

Une heure plus tard, Saint Augustine, Floride, 1781 :

Le village était enfin en vue. Durant le reste du voyage, Henri n'avait rencontré personne d'autre sur la route. Il va devoir trouver le « dirigeant » de la ville, puis le convaincre qu'il est ici pour les aider et pour terminer, les faire rejoindre la confrérie... Autant dire que ça ne va pas être facile.
Deux personnes se trouvent à l'entrée du village. Tout deux portaient un fusil de chasse et une tenue de fermier. Lorsqu'ils virent le capitaine Deslimbes, ils le mirent en joue.
-Toi, là ! Pas un pas de plus ! Et décent de ton cheval. Dis le plus vieux des deux miliciens.
-Ecoutez, je ne vous veux aucun mal. Je suis ici pour aider. Répondit alors Henri en descendant de son cheval.
-Ouai, ouai, on sait. Tes amis nous ont déjà parlé. Et nous, on a déjà dit que la prochaine fois que vous viendrez, vous finirez troué comme un manteau rempli de mites.
Sur ce, le paysan tira, Henri eu seulement le temps de se jeter sur le côté. Apparemment, il n'était pas blessé, le paysan avait raté. Il reprit la parole d'une voix qu'il voulait la plus calme possible.
-Ceux qui vous attaquent sont des templiers. Leur objectif est de contrôler le monde, en tout cas c'est ce que j'ai compris. Pour cela, ils ont besoin d'argent et votre village est construit non loin de quelques gisements de minerai. Ils viendront ici jusqu'au moment où vous cèderez et serez totalement sous leur contrôle. Moi, je suis un assassin, je m'oppose à ces gens là, alors je viens vous aider. Vous voyez, je suis sincère, alors arrentez d'essayer de me tuer je vous prie.
Les deux villageois regardèrent Henri bouche bée. Après quelques secondes, le plus vieux repris la parole.
-Jack, vas chercher Alise, dit lui qu'on a un problème. Moi je le tiens en joue.
-Ok Maury.
Il partit en courant pour rejoindre la maison qui semblait la moins miteuse du village. Aucun des deux personnages restant ne parlèrent et les quelques minutes d'attente passèrent pour une éternité.Puis, le jeune villageois sortit, accompagné d'une femme d'une vingtaine d'années. Une fois arrivée, elle s'adressa au plus vieux des deux villageois.
-Qu'est-ce qu'il y a Maury ? Encore un de ces brigands ? Je t'avais pourtant dit de les tuer la prochaine fois qu'ils venaient...
-Je sais Alise, mais lui, il est pas comme les autres. Je crois qu'il peut nous aider.
-On va bien voir ça. Toi, qui es-tu ? Et que fais-tu ici ?
Henri ne répondit pas tout de suite. Il contemplait la femme devant lui. Elle était plutôt mignonne, bien proportionné, un regard intelligent, même si ses habits ressemblaient à ceux de ses deux acolytes.
-Hé, je te parle l’étranger ! Répond, ou bien je te tue moi-même.
-Capitaine Deslimbes, je suis venu pour vous aider.
-Capitaine ? Quelle blague, depuis quand un capitaine se déplace à cheval ? Si vous nous mentez la-dessus, je ne vois pas pourquoi vous nous diriez la vérité sur l’aide que vous voulez nous apporter.
-Il y a une trentaine d’hommes non loin, tous armé et entrainé. Ils vont venir cette nuit pour vous massacrer et ce n’est pas avec vos petits fusils de chasse et votre expérience au combat que vous allez les repousser.
-Et vous allez nous aider « capitaine » ? Comment et Pourquoi ?
-J’ai déjà commandé une frégate de 12 et un équipage de plus de deux cents marins, alors je pense être en mesure d’aider. Quant à la raison de mes actes, elle ne regarde que moi. Mais si vous voulez vraiment le savoir, je l’ai déjà dis à votre larbin.
Alise regarda en direction de ses confrères, puis repris la parole.
-Très bien, si vous dites vrai, je n'ai rien à perdre à vous garder, mais attention, je vous surveille. Au moindre faux pas, on vous exécute.
Après un bref silence, elle reprit.
-Venez donc chez moi et expliquez votre plan.
Henri et Alise partirent, laissant les deux autres villageois seul. Une fois entrée dans la petite maison, Henri exposa son plan.
-Ils ne savent pas que vous avez des fusils et ils pensent que vous ne vous doutez même pas de l'attaque. De plus, vous connaissez le terrain, eux non. Tous ces facteurs jouent dans votre avantage. Vous devriez éviter le corps à corps, ces gens-là sont plutôt doués avec leur épée. Je vous conseille de laisser des hommes aux fenêtres des maisons tendis que les plus coriaces se postes aux portes. A mon signal, tirez, puis je sortirais avec les hommes posté aux portes. Si nous avons de la chance, cela les déstabilisera assez pour qu'on puisse prendre l'avantage et les faire fuir.
Toute la journée, le village se prépara à l’attaque. Au final, Henri avait rassemblé une quinzaine de fusillés et une vingtaine d’hommes d’arme. Alors que le soir tombait, les troupes levées à la hâte se mirent en place et attendirent.
Le soir fit place à la nuit, puis des bruits de pas se firent entendre. Comme prévu, les templiers entrèrent dans le village sans ne se douter de rien, pensant que tous les villageois dormaient. Malheureusement, ils étaient une quarantaine et, à en juger la tenue de celui qui donnait des ordres aux templiers, il devait être au moins capitaine. Lorsque les templiers arrivèrent au centre du village et commencèrent à se séparer afin d’entrer dans les maisons pour assassiner les habitants, Henri donna le signal. Les fusillés cachés dans la même maison que lui firent feu, puis tous les autres firent de même. Au son des fusils, les hommes d’armes sortirent des maisons en poussant de grands cris de guerre.
Le plan d'Henri avait très bien fonctionné. Comme prévu, les templiers ne réussirent pas à s'organiser et la première salve des fusillés avait permis aux miliciens de prendre l'avantage. Au bout de quelques minutes seulement, les premiers groupes de templiers commencèrent à s'enfuir, puis encore quelques minutes après, ce fut la moitié des survivants partirent en courants. A la vu de son échec total, le capitaine pris ses jambes à son coup, et partit en direction de la jungle. Alors que les villageois criaient à la victoire, Henri se lança à la poursuite du capitaine tout en s'exclamant :
-Il ne doit pas s'échapper ! Il pourrait regrouper les autres et ré-attaquer !
La poursuite dura seulement cinq minutes. Dès le moment où le capitaine avait remarqué qu'une seule personne le poursuivait, il s'était retourné, arme dégainé, près au combat. Henri sortit son coutelas. Henri chargea son adversaire, qui para sans mal l'attaque. Les deux bretteurs échangèrent encore quelques passes d'arme, puis, d'un coup précis, le capitaine des templiers désarma Henri tout en lui donnant un coup de pied dans la rotule assez puissant pour le mettre à terre.
Henri était désormais désarmé, agenouillé devant un templier. Ce dernier brandi son arme, Henri ferma les yeux, il ne voulait pas voir sa mort arrivée, il avait bien trop peur. La lame du templier commença à descendre et…
…Klung. Dans un réflexe de survit, Henri avait paré l’attaque grâce à se lame secrète. Un court instant, le templier resta tétanisé, ce qui permit à Henri d’enfoncer sa lame dans le ventre du templier.
Avec ses dernières forces, le templier attrapa la chemise d’Henri, le rapprocha de sa bouche et lui murmura :
-Tu n’a pas… La moindre idée… de ce que tu viens de faire.
Puis Henri enfonça sa lame dans le cœur du templier pour le faire taire à jamais.
Il repartit en direction du village. Lorsqu’il arriva, Alise lui adressa la parole.
-Vous aviez raisons capitaine Deslimbes, nous n’aurions jamais réussi seul. 23 templiers morts contre 6 morts et 5 blessés de notre côté. On est largement gagnant.
-Je vois ça, mais ce n’est pas terminé. Ils reviendront, ces personnes n’abandonnent jamais. Rejoignez les assassins et soyez assuré que nous vous défendront jusqu'à la mort. Restez seul et je vous assure que votre fin arrivera plus vite que vous ne l’imaginez.
Alise réfléchit un peu avant de répondre.
-Vous avez raisons, nous ne pouvons rester seul, j’accepte votre offre.

N'hésitez pas à commenter, si je lis que les commentaire de mon correcteur, je risque la dépression à ce qu'il parait.

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