La vision de l'aigle ne s'obtient pas automatiquement après quelques mois d'entrainement?

Pour le moment , je crois qu'aucun de nos assassins ne la posséde

As Bon au moins j'avais raison sur Marvel.

Lens Dsl pour l'orthographe mais j'ai rien mangé de la journée (ou plutôt j'ai tout rendu) alors franchement j'ai du mal avec l'ortho j'ai faillis faire un malaise devant mes potes. Je souhaite un bonne appétit à tout ce qui lisent ça avant d'aller manger .

nico La vision d'aigle n'est pas seulement un "pouvoir" c'est hériter des CQELA. Donc non personne ne la ou sinon je vous jure que je le prend en élève et je le traumatise.

Tiens je vais mettre la vision d'aigle à mon Assassin

• sort le sécateur* vien flammi

Au pire on s'en fou t'écrit presque jamais.

ludo : quel bon argument
Un de mes personnages l'aura , dans mes futures anecdotes

DDB contre Lens

Voici Ma mission:

Bonne Lecture :

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[Egypte : 1783]

• Mon père vint me réveiller. C’était le matin. D’ailleurs tous les domestiques dormaient encore. Il me prépara lui-même mon petit déjeuner. Il profita de mon occupation pour s’exprimer.

- Ecoute Selim, Je vais devoir partir dans un endroit lointain pendant un certain temps !
- Mais Père, Je veux que tu restes avec moi. Dis-je les larmes aux yeux.
- Je suis désolé mais je dois régler des choses importantes là-bas. Et puis le temps passera vite tu verras. N’oublie pas que tu descends du Grand Saif al din Qutuz. Sois fort mon Fils.
- D’accord Père ! Je le serais …. *

[Egypte : 1798]
-Selim, Réveille-toi ! Le Maître t’appelle.
Quelqu’un vint interrompre mon rêve. Je me redressai lentement et lui fit signe de la tête. <<J’arrive>> murmurai-je difficilement. Je me changeai et parti rejoindre Hassan dans sa tente. Il y a cinq ans, il me révéla que lui et ma famille étaient des assassins. Je dus partir m’entraîner pendant cinq longues années dans les collines. Mon entraînement n’est pas encore terminé mais le débarquement Français nous obligea à revenir défendre notre Pays. Maintenant, Il chef de tous les assassins d’Egypte et il a ouvertement déclaré la guerre aux français.
-Bonjour Qutuz ! Dit-il en me voyant rentrer.
Je le saluai de la tête est m’assis sur un coussin en attendant qu’il prenne la parole. Il m’observa un long moment.
-Comme tu le sais, commença-t-il, cela fait maintenant deux mois que nous sommes rentrés en guerre face aux français, j’hochai la tête et l’invita à continuer. Mais une chose me préoccupe, reprit-il.
-Laquelle ?
-Les Templiers ! Cela fait longtemps que la guerre a commencé et leur inactivité m’intrigue. De plus, plusieurs gens racontent que des choses bizarres se passent dans le campement français du Capitaine François. Je veux que tu ailles vérifier.
-Oui Maître !
Je sortis de la tente et allai me préparer. En une heure, je partais déjà pour le camp français. Je voyageai léger pour ne pas me faire repérer. Cette fois-ci, je ne pris ni l’armure de mon père ni ses lourdes armes. Je portais une cape, de couleur de sable, qui me couvrait tout le corps, mon arc et ma lame secrète.
Arrivé là-bas, je constatai que l’entrée était gardée par seulement deux soldats. Le premier faisait les cent pas devant la porte tandis que le deuxième était vers une sorte de charrette où étaient posés les morts. Je Bandai l’arc, visai et lâcha la corde. La flèche alla se réfugier dans la poitrine du soldat qui bascula dans la charrette. Le deuxième, ne voyant plus son compatriote, décida d’aller vérifier. Mais lorsqu’il se rendit compte que j’avais tué son compagnon, c’était déjà trop tard. Une autre flèche le transperça et lui aussi, à son tour, bascula dans la charrette. Je m’approchai des cadavres, les recouvrit de ma cape et pris leurs habits. Heureusement, personne ne m’avait vu. Je pu alors rentrer sans problème, déguiser en soldat français. Dans le camp, je questionnai un esclave après l’autre. Tous me parlaient ‘’d’hommes en noirs ‘’ qui les emmenaient creusé pendant toute la nuit dans des endroits près des pyramides. J’en déduis que leur maltraitance les a rendu fous. J’allai alors quitter le camp mais un de ces ‘’homme en noir ‘’ pénétra dans la tente du capitaine. Je réussis à me cacher dans une charrette de foins près de la tente. Les quelques mots que je pus percevoir me faisaient encore froid dans le dos lorsque je quittai le campement. Cette phrase résonne encore dans ma tête :
Dîtes à votre Napoléon que nous savons où se trouve L’artefact. Nous sommes prêts à gouverner le monde…

En parlant de Marvel, je viens de voir Avengers au cinéma.

C'est un bon film si tu cherches pas trop à réfléchir. Ca bouge, c'est drôle, et puis y'a Hulk Si y'a Hulk ça ne peut être qu'un bon film. Si en plus on mets Iron Man...

Je l'ai vu aussi avec une amie
un oposant à Napoleonch \ /

J'ai pas compris ton post Lens. Moi j'ai vu Thor ce matin. Vachement bien fait mais un scénario relativement simpliste

Bah j'ai aussi vu Avengers

Et l'autre auto lutte contre Napoléonch

Entre Iron Man, Hulk, Thor et Captain America, c'est Thor qui m'a le moins plu ( le film ). Mais le personnage Thor je l'adore

Moi aussi , il est classe dans avengers
Surtout quand il rencontre iron man

Moi Captain America j'ai pas aimé. J'ai pas encore vu Avenger donc je peux pas le juger.

Ps: On peut me noter sur ma mission s.v.p ?

Nan mais faut voir tous les films que j'ai cité avant Avengers sinon y'a des références qu'on peut pas comprendre ( notemment pour Thor, Captain America et éventuellement Iron Man )
Mais bon, Iron Man et Hulk > All

Tain, je m'absente un jour et j'ai quinze page à lire

Charleston, 1781 :

Henri aperçu enfin Charleston après son long et harassant voyage. Il était temps, car Henri à toujours détesté les voyages à chevale. Ces maudites bêtes puent et font vraiment trop de bruit, contrairement à son bien aimé bateau. Bon, aller à la taverne semble le chois le plus judicieux. En plus, un peu de vin ne lui ferait pas de mal…

Après avoir déposé son cheval à l’écurie, Henri entra dans la taverne. L’odeur d’alcool mélangé à la sueur d’hommes le remit d’aplomb. Il parti s’adresser au tavernier.
« -Tavernier, une bouteille de vin !
-Très bien, il vous faut autre chose ? » Lui répondit le tavernier en débouchant une bouteille.
«- Oui, aurais-tu des informations sur un prêtre qui mènerait une sorte d’inquisition dans cette ville ?
-Ah, vous voulez sans doute parler du père Ryto ? Vous y allez un peut fort en parlant d’inquisition, mais bon il faut avouer que ses sermons n’aide pas beaucoup les affaires. Et puis, il est lié à des histoires d’assassinat à ce qu’il parait….
-Oui, j’en ai entendu parler. J’aimerais entendre moi même un de ses sermon, où est son église ?
-Prenez à gauche en sortant, puis c’est tout droit, mais dépêche vous il va faire un sermon d’ici une demi heure.
-Très bien, merci, voila pour toi » Finit par dire Henri en donnant quelques pièces au tavernier.
Il se versa un verre de vin, pris une gorgé et fit une drôle de moue. C’était vraiment un mauvais vin, ce qu’il ne supportait pas. Il sortit donc sans même finir son verre et se dirigea vers l’église.

Le sermon lui parut vraiment long, il crut s’endormir, mais lorsqu’il fut enfin finit, Henri attendit dans un coin que tout le monde sorte. Un fois seul avec le prêtre, il l’interpela.
« -Mon père, je pense que certains de vos actes ne sont pas des plus malin…
-Que voulez-vous dire par la ?
-Allons, je sais très bien que vous voyez ce que je veux dire.
-Qui êtes vous ? Partez, ou j’appel la garde ! »
Sur ces mots, Henri dégaina son pistolet et le pointa sur la tète du prêtre.
« -Si j’étais vous, j’éviterais. »
Un petit coup de bluff (depuis son naufrage, le pistolet d’Henri ne fonctionne plus), éperons que cela marche.
« -Que voulez-vous de moi ? Demanda alors le prêtre tendit que quelques gouttes de sueurs commençaient à couler sur son front.
-Vous savez, bruler des maisons de passe et assassiner ses travailleuses n’est pas forcément une bonne idée… Surtout que désormais, vous avez fâché les mauvaises personnes. Je suis sûr que votre mort les arrangerait, mais je suis d’humeur magnanime. Vous allez simplement me suivre jusqu’à l’écurie. Vous prendrez un cheval avec moi, puis nous sortirons au pas de la ville. Une heure après, je vous attacherais puis nous partirons pour une journée de chevauché. Puis je vous laisserais au milieu de nulle part et tout dépendras de vous ensuite. Mais attention, au moindre faut pas, vous vous retrouverez avec une balle à la place de l’œil droit. »

Sur ce, le prêtre sortit de son église accompagner du capitaine désormais sans navire. Tout ce passa comme il l’avait dit, puis, après 12 heures de chevauché, Henri laissa le prêtre seul, sans provisions ni cheval. Même si ce prêtre survit, il doute qu’il recommencera de sitôt. Lorsqu’il fut assez éloigné de sa victime, Henri repris la route du repaire des assassins pour annoncer sa réussite.

Musique : http://www.youtube.com/watch?v=pcPeWc751qA&amp;feature=related

[Autriche , 1805]
-Une flèche ….
Lucas observa un moment les soldats qui traversaient la forêt . Il vit les soldats autrichiens prendre une couleur rouge sang puis vit une sorte de ligne argentée menant vers le torse de l'officier les dirigeant . Il banda son arc , visa pendant quelques secondes en suivant le fil argenté , et décocha une flèche qui se planta dans le corps dans le ventre de l'officier autrichien . De nombreux soldats français ouvrirent le feu sur le bataillon d'Autriche qui tenta difficilement de s'organiser mais sans pouvoir rien faire d'autre que de libérer quelques salves de panique avant de tenter de s'enfuir .
-Et voilà , commenta Lucas .
Un cavalier arriva au galop et regarda les soldats français récupérer les bottes et les balles des soldats prussiens .
-Et bien , commandant , je vois que vous avez encore fait du bon travail .
-Je ne fais que servir mon empereur .
-À vôtre âge , certains se marient pour éviter ce genre de choses . Vous devez être des plus jeunes à atteindre un tel grade ….
-Il en est un qui avec seulement un an de plus que moi était déjà général en Amérique ….
-Dimitri Lenski , n'est-ce pas ?
Le cavalier mit pied à terre .
-Quel dommage qu'il soit resté fidèle au roi …. J'ai combattu à ses côtés et je dois avouer qu'il aurait amplement mérité un titre de maréchal d'empire ….
-Vous veniez me donner un ordre ?
-Oui . Une bataille dans deux jours . Nous aurons besoin de toutes les forces disséminées dans le pays .
-J'y serai , répondit Lucas .

[Austerlitz , 1805]
-Voltigeurs , avec moi !
Lucas et ses hommes , obéissant aux ordres de Joseph Bonaparte , se lancèrent à la poursuite de l'élite de l'armée russe . Étonnement , l'élite de l'armée russe avait tourné les talons trop rapidement . Pour Lucas , cela était à mettre sur le compte d'un mauvais commandement et d'une trop grande fatigue à cause de leur déplacement . L'assassin impérial banda son arc , vit de nouveau ses ennemis apparaître en rouge sang et ses amis en bleu brillant . Il décocha une flèche qui fusa en frôlant les corps de ses hommes mais qui parvint cependant à toucher un garde .
-À la victoire ! Même la garde de Siemenovski recule devant vous !
Les officiers comme Lucas haranguaient leurs troupes pour repousser l'élite de l'armée russe , véritable menace entre toutes . Ils poursuivirent les troupes russes pendant un moment qui leur parut long mais soudain , Lucas et quelques officiers virent un spectacle qui leur glaça le sang . Dix escadrons de cavalerie lourde arrivaient au triple galop .
-Carré ! Vite !
Les hommes n'eurent pas le temps de se mettre en position et le choc fut terrible . Les voltigeurs étaient bien trop légers pour résister à une telle attaque . Dans la mêlée , Lucas vit même l'aigle du régiment tomber entre les mains des russes avant l'arrivée de la cavalerie française . L'assassin français abandonna son arc et prit un fusil à baïonnette pour affronter quelques soldats russes encore dans la mêlée .
-Lucas !
Il se retourna et vit des hussards provenant visiblement du cinquième de hussard de Pavlograd arriver au galop .
-Je m'occupe de l'officier .
Lucas prit son arc , visa le cheval qui semblait porter le commandant et abattit la monture d'un tir dans la tête . Son cavalier roula sur le sol avant de se relever d'un bond tout en dégainant son sabre et en affrontant plusieurs soldats français . Lucas dégaina à son tour son sabre et tenta de s'approcher de l'officier à cheval qui perdit son couvre-chef , révélant une longue chevelure . L'assassin fut surpris de voir une femme commander à un groupe de cavalier mais cela ne modifia en rien sa motivation . Il vit soudain un des gardes de Siemenovski éliminer un mamelouk à l'aide d'un coup d'épée trop bien placé pour qu'un simple soldat ait pu le faire . Un autre mamelouk arriva pour venger son camarade et trancha le bras du garde . La femme prit alors un fusil à baïonnette et l'enfonça dans le torse du mamelouk avant de lui voler son cheval .
-Mon bras ! Mon bras !
-Fermes-là , Alexander ! Tu ne peux pas mourir ici .
Lucas tenta de s'interposer mais en voulant les empêcher de partir il ne reçut qu'un coup de sabre dans le dos de la part d'un adversaire inconnu . Tout lui sembla rapidement devenir flou avant de perdre connaissance .

Lorsqu'il rouvrit les yeux , il se rendit compte que des voltigeurs étaient en train de le tirer . Il se secoua pour montrer qu'il était encore en vie . Il y eut des exclamations de joie autour de lui .
-Qui …. A gagné ? Demanda Lucas .
-Ils ont fuit ! C'est une victoire !
Il fut emmené à la tente des médecins où il fut recousu de façon très rapide .

Quelqu'un peut noter ma mission s.v.p ?