Merci CTM!!

Et Sam, je préfere aussi l'obscurité, mais parce qu'elle me permet de dormir.

Perso je m y sens plus dans mon element, je vois bien dans le noir et ca me permet a moi de me cacher...

Oh le vampire

Pareil, sauf que moi la lumière ça brille, donc ça me saoule...

On est tous mieux dzns le noir, car il est synonyme de tranquilité.

Pareil, je suis, un... Loup-Garou !

Je me rends compte que j'ai fait le 666eme post

GG.

Tu es maudit Math !!!

Nous aimons tous nous cacher dans le noir car nous sommes des Pedobears

TU es un pedobear, sale pervers !

j'aime bien

Bah, y'a qu'a faire avec !

T'aimes bien quoi Dragon?

Ginokami, le topic n'est pas lock. (Ce message en est la preuve! )

Chapitre 19: Retour au Havre ou Comment retrouver une vieille connaissance, mais pas celle qu'on pensait.
Lieu: Prison du Havre, Nord de la France.
Année: 2044.
Personnage: Angel.

Trois camions, douze motos, et un hélicoptère d'attaque. C'est exactement le nombre de véhicule qu'il fallait pour transporter UN prisonnier. Ce prisonnier, c'était moi. Avais-je droit à un traitement de faveur? Certainement. Mais en cet instant, mes pensées étaient toutes dirigées vers elle. Je m'immaginais des scénarios de fuite digne des meilleurs films d'action, mais je devais me résoudre, ça n'arrivera pas. Le plus dur sera surement d'être proche d'elle sans pouvoir l'atteindre, ni la sentir, ni la voir.

Le camion dans lequel je me trouvais, s'arrêta, redémarra, puis s'arrêta de nouveau. La lumière toucha ma peau pour la première fois depuis des semaines quant on vint me chercher. On me sortis, et je vis que j'étais dans la cour de la prison, devant le batiment principal. On m'enleva mes chaines. Je me dirigeai seul vers la porte, sans esquisser un seul geste belliqueux. Je savais très bien que les hautes murailles étaient remplies de soldats qui n'attendaient qu'un geste suspect pour m'abattre. Je pénetrai dans le batiment, et je fut bien accueilli. Il s'était déplacé personnelement pour moi, c'était très attentionné... Il se trouvait sur une chaise en plein milieu du hall, et il me dévisageait, alors qu'un rictus s'affichait sur son visage. Commander, notre tendre dictateur me faisait face, et dans son dos, une quinzaine de soldats.

-"Nos chemins se croisent de nouveau Angel.

-Vous allez faire de moi un monstre pour de bon?

-Je n'en ai plus besoin...

-C'est à dire?

-Tu es déja un monstre."

Je serrai les poings de toute mes forces. Ma colère dut se faire sentir, car tout les gardes présent braquèrent leurs armes sur moi. La bête reprenait le dessus, et j'étais prêt à lui laisser.

-"Ça ne servirait à rien, une vingtaine de filets éléctrisés s'abatteraient sur toi en moins d'une demi-seconde."

Ça remarque me refroidit, et son sourire s'agrandit, dévoilant des canines pointus.

-"Je ne peux décement te laisser en vie après ce que tu as accompli il y a quelques jours.

-...

-Les nouvelles vont vite, tu es devenu un symbole pour le peuple, et je me dois de briser ce symbole.

-Le contraire m'aurait étonné. Répondis-je en serrant les dents.

-Mais je ne suis pas un monstre, et selon la loi que j'ai moi même imposé, j'attendrais que tu atteigne la majorité.

-C'est gentil de votre part. Ironisais-je.

-Et je suis même prêt à faire un geste, tu mourras avec elle."

Je me jetai sur lui, et fut immobilisé par une dizaine de gardes avant d'avoir pu faire deux pas. Quant à lui, il n'avait pas bougé, ni cligné des yeux, et son sourir arrogant se dessinait toujours sur son visage.

-"Bon, mettez le dans la cellule du batiment un."

Je fus enmené de force, non sans lancer un regard noir à mon ennemi qui en retour elargit encore son sourir. On me réenchaina, et on me traina jusqu'au batiment un. Je constatai avec étonnement, et effroi qu'il était bien différend de ceux que j'avais vu durant ma première visite. C'était un immense hangar, et au milieu se trouvait une cellule entièrement en verre qui montait jusqu'au plafond. Une centaine de garde se trouvaient dans le batiment, autrement dit, la fuite ne traverse même plus l'esprit d'un prisonnier ici. On me plaçait dans ma cellule, 100% verre, 0% intimité. Elle contenait un lit à armature en verre, et un lavabo en verre, ainsi que des toilettes...en verre pour changer. Un verre blindé, et ultrarésistant bien sur, ici, la demi-mesure n'existe pas.

Durant plusieurs jours, je découvrit les plaisirs de mon nouvel habitat. Être surveillé vingt-quatres heures sur vingt-quatre, et manger de la nourriture abject était mon lot pour encore bien longtemps, et pourtant, au bout de deux jours, je n'en pouvais déja plus.

Le troisième jour, il devait être au environ de midi quand on m'apporta une purée de pomme de terre.

-"Enfin de la nourriture. Ironisais-je.

- C'est que l'on tient à te garder en vie. Du moins, pour l'instant! Rétorqua l'homme."

Il se retira en gloussant sur sa blague qui de son point de vue, avait l'ait très drôle. Quant à moi j'attaquai mon plat qui pour une fois avait du goût. Je savourais chaque bouchées, et, dans le fond de l'assiette, je découvrit un petit papier sur lequel était griffoné quelques mots à la mine de plomb. Je l'avalai avec une cuillière de purée.

Ce repas m'avait fait du bien, le message que j'avais trouvé aussi:

"On ne t'a pas oublié."

continues

Daccord.

M-M-M-M-M-M-M-MONSTER BIDE !!

Oh yeah, va libérer la donzelles