Babyrella, la grande soeur de Barbierella !
http://img54.imageshack.us/img54/3517/babyrella12rh.jpg
http://img119.imageshack.us/img119/1345/babyrella27li.jpg
c´est pas la grande soeur de barbierella c´est une des femmes desesperees au foyer avant bien avant le mariage ... c´est moi pour Ouse avant les resultats de lutece ..
t´en a pas une qui ressemblerait style les contes de la crypte ?
Désolé, je donne pas dans le glauque !
Les femmes, c´est fait pour être féeriques ! Je parle évidemment d´un tout, la personnalité prédominant. Mais bon, comme disait le Dalai Lama quand on lui avait posé la question : "La nouvelle incarnation de Bouddha peut être une femme, si Bouddha le juge utile, mais j´espère qu´elle sera agréable à regarder."
J´ai la suite, je posterai sur la nouvelle page.
Ouais! Vivement la nouvelle page, faut faire exploser le compteur
ah oui je vois pourquoi ta question Ourse ...
http://img435.imageshack.us/img435/408/c014070kvx5dg.jpg en principe on devrait voir l´image en cliquant .. enfin j´espere ...
oui chez moi ça fonctionne le laisse Ourse mettre le commentaire
C´est quand le changement de page pour qu´on puisse lire la suite
C´est maintenant !! !!!
Episode 21.
Finefleur ouvrit les yeux, regarda autour d’elle et reconnut la chambre du Louxor.
— C’était qu’un rêve ! Merci Seigneur !
Elle entendit la télé au salon et se leva d’un bond.
J’étais vautré sur le canapé en train de mater « 2001 l’odyssée de l’espace ». Ralph somnolait à mes pieds.
— Blue ! s’écria Finefleur. Tu peux pas savoir combien je suis heureuse de te voir.
Elle se précipita sur moi et me renversa sur le canapé.
Quand Fuchsia déboula dans le salon.
— Fifi ! Arrête ! Fifi !
— Ben quoi ? qu’elle demanda, à califourchon sur moi. On pourrait avoir un peu d’intimité ?
— Fifi ! Réveille-toi !
L’image du salon se brouilla et s’effaça.
Et Finefleur se réveilla, allongée sur la couchette de la cabine.
Fuchsia se tenait assise à côté d’elle.
— Tu t’es évanouie, tu te rappelles, quand t’as vu Ralph parler ?
— C’est pas vrai, je suis dans l’espace.
Elle raconta son rêve.
— Ecoute, Fifi, si tu veux pas continuer le jeu on arrête là. On n’est pas obligé, et on retourne sur Terre, comme ça tu retrouveras Blue.
— Tu parles ! Apparemment il n’a pas du tout envie d’arrêter, sinon il me l’aurait dit avant. Il est bien trop hypnotisé par cette Barbierella.
— Tu te fais des idées. Blue t’aime trop. Seulement il joue le jeu, c’est tout. Tu le connais, tout ce qui est nouveau le fascine. Alors là, dans l’espace, t’imagines le trip qu’il peut prendre ?
— Oui, j’imagine très bien.
— Meuh non, arrête, il s’intéresse pas aux gamines.
— Elle est loin d’être une gamine. Alors explique-moi pourquoi il voulait pas que je la voie ?
— Il voulait pas que tu te fasses des idées c’est tout.
— Et là, je m’en fais pas, des idées ? Il a tout fait pour me la cacher. Je suis sûr qu’il en pince pour elle. T’as vu, elle est plus jeune que moi, elle est super canon, et en plus elle est vachement intelligente.
— Tu parles ! Si ça se trouve, elle sait même pas cuire un œuf au plat.
— Moi non plus. J’arrête pas de les faire cramer. Et c’est quoi, le programme de nouveau ?
Fuchsia se leva et prit le dépliant sur l’étagère au-dessus de la couchette.
— On doit d’abord apprendre à piloter un jet pour la course.
Finefleur bondit sur ses pieds. Ses yeux lancèrent des éclairs.
— Ça va pas se passer comme ça. Je vais le jouer, moi, ce jeu, et je vais lui montrer que je suis la meilleure. Même si l’autre petite pétasse est une surdouée. Elle va morfler.
— Bravo ! s’exclama Fuchsia. C’est comme ça que je t’adore !
Les mains crispées sur le manche, Mélusine s’engagea à vitesse réduite dans le champ d’astéroïdes.
— Si tu crois que tu vas m’échapper au milieu de ces caillasses.
La voix de Reekoo chanta soudain dans les enceintes.
— Salut Mélu, tu peux toujours courir pour m’attraper.
— Espèce de petit voyou, cracha-t-elle dans le micro, attends un peu, tu vas déguster.
— Hi hi hi ! Personne ne peut emprisonner Reekoo le magnifique. Je connais tous les codes pour ouvrir n’importe quoi.
— Grrrrr ! Sale petit crapaud !
— Je voulais que tu me voies t’échapper. Salut et à plus !
Reekoo appuya avec le bout de sa langue sur la 35e molaire supérieure à droite près de la 4e glande salivaire.
Un vortex s’ouvrit, l’aspira et se referma.
Mélusine balança un coup de poing rageur sur le tableau de bord.
Tandis que Ralph copulait une nouvelle fois avec Foufounette, la langue gerbant mouilleuse hors de la gueule.
Après un parcours dans un long tube composé d’énergie pulsante, Reekoo déboucha dans sa base secrète sur sa mini planète artificielle d’un kilomètre de diamètre construite en kit avec les 1235 numéros du magazine Pif Sidéral.
Des jeux vidéo flashaient en permanence sur des écrans géants. Campés devant, des robots en formes de Pikachus, avec des consoles dans les pattes, jouaient non-stop en notant toutes les manipes et les astuces.
Reekoo se précipita dans sa chambre décorée avec les posters de Lara Croft sans son débardeur, Claire Redfield avec un zombie qui arrache son petit short, et quelques autres héroïnes dans des situations pour les moins insolites.
Il ouvrit un panneau coulissant dans un mur circulaire, et sortit sa super tenue de warrior gamer avec les ailerons sur un casque en or surmonté de deux antennes super télescopiques, une ceinture multi gadgets et des turbo réacteurs intégrés aux bottes.
Il l’enfila en un tour de main, s’admira dans une glace et envoya, les yeux brillants, les poings serrés :
— Fufu, j’arrive ! Nous gagnerons ensemble le grand jeu galactique !
C’était pas si diff que ça de piloter une navette. Pour aller à droite, tu tournes à droite, pour aller à gauche, tu tournes à gauche.
J’imagine que Fifi avait la rage aux lolos et devait psychoter grave. D’accord, j’aurais pu refuser le jeu. Aucun humain contacté n’est obligé d’y participer. Mais le plaisir de découvrir l’espace, les étoiles, d’autres horizons lointains au-delà de notre réalité, l’aventure, l’inconnu.
Hein, quoi ? Qui ? Barbierella ? Non, pas spécialement. Ç’aurait pu être un robot avec une tronche de lessiveuse.
— Coucou, Blue !
Je me retournai.
Barbierella se tenait debout dans le poste de pilotage. Son corps fin et délicat moulé dans une combinaison rose ultra fine décolletée en V !
— C’est ma nouvelle tenue de pilote. Je l’ai spécialement créée pour toi. Et tu sens ?
Elle approcha son visage du mien. Sa joue effleura la mienne. Un parfum envoûtant tourbillonna autour de moi.
— C’est Pulsar de Starla.
Pour pulser, il pulsait.
— Et t’as vu mon rouge à lèvres ? C’est Rose Girl de Venusia. Ça te plait ?
Elle approcha sa bouche comme pour un baiser.
— Euh, oui, c’est très… mode…
— Je veux être super jolie et te faire honneur pour l’interview.
Ah oui, l’interview ! J’avais oublié. Tous les candidats seront filmés pendant le jeu. On passera à la télé de l’espace. Un space-reality en quelque sorte. Ben si Fifi découvre Barbierella dans cette tenue, c’est sûr qu’elle va pas trop apprécier.
Deux techniciens de l’Enterprise fixèrent les sangles.
— Vous croyez que c’est nécessaire ? demanda Chris, calée sur un fauteuil, des électrodes ventousées sur le ciboulot.
— Oui, je le sens pas trop, enchaîna Mamie, calée à côté d’elle dans un fauteuil semblable, le ciboulot aussi ventousé d’électrodes.
— C’est un test d’aptitude au vol, expliqua le captain Kirk, c’est pour définir votre seuil de résistance. Vous serez en contact radio avec nous.
Un technicien referma le couvercle en plexiglas de l’habitacle et descendit de la cabine fixée à un grand bras.
— Là je crois qu’on va morfler, souffla Chris.
— Si je sors vivante, articula Mamie, on se paye une cuite d’enfer.
Et la centrifugeuse commença à tourner.
Dans le poste de contrôle, des techniciens vérifiaient les écrans.
— 3 000 tours minutes, annonça l’un d’eux, apparemment elles supportent bien.
— Augmentez, ordonna le captain Kirk.
— 5000… 7000… 9000… 11 000… 13 000…
— Si j’augmente encore, elle se désintègre.
— C’est bon, dit le captain Kirk, vous pouvez arrêter. Préparez les civières ! Je pense pas qu’elles puissent tenir debout.
Le couvercle de la cabine ouvert, les sangles et les électrodes enlevés, des techniciens aidèrent nos deux vaillantes Terriennes à sortir.
— Incroyable, s’exclama un technicien, elles tiennent debout ! Vous ne ressentez aucun vertige ?
— Quel vertige ? s’étonna Chris. Quand je me torchais au whisky, ça tournait nettement plus.
— Oui, envoya Mamie, votre bidule c’est de la rigolade. Et ça m’a donné une petite soif. Envoyez la gnole !
Persée siffla d’un trait le reste de la bouteille, 27 centilitres boostant à 63°, et la bazarda sur le sol. Elle éclata dans un cri de verre brisé. Puis il escalada l’échelle sur le côté du jet et sauta dans le cockpit.
— Je vais leur montrer de quoi je suis capable.
— Déconne pas ! gueula Jo au pied du jet. On doit d’abord passer au simulateur de vol.
— Pas besoin. Je connais le manuel.
Robbie se pointa avec ses deux gros yeux clignotants et balança :
— Arrêtez ! Vous devez d’abord prendre quelques cours en simulation.
— Ta gueule la conserve ambulante ! envoya Persée avant d’allumer les réacteurs.
Le jet décolla dans un vrombissement de flammes et disparut dans la nuit étoilée.
— Ben je sais pas si on va le revoir de si tôt, gargouilla Jo.
Il s’empara d’une bouteille de gnole pleine, décapsula le bouchon et s’engorgea quelques décilitres.
Tandis que Robbie louchait avec avidité sur sa braguette, des spirales tourbillonnant dans les capteurs oculaires qui lui servaient de yeux.
Ourse fixait l’espace qui défilait à grande vitesse.
Les mains vissées sur le manche, elle savourait le pilotage de la soucoupe.
A côté d’elle, les Petits Gris jacassaient en lui expliquant les manœuvres à faire.
— Et après, dit l’un d’eux, tu nous donneras de nouveau des fessées.
— Oui, sifflota un autre, on est tous de vilains hitis, il faut nous punir sévèrement.
Ourse fit semblant de ne rien entendre.
Dans une cabine de la soucoupe, ligoté comme un saucisson, Karl jouissait sous les coups de martinet donnés par un Petit Gris.
— Oui, encore, je suis qu’un sale petit garnement !
Blue, c´est encore une fois super ! Mais je sens bien que tu en pinces pour cette Barbierella, avoues-moi tout !
arf je me suis crue dans une centrifugeurse .. mais maintenant on passe aux choses serieuses a boire ... et pas du pipi de chat
je sais pas pour quoi mais barbieraella je vais lui decalquer le portrait la decalquer facon puzzle l´emieter aux quatres coins de l´univers ... je vvoudrais voir ce qu´elle a sous la combinaison des rouages je pense mais je voudrais etre sure ...
Euh, non, Fifi, c´est pas ce que tu crois... euh... bon... ben faut que je retourne m´entraîner pour le pilotage... à plus...
Les copines de Reekoo ! Purée, tu nous avais cachés tes petites fiancées de l´espace !
http://img279.imageshack.us/img279/9708/copinesdereeko2wk.jpg
un p´tit filou ce Reekoo
Robbie et Persée...
je ne sais pas combien dr fois j´ai essaye de poster cet aprem .. je disais comme elles sont mimis ...
Le corbeau et le lapin...
Le corbeau sur un arbre était perché
A ne rien foutre de toute la journée.
Un lapin voyant ainsi le corbeau,
L´interpelle et lui dit aussitôt:
Moi aussi, comme-toi, puis-je m´asseoir
Et ne rien foutre du matin jusqu´au soir ?
Le corbeau lui répond de sa branche :
Bien sûr, ami à la queue blanche,
Je ne vois ce qui pourrait t´empêcher le repos.
Blanc lapin s´assoit alors par terre,
Et sous l´arbre reste à ne rien faire,
Tant et si bien qu´un renard affamé,
Voyant ainsi le lapin somnoler,
S´approchant du rongeur en silence,
D´une bouchée en fait sa pitance.
Moralité :
Pour rester assis à ne rien branler,
Il vaut mieux être très haut placé
rien a dire .. c´est du vécu ...
Pas trop grillées ? Ben c’est l’entraînement quand vous aurez à explorer le soleil ! Euh, Chris et Mamie, vaudrait peut-être mieux freiner sur la gnole, des fois qu’un coup de chaleur sur le ciboulot ! Y’a comme qui dirait un risque d’hallucinations cosmique ! Bon, j’ai fait la danse de la pluie, ça devrait saucer dans pas longtemps ! En attendant, je prendrais bien une petite canette bien fraîche ! Purée, le frigo st vide ! Vous avez dû siffler sec pendant que j’étais pas là, occupé à transpirer comme une crapaud sur un grill en écrivant le nouvel épisode ! Fifi, tu fais les courses ? Ramène de la bibine ! Pas là ! Tiens, elle a laissé un mot sur la table ! "Je suis partie faire du shopping avec Fufu, je rentrerai tard, prépare la bouffe et fais les courses, y a plus de bibine, gros bisous." C´est bien les femmes, ça !