"Drive : l'affiche du film dévoilée
UPDATE: Après l'affiche américaine, c'est désormais au tour de l'affiche française et des premières bannières d'être dévoilées ! Rappelons que Drive sort le 5 octobre prochain chez nous et que le film sera présent à la prochaine édition de l'Etrange Festival qui aura lieu du 2 au 11 septembre au Forum des Images de Paris."
http://cinema.jeuxactu.com/news-cinema-drive-l-affiche-du-film-15657.htm
je rage de minispielberg
"Drive embraye sur de nouveaux posters
Après les bannières, découvrez de nouveaux les personnages de Drive avec ces character posters de toute beauté. Prix de la mise en scène à Cannes, le film est piloté par Nicolas Winding Refn (la trilogie Pusher, Bronson), avec à son bord Ryan Gosling, Carey Mulligan, Christina Hendricks, Bryan Cranston, Oscar Isaac et Ron Perlman.
On y suit un cascadeur qui en dehors des plateaux de cinéma californiens sert de chauffeur dans des braquages orchestrés par divers malfrats. Jusqu'au jour où un coup tourne mal..."
Sortie le 05 octobre
http://cinema-france.com/news15653_drive-embraye-sur-de-nouveaux-posters.html
Wow faut absolument que jme trouve celui avec Bryan Cranston.
Un buzz se crée autour du film, putain ça m’énerve mon côté élitiste refait surface.
Putain, depuis pas mal de temps, j'écoute du Kavinsky, et je n'arrêtais pas de me dire que "NightCall" passerait super bien dans un film! Et là, je vois la bande annonce au cinéma du film, et hop, j'entends NightCall en fond... Enorme.
Refn !!!!!!!!
Drive, vu hier soir en avant première.
Inutile de vous dire mon excitation face à ce film, avant de l'avoir vu. Nicolas Winding Refn est un cinéaste très prometteur, la trilogie PUSHER étant déjà très maîtrisée, Bronson, un film qui commençait déjà à prendre un autre tournant dans sa carrière. Ryan Gosling, que j'avais admiré dans HALF NELSON et BLUE VALENTINE entre autre, sans parler du reste du casting, lui aussi en or.
La première question que je me suis posée était de savoir si le prix de la mise en scène à Cannes était mérité.
Je redoutais que Refn, cinéaste danois, s'affranchisse de ses codes de mise en scène et nous ponde une oeuvre dont la culture américaine aurait reprit le dessus et nous abattre un shéma narratif basique, des scènes de poursuites rabâchées etc... Et bien ce que j'ai trouvé justement intéressant dans DRIVE c'est la manière d'alterner les codes du genre, s'amuser à surprendre le public en confrontant deux extrêmes. Le danois s'écarte du réalisme des PUSHER, des séquences oniriques surplombent DRIVE, le film se joue de l’invraisemblance et assume ce côté "fictif". Refn fait du cinéma avant tout et nous met en pleine face de beaux, très beaux moments de cinéma. Conjuguant une B.O tout droit sortie des 80's (ah cette introdution avec Kavinsky dont le casting apparaît en rose!!! ).
Il garde ses personnages de truands à la petite semaine, arbore des dialogues toujours aussi impeccables et le canevas reste toujours le même. Sauf que maintenant le petit Refn et bah il est à L.A et que ça va chier!!! Ses habitudes européennes toisent les moyens techniques des States, offrant de véritables hommages assumés. Ce type grouille d'idées à chaque plans.
Ryan Gosling est comme à son habitude impeccable. Silencieux et posé. Le mec, viril et malicieux par excellence. Ça sentait la mouille dans la salle... Ce mec est un gigolo dans l'art de conduire, il fixe ses conditions, s’exécute et repart sans broncher, sans même vous avoir connu... Sa liaison avec Carrey Mulligan peut paraître dénuée de tout érotisme et tension sexuelle, un flirt de collège mignon et nian-nian diront certain. Assumée, je dirai que celle-ci sert l'ambiance du film et vient contrecarrer tout linéarité dans le script.
J'ai essayé de troller pendant tout le film, en tentant d'y déceler certains défauts, en vain...
J'en attendais beaucoup, énormément de ce DRIVE. J'ai été rassasié! Un coup de coeur à tout les étages décidément, que je ne peux que conseiller à tout le monde. J'ai horreur de dire ce genre de chose mais DRIVE à tout pour devenir Culte: B.O d'enfer, un héros charismatique, un cinéaste européen qui fait sa route dans le cinéma de l'oncle Sam mais surtout des scènes d'anthologies et de pur cinéma, rien que ça.
Si vous avez des questions, n'hésitez pas surtout.
Désolé si j'ai été maladroit dans mon avis.
On entend du Kavinsky dans le film, comme pour la bande-annonce?
Oui, durant le générique de début!
Mais il y a tout un tas d'autres artistes qui figurent sur la bande originale du film! La musique colle avec l'image, l'ambiance du film. On passe d'un morceaux electro avec Kavinsky à du classique plus baroque. Mes oreilles ont jouis m'voyez!
Sérieux?
Oh bon sang, j'ai hâte de l'voir. Non mais si le film s'ouvre avec Kavinsky, ce sera le paradis quoi.
Bon en tout cas, tu confirmes ce que je pense : c'est une bombe.
Collent ce fait-il que tu l'a déjà vu?
Comment* dsl.
Première ligne: vu en avant première
J'ai hâte bordel!
http://imageshack.us/photo/my-images/827/drivedarktexture.jpg/
une affiche concept trouvée sur le net
C'est marrant ça ne m'étonne pas
Merci pour ton avis.
Je veux! Je veux!! Je veux!!!
ça a l'air un peu comme le transporteur
http://www.gq.com/entertainment/movies-and-tv/201109/drive-nicolas-winding-refn-ryan-gosling
Statham > Gosling
Vu à l'étrange festival également.
Dire que j'attendais énormément de ce Drive serait un gros euphémisme, et je dois avouer que cette AP m'a laissé tout d'abord sur ma faim.
Oui c'est beau (la photo ainsi que la gestion des éclairages sont formidables), c'est bien joué (les seconds rôles notamment) le prix de la mise en scène est mérité, mais il semble au premier abord que le film est limité par ses ambitions de série B classieuse. C'est efficace mais ça s'arrête là (c'est déjà bien assez me direz vous)
Le truc, c'est qu'une fois sorti de la salle, ce Drive continue de hanter. Le film possède un charme étrange, une atmosphère "éthérée" (les décors de nuit ainsi que la BO y sont pour beaucoup) qui fonctionne parfaitement.
Alors oui, Drive n'est pas exempt de défauts (mineurs, et que je n'aborderai pas, car spoilant un poil le film) mais son ambiance et son aura ne m'ont donné qu'une envie: m'y replonger, dès le 5 octobre.
Tu te fous de ma gueule il passait à l'étrange festival ?