http://www.leparisien.fr/lille-59000/nord-le-cambriolage-vire-a-la-scene-de-guerre-29-06-2012-2070821.php
Les belges. Encore. :yaoming:
Pas de ma faute si n'as pas de gouts, le jour où les metaleux atteindront la prodondeur d'une oeuvre de Jim Morisson, on en reparle.
ce qui est dingue avec toi c'est que tu peux pas tenir une conversations sans tombés dans la provocation ou l'insulte
Unbreakable971 Voir le profil de Unbreakable971
Posté le 29 juin 2012 à 16:01:25 Avertir un administrateur
Protoranger, tu écoutes à part Madonna sinon ?
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Protoranger Voir le profil de Protoranger
Posté le 29 juin 2012 à 16:02:33 Avertir un administrateur
Les chants soviétiques
j'ai hurlé de rire a la réponse de prout
J'ai insulté et provqué là ?
Metaleux c'est une insulte ?
Unbreakable971 Voir le profil de Unbreakable971
Posté le 29 juin 2012 à 16:58:06 Avertir un administrateur
Pas de ma faute si n'as pas de gouts, le jour où les metaleux atteindront la prodondeur d'une oeuvre de Jim Morisson, on en reparle .
vas-y prends moi pour une cruche
Ha oui j'ai dit que tu n'avais pas de gouts
Ho c'est bon, reconnais au moins que Jim Morisson c'est du grand art, et qu'a l'époque c'était un putain d'OVNI.
Jim Morrison plus de profondeur que certaine chanson de Metal mwlol j'aurais tout vu dans ce bas monde
Heu c'est clair et nette. Jim morrison a fait de chacune de ses chansons à véritable poème. Il a rédigé des recueilles, il était drogué au poète francais "maudits", donc je pense que question profondeur, ca boxe pas dans la meme catégorie.
Tiens tu as deux heures pour trouver le sujet que traite cette chanson et on verra qui a plus de profondeur http://www.youtube.com/watch?v=dhTsBSHG_7I&feature=share
J'ai écouter jusqu'a l'arrivé des paroles, c'est un immonde bruit. Les paroles sont inaudibles, donc à moins que tu me refile un lien vers les paroles, je ne ferais pas saigner mes oreilles d'avantage.
La première difficulté tient à l'idée que l'on se fait du « poète », personnage supérieurement « sensible » qui chercherait à retranscrire ses émotions sur le papier pour les transmettre à un lecteur. Morrison, lui, concourt à une explosion du langage « normal », en particulier du langage « communicationnel », considéré comme incapable de véhiculer la violence sensible des émotions les plus profondes (ce constat amer relie les recherches françaises menées par Rimbaud et Mallarmé, et les innovations anglo-saxonnes proposées par T. S. Eliot et Virginia Woolf). Héritiers de cette situation qui pourrait marquer l'échec définitif de la poésie, les poètes de la beat generation cherchèrent à retrouver la sémantique profonde des sonorités dans les propriétés phoniques et rythmiques de la langue articulée en tant que matière sonore : dans les cas extrêmes, des syllabes brutes peuvent aussi « parler ». L'admiration ressentie par Morrison, dès le lycée, pour les « beat poets » tels Lawrence Ferlinghetti ou Michael McClure, ne se démentira jamais, et ses propres œuvres dérivent de ces recherches fondamentales. En cela, chercher à lire la poésie contemporaine, surtout celle de Morrison, en se demandant ce que le texte « veut dire » conduit souvent à des impasses. On gagne à examiner en priorité des structures formelles, sonores et visuelles, de la langue parlée et imprimée - ce qui rend la poétique de Morrison quasi intraduisible.
Ainsi le poème Dry Water (dans le recueil Far Arden) présente ces vers dont les assonances et les allitérations (et plus encore la disposition de ces assonances et de ces allitérations les unes par rapport aux autres) portent des sonorités plus expressives que les mots qui les composent ; « the graveyard, the tombstone/the gloomstone & runestone » (littéralement ; « le cimetière, la pierre tombale/la pierre maussade & la pierre runique » - le mot « gloomstone » est un néologisme). Morrison se livre aussi à des espiègleries littéraires, parfois de véritables acrobaties poétiques destinées à « tester » les particularités de la langue anglaise. Il joue par exemple sur la nature des mots, en coupant le vers à un endroit inattendu qui semble donner à un nom commun valeur de verbe, ou sur le fait qu'au « simple present », le verbe à la troisième personne du singulier porte un « s » qui permet de faire passer un verbe pour un substantif au pluriel ou inversement. Ainsi, dans le recueil Wilderness, ce premier vers d'un poème sans titre ; « A man rakes leaves into ». Le mot « leaves » exprime soit le pluriel de leaf (feuilles), soit le verbe « to leave » conjugué avec le sujet « A man » au « simple present ». On peut donc traduire le vers soit par « Un homme ratisse des feuilles en », soit par « Un homme ratisse part vers ». A priori, le traducteur n'a pas de raison de préférer l'une ou l'autre traduction. Seul le vers suivant donne l'interprétation correcte ; « a heap in his yard [...] » (« un tas dans son jardin »). Tant que le vers suivant n'est pas lu, le lecteur reste dans l'ambiguité : le voilà contraint, par les propriétés de la langue, de relire la page pour saisir le sens.
Cette tentative d'éclatement du langage ordinaire se légitime d'une manière similaire à celle dont le peintre Jackson Pollock justifiait l'art abstrait : le recours à des figures, à des natures mortes, à des portraits, ne permet pas d'exprimer certains phénomènes fondamentaux de notre époque. Il n'est pas certain que l'atmosphère dégagée par notre monde urbain et technologique contemporain puisse être rendue dans un langage grammaticalement structuré.
Bref je pense que toutes les analyses qui ont été fait sur le travail de Morisson témoigne d'elles meme.
Le nombre et la subtilité des allusions à d'autres auteurs complique considérablement la lecture de l'œuvre de Morrison. Il est très difficile de débusquer et de décrypter tous les sous-entendus, alimentés par la mémoire presque infaillible de Morrison20. Sa vaste culture générale densifie les poèmes parce qu'elle touche à tous les domaines du savoir, notamment la littérature mais aussi l'histoire ou l'ethnologie. Ainsi les deux premiers vers de la chanson Not To Touch The Earth ; « Not to touch the earth/Not to see the sun » (« Pour ne pas toucher la terre/Pour ne pas voir le soleil ») proviennent de la table des matières du Golden Bough (Le Rameau d'or) de James George Frazer. Morrison s'intéresse aussi beaucoup aux arts et traditions populaires comme les arts divinatoires, les jeux de cartes, les contes et légendes, ou encore aux traditions ésotériques comme la sorcellerie ou l'alchimie.
À plusieurs égards (en particulier par les thèmes de l'avortement et de la stérilité, du roi lié à une terre gaste, mais aussi par le plan éclaté), le long poème The New Creatures pourrait se lire comme une réécriture du célèbre Wasteland de T. S. Eliot. Les principales réflexions philosophiques que le cinéma inspire à Morrison dans le recueil The Lords l'amènent à reconsidérer la fameuse Allégorie de la Caverne (au début du livre VII de la République de Platon), pour en renverser le propos : le cinéma serait une « caverne » moderne où les contemporains de Morrison voudraient s'enfermer, s'enchainer, dans une tentative éperdue de fuir un réel trop douloureux21.
Aborder Morrison dans un esprit « baba cool » selon lequel la beauté d'un poème viendrait de sa « spontanéité » ou de sa « sincérité » mène à l'incompréhension. Morrison n'écrit qu'exceptionnellement sous le coup de l'« inspiration », et il traite ces textes « spontanés » comme une première ébauche destinés à évaluation critique, modification, amélioration, mise en perspective. Tous les poèmes de Morrison relèvent d'un dispositif minutieux : chaque mot, et probablement même chaque caractère imprimé, trouve une place soigneusement calculée par rapport à tous les autres22. Cette place n'est d'ailleurs retenue que « en attente de mieux » (ainsi Celebration Of The Lizard connut-il une genèse d'au moins trois ans, les premières esquisses datant de 1965 et le texte définitif n'étant publié qu'en 1968 à l'intérieur de la pochette de l'album Waiting For The Sun) - d'où le très faible nombre de textes publiés du vivant de l'auteur.
tu vois tu troll juste pour descendre la musique d'autrui tout ce que tu dis n'est que ânerie les paroles étaient bien visible sur la vidéo et dans la description allez je perds pas mon temps avec une personne qui a une culture musicale digne d'un enfant de 10 ans
Unbreak est aussi étroit d'esprit que Syndrom.
Ca donne j'ai l'impression d'assister au dîner de cons...
Morrison a écrit de très beaux textes (et de très belles merdes aussi).
Mais ce n'est pas pour autant qu'il faut dénigrer le metal sans savoir de quoi on parle. Va regarder les paroles de Tool, notamment leur chef d'oeuvre Lateralus, et tu verras ce que c'est que de faire de metal de qualité.
Et je ne parle pas de tout le travail d'Adam Jones sur les mesures composées.
J'ai essayer de réecouter ton truc, c'est vraiment pas de la musique, ya aucune mélodie, ya pas de travail, c'est du bruit et encore du bruit, et ca veux se donner un genre sérieux avec un clip dur accompagné de parole digne de Linkin Park
Il aborde principalement des sujets comme le désespoir, l’oppression, le sexe mais aussi la passion de vivre et l’amour. Il faut admettre que Jim Morrison était quelque peu dérangé dans sa façon de vivre comme dans ses écrits, mais était-ce seulement dû à la drogue ? Certains ne verront en ces phrases que des mots dépourvus de sens, ils ne vont alors pas chercher à comprendre. Pour certains hommes, lorsque notre écriture n'entre pas dans des codes déterminés, elle ne vaut pas la peine d'être lue, elle est simplement jugée mauvaise et sans fond. Il faut pouvoir aliéner son esprit comme Jim l’a fait, pouvoir se laisser glisser dans une folie passagère pour planer avec ses mots, ses idées, ses frustrations et ainsi réécrire le monde.
Il nous faut nous pencher plus en profondeur sur les sujets abordés par Jim dans ses nombreux écrits : la mort, l’oppression, la passion de vivre, la religion, l’humanité dans son intégralité, le sexe, le cinéma, la photographie et l'image en général, la ville/ l'urbanisme, le chamanisme mais aussi les reptiles et surtout les serpents qui le fascinaient. Il aimait d’ailleurs se faire appeler le Roi Lézard. En lisant tous ces textes, on comprend que Jim Morrison était totalement obsédé par la Mort, c’était devenu une fascination. C'est ce qui, certains le pensent, l'a mené à sa perte, c'est cette fascination de l'au-delà, ce désir de savoir ce qui nous attend après la mort. Dans différents écrits de Morrison, on rencontre l’idée que l’Homme est un être incontrôlable par les autres mais également par lui-même, qu’il est dominé par un pouvoir qui le dépasse et devient trop souvent victime de lui-même, de l’horreur qui le compose et le définit. On trouve souvent un vocabulaire riche en termes violents et sanglants.
Jim Morrison attache également beaucoup d’importance au détail, à la désignation des choses par des mots qui marquent, des mots qui donnent de la force à sa phrase. Il n’écrit pas pour la douceur ni pour que ses phrases soient limpides, il semble plutôt chercher à … fendre notre mer gelée. Ce qu’il y a de bénéfique avec un tel choix de mots, c’est que notre esprit est plus facilement marqué par la dureté que par la douceur, par la souffrance que par la joie…
« Tout est vague et vertigineux. La peau enfle
Et il n’y a plus de distinction entre les parties du
Corps. On est gagné par le son de voix menaçantes,
Moqueuses, monotones. C’est la peur, c’est l’attirance
De la dévoration. »
Je crois que Syndrom appartient au gens que cite cet article, ceux qui sont incapable de casser leur code de lecture.
Ho et je rigoles de ton argument syndrom, les metaleux sont tellement persuadé qu'ils détiennent la vérité que pour eux toute personne qui ne connait pas leur monde et ne l'apprécie pas à forcément une culture d'un gamin d 10.
Le metal restera un sous genre du rock,c'est comme ca.
omg les copiers coller même âs cap de sortir ses propres arguments
J'aurais bien voulu sortir le popcorn mais pour une fois une engueulade me fait chier au lieu de m'amuser.
Comme un grand homme l'a déja dit, si quelqu'un a déja dit la meme chose que toi mais en bien mieu, emprunte lui sa phrase.
Et partiellement parce que j'ai pas envie de me fatiguer pour quelqu'un qui croit que le metal est le sanctuaire du bon musical
Bon après la fermeture de vos gueules, j'aimerai inviter les gens de bon goûts à tester cette merveille.
https://www.jeuxvideo.com/articles/0001/00016910-botanicula-test.htm
Ca à lair esthétique, mais ca me branche pas.
Dernière dédicace à Syndrom :
Le metal c'est :
Paroles ridicules
Noms de groupes ridicules
Théâtralité ridicule
Costumes ridicules
Musique cliché
Chanteurs de merde
Que peut-on aimer dans le metal ? Au mieux, c'est une bonne transition à l'adolescence, quand on en est encore à prendre des poses de guitar-hero devant la glace, en rêvant d'avoir toutes ces femelles en chaleur à ses pieds. Ou un moyen supplémentaire de faire chier ses parents. A part ça, je vois pas.