Un peu moins de philo plus de suite ce serais bien aussi
C'est triste, je vous pensais plus mûrs que ça. Non, la suite n'a pas été postée. En attendant, je me suis quand même troué le cul à écrire jusqu'à 3h du matin.
Plutot que de se comporter en gamin à qui tout est dut, vous devriez réflzchir une minute avant de poster. On est pas rémunérés, on prend du temps pour vous écrire; alors si vous considerez que ce n'est pas assez bien pour vous, on arrête et on vous regarde faire.
C'est bon ... On te charrie on sais très bien le boulot qui à derrière et que t'est pas rémunérer pour sa
Pas la peine de nous énerver entre nous ...
Et bien, si tu veux du respect et de la bonne ambiance, il faut respecter les autres. On ne vous demande pas grand chose.
Alt la blague etc...
Se foutre de la geule des gens ca fait du bien et je sais que faire des dics est dur (j'en ai fait une que j'ai abandonne par manque) et vous faites du bon travail
Je suis bien placé pour savoir que se foutre de la gueule des autres fait du bien, mais pas ici. Il y a des forums remplis de kikoos pour ça.
Référence au 15-18 ?
Tu touches pas au 15-18.
Et aussi au -15 je croius
Non, le -15 tu peux y aller.
Pour ceux qui auraient mal au yeux, ma suite est à peu près aussi longue que la précédente. Vous êtes prévenus.
Je n'ai pas mal aux yeux
Mauvaise nouvelle, No a des embrouilles sur IRL, vous savez le jeu qui s'enclenche quand on éteint l'ordinateur. Il m'a dit de vous demander de bien vouloir l'excuser. Il y aura donc bien un décalage entre les deux partie.
En espérant que ses embrouilles ne soient pas trop graves, voici ma suite. Enjoy.
Le message est trop long, veuillez entrer le code de confirmation.
Le message est trop long. :trollface:
Wizard's Lives : Duality / Partie FIC
http://img543.imageshack.us/img543/3360/slivesduality2.jpg
CHAPITRE 4 : ECHOS
Musique : http://www.youtube.com/watch?v=VMqU9duX9Do&feature=related
Les Serpentards ne sont plus qu'à une vingtaine de mètre, dans le couloir qui s'ouvre devant moi. Je m'élance à leur poursuite aussi rapidement que possible... Je m'essouffle, à bout de force. Je n'arriverais plus à les rattraper...
" Impedimenta ! "
Un Serpentard s'effondre, révélant John de l'autre côté du couloir. Le dernier est coincé. Je tend ma baguette et m'exclame :
" Expelliarmus ! "
Il se retourne et bloque le sort, mais à ce moment un éclair le frappe à l'arrière du crâne, le projetant face contre terre, visiblement inconscient.
" - John, tu arrives juste à temps.
- Tu en doutais ? "
Le journal est tombé près d'un mur, dans un coin peu éclairé. Il faut absolument que je le récupère sans que John ne s'en aperçoive...
" - Achève celui-là, avant qu'il ne se libère.
- Petrificus Totalus. "
Nous restons quelques secondes, essoufflés, devant les deux corps inanimés. Finalement, John rompt le silence :
" Qu'est-ce qui est arrivé à ton nez ? "
J'essuie le filet de sang avec ma manche, avant de répondre. :
" - Des ennuis.
- Je vois ça. "
Il me jette un regard inquiet.
" - C'est pas tout ça, mais qu'est-ce qu'on fait des corps ? On les cache dans un placard jusqu'à ce qu'ils se réveillent ? "
L'idée est séduisante. Cependant, ne risqueraient-ils pas de revenir à la charge dés qu'ils en auraient l'occasion ? Il faudrait qu'ils oublient que j'ai ce journal, malheureusement je n'ai aucune maitrise du sortilège d'amnésie...
" - Si on fait ça, ils vont revenir se venger dés qu'ils le pourront. réponds-je
- Et alors ? On a largement montré qu'on est à la hauteur. Et puis quoi ? Ils nous attaquent sans raison, dans un couloir ? Donne moi une seule raison valable pour qu'ils nous aient attaqué ?"
John n'a rien remarqué pour le journal. Quelle chance !
" - On aura pas autant de chance la prochaine fois. Je pense que...
- De la chance, franchement...
- Je pense que je vais me servir de ma potion de confusion. Elle n'est pas tout à fait prête, mais elle devrait faire l'affaire. Tu peux aller surveiller le couloir, au cas ou Rusard arriverais ? Je cache les corps pendant ce temps. "
A peine John a-t-il tourné les talons que je saisis le mystérieux journal et le cache dans ma robe de sorcier. Après avoir vaguement caché les corps dans un coin, je rejoins la statue de la sorcière borgne, ouverture vers le passage et ma cachette.
" Dissendium. "
L'entrée du tunnel se dessine au pieds de la statue.
" Lumos "
Je m'engouffre dans l'obscurité, ma baguette à la main. L'enfoncement ou est caché mon matériel se situe quelques mètres plus loin.
J'aperçois l'installation. La potion sera bientôt prête, visiblement : le chaudron fume très légèrement, c'est bon signe. Je regarde mon manuel resté ouvert, au sol. Remuer trois fois dans le sens des aiguilles d'une montre et une fois dans l'autre... voilà.
Je saisis une fiole vide, la plonge dans le mélange avec le plus grand soin et repart le plus vite possible. Si John a eu des ennuis...
Je pousse; ou plutôt ouvre à la volée; la porte du quatrième étage. Le Serpendard est toujours là, c'est un miracle que personne ne soit passé ici. Tant bien que mal, je traine le corps de l'élève effondré jusqu'à un placard à balais. Une fois bien caché dans le dit placard, je déverse dans la bouche grande ouverte une ou deux gorgée de la potion; ca devrait amplement suffire.
" Collaporta. "
La porte se verrouille dans un étrange bruit de succion. Un simple Alohomora devrait suffire. Et si il n'a pas sa baguette, et bien...
Enfin, je retrouve le couloir du septième étage, où John à caché les deux corps derrière la grande statue des escaliers. Avec un sourire, Je doit admettre que je ne pense pas pouvoir oublier cette statue après ce qui s'est passé.
John surgit de derrière un mur.
" - Dan, c'est toi ? Enfin ! Rusard est passé, j'ai bien failli... tiens, donne la fiole... "
John vide sans retenue le contenue du flacon dans le gosier grand ouvert des deux Serpentards inconscients. Avec une telle dose, c'est des dizaines d'heures de souvenirs qui vont s'envoler, peut-être un jour, voir deux...
" - Tiens, aide moi... Mobilicorpus !
- Mobilicorpus. "
Nous faisons léviter les deux corps jusqu'à un placard, au milieu d'un mur du couloir. Etrange, je ne me souvenais pas d'avoir jamais vu un placard ici. Heureusement qu'il est là, finalement, on en avait vraiment besoin...
" - Qu'est-ce que tu fais ? Viens, on se barre avant que quelqu'un nous voie. Aller !
- Oui, oui... Je te suis. "
Durant toute la soirée, John raconte l'anecdote de la journée en boucle, me demandant à intervalles réguliers pourquoi donc une bande de Serpentards pourraient s'en prendre sans raison à deux Serdaigles sans histoires, et si la potion provoquera bel et bien de amnésiques. Je le convainc que oui, même si rien n'est sûr quand aux effets primaires ou secondaires à ce stade de la préparation.
Les questions m'assaillent moi aussi. Qui sont-ils ? Pourquoi veulent-ils ce journal ? Agissent-ils seuls, ou pour quelqu'un d'autre ? Qui est impliqué dans l'histoire ? Pourquoi suis-je impliqué ? Est-ce par hasard, où ai-je quelque chose de particulier qui viendrais faire quelque chose là-dedans ? Dans ma poche, je sens le journal. L'envie de le consulter est tellement forte, mais l'étudier devant tellement de personnes ne ferait qu'envenimer les choses.
La salle commune se vide, bientôt le mystère sera levé. Mes amis ne semblent jamais s'épuiser, répétant les mêmes questions, toujours sans réponses.
Alors que mon regard se perd dans les flammes de la cheminée, James me secoue sans vergogne, une bouteille de Bierraubeure à la main.
" Longue vie au nouveau poursuiveur de Serdaigle ! "
Gordon me jette une bouteille, que j'attrape à la volée. Le Quidditch; j'avais presque oublié. Avec des journées pareilles, le contraire serait étonnant.
" Merci, je ... "
Tous rient devant ma mine étonnée.
" C'est jamais facile d'aller a Pré-Au-Lard, même avec le passage de la Sorcière Borgne, on a bien failli se faire choper, hein Gordon ? Il est passé fichtrement... "
L'attention que je m'efforçais de maintenir se relâche et mon regard se perd. J'ai une drôle de sensation. Comme si...
Mon regard fuse vers les escaliers, juste a temps pour voir un bras disparaitre précipitamment derrière une porte. On nous observait ? Et malheureusement, dans ce cas, c'était plus probablement moi qu'on observait. Mais non, pas ici, pas chez les Serdaigles...
- Ouai, bonne nuit, lança John.
Je relève la tête, levant mes yeux de ces flammes, revenant à la réalité.
- A la réflexion, je vais me coucher aussi, continue-t-il. Tu ferais bien de faire de même, après une journée pareille.
Tous mes sens se réveillent. Enfin, je vais pouvoir regarder le journal de plus près. Les réponses arrivent bientôt.
La porte claque, me faisant le même effet que le coup de feu pour un sprinteur du 100m. Je me précipite à une table et ouvre le journal intime.
" Cher journal, aujourd'hui Jim m'a encore... " Non, rien ici. Ni derrière. Bon sang, il doit bien y avoir quelque chose... Rien, toujours rien. Mon attention faiblit à mesure que s'allonge la vie d'une élève visiblement sans histoire. Après une heure de recherche frustrée, je suis forcé de m'avouer vaincu devant les pages vierges suivant la fin du dernier récit : il n'y a rien, rien dans ce journal qui se détache ne serais-ce que vaguement de l'ordinaire, rien qui puisse pousser quelqu'un à la violence pour se l'accaparer.
Réfléchis, réfléchis ! Si je voulais cacher quelque chose dans un livre, comment m'y prendrais-je ? Je l'écrirais sous langage codé, peut-être faut-il lire entre les lignes; non, bien sûr que non, cette fille n'a pas visiblement rien à cacher. Peut-être que quelqu'un d'autre à caché quelque chose, dans ce livre, par exemple...
Je saisis et le retourne brusquement. A la fin, à l'envers. Bien entendu !
Pendant une fraction de seconde, mon enthousiasme s'éffondre comme un chateau de carte face à la page blanche. Mais une idée me viens, et, ma baguette en main, je murmure :
" Specialis Revelio "
Tous mes sens sont au maximum devant l'encre qui se révèle petit à petit devant mes yeux. Ca ressemble à... des notes. Ce n'est pas l'écriture de la fille, une écriture bien moins large. Il y a des schémas, des croquis. On dirait une sorte de rituel bizarre...
Un craquement, du mouvement vers les dortoirs. Précipitamment, j'arrache les pages ou sont griffonnées les notes et les fourres dans ma poche. Finalement, il vaudrait mieux que je garde le journal aussi, sait-on jamais. Ces mouvements dans les dortoirs ne me dit rien qui vaille, mais montrer à l'éventuel espion qu'il est repéré ne ferais que remettre son œuvre à plus tard. Il faut le prendre la main dans le sac.
Je me laisse tomber sur le canapé, dos au dortoir. Si il veut voir quelque chose de ce que je fais, il faudra qu'il s'approche. Et là, je pourrais le voir, il n'aura aucun échappatoire. Encore mieux, tiens : je vais garder le journal dans ma main droite, comme ça je pourrais éventuellement découvrir ses intentions.
Le silence s'installe. Le canapé est agréable, il est tard, je suis fatigué. C'est étrange de voir à quel point cette cheminée attire le regard et relâche la tension, poussant au sommeil. Sommeil...
Ma main droite tourne lentement sur elle-même. Mon cerveau fatigué prend quelques secondes, mais soudain mes yeux s'ouvrent et tout s'éclaire : on viens de me prendre le journal. La porte de la Salle Commune viens de claquer. Je me précipite, la baguette en main, à la poursuite du voleur.
J'ouvre la porte en courant. Le couloir en face de moi est vide, éclairé par le clair de lune à travers les grande fenêtres, à droite, qui s'étendent jusqu'au bout du long couloir longeant l'aile ouest du château. Ce dernier est vide. Non, non, ou est-il ? Mes jambes s'épuisent vite, ne tiennent plus la course. Elles ont déjà trop données aujourd'hui. Après une seconde de réflexion, je choisis de ne pas tourner à gauche, mais plutôt de continuer tout droit, convaincu d'avoir repéré une ombre plus loin. J'espère que...
Et vos yeux, ça va toujours ?
J'ai déjà mal rien qu'en ayant juste déplacer le curseur
Come on everybody.
rien a dire
je suis content d'avoir attendus tout ce temps
J'ai lu et c'est excellent j'adore ta suite de plus elle est assez longue maintenant j'attends la suite de No pour comprendre un peu mieux
Merci.
No ne nous devera pas, j'en suis sûr.