T'es méchant Bojack
Ben c'est Bojack
Toi taggle pollux
Arf, FF est grave vexé là Pourrais pas se taire de temps en temps le Bojack ?
Non c'est juste que Pollux est un gros boosteur lèche cul et il commence à me souler grave à faire le skyzofrène
Ah ouais quand même. Que de qualifications pour un pauvre mec
Mais j'suis pas méchant p'tain. On peut émettre son avis sans pour autant l'être. Je dis juste ce que je pense envers FF.
J'ai constaté que sur toutes les fictions qu'il a lues sur ce forum, il ne les a jamais terminés, il les abandonnait à chaque fois. Et pourtant, au début, il disait : "ca, c'est une fic que je vais pas lâcher". Alors faire ça à chaque fois
Bien entendu FF, tu fais ce que tu veux, tu es libre de faire comme bon il te semble, mais quand on promet de lire une fic du début jusqu'a la fin, on le fait
Les Anges de la Destinée
Chapitre II : La forêt de Sià.
Un nom sans histoire. C'est sans nul doute ce que pensaient les habitants d'une forêt. Ils avaient longtemps vécu dans celle-ci, cherchant à améliorer leurs techniques de combats. L'un d'entre eux avait surpassé les autres depuis de nombreuses années, si bien qu'il en était devenu le chef. Sa grande sagesse avait fait de lui l'être le plus respecté des environs. Pourtant, depuis quelques jours, il paraissait tendu. Quelque chose le troublait. Il pressentait qu'un événement maléfique allait se produire, mais pensait également que cela ne serait pas aussi pire qu'il l'imaginait. Ce matin, deux personnes avaient fait leur entrée dans ce petit village. Il s'agissait d'un homme et d'une femme. Le garçon était blessé, ils lui avaient donc administré les soins adéquats. La dame qui l'accompagnait avait expliqué au doyen la situation actuelle. Katsuo avait perdu la mémoire.
Évidemment, le chef des lieux avait demander comment cela s'était produit, mais lorsqu'il le fit, Alénia changea radicalement d'expression. Elle lui répondit qu'elle ne le savait pas et surtout que ce n'était pas son problème. Son visage n'exprimait pas de la haine, mais de la peur lorsqu'elle prononça ces paroles. L'homme la regarda alors attentivement jusqu'à ce qu'elle ressorte. Il souffla alors.
« - Elle sait parfaitement ce qui lui est arrivé. Cependant, je ne dois pas interférer dans les évènements. Son cœur n'est pas maléfique, elle trouvera sa place. »
Lorsqu'elle sortit, elle se posa de nombreuses questions. Elle les chassa rapidement de sa tête car Katsuo arriva par derrière, il n'avait plus aucune blessure.
« - Que fais-t-on ? demanda-t-il.
- Je ne sais pas, répondit-elle.
- Comment ça ? Tu ne sais pas où nous habitons ? »
La peur qui s'était immiscée en elle devant le doyen revint alors avec une incroyable force. Elle ferma les yeux, espérant la repousser de cette façon, mais elle ne parvint pas à le faire. Elle les rouvrit alors, regardant le visage de son vis-à-vis. Elle prit alors sa main dans la sienne et la serra contre son cœur.
« - Je ne suis pas celle que tu crois, lui chuchota-t-elle timidement.
- Dans le sens où je ne sais de toi que tu es ma petite amie, j'en conclus que ce n'est pas le cas. Pourquoi m'avoir menti ?
- Parce que c'était ma mission. Je devais te retrouver et te ramener au laboratoire.
- J'avais déjà du mal à me souvenir de certaines choses, mais là je ne comprend plus rien du tout. Explique-moi tout.
- Je ne te connaissais pas. Tout ce que je savais de toi, c'est que tu t'appelais Katsuo. Je travaillais pour le compte d'un homme qui dirige justement un laboratoire. Je ne sais pas ce qu'il t'a fait là-bas, mais il t'a complètement effacé la mémoire, mais un jour tu t'es sauvé. Tu as réussi à éliminer les gardes et il a perdu ta trace. J'ai alors été chargée de te retrouver, mais lorsque je t'ai vu, je sais pas, mais je ne pouvais pas te ramener.
- Tu ne connais donc rien de mon passé, tu ne me connaissais pas avant. Tu m'as juste recherché. Qui est cet homme qui voulait que tu me ramènes ?
- Apoltron. C'est un chercheur, je ne sais pas ce qu'il cherchait sur toi.
- Nous allons le savoir dans ce cas, emmènes-moi là-bas. »
Alénia resta de marbre devant lui. Elle s'était attendue à ce qu'il lui crie dessus, mais au contraire, il voulait simplement comprendre. Elle le savait, sinon, il ne lui aurait pas demander de l'emmener. Elle ne répondit pas, ce qui semblait énerver Katsuo.
« - Tu m'emmènes, oui ou non ?
- Je veux juste être sûre d'une chose. Est-ce que tu m'en veux ?
- Non. Tu m'as rapidement dit la vérité alors que j'aurais pu perdre mon temps pendant des lustres à chercher qui j'étais. Maintenant, je sais que ce sera impossible, je vais devoir reconstruire toute ma vie. Je ne sais pas où cela va nous mener. Je ne vais pas te dire que je t'aime, car à l'instant présent, je ne ressens pas cela. Je veux seulement que l'on aille là-bas, que je sache ce qu'il voulait faire de moi.
- Je comprends, je ne veux pas forcer tes sentiments. Tu m'as juste rappelé quelqu'un lorsque je t'ai vu. D'une certaine façon, j'ai certainement cru que c'était lui. Nous partirons demain. »
Katsuo disait la vérité. Il n'était pas en mesure de lui en vouloir d'avoir fait cela puisqu'en définitive, il n'en avait pas souffert. Elle lui avait dit la vérité à temps, mais finalement, sa mission serait réussie. Il réfléchit rapidement à un plan d'action possible et se demanda alors si cet homme était protégé. Si c'était le cas, il ne désirait pas faire couler le sang de personnes innocentes. Le mieux serait certainement d'agir avec sagesse.
« - D'accord, c'est parfait, nous partons demain, lui répondit-il tandis qu'elle passait devant lui, ses cheveux flottant sur son sillage. »
Il remarqua alors que jusqu'à présent, il n'avait pas réellement éprouvé de sentiments pour elle. Ni en amour, ni en amitié. Il avait juste vu en elle la personne qui pouvait le faire sortir de son état d'amnésique. À présent, il comprenait. Sa vie ne faisait que commencer, c'était à lui d'en faire ce qu'il voulait. Pourtant, lorsqu'il la vit quitter sa présence, il ressentit un petit pincement au cœur.
Ce moment précis fut l'un des plus pénibles de sa vie. Il ne sut jamais pourquoi il fit cela, mais quelques secondes après avoir réfléchit à sa situation actuelle, il leva les yeux vers le ciel et vit ce qui ressemblait fortement à une énorme météorite. À sa grande surprise, un homme d'un âge avancé était apparu devant lui, regardant dans la même direction que lui. Ce dernier se tourna vers lui.
« - Tu dois partir, mon garçon, dit le vieil homme aux longs cheveux argentés.
- Comment ça ? Alénia et moi devrions être en mesure de vous aider à la repousser !
- Tu ne te rends pas compte de quoi tu parles, sinon tu ne dirais pas « la » mais « les ». Regarde bien. »
Ne comprenant que très peu, Katsuo leva une nouvelle fois les yeux et vit ce qu'il n'avait pas aperçu la première fois. Ce qui ressemblait à un énorme rocher n'était autre en réalité qu'un groupe d'homme. Ceux-ci volaient vers le village. Oubliant les sages paroles du doyen, il jeta un regard autour de lui, cherchant un moyen de venir en aide à ceux qui lui avaient offert l'hospitalité qu'il avait tant besoin.
Ce qui se produisit ensuite le laissa alors de marbre. L'homme qu'il pensait inapte à se défendre fit apparaître un genre de halo autour de lui. Lorsque celui-ci eut finit de s'intensifier, il leva les mains vers le haut. Deux sphères géantes apparurent alors à proximité du groupe qui arrivait. Le vieillard fit des gestes bizarre avec ses mains, puis, elles ne formèrent plus qu'une.
Les hommes se stoppèrent net dans les airs, non loin de la forêt. L'un d'eux s'écarta des autres et fit des mouvements avec ses bras. Aussitôt, un cercle doré apparut et vint entourer la sphère qui s'évanouit alors. Le doyen arbora un sourire, il semblait satisfait de son échec. Katsuo se demanda si c'était pour ne pas montrer la peur qu'il ressentait où par simple débilité. Semblant lire ses pensées, l'homme prit la parole.
« - Mon sourire ne montre simplement que l'absence de crainte, cher enfant. La mort n'est rien comparée à ce que la souffrance peut engendrer. Ces hommes veulent détruire ce village depuis des décennies. Je suis le seul qui ait jamais pu les tenir à l'écart, mais il semblerait qu'ils aient trouvés le moyen de me surpasser. C''est dommage, mais en même temps, j'aurais du le prévoir.
- Dans ce cas, laissez-moi vous aider, dit notre héros d'une voix implorante.
- Certainement pas. Ta vie à beaucoup trop de valeur pour que je la mettes en péril aujourd'hui. Et même si je te laissais faire, et que tu parviendrais à les vaincre, tu devras partir et ne pourras pas rester ici afin de protéger ce pauvre village. Je te le demande une dernière fois, reste en dehors de tout ça et va-t-en. »
Ce n'était pas tant les paroles qu'il ait dites qui suscita en Katsuo l'envie de lui obéir, mais plutôt la brutalité avec laquelle il les prononça. Depuis son arrivée ici, il l'avait toujours entendu s'énoncer avec douceur et gentillesse. Cependant, à présent, il n'y avait plus rien de tout cela.
« - Comme vous voudrez. Je n'oublierais pas votre hospitalité.
- Mon cher ami, ne penses-tu pas que se fier à de telles absurdités relève de la débilité ? »
Katsuo se contenta de lui sourire, ne comprenant que trop bien ce qu'il voulait dire. Il devait se méfier de tout et de rien. Cependant, le temps lui manquait. Il devait partir le plus vite possible. Il ne savait pas où se trouvait Alénia mais devait à tout prix partir. Il se mit donc à courir en direction aussi vite qu'il le pouvait et se retrouva derrière l'une des nombreuses tentes. Elle aurait dû être là, mais apparemment, elle avait filé dans la forêt. Il le savait car la broussaille qui se trouvait là avait subitement disparue. Il fit alors un pas en avant, mais une grande explosion retentit derrière lui. Précisément à l'endroit où se trouvait le doyen quelques secondes auparavant. Notre héros eut alors l'impression que son estomac se nouait de lui-même. Il regarda la fumée qui se dégageait s'évaporer lentement. Lorsqu'elle n'eut disparue, il vit le corps du vieillard carbonisé. Ce moment de sa vie, il ne l'oublierai jamais. Il n'oubliera jamais la cruauté de ces êtres qui dévastaient à présent le village.
e battant contre lui-même, il décida de partir. Il vit qu'Alénia était assise sur le bord d'un arbre, le visage enfoui dans ses mains. Il aurait juré qu'elle pleurait, mais lorsqu'elle entendit ses pas, elle se leva d'un bond.
« - Nous pouvons partir ? lui demanda-t-elle.
- Oui, il n'y a plus d'espoir pour ce village. Ils n'ont rien pu faire. Je n'ai rien fait, déclara-t-il la mine honteuse.
- Tu ne pouvais rien faire. Nous allons chercher un endroit où passer la nuit, le plus loin possible d'ici. Si jamais ces idiots nous trouvent, nous devrons nous battre. »
Elle se détourna alors de lui et il lui emboita le pas. Il se demanda pourquoi ils ne choisissaient pas la voie des airs, mais il n'avait pas vraiment envie de parler. C'est pour cette raison qu'il se contenta de la suivre sans dire quoi que ce soit. Les craintes de la jeune femme furent rapidement confirmées. Un des étranges êtres qui avaient détruits le village venait de faire son apparition.
Il ne leur demanda même pas qui ils étaient. Il se contenta de faire apparaître une boule de feu rougeoyante qu'il lança sur Katsuo. Celui-ci, sûr de lui, décida de frapper dedans. Il la renvoya alors tandis que l'autre faisait un bond incroyable pour l'éviter. Malheureusement pour lui, Alénia avait anticipé cette action et passa derrière lui, un simple coup sur la nuque suffit à l'assommer.
« - Nous devons partir, aussi vite que possible. Ils pensent certainement que certains villageois sont parvenus à fuir, ce qui est sans doute vrai.
- Dans ce cas, nous devrions les chercher également pour les protéger !
- Non, nous ne pouvons pas. Je le ferais si je le pouvais, mais en ce moment, ils sont beaucoup plus en sécurité que nous. Le mieux que nous puissions faire est de partir. Avec un peu de chance, ils arriveront au prochain village et une nouvelle attaque se fera, mais cette fois, dans le sens inverse. »
Elle s'envola alors, semblant préféré la rapidité que la discrétion. Katsuo fit de même. Ils restèrent proche des arbres tout le temps que dura leur « fuite », dans le cas où ils seraient repérés. Cependant, tout se passa pour le mieux, hormis bien sûr l'homme qu'ils avaient combattus. Ils virent une grotte au pied d'une montagne peu éloignée et, sur l'idée d'Alénia, allèrent s'installer dedans.
« - Ce n'est pas ce qu'il y a de plus confortable, mais c'est toujours mieux que de dormir dehors.
- Je me moque entièrement du degrés de confort que l'on puisse avoir. On vient d'abandonner ceux qui nous avaient aidés, comment peux-tu ne rien ressentir ?
- Je ressens quelque chose, je suis triste, mais je sais surtout que ce n'est pas le moment de s'apitoyer sur moi-même. Si nous faisons ça, autant rester là jusqu'à ce que l'on meure. »
Katsuo, qui était jusqu'à maintenant mitigé dans ses sentiments à propos d'elle éprouva à ce moment une réelle admiration pour elle. Ce qu'elle venait de dire était, à ses yeux, d'une maturité exemplaire. Il comprit alors qu'il pouvait avoir confiance en elle et surtout, qu'il pouvait lui offrir son amour sans craindre d'être déçu. Ce fut sans doute pour cette raison qu'il s'approcha d'elle, et la prit des épaules.
« - Je t'aime, lui dit-il d'une voix douce, à peine audible. »
Elle se tourna vers lui, les yeux embués de larmes. Ses pires craintes ne s'étaient donc finalement pas réalisées. Elle pensait qu'en lui révélant la vérité, petit à petit, il l'aurait abandonnée. Cependant, la vitesse à laquelle il lui avait fait cette déclaration lui sembla suspecte.
« - Je t'aime aussi, mais pourquoi avoir changé d'avis sur la question si vite ?
- Je n'ai pas changé d'avis. Je t'ai simplement menti tout à l'heure. Lorsque je t'ai dit que je ne ressentais rien pour toi, je ne savais pas ce que je disais. J'étais perdu après ce que tu m'as dit. Mais en vérité, je t'aime vraiment. Tu es celle qui m'a sauvé. »
Il s'approcha de nouveau d'elle et l'embrassa tendrement. La nuit qui succédait ce jour allait sans doute être l'une des plus belles qu'ils aient connus depuis longtemps, aussi bien l'un que l'autre.
Bonne lecture à tous
Oh merde Au début du second post du chapitre, un "s" s'est volatilisé dans le copier collé
Désolé ^^
Après Katsuo et Silméria, Katsuo et Alénia décidément, c'est un tombeur ce Katsuo
Joli chapitre sinon. On en apprend un peu plus sur Katsuo, et cette idée de dévoiler petit à petit le passé de Katsuo a été géniale. On a hâte d'en savoir encore plus sur lui, vraiment ^^
Et RIP pour le Chef, qui m'a légèrement fait penser au Chef de la forêt dans la fiction de dax
Ah oui aussi, le duo Katsuo/Alénia qui "survivent" dans la forêt m'a fait penser au duo Doulka/Annah, décidément
Vivement la suite, et qu'on en apprene un peu plus sur Trac et l'enfant prodige
Les explications viennent à chaque chapitre, chacun apporte son lot d'information, à vous de les assimiler ^^
Merci du com's sinon. Pour le Chef, je me suis pas inspiré d'une fiction en particulier, j'ai surtout repris la thématique générale des mecs qui savent tout et sortent des paroles comme il a fait ^^
Il a l'air moins long ce chapitre , je lis ça dans la semaine
Il est moin lonf, en effet, d'une page
Lu et aimé.
J'ai bien aimé le personnage du chef, bien que j'aurais aimé le voir plus, le comprendre plus. Le voir mourir.
Sinon, un chapitre dédié à Katsuo qui, en plus de découvrir qu'il vient d'un laboratoire, devient "très ami" avec Alénia.
Très bien, mais... la suiitte !!
Mon nouveau chapitre devrait arriver sous peu. (Je tiens à vous tenir informés)
Merci de ton com's
L'homme est bel et bien mort. Mais qui sait ?
Désolé pour le retard, j'ai enfin pu lire ce chapitre et que dire, si ce n'est que j'accroche complètement, le vieux Chef était réellement l'archétype du mec-qui-sait-tout-et-qui-met-le-héros-sur-sa-voie et la relation entre Katsuo et Alénia qui grandit malgré la "trahison" de celle-ci... c'est beau
Et à côté de ça, Katsuo embarque réellement dans sa quête, et ça promet d'être passionant
Oui, Katsuo commence sa quête. Avec ses rebondissements
PorteNoire
Posté le 14 novembre 2010 à 19:08:14 Non c'est juste que Pollux est un gros boosteur lèche cul et il commence à me souler grave à faire le skyzofrène
sinon je go lire se week-end.