Marinangeli.

Il m'impressionne celui-là, 29 ans, et ses stats montent encore en flèche.

Ce sera aussi le "retour" de Brambilla.

Oui j'ai vu ca , tu l'aimes ce petit.

C'est un super flandrien. Dans cette partie il le sera seulement, vu qu'il est arrivé au bout de ses étoiles dans les autres domaines alors qu'il lui en reste 3 en pavés.

Pas mal, mais recrute Levi

La fin de saison n'est pas pour maintenant.

Je vais commencer par le Tour des Flandres, ok

Ou alors par le Tour de France.

Non Des Flandres.

Commence par le TDF

Le tour de france quoi

Ouais, je vais suivre l'avis de Kimafo. Reprnedre par le Tour de France est plus fun.

Reprendre *

En plus avec Lance.

Ton équipe LPR

Comment ça se fait qu'Armstrong est si fort ?

le Tour Des Flandres c'est mieux et c'est en rapport avec l'actualité actuel.

Ouais mais OSEF

Faudrait faire par rapport aux dates de te deux autres parties

Philou J'ai pris la Daily V2, dans laquelle les évolution sont.. démesurées.

Ouais finalement je vais essayer de suivre par rapport à l'actualité. Donc Live du Tour des Flandres à 18h jeunes gens.

Avant je vais faire un récapitulatif de la saison 2009 et du début 2010 de mon équipe et de la carrière en général.

Saison 2009

Amateur de défis, je m’engage pour commencer avec l’équipe Colombia Es Pation, composée uniquement de coureurs colombiens, dont certains vraiment talentueux comme Alex Ardila, Sergio Henao ou encore Fabio Duarte. Après un début de saison accompli, marqué par des victoires à la pelle d’Ardilla sur les Tours de Tachira et de Sans Luis, Henao prend le relais et remporte coup sur coup la Vuelta Majorqua, et le Grand Prix de Lugano, avant de rivaliser avec les meilleurs sur le Tour de Californie.

Malheureusement, les finances s’écroulent, et il me fallait impérativement gagner le Tour de Belgique pour maintenir la structure à flot. Lors de l’étape reine arrivant au Mur de Huy, Ardila, accompagné de Marentes réalisent la course parfaite, passant sous la flamme rouge avec deux minutes d’avance sur leurs poursuivants.

Mais s’était avant ça :
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5e et 6e au final, ils permettent à l’équipe d’empocher une coquette somme, mais insuffisante. Pour 200$, Colombia Es Passion met la clé sous la porte.

Plusieurs solutions s’offrent à moi, et j’accepte sans hésiter une offre du team LPR disposant des deux plus fortes individualités du circuit Continental, Danilo Di Luca, et Alessandro Petacchi. Surprise, la LPR va mal, très mal. Seulement 19e au classement, les italiens n’ont pu engranger que 5 victoires, toutes par l’intermédiaire de Di Luca, battu sèchement par Cunego sur les ardennaises, puis sur le Giro.

Changement de philosophie. L’équipe abandonne le Pro Tour et se concentre uniquement sur les courses HC, sur lesquelles Di Luca va faire une véritable razzia, enlevant systématiquement chaque épreuve disputée, et devenant au passage Champion d’Italie sur route.

Presque assurée de passer à l’échelon supérieur, la LPR s’invite à la Vuelta. Petacchi, jusque là transparent, en profite pour renaitre. Vainqueur de 4 étapes, suivant parfois les meilleurs sur les reliefs plus difficiles, il n’est privé du maillot bleu que par le seul Tom Boonen.

Plus intéressant encore, il développe des aptitudes en contre-la-montre, renforcées par un stage achevé à la veille du Tour d’Espagne. Ale-Jet terminé ainsi 3e du CLM de 40km couru autour de Saragosse, avant de remporter à la surprise générale le championnat du monde ITT.
La saison se termine brillamment, avec une 2e place de Di Luca sur le Tour de Lombardie.

Aucun départ majeur n’est à déplorer en post-season. Notons enfin le recrutement d’une colonie de Sud-Africains, et surtout celui du « Boss », Lance Armstrong.

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Quel bide !

Quel triste fin !
M'enfin tu va te rattraper chez LPR.

J'espère, en tout cas ça démarre bien.

Saison 2010

La saison débute par le sacre du néo-Rabobank, Allan Davis sur les championnats d’Australie. L’ancien coéquipier de Tom Boonen est néanmoins défait dès le lendemain par Petacchi sur la Cancer Council Classic. Carlos Sastre continue lui sur la lancée de sa formidable saison 2009 en remportant haut la main le Tour de San Luis. Présent au Tour Down Under, Petacchi y remporte deux nouvelles étapes, termine second au général derrière Voeckler, et endosse le maillot Blanc de leader du Pro Tour.

Armstrong, 4e du Tour 2009, s’affirme comme un des hommes à suivre, en s’imposant à domicile sur le Tour de Californie, où Zabriskie remporte le prologue. Di Luca fait de même en enlevant le Giro di Grosseto, bien relayé par Ale-Jet, vainqueur des 1ères et 3e étapes, puis 5e d’une arrivée au sommet.

Débute alors la campagne des classiques. Koen Barbé surprend son monde sur le Het Volk, mais Jacob Venter terminé tout de même 5e, au contact des leaders. Kuurne-Bruxelles-Kuurne rend un bilan similaire, Cancellara écrase la course, et Hermann Fouché accompagne les meilleurs, pour finir 7e. L’Eroica voit une nouvelle fois un LPR accrocher un accessit, cette fois-ci avec Brambilla, 2e.

L’équipe se présente sur Paris-Nice sans véritables ambitions, avec un groupe clairement tourné vers les classiques. Jay Thompson sera LA révélation. A la manière d’un Peter Sagan, il dompte Leipheimer sur le prologue, puis fait parler ses talents de puncheur à Marseille, où il prend le meilleur sur Kim Kirchen au vieux Port. Le Luxembourgeois se console en remportant le classement général.
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Le chiffre 2 est décidément celui de Petacchi. Bien aidé il est vrai par David Zabriskie, le meilleur sprinteur du monde ne laisse aucune chance à Mark Cavendish, en réglant deux arrivées groupées. Au général, Di Luca, 2e au sommet du Passo Lanciano, puis 10e du contre-la-montre de San Benedetto del Tronto, termine loin de Basso, mais devant le champion du monde Cunego. A un mois des classiques, c’est bien là le plus important.

Enfin, j’ai assisté à un Milan San Remo très ouvert, qui s’est terminé au sprint, mais au sein d’un petit groupe de 10 ou 20 coureurs tout au plus. Di Luca moins rapide que les meilleurs, Petacchi affaibli, la LPR hésite, mais choisit finalement l’option Petacchi. Parfaitement lancé par son coéquipier, Ale-Jet échoue d’une roue face au revenant Oscar Freire. 2e et 3e, la déception est immense.

Pour terminer ce riche mois de mars, Brambilla prend la 3e place du Grand Prix E3, se permettant d’attaquer Boonen dans le final, il en terminé finalement avec Alessandro Ballan, Cancellara étant une nouvelle fois bien au dessus.

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