Je suis
Super presentation ! Continue ;)
Vous avez tout lu au moins
oui et c'est super
Merci
J'espere plus de monde ce soir
C'est bien écrit en tout cas
Bah je sens que je vais arrêter
Non
C'est une des seules story que je suis
Je suivrai et j'essayerai de poster de temps en temps
Je vais écrire la suite si je vois que ce n'est pas suivie on arrêtera là
C'est bien écrit, et bon scénario
Bon la suite
Sweet !
Je vais lancer la suite ce soir aux alentours de 18h30
C'est TRÈS Bien écrit
super continu
ANNONCES STORY
Je tiens d'abord à prévenir les lecteurs, Morgan Evans n'ira pas dans un petit club mais dans un des plus grands d'Europe. Je tiens à vous le dire avant d'éviter une certaine déception. La suite que je vous prépare vous donnera ce club, ainsi que peut-être le pourquoi Morgan Evans a été choisi Je vous expliquerai ensuite pourquoi j'ai choisi ce club
Je suis à la recherche de journalistes et de recruteurs, le nombre m'importe. Je souhaiterais que ceux qui sont interessés face une courte présentation (biographie) de leur personnage dans ce genre là https://www.jeuxvideo.com/forums/1-19583-700527-4-0-1-0-story-un-jeune-frenchie-en-angleterre.htm#message_701013
A plus tard !
Moi je suis c'est tout et je te dit quand c'est bien et je supporte
Flash-Back 3 : La traversée de la manche
J’avais donc reçu la demande de me présenter au siège du Stade Rennais à 11 heures, j’étais devant à 10 heures. Je passa le temps à essayer d’imaginer de possibles questions et d’y trouver des réponses à peu près correct. J’en profita aussi pour appeler mon père, il était fier de moi. Je crois que depuis cette matinée d’Avril, mon père avait perdu cette culpabilité en me voir marcher à l’aide d’une canne. Aux alentours de 11 heures 17, je vis Christian Gourcuff arriver vers moi, il me tendit une main que je serra avant d’entendre ces explications. J’allais être reçu par le président de l’époque René Ruello en personne pour un entretien et pour la signature d’un éventuel contrat si tout se passait bien !
Le président Ruello me reçut donc dans son bureau, en compagnie de Gourcuff père. La discussion s’engagea, comme prévu, j’avais du mal à aligner trois mots mais, je sentais que je lui plaisais. Il me demanda si travailler avec des jeunes me plaisait, je lui répondit simplement que même si le français n’est pas ma langue, je peux les comprendre. Cette réponse lui plut je crois, peut-être même que c’est cette réponse qui vit la différence. Il marqua un temps avant d’ouvrir son tiroir et d’y sortir un contrat ! Je n’en croyais pas mes yeux, un contrat, un vrai ! Mon rêve se réalisait, enfin !
Le contrat était sur une durée de trois mois, jusqu’à la fin de la saison et une prolongation était à envisager si mon travail plaisait. Pour la première fois depuis le Bloody Sunday, je retrouvais cette bulle de bonheur que j’avais quitté. Ma main trembla en signant, j’étais enfin parti …
Rennes réussit à se maintenir cette saison malgré le départ de Christian Gourcuff et le président satisfait par les nouveaux arrivés dans l’effectif décida de prolonger mon contrat de un an. L’année d’après, Rennes fit une saison magique, et à l’arrivé de Vahid Halihodzik, je fus promu au poste d’entraîneur adjoint ! Ma carrière se dessinait petit à petit, et tout ça me plaisait.
Mais à la fin de la saison, mon père tomba gravement malade. L’alcool avait rongé son foie. Je ne pouvais plus rester en France et en Irlande, personne ne voudrait de moi. C’est alors que le destin tapa de nouveau à ma porte. Alors que je me préparais à partir, j’appris que Chelsea était très intéressée par notre gardien Petr Cech. Chelsea, le club de mon cœur, j’enviais Petr. C’était un grand ami, et il allait me manquer, tout comme le reste des joueurs. Mais avec Petr c’était différent, Petr avait été touché par mon histoire.
Il partit donc en direction de Londres en emmenant dans ses bagages Christophe Lollichon, l’entraîneur des gardiens du club. Moi je rentra à Belfast, voir mon père et reprendre mon métier de couvreur. Alors que cette fois, j’étais persuadé de vivre la vie banale que je pensais vivre deux ans auparavant, mon téléphone sonna un beau jour, normal jusque-là, jusqu’à ce que je vis le nom s’afficher : « Petr Cech ». Je répondis, ne dis pas un mot de plus à part « Hello, thank you et bye ». Je fis tomber le téléphone, José Mourinho avait un poste d’entraîneur adjoint à pourvoir et Petr avait soufflé mon prénom à son oreille. Il voulait que j’aille le voir, à Londres, deux jours plus tard …
Ce n’est qu’une putain de blague, non ?