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Super fic sur l'univers d'assassin's creed
écrite par PsyKo__KaiiN.
Sans lecteurs il aurait fait quoi ?
Certe mais bon c'est ça Fic qu'a même
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J'en suis au chapitre 11 et.......................J ADORE littéralement tu ecris Super bien
La suite Psyko stp
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Il a dit qu'il censuré d'abord
Oui et alors ?
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le doute est complet ! bien joué!Psycho
On a pas le droit a la fin du chapitre
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Peut-étre aprés manger
Ouais peu être j'espère Sinon demain
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Normalement c'est un chapitre par jour même si on a dja été bien servi aujourd'hui
Après manger .
"Normalement c'est un chapitre par jour même si on a dja été bien servi aujourd'hui"
C'est vrais on a bien etait servi
Ok Psyko
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Sweet
1000 !!!!
bien joué psyko
bon bah j'attends l'épisode suivant avec beaucoup d'impatiente
bonne censuration....
censure pas trop quand meme, on veut du trash
en tout cas je sens qu'on va encore avoir des surprise
vivement la suite
Je suis 100% d'accord avec toi mathieu
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It's time.
CHAPITRE 27 Episode 4
Bachar accélère le pas en suivant l'assassin alors que je ralentis et m'engouffre dans un autre couloir. Il est bien trop obnubilé pour remarquer mon absence, du moins pour l'instant. Par chance, un garde parcourt le couloir en sens inverse d'un pas rapide et, dès que je suis à son niveau, je m'approche et tords son poignet en passant derrière lui. Tandis qu'il pousse un cri de douleur, je m'empare de son épée et l'assomme avec le manche.
Je me mets alors à courir en direction d'un balcon donnant sur la cour intérieure mais en chemin, je tombe sur deux autres gardes. En me voyant avec une arme, ils dégainent rapidement les leurs. J'allais m'élancer lorsqu'une silhouette blanche arrive par derrière eux et les liquide en deux temps trois mouvements. Un peu dégoûtée tout de même, je m'avance vers Altaïr qui lâche :
- J'avais bien dis que je ne serais pas loin.
Je suis sur le point de rétorquer que je m'en serais très bien sortie tout seule au moment où plusieurs gardes font irruption à l'autre bout du couloir. Altaïr saisit ma main gauche libre et je ne peux retenir un gémissement de douleur alors qu'il me tire dans la direction opposée des soldats.
- Quoi ? m'exclamais-je, outrée. On ne peut pas s'en occuper ?
Evidemment, Altaïr reste muet et nous poursuivons notre course jusqu'à un balcon et, après avoir sauté une balustrade, nous nous engageons sur une partie du toit. Cependant, avec une épée dans la main, une longue robe qui entrave les mouvements de mes jambes et mon annulaire gauche qui me fait souffrir, je ne suis pas dans les meilleures conditions pour une course-poursuite sur les toits.
Et ce qui devait arriver arriva. Je trébuche sur ma robe, entraînant Altaïr avec moi et nous tombons du toit. Heureusement, des plantes généreuses amortissent notre chute et à peine avons nous touché le sol qu'Altaïr se remet debout, me saisit par la taille puis se jette contre un panneau en bois, non loin, au niveau du sol. Après cette seconde chute, je tente de reprendre mes esprits et constate que nous sommes très certainement dans une cave. J'ai perdu mon arme dans l'histoire et je me retrouve couchée sur l'assassin. Merde, j'ai comme une sensation de déjà vu.
Je prends appui sur mes avant-bras et me redresse pour rencontrer le visage dégagé d'Altaïr. Au même moment, ses deux mains sur mes hanches se mettent à bouger et je ne peux réprimer un frisson. Ses yeux me figent et j'aurais bien envie de me noyer dedans. En réalité, j'en ai marre de résister. Alors, sur un coup de tête, je me penche vers lui et l'embrasse à pleine bouche. D'abord surpris mais très rapidement réceptif, Altaïr répond à mon baiser tout en collant mon corps contre le sien à l'aide de ses mains. Je me couche alors totalement sur lui et me laisse aller à ce désir.
Soudain, d'un geste habile, il nous retourne, se met assis tout en me tirant à lui puis me soulève afin de passer mes jambes de part et d'autre de sa taille. En quelque sorte assise sur lui, je cesse un instant de l'embrasser pour admirer son visage.
Je retire sa capuche et saisis sa tête entre mes deux mains et rapproche à nouveau mes lèvres des siennes. Les deux mains d'Altaïr se posent sur mes genoux et commencent à remonter doucement le long de mes cuisses, tout en poussant ma robe. Lorsqu'elles rencontrent ma peau et ne s'arrêtent pas dans leur avancée, je me redresse et me colle à lui, tout en passant mes bras autour de son cou.
J'ai envie de lui. C'est aussi simple que ça. Et je ne veux plus me mettre de barrière. Très lentement, je dévie la direction de ma bouche et monte jusqu'à son oreille. Les deux mains d'Altaïr sont parvenues au niveau de mes fesses et il prend un malin plaisir à me le faire remarquer. Soudain, le bruit d'une porte nous fait sursauter simultanément et des voix parviennent jusqu'à nous. Je me dégage donc très rapidement d'Altaïr, non sans ressentir une certaine frustration. Ce dernier me jette un regard à me faire devenir folle puis rabat sa capuche, avant de m'attraper la main droite cette fois, et de m'entraîner vers une autre issue.
Il ouvre une porte située dans le fond et nous descendons un escalier. Soit cette demeure à deux caves, soit nous descendons aux enfers. Soit je ne suis plus en état de réfléchir. Plus nous descendons, plus l'obscurité nous engloutit mais cela ne semble pas inquiéter Altaïr qui tire jusqu'à ce que le sol soit plat sous mes pieds. L'obscurité est quasi-totale et si la porte du haut n'était pas ouverte, nous serions incapables de nous diriger. Altaïr nous emmène derrière un amoncellement de tonneaux et me plaque un doigt sur la bouche. Ça veut dire quoi ça ? Que je cause trop peut-être ?
Son doigt est bientôt remplacé par sa bouche et je dois bien reconnaître que je ne suis pas la seule à en avoir assez des barrières. Peu à peu, sa bouche descend et je pose mes mains fiévreuses sur ses épaules. Tandis qu'il m'embrasse dans le cou, je l'attire contre moi et caresse son dos. Une fois de plus, des bruits nous interrompent et cela commence sérieusement à m'exaspérer.
- Tu as une arme ? souffle Altaïr en cessant de m'embrasser.
- Toujours dans mon décolleté, lâchais-je d'une voix faible.
Evidemment que ce n'est pas vrai. Mais j'ai eu envie de voir s'il allait réagir exactement de la façon dont je l'attendais. Et c'est ce qu'il fait. Sa bouche descend à un tel point qu'elle en arrive au niveau de la naissance de ma poitrine et elle ne compte pas s'arrêter en si bon chemin.
D'après ce que j'entends, les gardes sont en train de descendre dans la cave mais à vrai dire, je n'en ai strictement plus rien à faire. Ses baisers se font de plus en plus langoureux et je me mords la lèvre pour tenter de garder un semblant de rationalité. Peine perdue. Une des mes mains dans son dos glisse jusqu'à ses reins puis ses fesses. Ce contact le fait frémir alors que ma poitrine se soulève et se rabaisse au gré de mon souffle de plus en plus saccadé. Je ne sais comment, il parvient à s'écarter de moi pour chuchoter :
- Apparemment, tu n'en as pas. Suis-moi.
Altaïr s'empare à nouveau de ma main et me conduis à travers l'obscurité. Comment il arrive à y voir là dedans, je l'ignore et je me contrefous de le savoir. Pour l'instant, mon cerveau n'est concentré que sur une seule et unique chose et elle se trouve au bout de mon bras.
Je ne sais pas trop comment mais nous parvenons à trouver un escalier que nous gravissons jusqu'à déboucher sur une pièce bien plus lumineuse. Mes yeux mettent un moment à s'habituer et pendant ce temps, Altaïr nous conduis vers une direction précise. Ou du moins, il en a l'air. Il s'approche d'une porte, l'ouvre précipitamment et nous nous engouffrons à l'intérieur. Je lâche alors sa main pour jeter un coup d'œil aux alentours. Une chambre.
- Tu l'as fais exprès ? lancais-je sans le regarder.
- Bien sûr. J'ai demandé à Bachar de nous la réserver pour la nuit.
Je me retourne et lui décoche un sublime sourire. Altaïr est collé à la porte et écoute si des gardes ont repéré notre présence. Je retourne donc à l'examen de la pièce. Vu l'état et la poussière, je peux affirmer qu'elle n'est pas souvent utilisée. Ce qui me pousse à ajouter :
- Tu aurais pu réserver la suite royale.
Je tourne la tête pour observer sa réaction au moment où il s'écarte de la porte. Ça signifie quoi ça ? Que quelqu'un va rentrer ou … Altaïr ne tarde pas à répondre à mon regard :
- Je crois que c'est bon.
Pourtant, il s'éloigne davantage de la porte, sans pour autant s'approcher de moi. Alors je reste immobile, bien décidée à le cuisiner. Apparemment, il a peu de patience car il s'empresse de demander :
- Tu ne me sautes pas dessus ? Pourtant on est dans la pièce on ne peut mieux adaptée !
- Tu peux attendre jusqu'à ce qu'il pleuve en enfer, rétorquais-je en repensant à mes paroles de ce matin.
- A croire que cela vient de se produire.
Je ne détache pas mon regard du sien et tente de profiter de cet instant. Je sais ce qu'il a derrière la tête car j'ai exactement la même chose. Si j'extrapole un peu, je pourrais dire que je sais exactement ce qui va se passer mais en vérité, je n'ai pas envie d'extrapoler. Juste de savourer cet instant.
D'un pas assuré, je m'avance donc vers la porte et abaisse le loquet qui s'y trouve. Au moment où j'exécute un demi-tour, j'ai subitement envie de dire ou de faire quelque chose pour le contrarier. Gentiment bien sûr. Pourtant, rien ne me vient. Je suppose que cet instant n'est plus propice aux jeux de mots. D'un pas beaucoup moins assuré, je m'avance vers Altaïr qui me dévore littéralement des yeux. Je m'arrête à une distance raisonnable et ne cesse de le regarder. Comme pour lui donner une sorte de permission, je hoche faiblement la tête et attends sa réaction. Qui est immédiate.
A l'aide de ses deux mains, il m'approche doucement mais fermement de lui. Mes lèvres rencontrent les siennes une fois de plus et je me consume à nouveau sous ses baisers. Je n'en peux plus de ressentir tout ce désir, j'ai l'impression de devenir folle. Je dévie la direction de ma bouche et la loge dans son cou où je l'embrasse avec un tantinet de rage. Ses mains autour de mes hanches se serrent alors que les miennes se perdent quelque part entre son dos et ses reins.
Subitement, ses bras se mettent à descendre puis me saisissent rapidement sous les deux cuisses. Je me retrouve alors portée, une jambe de chaque côté de son bassin. Cette position me plaît tout particulièrement et je redresse la tête afin de rencontrer son regard. Aussi déconcertant que cela puisse paraître, j'ai l'impression d'y lire son envie.
Altaïr me colle davantage contre lui alors que je passe mes bras de part et d'autre de son cou et me redresse permettant ainsi à ses lèvres de descendre inexorablement jusqu'à mon décolleté. Il embrasse tendrement la naissance de mes seins puis descend encore plus loin. Une brusque décharge se répand à travers tout mon être et, y cédant totalement, je le débarrasse de sa capuche et passe mes deux mains dans ses cheveux, l'obligeant à maintenir cette position.
Sans précipitation, il se met à reculer jusqu'au lit et se retourne afin de m'y déposer. Complètement aveuglée par mon envie, je ne sais trop comment nous nous débarrassons de nos vêtements mais une chose est certaine, c'était très rapide. Toujours sur le lit, je me mets à genoux et l'invite vers moi en lui tirant les mains. Altaïr me rejoint et m'embrasse de plus belle tout en partant à l'exploration de mon corps tandis que je me laisse aller sous son flot de caresses.
Avec une lenteur déroutante, il me pousse afin de me coucher sur le dos et totalement soumise, je me laisse faire avec plaisir. Je sens alors sa main descendre le long de mon ventre tandis que sa bouche se détache de la mienne.
Je pousse un gémissement et me rends compte que mon supplice ne fait que commencer lorsque sa main arrive à mon bas-ventre puis à mon intimité. En mordant la lèvre inférieure, je tente d'étouffer un gémissent et ferme les yeux. A chacun de ses mouvements, je perds un peu plus conscience et j'adore cela. Mon souffle s'accélère. A l'aide de mes deux mains, je le tire doucement à moi et caresse sa joue de ma bouche avant de murmure à son oreille :
- Vas-y.
Je laisse mes mains errer sur son corps musclé et puissant au moment où il me jette un regard interrogateur. Une fois de plus, je hoche la tête en signe d'approbation. Altaïr se rapproche encore plus de moi.
Au premier contact je me crispe et Altaïr m'embrasse davantage afin de me rassurer. Après la douleur vient le plaisir et lorsqu'il commence à se mouvoir en moi, je ne retiens plus mes gémissements. Avec force, j'enfonce mes ongles dans son dos et penche ma tête en arrière. Jamais je n'aurais cru. Jamais je n'aurais imaginé. Le sentir en moi de cette façon me rend ivre de lui et je donnerais tout pour que cela dure une éternité.
Pourtant, mon plaisir croissant doit bien avoir une limite. Et je l'atteins enfin. Au moment où il se répand en moi, une violente sensation s'empare de moi. Je blottis immédiatement ma tête au creux de son cou et étouffe un cri contre sa chair alors que toute cette jouissance s'insinue dans chaque partie de mon corps. Et je perds connaissance. Du moins, c'est tout comme. Comme si tout se relâchait, laissant en moi un immense sentiment de satisfaction...
Ah ouais qu'a même bien comme d habidude
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