Chaud il faut que je ratrappe mon retard depuis chap 20 e.2
toujours bien
Comme toujurs :
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Super fic sur l'univers d'assassin's creed
écrite par PsyKo__KaiiN.
Tu fais de la pub pour Psycko
Oui
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Super fic sur l'univers d'assassin's creed
écrite par PsyKo__KaiiN.
"- Lorsque je dis que ce n'est pas leur domaine, j'entends par là qu'elles sont bien plus utiles ailleurs.
- Où ça ? Aux fourneaux, près des enfants, à vos pieds ?"
je me suis bien marrer avec ça
"Pas Haris"
haris, le gout des choses simple
ne me demander pas pourquoi j'ai dit sa, même moi je ne le sait pas
"D'un rapide mouvement, je lui dépose un baiser aux coins de ses lèvres et m'écarte tout aussi prestement. Oui, j'ai craqué. Et je ne compte pas faire preuve de volonté pendant bien longtemps..."
sa promet...
ps : toujours aussi bien.... we want the sweet
"we want the sweet "
Oui si il y a un 4e épisode , si c'est un autre chapitre sa sera demain
c'est peut-être idiot comme question mais est ce que tu as lu les pierre botero kaiin ?
Pas compris ceux qui veulent qu'il prenne toooooooooout son temps ! C'est pas de la bouffe, c'est bon il peut tout mettre d'un coup...
misterd Heu non .
Pro Ouais mais j'ai pas que ça à foutre .
CHAPITRE 26 Episode 4
Tout comme la fois dans le cimetière, elle reste immobile, sûrement en proie à quelques réflexions complexes. Je tente donc :
- Où sont passées tes réparties cinglantes ?
- Elles s'en sont allées lorsque j'ai commencé à me faire draguer par l'homme qui a tué mon père et Slimane.
- Toujours la même rengaine, n'est-ce pas ? répétais-je avec un sourire en coin.
- Excuse-moi que cela soit si important à mes yeux.
- Tu comptes refaire la même scène dans le seul but de recevoir un nouveau baiser ?
- Parce que tu appelles ça un baiser ? s'exclame-t-elle d'un ton ironique.
- C'est vrai que tu dois t'y connaître toi, lâchais-je avec perfidie tout en reprenant ma route vers la porte de Damas.
- Tout à fait ! se défend-elle en marchant à mes côtés. Tu n'imagines même pas le nombre de choses que j'ai déjà fait !
- Ah oui ? Avec qui ? questionnais-je subitement en stoppant net afin de l'avoir face à moi.
- Avec Slimane, assure-t-elle avec aplomb en s'arrêtant également.
- Bien sûr. C'est pour cela que la première fois que je t'ai vu, tu repoussais ses avances.
Ses yeux se plissent et semblent m'incinérer sur place.
- Le propre d'un assassin est d'observer, rétorquais-je.
- Je croyais que c'était d'assassiner.
- Egalement. Mais je suis un homme, je peux faire deux choses à la fois.
- Et nous voilà repartis dans le machisme ! clame-t-elle.
Sa mine à moitié scandalisée m'incite à croire qu'elle sait parfaitement que je ne suis pas sérieux et que je compte juste la faire réagir. Cédant à toutes mes envies, je déclare donc :
- Tout à fait ! Et puisque tu ne me crois pas, je vais te le prouver. Je peux te faire taire et te montrer ce qu'est un vrai baiser en même temps.
C'est tellement délicieux. Depuis combien de temps désirais-je cela ? Sûrement depuis que mes yeux se sont posés sur elle mais j'ai été bien trop perturbé pour le réaliser. Mon cœur se met à déchirer ma poitrine et une vague de désir s'empare de moi. J'en veux plus.
Son souffle court m'indique qu'elle est loin de détester la chose. Cependant, elle s'écarte doucement de moi, m'obligeant à stopper ce baiser. J'ôte mes mains d'elle tout en l'observant droit dans les yeux alors qu'elle impose une distance entre nous deux. Un peu penaud, j'ignore quoi dire et me mets presque à regretter mon geste. Non. Je ne regrette rien.
- Et toi qui ne voulais pas attirer l'attention, lâche-t-elle d'une voix timide en jetant plusieurs coups d'œil aux alentours où des badauds nous fixent d'un drôle d'air.
- Ça en valait la peine, confiais-je.
Un silence s'installe et je ne sais quoi dire pour le rompre. Bien sûr, c'est elle qui trouve les mots justes :
- En tout cas, tu avais raison. Tu sais faire deux choses à la fois.
Je souris largement en répondant :
- Evidemment. Je parie que Slimane n'embrassait pas aussi bien.
Zohra sourit à son tour et après s'être rapprochée, elle m'administre une gentille tape sur le torse en rétorquant :
- Ça reste à voir.
Puis elle me contourne pour se diriger vers la porte de la ville. Je reste un moment dos à elle, un sourire toujours accroché à mes lèvres et me décide enfin à la suivre. Nous passons près des gardes sans éveiller aucun soupçon et pénétrons finalement dans Damas. A l'intérieure de la ville, je nous mène jusqu'à la demeure de Haris et une fois sur place, je toque précipitamment à la porte. A mes côtés, Zohra s'appuie contre le mur et me fixe avec intérêt, si bien que j'interroge :
- Qu'y a-t il ?
- Je me demande à quoi peux bien ressembler ton ami.
Ça veut dire quoi cela au juste ? Je la regarde donc en répondant, tout en pesant chaque de mes mots :
- Il est marié.
- Quoi ? Qu'est-ce que tu sous-entends par là ? s'étonne-t-elle en se dégageant du mur sous l'effet de la surprise.
- Ne vas pas l'aguicher dans le seul but de me faire enrager, dis-je d'un ton presque désinvolte.
- Ce n'est pas du tout mon genre ! s'offusque-t-elle, outrée.
- Evidemment que non.
Elle allait rétorquer lorsque la porte s'ouvre, laissant apparaît mon vieil ami. Face à lui, je redresse la tête afin de me faire reconnaître.
- Altaïr ! Je t'en prie entre ! invite-t-il d'un ton enthousiaste, en s'écartant afin de me laisser la place pour passer.
- Paix et sérénité Haris, le saluais-je en demeurant immobile.
- A toi aussi mon ami, bien que ces mots ne veuillent plus dire grand-chose par les temps qui courent.
- Ainsi donc tu es au courant.
- Oui, mais je t'en prie, rentre. Nous allons en discuter à l'intérieur.
Je m'exécute et ce n'est qu'à ce moment que Zohra, restée en retrait cachée par le mur, fait son entrée. Je présume qu'elle ignore comment saluer Haris car elle reste muette sur le seuil.
- Que nous as-tu amené là Altaïr ? Un novice ? questionne mon ami.
- Haris, voici Adha. C'est une longue histoire que je préfère demeurer secrète.
- Comme bon te semble. Je t'en prie Adha, incite Haris d'un geste du bras.
Un peu hésitante, Zohra finit quand même par s'avancer dans la demeure en lâchant :
- Merci Haris.
Ce dernier nous guide jusqu'à son salon où sa femme nous accueille tout aussi chaleureusement.
- Altaïr, tu connais déjà Beha. Alors, Adha, voici ma femme Beha.
- Soyez les bienvenus chez nous, déclare la jeune femme.
- Désirez-vous quelque chose avant que nous rentrions dans le vif du sujet ? propose Haris. Car je suppose que ce n'est pas une visite amicale que tu me fais là Altaïr, n'est-ce pas ?
- Non, en effet.
- Si ce n'est pas trop demander, j'aimerais beaucoup prendre un bon bain et mettre des vêtements plus agréables.
Je me retourne afin de regarder Zohra. Elle ne se gêne pas la petite. Bien entendu, Beha accepte et les deux femmes partent ensemble à l'étage, me laissant seul avec Haris, ce qui n'est pas pour me déplaire. Nous nous asseyons sur les canapés et mon hôte nous sert un verre de thé à la menthe à chacun. Après avoir ôté la capuche de ma tête, je savoure une gorgée du breuvage puis entame la discussion sur le sujet qui me préoccupe :
- Tu es donc au courant de la résistance.
- Pire, ils ont tenté de m'y enrôler, avoue Haris en reposant son verre. Mais j'ai la chance d'être respecté en tant que maître et mon refus n'a pas entraîné ma mort.
- Etrange. Personne ne m'a proposé de les rejoindre.
- Voyons Altaïr ! Le premier homme qui te proposerait une telle chose se retrouverait vite assommé puis conduit devant Al Mualim. Tu es l'un des plus fidèles. Tous nos frères le savent.
Le plus fidèle... Désormais, je suppose que je ne le suis plus. Pourtant, j'approuve d'un hochement de tête avant de poursuivre :
- Que sais-tu exactement ?
- Toute cette mascarade est conduite par Bachar. Tu te souviens de lui ?
- Oui. Il n'avait rien d'exceptionnel, me rappelais-je.
- Maintenant il l'est. Il se pavane dans sa demeure du quartier sud-ouest et se considère aussi sage qu'Al Mualim. Une dizaine de nos frères sont à son service.
- Je suis ici pour mettre fin à tout ça, avouais-je en saisissant mon verre.
- Le contraire m'aurait été. Al Mualim t'en a chargé n'est-ce pas ?
Tout en avalant une gorgé, j'approuve d'un signe de tête et Haris lance :
- C'est une bonne chose. On peut déjà considérer cette histoire comme du passé révolu.
- Je l'espère.
Haris fronce les sourcils et réplique :
- Fut un temps tu aurais répondu affirmativement. Et là, je n'ai droit qu'à une hypothétique réponse positive. Cette Adha serait-elle en train de t'attendrir ?
je m'imaginait déjà me coucher se soir sans en lire plus...............
mais tu as posté la suite sisisisisi
je lis et je te donne mes impressions
"Pas compris ceux qui veulent qu'il prenne toooooooooout son temps ! C'est pas de la bouffe, c'est bon il peut tout mettre d'un coup... "
c'est plus agréable de lire petit bou par petit bou que tout d'un cou
la lecture d'une tel fic s'apprécie
toujours aussi bien.
et sur ce chapitre, les situations me font bien sourire
vivement qu'altair dégome bachar mdr
bon bah demain on connaitra la suite
"# Cette Adha serait-elle en train de t'attendrir ?"
non juste un peu
tu sais vers quelle heure tu la postera ? est ce que le prochain chapitre est aussi en 4 épisode ?
Pour l'heure je ne sais pas et oui, il y aura au moins 4 épisodes .
"Pour l'heure je ne sais pas et oui"
ok
"# et oui, il y aura au moins 4 épisodes ."
aaah sisi
vivement demain alors :noel
A demain .
Toujours aussi bien même si je sens que Bachar va passer un mauvais quart d'heures avec notre couple
Psycho ,utile de te dire que c'est toujours aussi bien ??
une petite question : Haris s'exclame : " le contraire m'aurait été " tu ne voulais pas dire m"aurait étonné "(surtout pas une critique , trop bonne FIC pour un " sois-disant amateur ", qui a une âme d'écrivain
pour taquiner mathieu avec sympathie : "Altaïr ,ms je suis un homme,je peux faire 2 choses à la fois " ;Zhora "ns voilà reparti ds le machisme "et elle le reconnait un peu plus loin !tu sais faire 2 choses à la foi " . ne dis-t'on pas aussi que les femmes font plusieurs choses à la fois rassures-toi je respecte tout le monde, mathieu OUF ! quelle tartine.qd tu peux Psycho pour la suite