disons que pour l'instant l'intrigue ne s'est pas encore vraiment dévoiler donc je peux pas vraiment juger

Ok

Le passage qui fera comprendre un peu mieux n'est pas pour tout de suite encore, même si je sais déjà comment ça a se passer.

Me revoilà en haut

( camouflé )

S-S-S...Suite !
Essayons de corriger les erreurs
Lisez-tout
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[Il continua de marcher vers la grande ville, au loin.]

La démarche rapide de Flash lui permit d'atteindre un petit village dans les 2 heures qui suivirent sa mésaventure avec les Raiders. Pendant tout ce temps, il n'avait mangé qu'un morceau de gecko trouvé mort au milieu de la route.

Il était affamé, et il se réjouissa en voyant l'entrée de cette petite commune. L'amnésique tomba sur un grand homme chauve, avec une petite barbiche rousse, ce dernier portait un jean bleu déchiré plein de boue, une chemise rouge et noire, des gants en cuir et un chapeau de paille. Il avait également un fusil de chasse dans le dos. Ce monsieur accueilla le vagabond:

"Bonjour ! Je suis Peter Bardy. Maire et gendarme de notre paisible village, Peacetown. Nous sommes 23 habitants au total, et nous sommes prêts à accueillir de nouvelles personnes dans notre petit univers de tranquillité. "

"Je dois traduire ce fusil dans votre dos comme un preuve de l'extrême tranquillité de ce village, non?" Répondit Flash, ironique.

"Eh bien, vous n'allez pas me dire que vous seriez prêt à représenter une communauté sans aucune défense, dans ce monde de détraqué? Je pense avoir affaire à un p'tit con qui se croit supérieur aux autres, n'est-ce pas? " Répliqua sèchement le gendarme.

"Pensez-ce que vous voulez, moi tout ce que je veux c'est à manger et à boire. Où-est-ce que je peux trouver un bar?" Interrompit le solitaire.

Le maire poussa un soupir agacé, avant de répondre:
"Près de la voiture calciné, la porte rouge."

Flash se détourna sans remerciements à Peter Bardy et alla vers la 'porte rouge', sur le chemin il croisa une femme d'une quarantaine d'années, qui le salua. Arrivé à la porte, il entra, s'approcha du bar et lança:

"Une bière et des bombes sucrées, barman."

L'homme derrière le bar sortit une bouteille, l'ouvrit à l'aide du rebord de son évier, la posa sur la table et sortit un paquet de bombes sucrées de ses tiroirs. Il annonça:

"Bienvenue au <<Old Tradition>> et bon appétit, ça fera 12 capsules."

Le vagabond faillit s'étouffer en entendant le prix, il toussa, posa sa bière et dit d'un ton arrogant:

"Vous voulez pas mes couilles non plus?! Une putain de bière pour 10 capsules, c'est ça?!"

"La bière c'est 4 capsules et les bombes sucrées en valent 8. Maintenant changez de ton et payez moi !" S'énerva le tenant du bar.

L'amnésique jeta 10 capsules sur le bar et dit calmement mais sûrement:

"Je ne vous en donnerai pas plus."

L'homme derrière le bar, méprisant, siffla:

"Sortez d'ici."

Flash, conscient de s'être fait de très bons amis, finit sa bière d'une gorgée et laissa ses achats sur le bar. Il s'en alla. Il réfléchit quelques instants, appuyé contre la vieille voiture calciné, et décida de s'installer ici pour quelques jours, le temps de se reposer un peu. Il se dirigea vers ce qui lui semblait être un hôtel. Après avoir fait baissé le tarif de 50 capsules la nuit à 35 grâce à ses talents cachés de négociateur, il prit une chambre et fit une sieste d'environ un quart d'heure. Cela lui suffit pour retrouver une forme suffisante pour aller explorer les environs.

En redescendant de sa chambre, le solitaire à la médecine que lui avait indiqué la dame à l'accueil de l'hôtel.

Il y pénétra, le docteur était un vieil homme avec une calvitie bien marquée, une moustache grisonnante et des grosses lunettes rondes ainsi qu'une blouse trop grande pour ses membres fins comme des branches. L'amnésique lui déclara qu'il avait mal à ma tête, par périodes, que c'était insoutenable, et qu'à chaque fois, il finissait par perdre connaissance. Flash demanda qu'on lui soigne son hématome à la tempe. Le docteur, surpris par la taille de la blessure, ôta ses lunettes et dit à voix basse:

"Bien 10 ans que j'ai pas vu une telle saleté! Dis-donc, comment vous êtes vous fait ça?"

"Aucune idée. Je me suis réveillé au sommet de la montagne, au nord d'ici, dans une maison, et je ne me souviens de rien qui se serait passé avant..." Répondit le vagabond.

"Ces histoires là ne me rassurent pas, on sait pas d'où vient ce truc.. Mais on dirait une sorte de piqûre au milieu de l' hématome. Je peux vous faire une piqûre de Med-x même si je n'aime pas vraiment utiliser ce genre de drogues... Ca fera passer votre douleur pendant le restant de l'après-midi." Assura le docteur.

"Allez-y, j'ai rien à perdre. Sauf peut-être les capsules que je vais y laisser..." Fit Flash.

"Ce sera 40 capsules. Et voilà votre médoc' !"

Le docteur fit une piqûre au vagabond, qui grimaça et paya le doc' .

Flash ressortit de la clinique et quitta le village. Il dit au maire qu'il reviendrai dans la nuit. Malgré les quelques squelettes sur la route, le solitaire n'avait pas peur. Il continuait tout droit, il cherchai quelqu'un ou quelque chose qui pourrai l'aider à comprendre qui il est.

Le .32 de l'amnésique n'avait plus qu'une quinzaine de cartouches en réserve. Mais il n'avait pas pensé à passer chez un armurier avant de partir du village. Son mal de crâne ne persistait pas, un bon point. Quand enfin le paysage changea quelque peu, Flash aperçut une station-essence en contre-bas d'une plaine. Il s'en approcha, la nuit tombait petit à petit. Les environs devenaient de moins en moins rassurants.

Le solitaire vit les mines posées près des pompes, et se douta que quelqu'un habitait dans cette station. Il n'avait pas vraiment envie d'y entrer, mais il devait le faire, il était vital qu'il se trouve de nouvelles armes, ou de nouveaux habits. L'esseulé contourna les pompes à essence et se plaque contre le mut juste à côté de la porte. Il posa son oreille contre la porte. Il y avait clairement quelqu'un dans cette station... ou quelque chose.

Flash défonça la porte d'un violent coup de pied. La porte céda le vagabond aligna l'entrée de la mire de son .32. Malheureusement, la silhouette dans la salle, dans la pénombre, ressemblait fortement à un homme, mais ce n'en était pas un. C'était une ghoule (ghoule avec un H, les grosses goules résistantes). Elle fixa le solitaire de ses yeux oranges, et vociféra un cri qui semblait sortir tout droit de ses entrailles tout en levant les bras d'un air menaçant. La créature fonça sur Flash qui eut le temps de lui tirer 2 balles dans le torse. Aucun effet.

La ghoule bondit sur l'amnésique qui perdit l'équilibre, il chuta au sol, aligna la tête du détraqué et tira 3 balles. 2 touchèrent le crâne de la créature et une partit dans le vide. La ghoule recula, écrasant une boîte de conserve avec son pied putride. Elle hurla et donna un grand coup de griffes en direction de Flash. Il en eut le pantalon déchiré, et des entailles profondes d'au moins quelques centimètres. Il gémit de douleur et rampa vers une pompe à essence pendant que le détraqué était occupé à crier à cause de la boîte de conserve qu'il lui avait coupé la plante du pied.

Mais la ghoule se reprit. Elle fit le tour des pompes et se jeta sur le vagabond encore au sol. Elle lui asséna plusieurs coups d'avant bras tout en crachant de rage. L'esseulé la fit tomber en se débattant avec toute sa volonté. La créature roula au sol et sauta de nouveau sur Flash qui tira la dernière cartouche de son colt en plein coeur de la ghoule.

Cette dernière poussa un hurlement strident avant de déchirer violemment le ventre de l'amnésique d'un coup de griffe rageur. Ce dernier était paralysé par la douleur. La ghoule se releva et respira telle une hyène affamée en s'appuyant contre une pompe à essence, le solitaire, de ses mains tremblantes, mit 2 cartouches dans son .32 et de ses dernières forces, tira dans la pompe à essence ses 2 balles.
L'explosion fut telle, que la créature irradiée s'envola et s'éclata une dizaine de mètres plus loin, son cadavre en feu.

Mais Flash fut aussi touché par l'explosion, il vut une longue flamme jaillir, puis plus rien.

Voilà ma longue suite.

J'espère que vous avez tout lu.

c'est déjà beaucoup mieux mais il ya encore un certain nombre d'erreur, surement du à l'inattention, par exemple "L'amnésique lui déclara qu'il avait mal à ma tête" c'est "à sa tête" pas "ma".

vérifie la tournure de tes phrases qui pour certaine reste encore lourde à lire. et encore quelques répétitions un peu gênantes.

bon sinon dans l'ensemble ça c'est bien améliorer donc bravo mais il reste encore du travail.

Ok merci

"ma tête"

Sinon, pour les répétitions, je m'en suis rendu compte en l'écrivant. Mais pas beaucoup d'idées de surnoms en tête...

Sinon niveau facilité de lecture et l'histoire c'est bien?

Bien que tu sois le seul à lire?

niveau facilité c'est mieux malgré quelque lourdeur persistante, et niveau scénario pour l'instant ça va, j'attend d'avoir plus d'info sur la trame principale

Okay

Suite demain je pense.

l'histoire est plutot bien tourné mais c'est vrai qu'on attend une suite (ex:l'homme a la masse XD)

Bachour [Tsunamy57]

J'y songerai.

désolé mais je lirai ça demain là je vais me coucher

Okay, j'attend ton verdict

Je poste une suite ce soir mes amis.

J'espère que d'ici là, dexter aura mu cette sweet là

Devinez quoi... Suite !

Vous l'aviez deviné
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[Il s'écroula, tentant de rester conscient, mais en vain.]

Une fois de plus, l'amnésique se réveilla seul au milieu de nulle part. Les maisons au loin avaient assisté à un massacre pur et simple. Les nombreux morts restaient là, en silence.

Flash n'avait plus mal à ses membres douloureux. Mais il avait curieusement envie de reprendre du Med-x... Malheureusement il ne lui en restait qu'un, qui pourrait s'avérer vital dans une situation périlleuse comme il en a déjà vécu.

Il se releva sans vraiment se presser, ramassa le fusil de chasse. Autour, tout était calme. Le soleil envoyait ses rayons bouillants compliquer encore un peu la vie déjà infernale dans les Terres Dévastées. Le vagabond prit le sac de sa victime, son cadavre était encore là, il n'avait pas bougé. Il fouilla et trouva des chargeurs de sniper. Il les remit dedans et continua sa fouille.

En tombant sur un "contrat" , le solitaire faillit crier de surprise. Il y avait écrit dessus:

Contrat: Expérience de vie
_____________________

Suivre le sujet dans son escale. Empêcher tout contac.. j.;;...i...

La feuille devenait illisible, trop abîmée. Flash la mit en boule et la jeta le plus loin que son bras blessé le lui permit. Il soupira, et prit le fusil de sniper. Il retourna vers les quelques maisons désormais désertes. L'oeil à la lunette, le doigt sur la gachette, l'esseulé était prêt à tuer.

Il arriva près de tous les cadavres, il se dirigea vers un homme en salopette léopard. Il avait, posé sur son torse, un pistolet-mitrailleur 9 millimètres. Le solitaire le prit, et le rangea dans le sac. Puis il en ramassa un second, et les chargeurs qui allaient avec.

En prenant la route vers Peacetown, Flash prit garde d'éviter soigneusement tout signe de vie. Les quelques goules qu'il aperçut dans les collines le firent emprunter un détour épuisant. Heureusement, il tomba sur un chien érrant qui lui avait bondi à la gorge. Le solitaire l'avait fusillé avec son sniper. Une balle avait suffi à clouer la bête au sol.

"Satané clebard" avait lancé l'amnésique, enragé.

Il avait dépecé le chien et en avait tiré un repas purement écoeurant, mais ravitaillant.

Après 3 longues heures de marche discrète et prudente, Flash atteint Peacetown, il était aux environs de 16h, le soleil commençait à faiblir légèrement. Le maire Bardy, dès l'arrivée de l'esseulé, outré par son état, lui lança:

"J'appelle le médecin, restez-là!"

"Tout va bien! Je suis assez grand pour me gérer seul je crois!" Rétorqua le blessé, agacé.

Une voix vint interrompre cet échange non-chalant.

"Oh... mais qu'il est courageux le petit garçon!"

Cette voix au ton ironique avait horriblement déplu à Flash. Ce dernier tourna la tête et découvrit son nouvel interlocuteur. Un homme de taille moyenne, de grands favoris grisonnants, des cheveux en pic ainsi qu'une calvitie bien marquée. Il avait un flingue dans chaque poche, et sa longue veste brune semblait cacher encore bien des mystères. L'air content, il regardait le blessé de haut. En guise de réponse, Flash lâcha:

"Oh... mais c'est qui va fermer sa grande gueule l'ancêtre!"

Cette réponse était peut-être un peu trop osée. L'ironique devint soudain rouge cramoisi. Il saisit son 10 mm et visa la tête de l'amnésique, les dents serrées.

"Tu crois pouvoir me répondre sur ce ton, espèce de sous-merde?"

"Non, j'en suis sûr."

Le coup de feu qui partit ne fut heureusement pas celui du vieil homme. C'était Peter Bardy, le maire, qui de son fusil de chasse avait tiré au ciel pour calmer les esprits.

Après avoir séparé les 2 hommes, le maire rentra dans son local, laissant Flash bléssé, au milieu des autres habitants.

P'tite sweet...

Personne ne lit...?

toujours quelque petites répétition mais c'est déjà mieux dans l'ensemble

ps: étant malade j'ai pas le courage de faire un com plus long désolé...

Pas grave tqt tu as tout lu?

Sinon juste, ne te crèves pas mais t aimes bien l'histoire en général sinon?