ouai robert a repris l´entrainement

http://fr.sports.yahoo.com/29012007/53/foot-esp-pires-j-ai-envie-de-tout-casser.html

mais domenech est au pouvoir

au moins sur le banc ce serait bien quoi

juste pour le faire rentrer à la 2eme mi-temps

Foot - ARG : Aimar absent contre la France
Retenu par le sélectionneur argentin Alfio Basile pour afffronter les Bleus le 7 février au Stade de France, Pablo Aimar doit finalement déclarer forfait.

Le meneur de jeu du Real Saragosse a été victime d´une entorse au genou gauche dimanche lors de la réception du Deportivo La Corogne (1-1). Le ligament interne étant touché, Aimar doit observer un repos d´un mois. Alfio Basile devrait titulariser à sa place le joueur du FC Porto Luis "Lucho" González.

Touché à une cuisse ce week-end, le jeune milieu du Real Madrid Fernando Gago ne devrait pas manquer à l´appel.

Foot - ARG : Fernando Gago contre la France
Le milieu de terrain du Real Madrid Fernando Gago, convoqué pour la première fois, et le défenseur de l´Inter Milan Javier Zanetti, qui fait son retour, font partie des 21 Argentins sélectionnés pour jouer contre la France le 7 février au Stade de France. A signaler l´absence de Gonzalo Higuain, même s´il devrait demander la nationalité argentine et opter pour la sélection albiceleste selon L´Equipe.

Après deux défaites contre le Brésil (3-0), en septembre à Londres, et face à l´Espagne, en octobre à Murcie (2-1), Alfio ´´Coco´´ Basile, qui a pris les rênes de la sélection en septembre, compte sur ce match pour mettre son équipe sur les bons rails pour préparer la Copa America au Venezuela (26 juin-15 juillet 2007). Lors du dernier France-Argentine, le 26 mars 1986 à Paris, les Bleus s´étaient imposés 2-0.

La liste des 21 sélectionnés :
GARDIENS : Roberto Abbondanzieri (Getafe/ESP), Leonardo Franco (Atletico Madrid/ESP)
DEFENSEURS : Javier Zanetti (Inter Milan/ITA), Roberto Ayala (Valence/ESP), Gabriel Milito (Saragosse/ESP), Rodolfo Arruabarrena (Villarreal/ESP), Gabriel Heinze (Manchester United/ANG), Nicolas Burdisso (Inter Milan/ITA), Fabricio Fuentes (Villarreal/ESP)
MILIEUX : Fernando Gago (Real Madrid/ESP), Esteban Cambiasso (Inter Milan/ITA), Leandro Somoza (Villarreal/ESP), Pablo Aimar (Saragosse/ESP), Aldo Duscher (Deportivo La Corogne/ESP), Luis González (FC Porto/POR), Jonas Gutierrez (Majorque/ESP)
ATTAQUANTS : Javier Saviola (FC Barcelone/ESP), Hernan Crespo (Inter Milan/ITA), Diego Milito (Saragosse/ESP), Sergio Agüero (Atletico Madrid/ESP), Lisandro López (FC Porto/POR).

LA SELECTION :
GARDIENS : Grégory Coupet (Olympique Lyonnais), Mickaël Landreau (Paris-SG)
DEFENSEURS : Eric Abidal (Olympique Lyonnais), François Clerc (Olympique Lyonnais), Julien Escudé (FC. Seville/ESP), Patrice Evra (Manchester United/ANG), Gaël Givet (AS. Monaco), Philippe Mexès (AS Rome/ITA), Willy Sagnol (Bayern Munich/ALL), Sébastien Squillaci (Olympique Lyonnais), Lilian Thuram (FC Barcelone/ESP).
MILIEUX : Claude Makelele (Chelsea FC/ANG), Rio Antonio Mavuba (Girondins de Bordeaux), Jérémy Toulalan (Olympique Lyonnais), Patrick Vieira (Inter Milan/ITA).
ATTAQUANTS : Nicolas Anelka (Bolton Wanderers/ANG), Djibril Cissé (Olympique de Marseille), Sidney Govou (Olympique Lyonnais), Thierry Henry (Arsenal/ANG), Florent Malouda (Olympique Lyonnais), Franck Ribéry (Olympique de Marseille), David Trezeguet (Juventus Turin/ITA)

Foot - Bleus : « Ce qui compte, c´est l´Euro »
L´équipe de France va se réunir en formation plénière (22 joueurs) pour la première fois de la saison, lundi à Enghien-les-Bains. Comme avant France - Grèce (1-0), en novembre dernier, les travaux entrepris à Clairefontaine obligent les Tricolores à visiter stades et hôtels de la grande banlieue parisienne. Après Senlis et Gouvieux dans l´Oise, ils s´entraîneront cette fois à Saint-Gratien, où évolue l´entente du même nom avec Sannois (Val-d´Oise), en National. Patrick Vieira et Djibril Cissé ne seront pas pile à l´heure. Pour eux, le stage et le match France - Argentine auront commencé à 11 heures, sur les Champs Elysées. Une opération promo avec l´équipementier commun des deux sélections va les amener à croiser Javier Saviola et Esteban Cambiasso. C´est aussi sous le patronage de la marque aux trois bandes que le sélectionneur Raymond Domenech avait dévoilé, cette semaine, ce qu´il entendait faire de ce France - Argentine amical, programmé mercredi au Stade de France (21h00). L´horizon est clair : Lituanie - France le 24 mars.

« Raymond Domenech, qu´attendez-vous de ce stage et de ce match, France - Argentine ?
Un match amical au mois de février, c´est toujours particulier. On a un match capital fin mars en Lituanie, pour l´Euro 2008. Il est important de ranimer un esprit autour de l´équipe de France, pour qu´elle vive. Il y a eu débat, au sein du staff, sur l´orientation à donner à ce match. On pouvait soit préparer la Lituanie, soit tenter des choses, faire de la recherche. Le choix a été clair : ce qui compte, c´est la Lituanie. Il faudra être prêt. Il faut donc remettre tout le monde dans l´idée des qualifications. Donc on y va avec ´´ceux qu´on a´´ (sic), d´où ce groupe sans surprise. Le moyen terme, ce sera pour une autre fois.

Pourtant, Argentine et Lituanie n´ont pas beaucoup de points communs. Est-ce une préparation adaptée ?
Les deux équipes ne se ressemblent pas vraiment, c´est vrai, mais je n´y attache pas d´importance. Les joueurs ont l´habitude de s´adapter. Il fallait un gros match. J´ai insisté pour qu´on rencontre une équipe de ce niveau-là. On ne connaîtra l´impact du résultat qu´après la Lituanie.

Il y a neuf défenseurs dans votre groupe. Dans votre esprit, alors que vous êtes privés de Gallas et Boumsong, au moins, qui sont les défenseurs centraux ?
Il y en a six qui peuvent jouer dans l´axe, en sachant que Lilian (Thuram) est incertain. Il en reste cinq. Mexès a un mal, aussi... Si la question concerne Abidal et Escudé, je pense plutôt à Escudé pour l´axe. Je fais jouer les joueurs à leur poste. En club, Abidal est arrière gauche et Escudé évolue dans l´axe. Et l´association Squillaci - Givet reste une des options. Elle a fonctionné, quand ils jouaient tous les deux à Monaco.

Vous aviez rassemblé vingt-quatre joueurs contre la Grèce. Vingt-deux maintenant contre l´Argentine. Vous avez l´intention de retenir désormais des groupes élargis ?
Ils permettent de voir plus de monde avant les rassemblements importants. Même s´ils ne jouent pas, les joueurs participent, écoutent les discours, ils vivent avec l´équipe. J´y attache de l´importance.

Avez-vous conscience de la dimension affective de ce match pour David Trezeguet, qui n´avait pas été sélectionne pour France -Grèce ?
Un peu, mais ça n´a pas été le critère de jugement. Si je devais tenir compte de l´origine des joueurs et de l´adversaire, ce serait un casse-tête. J´imagine que ce match va lui tenir à coeur, mais encore une fois, ce n´est pas un critère. Je répète aussi que Trezeguet est un joueur de dimension internationale, pas un joueur de D2 italienne. On connaît ses capacités, alors on le remet dans les conditions du très haut niveau pour qu´il se remobilise pour l´équipe de France.

Il a failli arrêter les Bleus après la Coupe du monde, en avez-vous parlé avec lui ?
Oui, j´ai d´ailleurs failli arrêter moi aussi (ironique). Avec ce qui s´était passé, c´était logique. Il a souffert. Il fait partie des joueurs (les remplaçants) dont j´ai souligné la force pendant la Coupe du monde. En finale, sa satisfaction est d´être d´allé tirer un penalty (un tir au but sur la transversale), celui par lequel l´Italie gagne. Il a besoin, plus que d´autres, de remise en confiance et de dialogue. C´est normal.

Y a-t-il une hiérarchie en attaque, dans laquelle Louis Saha, que vous n´avez pas retenu, aurait baissé ?
La hiérarchie est faite pour être bousculée. Je m´appuie sur celle des gardiens de but, où il n´y a pas de concurrence réelle. Aux autres postes, elle peut évoluer à chaque match.

Nicolas Anelka, en revanche, est encore là. Est-il meilleur ou plus visible à Bolton qu´à Fenerbahçe ?
Les deux. Bolton, c´est plus pratique. Mais il est aussi peut-être plus présent dans les matches, je l´ai vu. Il a montré quelque chose. Il est largement au niveau.

Il y a encore sept Lyonnais dans votre groupe. Comment vivez-vous leur méforme ?
Un match amical avec la France contre l´Argentine, c´est exceptionnel. Ils sont capables de hausser le ton pour ce challenge. Et ce qui compte, c´est le mois de mars. Pour le reste, je ne commente pas les performances des clubs. Je ne les retiens pas parce qu´ils sont lyonnais, mais parce que je les connais. Leur club a moins de (bons) résultats en ce moment, mais je mesure leur valeur.

A propos, ils sont qualifiés pour ne finale de Coupe de la Ligue contre Bordeaux, le 31 mars. Envisagez-vous de laisser les joueurs des deux équipes à la disposition de leurs clubs et de leur éviter le France - Autriche amical du 28 mars ?
J´ai déjà tout envisagé depuis que je connais la date et les eux protagonistes de cette finale. Mais, l´actualité, c´est France - Argentine et la préparation de la Lituanie.

Justement, ce sera le même stage, puisque France - Autriche aura lieu quatre jours plus tard...
Ça, vous n´en savez rien. » - Cé. Ro.

Foot - Bleus : « Ce qui compte, c´est l´Euro »
L´équipe de France va se réunir en formation plénière (22 joueurs) pour la première fois de la saison, lundi à Enghien-les-Bains. Comme avant France - Grèce (1-0), en novembre dernier, les travaux entrepris à Clairefontaine obligent les Tricolores à visiter stades et hôtels de la grande banlieue parisienne. Après Senlis et Gouvieux dans l´Oise, ils s´entraîneront cette fois à Saint-Gratien, où évolue l´entente du même nom avec Sannois (Val-d´Oise), en National. Patrick Vieira et Djibril Cissé ne seront pas pile à l´heure. Pour eux, le stage et le match France - Argentine auront commencé à 11 heures, sur les Champs Elysées. Une opération promo avec l´équipementier commun des deux sélections va les amener à croiser Javier Saviola et Esteban Cambiasso. C´est aussi sous le patronage de la marque aux trois bandes que le sélectionneur Raymond Domenech avait dévoilé, cette semaine, ce qu´il entendait faire de ce France - Argentine amical, programmé mercredi au Stade de France (21h00). L´horizon est clair : Lituanie - France le 24 mars.

« Raymond Domenech, qu´attendez-vous de ce stage et de ce match, France - Argentine ?
Un match amical au mois de février, c´est toujours particulier. On a un match capital fin mars en Lituanie, pour l´Euro 2008. Il est important de ranimer un esprit autour de l´équipe de France, pour qu´elle vive. Il y a eu débat, au sein du staff, sur l´orientation à donner à ce match. On pouvait soit préparer la Lituanie, soit tenter des choses, faire de la recherche. Le choix a été clair : ce qui compte, c´est la Lituanie. Il faudra être prêt. Il faut donc remettre tout le monde dans l´idée des qualifications. Donc on y va avec ´´ceux qu´on a´´ (sic), d´où ce groupe sans surprise. Le moyen terme, ce sera pour une autre fois.

Pourtant, Argentine et Lituanie n´ont pas beaucoup de points communs. Est-ce une préparation adaptée ?
Les deux équipes ne se ressemblent pas vraiment, c´est vrai, mais je n´y attache pas d´importance. Les joueurs ont l´habitude de s´adapter. Il fallait un gros match. J´ai insisté pour qu´on rencontre une équipe de ce niveau-là. On ne connaîtra l´impact du résultat qu´après la Lituanie.

Il y a neuf défenseurs dans votre groupe. Dans votre esprit, alors que vous êtes privés de Gallas et Boumsong, au moins, qui sont les défenseurs centraux ?
Il y en a six qui peuvent jouer dans l´axe, en sachant que Lilian (Thuram) est incertain. Il en reste cinq. Mexès a un mal, aussi... Si la question concerne Abidal et Escudé, je pense plutôt à Escudé pour l´axe. Je fais jouer les joueurs à leur poste. En club, Abidal est arrière gauche et Escudé évolue dans l´axe. Et l´association Squillaci - Givet reste une des options. Elle a fonctionné, quand ils jouaient tous les deux à Monaco.

Vous aviez rassemblé vingt-quatre joueurs contre la Grèce. Vingt-deux maintenant contre l´Argentine. Vous avez l´intention de retenir désormais des groupes élargis ?
Ils permettent de voir plus de monde avant les rassemblements importants. Même s´ils ne jouent pas, les joueurs participent, écoutent les discours, ils vivent avec l´équipe. J´y attache de l´importance.

Avez-vous conscience de la dimension affective de ce match pour David Trezeguet, qui n´avait pas été sélectionne pour France -Grèce ?
Un peu, mais ça n´a pas été le critère de jugement. Si je devais tenir compte de l´origine des joueurs et de l´adversaire, ce serait un casse-tête. J´imagine que ce match va lui tenir à coeur, mais encore une fois, ce n´est pas un critère. Je répète aussi que Trezeguet est un joueur de dimension internationale, pas un joueur de D2 italienne. On connaît ses capacités, alors on le remet dans les conditions du très haut niveau pour qu´il se remobilise pour l´équipe de France.

Il a failli arrêter les Bleus après la Coupe du monde, en avez-vous parlé avec lui ?
Oui, j´ai d´ailleurs failli arrêter moi aussi (ironique). Avec ce qui s´était passé, c´était logique. Il a souffert. Il fait partie des joueurs (les remplaçants) dont j´ai souligné la force pendant la Coupe du monde. En finale, sa satisfaction est d´être d´allé tirer un penalty (un tir au but sur la transversale), celui par lequel l´Italie gagne. Il a besoin, plus que d´autres, de remise en confiance et de dialogue. C´est normal.

Y a-t-il une hiérarchie en attaque, dans laquelle Louis Saha, que vous n´avez pas retenu, aurait baissé ?
La hiérarchie est faite pour être bousculée. Je m´appuie sur celle des gardiens de but, où il n´y a pas de concurrence réelle. Aux autres postes, elle peut évoluer à chaque match.

Nicolas Anelka, en revanche, est encore là. Est-il meilleur ou plus visible à Bolton qu´à Fenerbahçe ?
Les deux. Bolton, c´est plus pratique. Mais il est aussi peut-être plus présent dans les matches, je l´ai vu. Il a montré quelque chose. Il est largement au niveau.

Il y a encore sept Lyonnais dans votre groupe. Comment vivez-vous leur méforme ?
Un match amical avec la France contre l´Argentine, c´est exceptionnel. Ils sont capables de hausser le ton pour ce challenge. Et ce qui compte, c´est le mois de mars. Pour le reste, je ne commente pas les performances des clubs. Je ne les retiens pas parce qu´ils sont lyonnais, mais parce que je les connais. Leur club a moins de (bons) résultats en ce moment, mais je mesure leur valeur.

A propos, ils sont qualifiés pour ne finale de Coupe de la Ligue contre Bordeaux, le 31 mars. Envisagez-vous de laisser les joueurs des deux équipes à la disposition de leurs clubs et de leur éviter le France - Autriche amical du 28 mars ?
J´ai déjà tout envisagé depuis que je connais la date et les eux protagonistes de cette finale. Mais, l´actualité, c´est France - Argentine et la préparation de la Lituanie.

Justement, ce sera le même stage, puisque France - Autriche aura lieu quatre jours plus tard...
Ça, vous n´en savez rien. » - Cé. Ro.

Foot - Bleus : « Ce qui compte, c´est l´Euro »
L´équipe de France va se réunir en formation plénière (22 joueurs) pour la première fois de la saison, lundi à Enghien-les-Bains. Comme avant France - Grèce (1-0), en novembre dernier, les travaux entrepris à Clairefontaine obligent les Tricolores à visiter stades et hôtels de la grande banlieue parisienne. Après Senlis et Gouvieux dans l´Oise, ils s´entraîneront cette fois à Saint-Gratien, où évolue l´entente du même nom avec Sannois (Val-d´Oise), en National. Patrick Vieira et Djibril Cissé ne seront pas pile à l´heure. Pour eux, le stage et le match France - Argentine auront commencé à 11 heures, sur les Champs Elysées. Une opération promo avec l´équipementier commun des deux sélections va les amener à croiser Javier Saviola et Esteban Cambiasso. C´est aussi sous le patronage de la marque aux trois bandes que le sélectionneur Raymond Domenech avait dévoilé, cette semaine, ce qu´il entendait faire de ce France - Argentine amical, programmé mercredi au Stade de France (21h00). L´horizon est clair : Lituanie - France le 24 mars.

« Raymond Domenech, qu´attendez-vous de ce stage et de ce match, France - Argentine ?
Un match amical au mois de février, c´est toujours particulier. On a un match capital fin mars en Lituanie, pour l´Euro 2008. Il est important de ranimer un esprit autour de l´équipe de France, pour qu´elle vive. Il y a eu débat, au sein du staff, sur l´orientation à donner à ce match. On pouvait soit préparer la Lituanie, soit tenter des choses, faire de la recherche. Le choix a été clair : ce qui compte, c´est la Lituanie. Il faudra être prêt. Il faut donc remettre tout le monde dans l´idée des qualifications. Donc on y va avec ´´ceux qu´on a´´ (sic), d´où ce groupe sans surprise. Le moyen terme, ce sera pour une autre fois.

Pourtant, Argentine et Lituanie n´ont pas beaucoup de points communs. Est-ce une préparation adaptée ?
Les deux équipes ne se ressemblent pas vraiment, c´est vrai, mais je n´y attache pas d´importance. Les joueurs ont l´habitude de s´adapter. Il fallait un gros match. J´ai insisté pour qu´on rencontre une équipe de ce niveau-là. On ne connaîtra l´impact du résultat qu´après la Lituanie.

Il y a neuf défenseurs dans votre groupe. Dans votre esprit, alors que vous êtes privés de Gallas et Boumsong, au moins, qui sont les défenseurs centraux ?
Il y en a six qui peuvent jouer dans l´axe, en sachant que Lilian (Thuram) est incertain. Il en reste cinq. Mexès a un mal, aussi... Si la question concerne Abidal et Escudé, je pense plutôt à Escudé pour l´axe. Je fais jouer les joueurs à leur poste. En club, Abidal est arrière gauche et Escudé évolue dans l´axe. Et l´association Squillaci - Givet reste une des options. Elle a fonctionné, quand ils jouaient tous les deux à Monaco.

Vous aviez rassemblé vingt-quatre joueurs contre la Grèce. Vingt-deux maintenant contre l´Argentine. Vous avez l´intention de retenir désormais des groupes élargis ?
Ils permettent de voir plus de monde avant les rassemblements importants. Même s´ils ne jouent pas, les joueurs participent, écoutent les discours, ils vivent avec l´équipe. J´y attache de l´importance.

Avez-vous conscience de la dimension affective de ce match pour David Trezeguet, qui n´avait pas été sélectionne pour France -Grèce ?
Un peu, mais ça n´a pas été le critère de jugement. Si je devais tenir compte de l´origine des joueurs et de l´adversaire, ce serait un casse-tête. J´imagine que ce match va lui tenir à coeur, mais encore une fois, ce n´est pas un critère. Je répète aussi que Trezeguet est un joueur de dimension internationale, pas un joueur de D2 italienne. On connaît ses capacités, alors on le remet dans les conditions du très haut niveau pour qu´il se remobilise pour l´équipe de France.

Il a failli arrêter les Bleus après la Coupe du monde, en avez-vous parlé avec lui ?
Oui, j´ai d´ailleurs failli arrêter moi aussi (ironique). Avec ce qui s´était passé, c´était logique. Il a souffert. Il fait partie des joueurs (les remplaçants) dont j´ai souligné la force pendant la Coupe du monde. En finale, sa satisfaction est d´être d´allé tirer un penalty (un tir au but sur la transversale), celui par lequel l´Italie gagne. Il a besoin, plus que d´autres, de remise en confiance et de dialogue. C´est normal.

Y a-t-il une hiérarchie en attaque, dans laquelle Louis Saha, que vous n´avez pas retenu, aurait baissé ?
La hiérarchie est faite pour être bousculée. Je m´appuie sur celle des gardiens de but, où il n´y a pas de concurrence réelle. Aux autres postes, elle peut évoluer à chaque match.

Nicolas Anelka, en revanche, est encore là. Est-il meilleur ou plus visible à Bolton qu´à Fenerbahçe ?
Les deux. Bolton, c´est plus pratique. Mais il est aussi peut-être plus présent dans les matches, je l´ai vu. Il a montré quelque chose. Il est largement au niveau.

Il y a encore sept Lyonnais dans votre groupe. Comment vivez-vous leur méforme ?
Un match amical avec la France contre l´Argentine, c´est exceptionnel. Ils sont capables de hausser le ton pour ce challenge. Et ce qui compte, c´est le mois de mars. Pour le reste, je ne commente pas les performances des clubs. Je ne les retiens pas parce qu´ils sont lyonnais, mais parce que je les connais. Leur club a moins de (bons) résultats en ce moment, mais je mesure leur valeur.

A propos, ils sont qualifiés pour ne finale de Coupe de la Ligue contre Bordeaux, le 31 mars. Envisagez-vous de laisser les joueurs des deux équipes à la disposition de leurs clubs et de leur éviter le France - Autriche amical du 28 mars ?
J´ai déjà tout envisagé depuis que je connais la date et les eux protagonistes de cette finale. Mais, l´actualité, c´est France - Argentine et la préparation de la Lituanie.

Justement, ce sera le même stage, puisque France - Autriche aura lieu quatre jours plus tard...
Ça, vous n´en savez rien. » - Cé. Ro.

PTDR LE BUG

Désolé j´ai buggé ^^

Pas grave ^^

On gagne mercredi !

Foot - ARG : Entraînement sans Aimar et Duscher
La délégation argentine s´est installée dimanche à Levallois-Perret en banlieue parisienne, et a effectué son premier entraînement lundi. Alfio Basile devra néanmoins se passer des services de Pablo Aimar et Aldo Duscher pour le match amical contre la France, mercredi au Stade de France.

Pablo Aimar souffre d´une distension des ligaments du genou gauche et Aldo Duscher se ressent d´une surcharge musculaire. Ces absences ne seront pas palliées. Le sélectionneur argentin, Alfio Basile avait prévu, pour cette rencontre, une liste de 21 joueurs en prévision de forfaits de dernière minute.

Par ailleurs, une légère incertitude concerne le jeune milieu de terrain du Real Madrid, Fernando Gago, dont les soucis musculaires ne devraient toutefois pas l´empêcher d´honorer sa première sélection, selon Alfio Basile.

La liste des 21 sélectionnés :
GARDIENS : Roberto Abbondanzieri (Getafe/ESP), Leonardo Franco (Atletico Madrid/ESP)
DEFENSEURS : Javier Zanetti (Inter Milan/ITA), Roberto Ayala (Valence/ESP), Gabriel Milito (Saragosse/ESP), Rodolfo Arruabarrena (Villarreal/ESP), Gabriel Heinze (Manchester United/ANG), Nicolas Burdisso (Inter Milan/ITA), Fabricio Fuentes (Villarreal/ESP)
MILIEUX : Fernando Gago (Real Madrid/ESP), Esteban Cambiasso (Inter Milan/ITA), Leandro Somoza (Villarreal/ESP), Luis González (FC Porto/POR), Jonas Gutierrez (Majorque/ESP)
ATTAQUANTS : Javier Saviola (FC Barcelone/ESP), Hernan Crespo (Inter Milan/ITA), Diego Milito (Saragosse/ESP), Sergio Agüero (Atletico Madrid/ESP), Lisandro López (FC Porto/POR).

Foot - Bleus : Mexès repart, Flamini arrive
Le défenseur de l´AS Roma Philippe Mexès, blessé au pied droit, a été contraint de quitter le rassemblement de l´équipe de France lundi, après avoir fait observer sa blessure par le staff médical. Le sélectionneur, Raymond Domenech, avait anticipé son remplacement en convoquant Julien Rodriguez dès dimanche soir. Mais pour conserver un groupe de vingt-deux joueurs avec lui, le sélectionneur a appelé le défenseur et milieu défensif d´Arsenal Mathieu Flamini. Comme pour Julien Rodriguez, 28 ans, c´est la première fois que l´ancien Marseillais, 22 ans, est appelé dans le groupe France. Récupérateur de formation, Flamini a fait sensation la saison dernière en occupant le flanc gauche de la défense londonienne lors de l´épopée des Gunners jusqu´en finale de Ligue des champions. Cette arrivée semble prévenir un possible forfait de Jérémy Toulalan, tiraillé par une cuisse.

Le forfait de Mexès confirme que Raymond Domenech se trouve face à un casse-tête pour la constitution de sa défense centrale. William Gallas et Jean-Alain Boumsong, touchés, étaient déjà indisponibles depuis la semaine dernière. Lilian Thuram, présent pour jouer son rôle de cadre, ne s´est pas entraîné de la semaine en raison d´un mollet douloureux. En revanche, les nouvelles sont plutôt rassurantes concernant Sébastien Squillaci et Eric Abidal, puisqu´ils ont participé normalement à l´entraînement léger programmé lundi à Saint-Gratien. Le premier a renoncé à Troyes - Lyon (1-0), dimanche, en raison de douleurs aux ischio-jambiers. Le second est sorti à la mi-temps, blessé aux côtes.

La séance, sorte de décrassage amélioré, n´a évidemment pas permis de déceler une tendance sur les choix de Domenech quant à son onze de départ pour mercredi contre l´Argentine. Pour l´essentiel, les joueurs ont couru et ont suivi des étirements. Seuls Landreau, Trezeguet, Clerc, Sagnol et Vieira ont touché le ballon. Tenté par une reconduction de la paire Squillaci - Givet, qui n´a plus débuté ensemble depuis février 2005 et France - Suède (1-1), Raymond Domenech suit de près la capacité de récupération du premier nommé. Samedi à Lyon, Gérard Houllier avait estimé que l´état de Squillaci n´avait rien d´inquiétant.

Les options en défense :
Sagnol - Squillaci (ou Rodriguez), Givet (ou Escudé), Abidal (ou Evra).

LE GROUPE :
Coupet, Landreau - Abidal, Clerc, Escudé, Evra, Givet, Rodriguez, Sagnol, Squillaci, Thuram - Makelele, Mavuba, Toulalan, Vieira - Anelka, D. Cissé, Govou, Henry, Malouda, Ribéry, Trezeguet.

Foot - Bleus : Julien Rodriguez convoqué
Le défenseur de Marseille Julien Rodriguez a été convoqué, pour la première fois de sa carrière, au rassemblement de l´équipe de France lundi, en vue de France - Argentine. Il est le vingt-troisième joueur appelé par Raymond Domenech pour ce match amical. Rodriguez ne remplace personne : il vient renforcer un groupe dont les défenseurs centraux paraissent victimes d´une malédiction. L´encadrement des Bleus annonce de vraisemblables forfaits, après avoir déjà dû renoncer à retenir William Gallas et Jean-Alain Boumsong, blessés. Les chances de Julien Rodriguez de jouer sont assez conséquentes, peut-être aux côtés de son ancien équipier monégasque Gaël Givet.

Jeudi, en présentant son groupe, dans lequel figurait six défenseurs centraux potentiels, Raymond Domenech avait reconnnu que Lilian Thuram et Philippe Mexès étaient très incertains, notamment le premier, qui ne s´est pas entraîné de la semaine en raison d´une douleur au mollet gauche. Samedi, le défenseur lyonnais Sébastien Squillaci a dû renoncer au déplacement à Troyes en raison d´une blessure aux ischio-jambiers, devenant de fait incertain à son tour. Et pendant ce même match, Eric Abidal est sorti à la mi-temps, victime d´un coup aux côtes ! Julien Escudé, Gaël Givet et Julien Rodriguez sont les trois rescapés de cette série de malheurs. Trois joueurs qui ont l´habitude d´évoluer axe gauche. Puisqu´il faudra bien trouver un latéral gauche (Esudé ou Givet), ils sont tous les trois favoris pour débuter le match...

Tous ces joueurs seront présents dimanche à midi au rassemblement des Bleus à Enghien-les-Bains, dans le Val-d´Oise, pour faire observer leurs bobos par le staff médical. Julien Rodriguez, 28 ans, finaliste de la Ligue des champions en 2004 avec Monaco, tire les bénéfices de ses très bonnes prestations sous le maillot de Marseille, qu´il a rejoint cet hiver après dix-huit mois aux Glasgow Rangers.

LA SELECTION :
GARDIENS : Grégory Coupet (Lyon), Mickaël Landreau (Paris-SG)
DEFENSEURS : Eric Abidal (Lyon), François Clerc (Lyon), Julien Escudé (FC. Seville/ESP), Patrice Evra (Manchester United/ANG), Gaël Givet (Monaco), Philippe Mexès (AS Roma/ITA), Julien Rodriguez (Marseille), Willy Sagnol (Bayern Munich/ALL), Sébastien Squillaci (Lyon), Lilian Thuram (FC Barcelone/ESP).
MILIEUX : Claude Makelele (Chelsea/ANG), Rio Antonio Mavuba (Bordeaux), Jérémy Toulalan (Lyon), Patrick Vieira (Inter Milan/ITA).
ATTAQUANTS : Nicolas Anelka (Bolton/ANG), Djibril Cissé (Marseille), Sidney Govou (Lyon), Thierry Henry (Arsenal/ANG), Florent Malouda (Lyon), Franck Ribéry (Marseille), David Trezeguet (Juventus/ITA).

06/02/2007

Foot - Bleus : Thuram « quasiment » forfait

Raymond Domenech a confirmé, mardi, à Saint-Gratien, que Lilian Thuram avait peu de chances de jouer mercredi contre l´Argentine. «C´est quasiment certain» a-t-il déclaré lorsqu´il a été placé face à la perspective du forfait de son chef de défense, touché au mollet gauche depuis plus d´une semaine. Le sélectionneur a également précisé que Jérémy Toulalan ne jouerait pas. Tiraillé par une cuisse, le Lyonnais reste cependant en stage avec ses équipiers dans le Val d´Oise.

Une réelle incertitude entoure encore la participation des Lyonnais Sébastien Squillaci et Eric Abidal, pressentis pour débuter la rencontre, mais gênés l´un et l´autre depuis ce week-end. Squillaci n´a pas disputé Troyes - Lyon (1-0) en raison d´ischio-jambiers grinçants et Abidal est sorti à la mi-temps. Touché aux côtés, il éprouvait des difficultés à respirer. Le sélectionneur ne saura qu´à l´issue du dernier entraînement, programmé à huis-clos, s´il est en mesure de compter sur eux. Patrick Vieira a fait savoir qu´il n´avait jamais été envisagé de le voir reculer en défense centrale, même en utlime recours.

Raymond Domenech mise sur France - Argentine pour orienter ses choix à six semaines du Lituanie - France comptant pour l´Euro 2008. Face à la perspective d´une équipe la moins expérimentale possible, la principale interrogation concerne deux secteurs. Le premier : les arbitrages en défense, où les forfaits acquis voisinent avec les incertitudes. Le deuxième : le choix d´organisation offensive. Depuis la Coupe du monde, Domenech alterne les 4-4-2 (qui serait avec Henry en pointe ?) et les 4-5-1 avec Ribéry dans l´axe. Malgré un coup reçu à la cheville ce week-end, Thierry Henry n´inquiète plus le staff médical tricolore.

L´équipe possible : Coupet - Sagnol, Squillaci (ou Rodriguez), Givet (ou Escudé), Abidal (ou Evra) - Vieira, Makelele (ou Mavuba) - Ribéry, Malouda, Govou (ou Trezeguet) - Henry.

Bleus : Le onze de départ
Rédaction Football365 - mardi 06 février 2007 - 19h21

A l´issue d´un dernier entraînement à Saint-Gratien mardi, Raymond Domenech a communiqué le onze de départ de la France pour affronter l´Argentine en match amical, mercredi à 21 heures au Stade de France.

Le onze de départ de la France
Coupet - Sagnol, Squillaci, Escudé, Abidal - Ribéry, Vieira (cap), Makelele, Malouda - Henry, Trezeguet

Remplaçants : Landreau (g), Givet, Evra, Clerc, J.Rodriguez, Thuram, Flamini, Mavuba, Govou, Anelka, D.Cissé

http://www.football365.fr/depeches/filinfo_151786_34_Bleus-Le-onze-de-depart.shtml

On va se faire déchirer.

06/02/2007

Foot - Bleus : Vieira : «Un bon match à jouer»

Patrick Vieira, le capitaine de l´équipe de France et joueur de l´Inter Milan, a condamné mardi les incidents survenus cette semaine en Italie, qui ont coûté la vie à un policier. Il espère que les autorités trouveront une solution, peut-être en s´inspirant de ce qui a été fait en Angleterre, pays dans lequel il a évolué neuf ans sous le maillot d´Arsenal (1996-2005). Le joueur, qui fête aussi ses dix ans en Bleu, se réjouit de rencontrer l´Argentine, mercredi, «une des plus grandes nations de football du monde».

«Patrick Vieira, quel est votre sentiment après les graves incidents survenus cette semaine en Italie ?
Je pense que le minimum à faire par rapport à ce drame était de ne pas jouer ce week-end. Ce problème existe depuis pas mal de temps en Italie, j´espère que des solutions vont être trouvées. L´Italie reste quand même un grand pays de football. Il faut regarder ce qui a été fait en Angleterre, cela doit servir d´exemple. Je ne suis en Italie que depuis deux ans, et quand je suis arrivé d´Angleterre, j´ai vraiment vu la différence. C´est incompréhensible de voir des supporters arriver dans des stades avec des fumigènes.

Vous arrive-t-il d´avoir peur ?
Personnellement non. Il faut dire que les joueurs sont bien encadrés, mais on sent parfois des mauvaises vibrations dans les stades.

Le dernier rassemblement de l´équipe de France remonte à trois mois. Le temps ne vous a-t-il pas semblé long ?
Si, forcément. Même si cette coupure nous a fait du bien, c´est toujours un plaisir de revoir ces joueurs. Au vu des échéances qui nous attendent, il est important de nous rencontrer. C´est bien pour la vie du groupe, pour retrouver les automatismes et le plaisir. Il faut retrouver toutes ces petites choses qui ont fait qu´on a vu une bonne équipe de France ces dernières années. Ces petites choses se perdent rapidement. Maintenant, si je devais dire un mot sur le calendrier, je dirais qu´il a été plutôt mal fait.

Que représente pour vous ce match contre l´Argentine ?
On joue contre une des plus grandes nations de football du monde, dans un stade plein à craquer. C´est l´une des équipes qui produit le meilleur jeu à mon avis, avec des grandes individualités. C´est vraiment un bon match à jouer, il faudra être prudent d´entrée et ne pas perdre, sinon on va se faire chambrer en club.

Vous en êtes à dix ans de carrière en Bleu. Que ressentez-vous ?
C´est une grande fierté, je fais partie des privilégiés qui ont atteint les cent sélections. J´ai connu des moments difficiles en équipe de France comme en club mais je me suis battu pour y rester. Avec le recul, c´est une grosse fierté personnelle».

06/02/2007

Foot - Bleus : Domenech: «Cissé est catastrophé»

Raymond Domenech, le sélectionneur des Bleus, a tenu à donner sa version des faits concernant Djibril Cissé, qui a gravement blessé le Parisien Mario Yepes, dimanche. Le Marseillais avait déclaré lundi qu´il n´appellerait pas Yepes et qu´il ne s´excuserait pas. «Je me suis excusé sur le terrain et il m´a parlé comme à un chien. Je ne vais quand même pas me mettre à genou devant lui». D´après Domenech, la situation est totalement différente. «Djibril est catastrophé par ce qui s´est passé, a déclaré le sélectionneur. Il est bien placé pour savoir à quel point une blessure de ce genre fait mal, aussi bien physiquement que mentalement, et il sait ce que l´on ressent à ce moment-là».

Il a ensuite confirmé que le joueur avait fait un pas vers le Colombien. «Il s´est excusé, il a appelé Yepes. Il comprend bien la situation, mais c´est un fait de jeu. Les accidents arrivent parfois dans le football, c´est dommage, on le regrette tous. Même s´il s´excuse 50 fois, cela ne soignera pas la cheville de Yepes. Mais, croyez-moi, on en a discuté et il est catastrophé. Il a ressenti le coup en même temps qu´il l´a donné. La blessure est ancrée en lui, et la provoquer lui-même, cela doit être très dur. Je préfère ce qu´il a fait que ce qu´il a dit».

Le sélectionneur a également commenté la mauvaise passe lyonnaise, dont beaucoup de joueurs sont pensionnaires de l´équipe de France. «Les Lyonnais ont effectivement un coup de moins bien, mais l´équipe de France, c´est autre chose. Il y a ce côté motivation qui est peut-être supérieur en équipe de France et qui fait que l´on se retrouve toujours dans ces moments-là. Maintenant, après avoir perdu treize points sur les quinze derniers possibles, ils ont encore onze points d´avance. C´est difficile de dire qu´ils sont en danger. Ils ont simplement besoin de l´exceptionnel : l´équipe de France et la Ligue des champions, qui est leur objectif déclaré».

L´ENVIE D´EN AVOIR PLUS
Par Cédric ROUQUETTE

L´équipe de France reçoit l´Argentine ce soir à Saint-Denis pour conforter ses certitudes avant de reprendre les qualifications vers l´Euro 2008. L´affiche, rare et somptueuse, nourrit tous les espoirs de spectacle, habituellement discret lors des joutes amicales de février.

Trois Coupes du monde sur le terrain
C´est un peu comme s´il ne fallait pas trop leur en demander, comme si le clinquant de l´affiche en imposait trop pour un simple match de préparation à deux semaines de la Ligue des champions. «Entre faire de l´exhibition et jouer sérieusement pour être compétitif, il faut choisir». Les Bleus, même l´heureux revenant Djibril Cissé, ont choisi. La réception de l´Argentine, mercredi au Stade de France, n´aura d´amical que son classement dans les archives. Dans les carnets du sélectionneur, il sera stabyloté comme une séance d´entraînement plus prestigieuse que les autres. La raison d´être de France - Argentine, répète Raymond Domenech, est de redonner corps au club France avant d´aller en Lituanie le 24 mars. Le déplacement sera moins glamour, sauf qu´il comptera pour l´Euro 2008, lui. L´Ecosse y a gagné (2-1), la France ne pourra éviter de l´imiter. Même s´il ne leur appartient pas de vider les stades - ce que d´ailleurs, ils ne feront pas malgré leur prudence - les Bleus ont raison de prévenir. Le spectacle promis est passé à la trappe, ces derniers temps, quand la France a reçu les plus grands de ce monde. France - Brésil en mai 2004 : 0-0. France - Allemagne en novembre 2005 : 0-0. Et les matches de l´hiver ont rarement la vertu de transcender les joueurs. L´an passé, ils avaient même trébuché en beauté contre la Slovaquie (1-2).

Ce France - Argentine est pourtant un événement en soi. C´est un match rare. Plus de vingt ans sans duel, c´est presque une anomalie. En 1986, lors du précédent test amical à Paris, la France l´avait emporté (2-0). A cette époque, l´Argentine n´avait été qu´une fois championne du monde (1978). Depuis, elle a gagné une autre étoile (1986), la France sa première (1998), et pour mieux saisir le potentiel de l´affiche, il suffit de se rappeler combien France - Argentine était une finale théorique alléchante lors de la dernière Coupe du monde. David Trezeguet, né à Rouen de parents argentins, façonné à Buenos Aires, déraciné à 17 ans, était prêt à donner quelques-uns de ses buts pour être dans le onze de départ, lui qui se morfond en Serie B depuis son tir au but manqué à Berlin. ´´Trezegol´´ est le trait d´union entre deux pays qui se sont beaucoup nourris l´un et l´autre depuis les années 70, mais dont la liaison a été brouillée par l´omniprésence des Brésiliens dans notre championnat. Aucun joueur de L1 ne fait partie du groupe d´Alfio Basile, même si les Franciliens reconnaîtront la grinta de Gabriel Heinze, aujourd´hui à Manchester, et l´ex-lapin monégasque Javier Saviola.

L´Argentine de Basile, un chantier naissant
Dans sa lapidaire intervention devant les médias, lundi, Basile a eu le temps de glisser que la France était «la sélection pratiquant le meilleur football au monde». Pour mieux souligner que l´Albiceleste de l´après-Riquelme entame de son côté un cycle qui vise la plénitude lors de la Coupe du monde 2010. Elle reste sur deux défaites contre le Brésil (0-3) et l´Espagne (1-2). Face à un tel orgueil et avec sa défense replâtrée (Gallas et Thuram forfait, une association expérimentale Squillaci-Escudé), la France ne doit s´attendre à aucun cadeau. Elle ne pourra pas dominer sans cadrer, comme en novembre contre la Grèce (1-0). Elle devra aller plus haut que jamais depuis Berlin. Les deux fois où elle a joué sans William Gallas depuis que Raymond Domenech est sélectionneur, elle a d´ailleurs perdu. Etouffer la série dans l´oeuf serait en soi une bonne façon de préparer Vilnius. L´Argentine, c´est l´Euro. Il faut s´y faire.

Foot - Espoirs : France - Suisse : 4-0

Compos=
-France= Coupet; Sagnol, Squilacci, Escude, Abidal; Viera, Makelele, Malouda, Ribéry; Trezeguet, Henry.
-Argentine= Abbondanzieri; Burdisso, Ayala, G.Milito, Heinze; Gago, Cambiasso, Lucho Gonzalez, J.Zanetti; Saviola, Crespo.

Source Infosport
Désolé si vous les avez déjà.

Ca va être un super match de gala ^^

Cissé n°10

moi je dis que ce soir les chevilles d´Henry vont enfler de 34 cm