Je vais voir, je suis abonné en honneur centrale
Je me souviens il y a deux ans d´un Lille - PSG avec Ronaldinho, on avait gagné 2-1, il y avait eu trois rouges même
Oui j´y etait aussi (j´etais deg!!)
La Voix du Nord - 04 février 2006
Nice - Lille - L’envie, c’est le nerf de la guerre
par Pierre DIÉVAL
évidemment, rien ne garantit au LOSC de pouvoir enrichir son capital, ce soir, à Nice, dans un environnement que Claude Puel qualifie d’ailleurs de « particulier » en référence au chaud public du stade du Ray et au caractère combatif et parfois même flamboyant du « Gym ».
Mais, d’une certaine façon, les Lillois jouent sur du velours. Leur bilan, à ce jour, est en effet très positif et surtout les faits démontrent qu’ils n’ont pas acquis les certitudes qui leur valent d’être quatrièmes de la Ligue 1 et de pouvoir ainsi s’inscrire de nouveau dans une perspective haute, sur la base d’un simple concours de circonstances. Dès lors, pourquoi céderaient-ils au stress ?
Vraie force
Auteurs d’un parcours presque sans faute en janvier (dix points en cinq matchs : trois victoires, un nul pour une seule défaite à Troyes ; avec en prime une qualification en Coupe de France, à Saint-Étienne), les joueurs de Puel s’appuient sur des arguments solides, alors que, paradoxalement, ils ne disposent pas de toutes leurs forces pour diverses raisons. Cerise sur le gâteau : les événements s’enchaînent souvent favorablement pour eux, ce qui est, dit-on, le propre des équipes portées par l’envie de jouer les coups à fond.
Claude Puel voit là le signe évident, la preuve palpable d’une vraie force morale, même s’il n’abuse pas de ces formules. Le constat ne doit pas vraiment le surprendre, compte tenu des états de service antérieurs de ce LOSC dont il a accompagné la croissance depuis près de quatre ans et mesuré chaque jour un peu mieux les ressources morales. Mais comment douter que cette évidence ne puisse pas retenir son attention en ces temps agités ?
« On est dans la difficulté depuis début janvier. Les joueurs le savent et ils ont conscience aussi que rien ne sera facile pour eux. Alors, ils s’accrochent, ils retardent les échéances, ils font durer le plaisir en quelque sorte... À chaque fois, on est allé chercher les résultats avec la conviction de ceux qui veulent quelque chose. » S’il admet que la perspective de pouvoir presque exclusivement s’occuper du championnat constitue pour l’heure un atout non négligeable, seule la Coupe de France (à deux reprises) étant venue se greffer sur le programme domestique du LOSC, Claude Puel ne réfute pas cependant la thèse selon laquelle les ouvertures provoquées, d’une part par les départs à la CAN, d’autre part par les absences sur blessures, auraient eu un effet moteur dans le comportement de certains au temps de jeu limité jusque-là.
Tous en éveil
« C’est vrai que l’on met beaucoup l’accent sur l’investissement de chacun, le but du jeu étant de maintenir tout le monde en éveil. On demande beaucoup aux joueurs et pour le moment ceux-ci adhèrent pleinement à nos propositions. Ils ont un bon comportement. Mais tout est tellement aléatoire... Chaque match impose une remise en question car on n’a pas de droit à l’erreur. » Avec un total de 25 joueurs utilisés à ce jour d’entrée de jeu et un système de rotation unique en France, Lille est un exemple flatteur mais aussi troublant de ce qui peut se faire en matière de renouvellement d’effectif instantané. Maître de son sujet autant que de ses hommes, Puel étonne toujours autant. Et son groupe avec. Regardez sa composition d’équipe à Lorient. Vraiment renversante.
Motiver, proposer, surprendre, tenir en éveil, titiller... La recette est simple en apparence. Mais encore faut-il avoir les moyens d’y recourir. Et ça, c’est du travail invisible.
La Voix du Nord - 04 février 2006
Mathieu Bodmer : « Je suis bien ici »
Le milieu de terrain lillois est heureux d’évoluer dans un tel contexte
– Quel regard jetez-vous sur ce LOSC qui, sans être spécialement brillant, rafle des points tout en faisant preuve d’autorité ?
« Il est évident que nous sommes dans une bonne période. Tout va bien. L’effectif est en apparence amoindri mais ça n’empêche pas le coach de changer souvent de formule.
Cette stratégie permet à ceux qu’on ne voit pas souvent et qui n’avaient pas un temps de jeu très fourni, de se montrer. Mais le point le plus important, c’est que ces joueurs-là ont envie de répondre présents. Bref, tout le monde reste concentré. Ailleurs, les joueurs qui ne jouent pas, ont tendance à s’éparpiller. Ce n’est pas le cas à Lille. »
– Personnellement, où vous situez-vous actuellement ?
« Contre Metz, j’ai éprouvé certaines difficultés. À vrai dire, je préfère tenir un rôle plus défensif qui me permet d’être face au jeu et de voir les choses. J’ai le sentiment de mieux m’exprimer dans ces conditions-là. Mais si c’est pour dépanner, je n’ai rien contre le fait d’évoluer dans un autre registre. »
– Claude Puel a parlé d’un mois de février charnière pour le LOSC. Qu’en pensez-vous ?
« Chaque match, pendant cette période, sera important ; à commencer par celui de Nice. Ce serait bien de pouvoir ramener quelque chose de là-bas.
La répétition des matchs n’a jamais été pour nous un obstacle. Alors, nous abordons sereinement cette période hyperactive qui va nous proposer de gros matchs de Ligue 1 et d’autres en Coupe UEFA. »
– Précisément, ne croyez-vous pas que l’UEFA va provoquer chez vous quelques frustrations par rapport à la Ligue des champions ?
« Ça va être différent au niveau de l’ambiance et sur le plan de l’intensité. Mais nous héritons de Donetsk qui est une grosse équipe. Je ne crois pas que nous puissions être frustrés. »
– Votre situation contractuelle est confortable (contrat jusqu’en 2011). Pour autant, excluez-vous un départ anticipé dans un proche avenir ?
« Je ne suis pas pressé. Je suis bien ici. Claude Puel connaît mon mode de fonctionnement. Je n’ai pas changé. Dès lors, il sait à quoi s’en tenir.
Et moi, je sais ce qu’il attend de moi. »
Propos recueillis par P. Di.
Lille trace
sa route
Quatrième du Championnat, le LOSC
n’a perdu qu’une fois depuis la reprise.
Grâce à son étonnant réservoir.
MERCREDI SOIR, à Lorient (L 2),
après la qualification lilloise pour les
huitièmes de finale de la Coupe de
France (1-0), une joie mélancolique
traversait le visage de GrégoryMalicki,
gardien performant (en
l’absence de Tony Sylva, à la CAN
avec le Sénégal) et capitaine heureux.
La joie pour son doyen (32 ans)
d’appartenir à « un groupe solidaire
où il fait bon vivre. » La mélancolie,
parce qu’au début de sa carrière,
« personne ne [l’a] aidé comme les
j oueurs s ’aident entre eux
aujourd’hui. »
Un esprit est en marche à Lille. Les
expériences ont apporté un surplus
de pragmatisme, on l’a vu en Bretagne,
où les Nordistes, en difficulté,
ont arraché la victoire sur la fin (but
de Kader Keita, 84e).Comme à Saint-
Etienne au tour précédent (but de
Moussilou, 120e). Quand ça va mal,
Lille tient le choc. Quand ça va bien, il
concrétise ses actions offensives. Il
ne perd pas ou peu (un seul revers à
Troyes, 0-1, depuis la reprise). Il
occupe la 4e place du classement de
la L 1 avec la 2e attaque.
Le LOSC ne possède cependant pas
encore l’identité que Claude Puel
veut pour son équipe, car il reste
convaincu qu’elle peut faire beaucoup
mieux. Ses représentations
manquent parfois d’épaisseur sur la
totalité d’une partie. Et c’est bien
évidemment ce dernier point que
l’entraîneur veut améliorer. Pour
contrer lesMerlus, il avait aligné une
défense aguerrie et placé devant elle
des joueurs découvrant le haut
niveau : Le Postollec et Barralon
fêtaient leur première titularisation
chez les pros, Larsen Touré la deuxième
seulement. Pendant ce tempslà,
Tafforeau, Tavlaridis, Cabaye et
Moussilou pouvaient souffler.
« Si on n’avait pas fait tourner, nos
chances d’obtenir un résultat à Nice
auraient été réduites, fait observer
Puel. On a puisé un peu plus loin
dans l’effectif de la CFA pour relever
le challenge de la Coupe. » Le succès
a été au rendez-vous,mais, prévientil,
« on pourra dire que l’opération
est bénéfique seulement si on
répond présent à Nice. Chaque
match est un défi, et encore plus
dans la gestion de trois rencontres en
huit jours (*). »
Puel : « On est
sur le fil du rasoir »
D’où cet avertissement : « On est sur
le fil du rasoir, on joue à l’équilibriste.
On a des blessés (dont Acimovic,
absent jusqu’à la fin de la saison,
et le capitaine Dumont). On ne sait
pas dans quel état on récupérera nos
Africains. Les matches s’enchaînent :
on nous a placés celui contre le PSG
trois jours seulement avant une rencontre
de Coupe de l’UEFA (le
15 février contre les Ukrainiens du
Chakhtior Donetsk). »
En février, le LOSC sera, en effet, sur
deux fronts : le Championnat, où il
compte atteindre le podium, et les
16es de finales de la Coupe de l’UEFA.
Avant de retrouver la Coupe de
France en mars. Pour affronter
toutes ces échéances, il puisera à
nouveau dans son étonnant réservoir.
En espérant faire assez d’économies
d’énergie pour aller le plus
loin possible.– J.-L.G.
L´equipe
En battant la Guinée 3-2, le Sénégal de Tony Sylva se qualifie pour les demi finales de la CAN 2006.
Tony a joué tout le match.
Nice a pris sa revanche… - 04/02/06
Défaits à l’aller (4-0), les Niçois ont pris leur revanche face aux Lillois (2-0). Un match heureusement sans trop d’incidence au classement à oublier pour les Nordistes…
Quatrième à deux points du podium, le LOSC se déplaçaient samedi au stade du Ray face à un OGC Nice à la recherche d’un nouveau souffle en championnat. En effet, les Aiglons pointaient avant l’affrontement à la 14e place du classement, dans un ventre mou composé de six équipes. Pour ce voyage, Claude Puel a décidé de faire appel aux services d’Hicham Aboucherouane, revenu dans la semaine, après une CAN ratée avec sa sélection marocaine. En face, Frédéric Antonetti a disposé trois attaquants (Vahirua, Bellion et Bagayoko) et a ainsi décidé de jouer la carte de l’offensive.
Nice fait le break en 20 minutes
Sous une agréable douceur niçoise, moment rare au mois de février, les vingt deux acteurs ont à disposition une pelouse en bon état. Dans ces bonnes conditions, les Lillois ne tergiversent pas. Profitant d’un mauvais dégagement de Rool, Lichtsteiner s’offre une première frappe cadrée, détournée du point par Grégorini (6’). Bien plus tard, sur leur première véritable situation, les Aiglons ouvrent la marque. La pression dans la surface est forte. Bellion travaille son côté droit, centre pour Bagayoko qui remet dans l’axe. Les contres s’enchaînent, Vahirua se présente et place une reprise imparable sous la barre transversale de Malicki (20’, 1-0). Voilà un froid réalisme dur à encaisser pour des Dogues pourtant bien en place. En guise de réaction, Aboucherouane propose deux coups de pied arrêtés dangereux. Le coup franc s’achemine dans les bras de Grégorini (23’) et le corner produit un cafouillage chaud dans la surface niçoise mais ne permet pas l’égalisation (29’). C’est alors que les Niçois se voient dans l’obligation de procéder à deux remplacements. Roudet remplace Bagayoko et dans le même temps, Varrault se blesse. Il laisse sa place à Jarjat. Le premier entrant, Roudet, ne tarde pas à se mettre en valeur. Il efface trois défenseurs sur une succession de dribbles et place un petit bijou dans la lunette droite de Malicki (40’, 2-0). La douche devient glacée et les Dogues ne parviennent pas à réagir. Le dernier retourné acrobatique de Keita loin au-dessus des cages de Grégorini n’y changera rien (45’), les Niçois ont fait le break à la pause et les Lillois affichent une fébrilité défensive étrange par sa rareté.
Une soirée cauchemardesque
Pour la reprise, Claude Puel procède à un changement tactique. Geoffrey Dernis prend place derrière Moussilou alors que Keita se déplace sur l’aile droite. Lichtsteiner redescend en position d’arrière latéral droit. Malgré cette modification stratégique, le LOSC bafouille son football. Pire, il évite la sanction de peu. Rool tranche le milieu de terrain lillois plein axe et décale Balmont sur sa droite. Le Niçois frappe à ras de terre et oblige Malicki à parer en deux temps (58’). Derrière, Dernis lancé par Bodmer échoue sur Abardonado et n’obtient pas de récompense (59’). Le match connaît alors quelques échauffourées. Les cartons sur les Dogues s’accumulent et la tension monte d’un cran. Pendant de longues secondes, la rencontre donne l’impression d’assister à une bagarre de rue. Et c’est le jeu qui en fait les frais. Aucune occasion à se mettre sous la dent. La fluidité et la précision des passes manquent cruellement aux Lillois, visiblement dans un très mauvais jour. Le mordant dans les duels est en plus à mettre à l’actif des Niçois. Bref, le Gym domine et mène donc logiquement au score. Alors les Nordistes s’en remettent aux coups de pied arrêtés, seuls mouvements permettant de mettre les Aiglons en difficulté. Malheureusement, Grégorini fait office de dernier rempart sur un coup franc détourné de Tafforeau (82’) et sur un dernier corner de Dernis (90’).
Comme à Troyes, le LOSC est freiné dans son élan. Les huit jours de repos accordés aux Dogues avant d’affronter le Paris SG ne seront pas de trop. Seul point positif de cette 25e journée, Auxerre défait à Ajaccio reste à distance et Bordeaux en déplacement à Lyon aura un gros défi à relever.
Prochain rendez-vous, LOSC-Paris SG, dimanche 12 février au Stadium Lille Métropole.
http://www.losc.fr
Les faits du match
19eme minute (1-0)
Superbe action de Fanni sur le côté droit. Son centre trouve la tête de Bellion qui remet sur Vahirua seul face au but. Ce dernier ne manque pas l’occasion et fusille du droit Malicki.
39eme minute (2-0)
Roudet part du milieu de terrain, effectue un crochet aux trente mètres et enchaîne directement une frappe du gauche imparable qui finit sa course dans la lucarne gauche des buts lillois.
57eme minute
Rool déboule dans l’axe et trouve Balmont démarqué à l’entrée de la surface lilloise. Le Niçois frappe à ras-de-terre et Malicki capte en deux temps le ballon.
Jeu et joueurs
Le jeu
La première mi-temps a été très équilibrée entre un 4-3-2-1 lillois et un 4-1-3-2 niçois qui ont eu du mal à se procurer des occasions. A ce petit jeu, c’est Nice qui s’est montré d’un réalisme impitoyable en inscrivant deux buts pour autant de frappes cadrées. La deuxième mi-temps a été une copie quasi conforme de la première avec quelques fautes inutiles qui ont valu quelques cartons, surtout côté lillois.
Les Niçois
GREGORINI n’a pas eu grand-chose à faire hormis quelques sorties aériennes pleines d’assurance. FANNI-YAHIA-ABARDONADO-VARRAULT (puis JARJAT) n’ont pas trop souffert face à des attaquants lillois discrets. Au milieu, ECHOUAFNI, BALMONT et ROOL ont parfaitement rempli leur rôle de rampe de lancement pour les attaquants. VAHIRUA a eu le mérite d’ouvrir le score sans trembler. BAGAYOKO s’est rapidement blessé et a laissé sa place à ROUDET qui a marqué presque immédiatement. BELLION a réussi une bonne première mi-temps, montrant de réelles qualités techniques et de course. Il a été plus discret en seconde période.
Les Lillois
MALICKI ne pouvait absolument rien sur les deux buts. Un arrêt décisif en début de seconde période et le reste de la rencontre a été assez tranquille pour le gardien du LOSC. La défense LICHSTEINER-TAVLARIDIS-SCHMITZ-TAFFOREAU n’a pas été présente sur le premier but niçois. Match correct pour le reste. CABAYE et BODMER en milieux défensifs n’ont pas été assez présents. CHALME, KEITA et ABOUCHEROUANE n’ont pas pesé sur le milieu, ni la défense niçoise. Dans ces conditions, MOUSSILOU a été sevré de ballon et a donc passé une soirée particulièrement improductive.
Nice
Grégorini : 5
Fanni : 5,5
Yahia : 5
Abardonado : 5
Varrault (cap) : Non noté
(Jarjat, 31eme : 5)
Echouafni : 5
Balmont : 5,5
Rool : 6
Vahirua : 5,5
(Ederson, 69eme)
Bagayoko : non noté
(Roudet, 30eme : 6)
Bellion : 5,5
N´ont pas participé
Lloris (g)
Bisconti
Entraîneur : F. Antonetti
Lille
Malicki : 5
Lichtsteiner : 5
Tavlaridis : 5
Schmitz : 5
Tafforeau (cap) : 5
Cabaye : 5
Bodmer : 5
Keita : 5
Aboucherouane : 5
(Mirallas, 59eme)
Chalmé : 5
(Dernis, 45eme)
Moussilou : 5
N´ont pas participé
Pichon (g)
Plestan
Franquart
Entraîneur : C. Puel
Di 05/02 10h00
Lu 06/02 repos
Ma 07/02 15h00
Me 08/02 10h00 et 15h00
Je 09/02 huis clos
Ve 10/02 10h00
Sa 11/02 huis clos
Di 12/02 match 21h00
LOSC-PSG
Après Tony Sylva et le Sénégal, Peter Odemwingie et le Nigéria se sont qualifiés pour les demi finales de la CAN 2006 en sortant la Tunisie, le vainqueur de la dernière édition (1-1 6 tab à 5)
Peter Odemwingie est resté sur le banc.
Quand au Cameroun de Jean II Makoun, il s´est fait éliminé aux pénaltys par la Côte d´Ivoire (12-11) et il a transformé le sien. Makoun rentre donc dans le nord.
Un gros pour le topic d´un club bien supérieur à ce club d´idiots nommé Lens.
C´est pas Raz qui va me contredire, non ?
Il se vengera dès qu´il pourra utiliser les bann temporaire ^^
je peux toujours verouiller ce topic !
Allez le losc!on finira devant lens encore cette saison,je l´avias dit au debut de saison quant lens cartonné bien,j´avais dit de pas s´emflamer et qu´il ferait une moins bonne 2EME partie des saison.
Samedi il nous faut la victoire a strasbourg!
-raz- Posté le 24 mars 2006 à 09:33:21 Avertir un administrateur à propos de ce message !
je peux toujours verouiller ce topic !
Essaye pour voir, je te crois pas
En tant que Lensois je te répond Lille-Nice 4-0 alors va coucher boulet t´as oublié l´aller ^^
j´allais oublier..
nice 2-0 lille nice 2-0 lille nice 2-0 lille nice 2-0 lille nice 2-0 lille nice 2-0 lille
bonjour,
savez vous si y a un bus de prevu pour aller voir le quart de final de la coupe de france au parc des princes?
merci
aboucherouane il devient quoi?
slt lé tapete
bin jvs dit ALé LENSOIS !! !
alor kavec lille bouh !! !