on est là *
Dsl des fautes, il est tard
Honnetement, au début, franchement nofake, j'ai cru que vous etiez trois-quatre, mais avec plusieurs pseudos
Oué je vois, mais non justemment non pas du tout, on est pas 3000 mais 10 15 réguliers, et franchement ca roule bien
Muné, justemment, c'est un très bon pote, connu ici, il fait du foot avec mon frère et tout bref, y a pas que des mauvais points sur le forum
Avec les Niçois on est un peu potes, on aime pas Marseille.
Exact
On les détestes
Mais, hum, y a beaucoup de raciste à nice, ca oui c'est pas une blague, après, c'est comme de partout
Verratti est encore puni apparement.
Y a quand même pas mal de tarés à Nice. No troll hein, surtout que j'suis le premier à me plaindre des nobrains qu'on se trimballe aussi au Parc.
Btw, sans les aimer, je deteste pas Marseille perso
Oui y a vraiment des fous à Nice
En dép, c'est le sacrée bordel , le fait qu'on soit proche du terrain ca facilite le fait de jetter un pétard ou quoi, quand t'es un peu 'fou' dans ta tête, tu vas le faire
bref, c'est une mentalitée, la mentalita nissarda
DIANTRE
Ma meuf veut que je vienne dormir chez elle mardi soir.
Le soir de PSG-Porto.
Elle le fait exprès d'après vous ? Une sorte de test?
Y'a meme pas a réfléchir... c'est que du foot.
Faut vraiment etre un tocard pour loupé ce match à cause de ta meuf, c'est une fois le match, ta meuf tu peux la voir tous les jours
perso j'ai fixé les choses depuis le début, les soirs de PSG, qu'elles ne prévoient jamais de truc avec moi
maintenant on a trouvé notre équilibre comme ça
Ou alors être un tocard pour préférer un simple truc à la télé à sa meuf, maintenant c'est une question de point de vue
PSG =/= un simple truc
au pire tu regardes le match chez ta meuf hein...
ça ne pourrait pas être lyoundula la taupe ?
Lyloundulas Multipass ?
Sinon bonjour amis parisiens (et autres stalkers )
Paulinho la saison prochaine, le contrat sera signé dans 1 mois
http://europe-mercato.com/paulinho-au-psg-reve-ou-realite/
Que pensez-vous de ce texte ? $
Perso, je suis en accord avec ce qu'ils disent ! Surtout le dernier paragraphe !
Il me soule ce con !
Depuis son arrivée au PSG, Thiago Silva ne cesse de parler du Milan AC avec nostalgie. Retour sur un transfert à contre-coeur pour O Monstro…
Le 14 juillet dernier, fête nationale, Thiago Silva signe au PSG ! O Monstro, le meilleur défenseur du Monde arrive en Ligue 1 ! Les ultras parisiens sont fous, ses maillots s’arrachent, Paris ne prendra plus de but et le titre est en poche. Mais 3 mois plus tard, toute la capitale semble avoir déchanté… Le cœur déchiré par un amour gâché. Une rupture difficile, l’impression de se retrouver fou amoureux d’un monstre encore amoureux de son ex, cette sal… !
A peine son transfert annoncé, nous étions déjà pendus à ses lèvres, à attendre impatiemment ses premiers mots. C’est l’euphorie, le ciel est bleu, les oiseaux chantent. La vie en rose quoi… Allez Thiago crie-nous ton amour ! « Mon transfert à Paris n’a pas été à 100 % ma décision, déclare-t-il. Je venais juste de prolonger mon contrat à Milan. Certains disent que je suis un mercenaire mais je ne gagnerai pas plus d’argent à Paris qu’à Milan. Je veux clarifier les choses : ce n’est pas ma faute si j’ai dû quitter Milan et je m’excuse auprès des tifosi. Ma famille et moi, nous ne voulions pas quitter Milan. »
Mais pourquoi Thiago ? Pourquoi nous faire ça ? Nous qui ne demandions qu’à t’aimer. Alors la jalousie monte, on fouille dans ton portable, tes poches de jean, ton compte Facebook… Enfoiré, tu écris encore à ton ex ! Tu lui tweetes ton amour dès que tu peux : « Milan AC, il club piu titolato al mondo ( Milan AC, le club le plus titré au monde). Andiamooooooo, milan è sempre Milan (allez, Milan est toujours Milan) ».
Le monde s’écroule sous nos pieds. On demande des explications, un repas en tête à tête. Thiago, tu ne partiras pas avant de nous avoir expliqué d’où te vient cette indifférence. Qu’a-t-elle de plus que nous cette pimbêche aux mèches rouges et noires. « Ici c’est différent, parce que Milan est un club beaucoup plus renommé que Paris. Je crois que je ne me trompe pas en disant ça. C’est un maillot qui impose le respect chez l’adversaire. Les équipes qui rentraient sur le terrain contre nous avaient déjà un peu peur, parce que c’était le Milan, qui a déjà remporté la Ligue des Champions. Ce n’est pas le cas lorsque vous montez sur la pelouse avec sur les épaules le maillot de Paris. »
En gage de bonne foi, on t’offre le brassard de capitaine Et tant pis si ça vexe nos meilleurs amis, Sakho et Jallet. Mamadou devra s’y faire : on est prêt à tout pour te garder. Il nous a même confié hier, pour nous consoler : « Dans le vestiaire, je ne sais plus avec qui je parlais. On se disait « c’est qui le capitaine, c’est Thiago ? ». J’ai dit « Ok, c’est peut-être parce qu’il sait dire oui en français qu’il est considéré comme français. Mais moi, personnellement, ça ne me touche pas du tout. Ça ne me dérange pas du tout. Ce sont les choix du coach, je les respecte. Je suis toujours Parisien et ça, personne ne peut rien y faire ».
Encore une fois, malgré tous nos efforts, tu nous laisses tomber, ton penalty raté nous coûte la qualif’ en demi. Cette fois c’est trop. Il est temps d’ouvrir les yeux, de se regarder en face.
Certes, tu es bon et ton calme nous réconforte tous au plus fort de la tempête. Mais tu n’es pas non plus le sauveur tant attendu par nos cœurs déjà affaiblis depuis notre rupture avec Lugano. Tes relances parfois douteuses, ou tes erreurs techniques inhabituelles, on voit tout maintenant ! Inutile de se mentir plus longtemps, tu as la tête ailleurs.
Tu ne nous as jamais aimé. Alors vas-y. Pars. Va rejoindre ta belle italienne. Par amour, on est prêt à te laisser partir, pour ne pas te voir dépérir à nos côtés. Sois heureux à Milan, et laisse nous avec les braves. Notre vrai amour, on le voit désormais c‘est Mam’, lui ne nous a jamais trahis, ne nous a jamais quittés. Même quand une Lyonnaise lui a fait les yeux doux et que nous l’avons laissé seul dans son malheur, il est resté. C’est ça l’amour.
C'est quoi ce pavé de merde. TS est bien à Paris, il y reste jusqu'à la mort.