bonne suite

Sa clash!

ça*

T'as mis 6 heures pour te corriger

il suit tellement cette fic

( actualiser, actualiser la page )

qu'il ne s'en es pas rendu compte tout de suite, c'est en relisant tout les posts qu'il l'à découvert

Chapitre 47: le pacte.

-Aaaaaah les hommes ! Marmonnai-je en donnant un coup de pied rageur dans une petite branche qui trainait au milieu de la rue, alors que je vagabondais sans but dans une Balmora vide par ce temps pluvieux.

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Mais pourquoi donc fallait-il que les histoires d'amour soient toujours aussi compliquées ? Ne pouvait-on pas simplement s'embrasser, faire l'amour et s'aimer sans se prendre la tête ?
Naturellement, et comme l'immense majorité des assassins de la Morag Tong, je n'y connaissais absolument rien dans ce domaine, et en était donc rendue à suivre des codes dont j'avais entendu parler dans divers romans d'amour, même si la plupart d'entre eux ne me parlaient pas vraiment...
Comment diable pouvais-je gérer une relation amoureuse à long terme quand j'avais dédié ma vie entière à une organisation d'assassins professionnels depuis mes quatorze ans ?

"Amour: Sentiment d'affection, d'attirance sentimentale et sexuelle entre deux personnes." Avais-je lu autrefois dans un bouquin caché sous mon oreiller.

"Attirance: Attrait, force qui attire vers quelqu'un ou quelque chose"

"Affection: attachement, tendresse."

Attirance et affection, mon oeil !

Par contre, si je n'y connaissais absolument rien en amour, ce n'était clairement pas le cas de Llaalam, qui n'avait rejoint la Morag Tong qu'à dix-huit ans seulement, et avait donc eu tout le loisir de s'essayer à ce genre d'aventures entre temps.
Voilà finalement qui résumait fort bien la situation. C'était simple, facile, implacable: si notre amour ne marchait pas, c'était la faute de Llaalam ! Lui s'y connaissait ! Il avait une responsabilité de plus vis à vis de nous deux !

Je fus soudain coupée net dans mes réflexions par l’apparition de Gulena à l'une des portes qui bordait la rue dans laquelle j'errais.
En fait, en y regardant de plus prêt, la Dunmer venait à l'instant de sortir du cercle du mur du sud, un petit pub que je connaissais fort bien, même si à l'heure actuelle, je n'avais pas vraiment réalisé que mes pas m'avaient mené jusque là.
-Sedris, je peux te parler deux minutes ?! Me lança sèchement la Dunmer en m'invitant à rentrer, alors que je restais là, immobile, soudain pétrifiée par une apparition aussi soudaine de Gulena.

Me parler deux minutes ? Pourquoi ne pas simplement commencer par "qu'est-ce que tu fais dehors à moitié nue alors que de véritables trombes d'eau te tombent sur la tête ?"
D'ailleurs, pourquoi avais-je cette étrange impression que la Dunmer ne se trouvait pas là par hasard, comme si elle avait attendu ma venue ?
J'entrepris néanmoins de la suivre à l'intérieur, ravie de pouvoir enfin retrouver un semblant de chaleur, même si la tête de Gulena tua dans l'oeuf ce sentiment de réconfort...
-Suis moi, j'ai une chambre à l'étage. Enchaina la Dunmer d'un ton froid en grimpant un petit escalier.
-Oh oh oh ! Mais vous êtes toute mouillée ! Couina un Bosmer sur mon passage, dont j'aurais éventuellement pu interpréter les paroles comme un signe de bienveillance si seulement ses yeux ne s'étaient pas rivés sur ma poitrine pour ne plus jamais s'en décrocher, du moins jusqu'à ce que nous passions une porte que je fermai à clef derrière moi.
-Toujours aussi sympathique la clientèle ici ! Grognai-je en me retournant, réalisant soudain que nous venions d'entrer dans une minuscule chambre.
-Qu'est-ce que tu fais avec Llaalam ?! Coupa aussitôt Gulena avec hargne ?
-Quoi ?! Quoi ?! Mais rien ! Rien du tout ! Rétorquai-je aussitôt, foudroyée par l'accusation de la Dunmer.
-Oh ça va hein ! Ça fait des jours et des jours que je le suis en cachette, et chaque fois qu'il a un moment de libre, il se précipite tête baissée dans cette maison, maison qui n'est pas répertoriée parmi les planques de la Morag Tong !
-Ah bon ? Oui c'est étrange...Commençai-je d'un air innocent, même si j'avais déjà l'intime conviction qu'il ne servait à rien de mentir, car Gulena connaissait probablement déjà la vérité...
-Tu ne peux pas faire ça Sedris ! C'est contre nos règle ! Lança enfin la Dunmer. Si jamais Eno l'apprend, vous serez exécutés, tous les deux !
-Mais de quoi tu...Je...On a jamais...
-ET ARRÊTE DE ME PRENDRE POUR UNE CONNE !
-Mais...BON BON D'ACCORD ! QU'EST-CE QUE TU VEUX ?!
-Je veux que vous arrêtiez de vous voir ! Llaalam est mon meilleur ami, et si...
-Était...Rectifiai-je avec mauvaise humeur.
-...Et si jamais il lui arrive quelque chose par ta faute...Reprit Gulena comme si de rien n'était. Enfin ! Je ne supporterais pas de le voir se faire exécuter juste parce que tu as voulu t'amuser avec lui !
-Dis moi, sa "meilleure amie". Coupai-je. Comment se fait-il que tu ne l'ai même pas averti de ton retour, et qu'en plus de ça, tu le suive sans cesse ?! Quel comportement ! Vraiment digne d'une meilleure amie...

Gulena ouvrit la bouche, mais la referma aussitôt, incapable de répondre, et se contenta donc de me fixer d'un regard noir.

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-Bon alors, laisse moi t'expliquer. Repris-je plus calmement. Llaalam et moi sommes ensembles depuis trois ans. C'est grâce à moi si il est entré dans la Morag Tong...Au début j'éprouvais juste de l'affection pour lui, il me rappelait moi au tout début, avec ses doutes, ses incertitudes...Mais de fil en aiguille...Enfin bref, on s'est embrassé, puis on est allé un peu plus loin, et encore un peu plus loin, et voilà...
-Trois ans ?! S'exclama Gulena, la mine effarée.
-Oui...Tu vois, contrairement à ce que tu as l'air de croire, je ne fais pas que "m'amuser" avec lui. C'est sérieux...Je l'aime tu sais...Et lui aussi il m'aime...
-Mais...
-Et tu penses bien que, depuis le temps, et vu les circonstances, ce ne sont pas tes reproches qui vont nous séparer. Llaalam et moi avons choisi cette voie, tous les deux...On connait les risques, on sait très bien que cette relation peut nous tuer d'un instant à l'autre. Mais nous l'avons choisi...Et moi, franchement, je ne veux pas revenir en arrière. Je préfère vivre cinq ans avec Llaalam que mille ans toute seule...
-Mais vous...
-C'est comme ça Gulena, et tu n'y changeras rien. J'ai décidé de faire ma vie avec Llaalam. Je ne joue pas avec lui. Je l'aime, je le respecte, et je ne veux que son bien. Et tout ce que tu peux faire pour nous, de ton côté, c'est garder le secret...

La Dunmer resta silencieuse de longues secondes, méditant probablement sur ce que je venais de lui dire.
-Alors, on est d'accord ? Questionnai-je enfin.
-Euh...Ouai...D'accord...Admit enfin Gulena.
-Bon, désolé d'interrompre votre petite entrevue. S'exclama soudain une voix de l'autre côté du battant. Mais comme vous avez fermé à clef, et que je veux rentrer, je suis bien obligé de...
La porte s'ouvrit soudain à la volée, probablement ouverte par un violent coup de pied car la serrure et le loquet se décrochèrent sauvagement dans un bruit de bois brisé, alors que pénétrait dans la pièce un Dunmer au visage tatoué et aux oreilles percées.
-Merde ! Evos ! Qu'est-ce que tu...Commença Gulena d'un air paniqué.
-Allons allons du calme ! Je suis simplement venu vous parler, vu que vous êtes les deux seules en qui je peux encore avoir confiance depuis ma...Euh...Rupture de contrat. Annonça le Cendrais en repoussant délicatement la porte dans son encadrement.
-Normalement, je devrais te tuer...Fis-je remarquer en portant discrètement la main au fourreau de mon cimeterre, pas tant pour attaquer le Cendrais que pour m'en défendre si jamais il lui prenait l'envie de nous assaillir...
-Si tu le voulais vraiment, tu l'aurais déjà fait...Fit remarquer Evos en se tournant enfin vers nous.

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-Oh...Je n'avais pas remarqué que...Commença le Cendrais, probablement en référence à ma tenue en m'apercevant enfin.
-Remarqué quoi ?! Coupai-je aussitôt. T'as cru qu'on allait se toucher entre filles, c'est ça ?! Dans tes rêves mon vieux !
-Non non pas du tout !
-Ouai ça va hein ! Je te connais !
-Bon bon d'accord. Notez que...Vous n'avez jamais eu envie de vous...?
-NON ! Répondîmes Gulena et moi même d'une même voix.
-Bon tant pis. Enfin, en tout cas, t'es toujours aussi bandante Sedris. Conclut le Cendrais sur le ton de la conversation, avant de changer de ton, et de discours par la même occasion. Bon j'ai quelque chose dont j'aimerais vous parler.
-Hmmm...Répondis-je, outrée par la grossièreté de mon ancien frère.
-Bon, comme vous le savez, la Confrérie Noire et la Morag Tong sont de nouveau en guerre. D'ailleurs, nous en avons déjà tous fait les frais, n'est-ce pas ?

Je ne répondis rien, mais entraperçu aussitôt la silhouette de Narile dans mon esprit.

-Vous savez aussi que l'empire était derrière la Confrérie lorsqu'elle nous a attaqué, pas vrai ?
-Bon, où tu veux en venir Evos ? Coupai-je.
-J'ai passé ces derniers jours à fouiner à droite à gauche, notamment chez les nécromanciens, comme vous pouvez le constater, et j'ai fini par trouver quelque chose d'intéressant.
-C'est à dire ? Questionna Gulena.

Le Cendrais resta quelques secondes silencieux, comme si il hésitait à livrer sa découverte, même si je savais déjà très bien qu'il jubilait intérieurement de nous faire languir ainsi.
-En fait, l'empire n'aime pas plus la Confrérie Noire que nous. Lacha enfin Evos. Il ne faut pas oublier qu'il y a quelques mois encore, ils faisaient justement appel à nous pour contrer la Confrérie Noire elle même. Et voilà qu'aujourd'hui, ils changement subitement de bord ? Allons allons...
-Et si tu en venais ENFIN au fait ? Lançai-je, excédée par cette manie du Cendrais à toujours faire trainer le plus possible ses aveux.
-Et bien, en cette période de grand trouble, je crois simplement que l'empire à commencé à prendre des mesures.
Tamriel est mourante, Cyrodiil aussi...Uriel et Martin Septim morts, des envies d'indépendance et des guerres commencent à éclater un peu partout. Ils sont au bord du gouffre...
En fait, je crois qu'ils veulent simplement mettre toutes les chances de leur côté, et éradiquer ceux qui échappent à leur contrôle...

Le Cendrais resta quelques secondes silencieux, avant de conclure:
-Ils veulent que l'on s'entretue, jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien de la Morag Tong et de la Confrérie Noire...

Suite demain.

Hin hin, complot à la tête de l'Empire...
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Beatus vir qui suffert tentationem
Quoniam cum probates fuerit accipient coronam vitae

Tiens ça faisait longtemps que j'étais pas passer voir ta fic Black et je suis content de voir que l'intrigue a bien progressé. Sinon tes chapitres sont toujours aussi bon

enfin le screen de Evos

l'est moche

Haha Evos est carrément trop laid.

J'ai mis 6h pour me corriger pour voir si vous suiviez.

mouais

J'aime pas le tatouage d'Evos, il est trop foncé

Et ben, tu vas peut-être pas me croire, mais je pense que Evos et son tatouage t'emmerdent

ps: ne va surtout pas lui dire que tu le trouves moche hein, tu sais comment il est...

Chapitre 48: double jeu.

-Tu crois qu'il disait vrai à propos de l'empire ? Me questionna Gulena alors que nous pénétrions enfin dans le quartier général de Vivec.
-Je ne sais pas...D'un côté, je me dis que vu sa position, il cherche simplement à sauver sa peau en nous entrainant avec lui, mais pourtant...
-Tu penses qu'il disait vrai ?
-Oui...Je crois qu'il était sincère, même si sa confession démontre qu'il a besoin de nous pour quelque chose qu'on ne connait pas encore...Répondis-je.

Évidemment...
Si Evos nous avait si gentiment mis au secret, ce n'était pas pour nos beaux yeux, et il aurait probablement quelque chose à nous demander dans un avenir plus ou moins proche.
Restait simplement à savoir quoi...
-Bon, pas de missions à l'horizon ! On se fait une partie de carte ?! Conclut Gulena en s'asseyant à l'une des tables libres de la salle commune.

Une fois n'est pas coutume, les jours suivants furent plutôt calmes au sanctuaire, la plupart des assassins continuant à exécuter leurs contrats alors qu'une poignée d'entre nous restions sur place pour assurer le service administratif, et d'autres détails encore.
Néanmoins, et alors même que la désertion d'Evos commençait enfin à être remplacée par d'autres sujets de conversation, la tension ambiante grimpa de nouveau en flèche, provoquant son lot désormais habituel de soupçons et de messes basses.
-Mais on ne sait même pas ce qui s'est vraiment passé ! Me confia un jour Aldaril. On sait juste que Evos s'est enfui en assassinant deux de nos frères...Alors bien entendu, tout le monde en a conclu que c'était lui la mouchard, lui qui avait révélé certains de nos secrets à l'empire, et donc lui qui était responsable des attaques coordonnées de la Confrérie Noire à notre encontre. Mais moi je dis que ça ne colle pas !
-Comment ça ? Qu'est-ce que tu veux dire ? Questionnai-je discrètement, soucieuse de ne pas être entendue par Hyna et Miara qui jouaient au cartes deux tables plus loin.
-Réfléchis ! Evos était peut-être un barbare psychopathe et sanguinaire qui faisait sans doutes quelques affaires personnelles dans son coin, il n'en demeurait pas moins étroitement lié aux règles de la Morag Tong. C'est un Cendrais, ses lois sont les même que les nôtres, à peu de choses prêt...Et puis, il détestait l'Empire et la Confrérie Noire. Alors je te le demande. Pourquoi nous aurait-il vendu ?
-Il ne l'a peut-être pas fait exprès. Risquai-je, mal à l'aise.
-Allons Sedris. Il n'avait aucun contact avec l'Empire, tu le sais aussi bien que moi...
-Pas qu'on sache en tout cas...
-Et même si il en avait, on l'aurait su. Celui qui nous a vendu à prit des précautions que Evos n'aurait même pensé prendre. Ce n'est pas son oeuvre...Le fautif était bien plus malin que lui, ça se voit tout de suite...

Je ne répondis rien, même si j’éprouvais déjà un intense sentiment de détresse au creux de mon estomac.
De toute évidence, certains, dont Aldaril, n'étaient pas tombés dans le panneau, ce qui n'était pas sans m"inquiéter, moi qui croyais déjà l'affaire classée...

Devais-je de nouveau craindre pour notre sécurité à Llaalam et moi ?

Quoi qu'il en soit, et même si nous n'avions parlé à personne de la confession de Evos, la rumeur d'un complot fomenté par l'Empire se révéla exacte les jours qui suivirent, lorsque Marilia revint un soir la mine passablement irritée, visiblement porteuse d'un message.
Naturellement, Gulena et moi échangeâmes aussitôt un regard interdit, alors que ma soeur révélait aux personnes présente les vrais dessins de l'Empire.
-Ça ne m'étonne qu'à moitié...Confia Rogdul.
-Ouai, ça semblait carrément louche de toute façon, de nous demander notre aide contre la Confrérie Noire, puis de nous lâcher comme ça d'un seul coup, sans aucune raison. Enchaina Miara.

Eno Hlaalu de son côté ne répondit rien, et se contenta de quitter la pièce en silence, en direction de son bureau, alors que le vacarme des conversations commençait tout doucement au sein de la salle commune désormais bondée en ce début de soirée.
-Suis moi. Me murmura soudain Llaalam alors que je flânais dans un vieux fauteuil, écoutant distraitement le fil des discussions qui s'élevaient autour de moi.
Surprise par cette soudaine sollicitation du Dunmer, dont je n'attendais désormais plus rien, j'entrepris malgré tout de le suivre en dehors de la salle commune, en direction des étages inférieurs sous l'oeil inquisiteur de Gulena.
Finalement, après avoir gagné l'une des nombreuses salles de bain composant les sous sols extrêmement peu fréquentés du sanctuaire, le Dunmer se tourna subitement vers moi, me prit par les hanches et m'embrassa langoureusement.
-Hmmmm...Bon d'accord, je te pardonne...Balbutiai-je, complètement envoutée par ce long baiser.
-Déjà ? Attends un peu...Après ça, tu n'aurais plus jamais l'occasion de m'en vouloir...Murmura le Dunmer en m'ôtant délicatement ma robe.

Soudain, et alors même que je sentais déjà mes joues rosir d'excitation, la porte de la salle de bain s'ouvrit à la volée, laissant apparaitre une Gulena à la mine butée.
-Oups ! Lança sèchement la Dunmer d'un ton qui ne feinta personne.
-Putain Gulena ! Tu pourrais frapper au moins ! Sifflai-je en remettant aussitôt ma robe.
Llaalam de son côté, blêmit à une telle vitesse que je crus tout d'abord le voir se transformer en Impérial par mesure de sécurité, de peur d'être vu en ma compagnie.

-Que...Que...Que...Mais...Tu...Mais...Je...Mais...
Comment...
-Oui oui on sait ! Coupa Gulena d'un ton excédé. N'empêche que tu croyais vraiment te taper Sedris comme ça, sous notre nez ?!

Il fallut finalement prêt d'un bon quart d'heure au Dunmer pour se remettre de son choc, et admettre qu'il s'agissait bel et bien de la vraie Gulena.
-Mince alors...Conclut Llaalam une fois que je lui eu expliqué tout l'histoire.
-Oui, et le pire, c'est qu'elle est toujours mineure ! Lançai-je.
-J'ai vingt-trois ans ! Siffla Gulena.
-Oui oui, on te croit...Rétorquai-je en la dévisageant des pieds à la tête sur un ton qui en disait long. Bon, tu veux bien nous laisser maintenant ?
-Pardon ?! Tu veux que je vous laisse enfreindre tranquillement nos lois ?!
-Bon écoute, moi je dis ça pour toi, parce qu'on le fera que tu sois là ou pas...Répondis-je en ôtant de nouveau ma robe pour me mettre en sous vêtements.
-T'es vraiment une dégueulasse ! C'est honteux ! Inadmissible ! Scandal...
-Au revoir Gulena ! Conclus-je en poussant la Dunmer en dehors de la salle de bain, dont je fermai aussitôt la porte à clefs.

Enfin, et après m'être assurée que la trouble fête ait bien quitté les lieux, je me tournai vers Llaalam, et lançai:
-Bon, à nous deux maintenant !

Un bébé, un bébé!

J'adore la fin
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Beatus vir qui suffert tentationem
Quoniam cum probates fuerit accipient coronam vitae

Evos utilise un Portal Gun pour tripoter Sedris dans son sommeil et la regarder avec Llaalam.

- Les conclusion foireuse de Happlication

Mais tout a fait c'est glados qui va etre contente