http://www.letour.fr/2008/TDF/COURSE/fr/le_parcours.html
avec le profil de toutes les étapes
ils passent par chez mon oncle a st Amand Montrond
Demain je sens bien Vaugrenard on sera pas loin de Vannes.
hushovd peut y aller en puissance sino ce sera un vrai puncheur
Pourquoi pas Frank Schleck
Non la côte de Cadoudal ne dure su'un peu plus d'1km et Franck préfère les longues côtes.
Demain c pour valverde
Kreuziger juste deriére et qui sempare du maillot blanc
Kreuziger a raison, Valverde peut faire quelque chose.
Tu es fou, Valverde va pas attaquer le premier jour
Moi je vois bien un francais genre Pineau
Pas Pineau, Vaugrenard
Je vois Freire gagner le sprint devant Zabel et Valverde et Bettini
Sinon, attaque de ballan
Merde il y a pas bettini
Valverde ne fera rien demain
il a pas interêt à prendre le jaune trop tôt
Point sur les favoris du Tour:
ALEJANDRO VALVERDE (Caisse d'Epargne), 28 ans. C'est l'objectif de sa saison. De tous les prétendants à la victoire finale, Valverde semble le mieux placé. Après sa démonstration sur le Dauphiné, l'Espagnol a marqué les esprits et remporté une première «victoire psychologique» sur ses concurrents (Evans et Sastre). Sur les routes du Dauphiné, Valverde avait en effet un niveau de forme exceptionnel. Mais n'est-il pas arrivé en forme trop tôt... Car le leader de la Caisse d'Epargne sait qu'il doit entretenir sa condition jusqu'à la troisième semaine du Tour. Aussi à l'aise dès que la route s'élève que dans les chronos, Valverde, auréolé en outre de son maillot de champion d'Espagne, reste l'un des coureurs les plus complets du peloton. Son équipe sera totalement dédiée à son objectif et Oscar Pereiro, vainqueur du Tour en 2006 et redoutable grimpeur, lui sera d'une aide précieuse.
CADEL EVANS (Silence-Lotto), 31 ans. Le concurrent numéro 1 de Valverde. Evans, deuxième l'an dernier dans des conditions particulières, a échoué à seulement 23 secondes de Contador. Mais il a acquis la certitude que la plus grande course au monde était à sa portée. Au fil des années, l'Australien s'est affirmé un peu plus dans les courses à étapes (8e du Tour en 2005, 4e en 2006, 2e en 2007). Certes, il a subi la domination de Valverde sur le Dauphiné mais sa forme devrait être optimale samedi au départ du Tour. Evans présente les mêmes caractéristiques que l'Espagnol : performant dans les chronos et en montagne. Il est connu pour sa dureté au mal et l'exigence de ses entraînements. Au sein de sa formation, il pourra compter sur le talent de son lieutenant, Yaroslav Popovych.
ANDY SCHLECK (CSC), 23 ans. Le compliment vient de Cyril Guillmard : «Au cours de ma carrière de directeur sportif, j'aurai dirigé quatre supers : Hinault, LeMond, Fignon et... Andy Schleck.» «Je ne vois pas en effet qui pourra l'empêcher de viser le Maillot Jaune en juillet prochain », a ajouté Bernard Hinault. Andy Schleck, futur successeur d'Hinault ou Merckx ? Le cadet des frères Schleck, encore très jeune, avait révélé son énorme potentiel l'an dernier en prenant la deuxième place du Tour d'Italie. Andy Schleck sait tout faire : il roule, il grimpe et son frère aîné est son meilleur allié... Son équipe est plus forte que jamais s'appuyant sur une force collective plus importante que celle de Valverde.
DAMIANO CUNEGO (Lampre), 26 ans. L'Italien vise la victoire finale à Paris. Grand espoir du cyclisme transalpin, il n'a disputé qu'un seul Tour de France il y a deux ans avec une 12e place au général, assortie du maillot blanc de meilleur jeune. Cunego a fait l'impasse sur le Tour d'Italie puis le Dauphiné pour garder toute sa fraîcheur sur la Grande Boucle. Son début de saison a été plutôt convaincant avec un succès dans l'Amstel Gold Race et une quatrième place sur le très côté Tour du Pays Basque. Reste qu'il tarde à confirmer son potentiel dans les grands Tours. Leader incontesté dans sa formation de la Lampre depuis le départ de Gilberto Simoni, il n'a en effet plus brillé dans ce genre de courses depuis son succès sur le Tour d'Italie en 2004. Son petit gabarit (1,69 pour 58 kg) en fait un grimpeur redoutable, mais il est encore un peu tendre sur les chronos.
FRANCK SCHLECK, 28 ans (CSC). Il est indissociable de son frère. Les deux courent ensemble, mais Franck reste davantage un coureur de courses d'un jour. Dès que la route s'élève, il donne sa pleine mesure. Forcément, le parcours très montagneux de cette édition 2008 ne peut que l'avantager et son duo avec son frère est très attendu. En 2006, il avait triomphé et éclaté à l'Alpe d'Huez. Très à l'aise lors du Tour de Suisse la semaine dernière, malgré une chute spectaculaire, il a fait forte impression dans la grande étape montagneuse, au Flumserberg. Reste à savoir comment Schleck va courir au sein de sa formation car outre son frère, Carlos Sastre, également un grimpeur hors pair, a lui aussi des ambitions personnelles...
DENIS MENCHOV (Rabobank), 30 ans. Depuis l'arrivé du Tour d'Italie, le 1er juin, le Russe n'est pas réapparu dans une course, respectant à la lettre les conseils de son staff. Il s'est ainsi consacré à l'entraînement et à la reconnaissance des grandes étapes de montagne du Tour. Menchov a largement le potentiel pour la victoire finale. Il a souvent brillé en montagne et parvient toujours à se placer dans les chronos. Double vainqueur du Tour d'Espagne (2005, 2007), il sera néanmoins privé de son coéquipier, Thomas Dekker, qui aurait pu lui être d'une aide précieuse dans son entreprise.
CARLOS SASTRE (CSC), 33 ans. L'Espagnol a souvent pour habitude de démarrer en douceur ses grands Tours et de finir en trombe. Très en retrait sur le Dauphiné, le grimpeur de la CSC évolue sans doute au sein de l'équipe la plus dense et qui présente les plus fortes individualités (les frères Schleck, Cancellara, O'Grady, Voigt...) Troisième en 2006, quatrième l'an dernier, Sastre est un habitué des places d'honneur depuis cinq ans. S'il reste limité dans les chronos, il va jouer un rôle déterminant en montagne. Et la question est de savoir s'il emmènera l'un des frères Schleck vers la victoire finale ou s'il jouera sa carte personnelle.
RICARDO RICCO (Saunier-Duval), 24 ans. Le Transalpin est un grimpeur de grand talent mais aussi doué d'un sens aigu de la provocation, ce qui lui vaut de solides inimitiés au sein du peloton. Vainqueur du Tour d'Italie l'an dernier, il est passé tout près cette saison de réaliser le doublé. S'il n'avait pas été trahi par la faiblesse de son équipe, l'abandon de son coéquipier, Leonardo Piepoli, il aurait sans doute souffler la victoire à Alberto Contador. Du coup, Ricco a décidé il y a seulement une semaine de courir le Tour. Avec quelles ambitions ? Suspense. Il devrait jouer son rôle de trublion dans les nombreuses étapes de montagne. Et son association avec Piepoli, son alter ego, sera redoutable.
ROMAN KREUZIGER (Liquigas), 23 ans. Même s'il va sur le Tour «pour apprendre», ce jeune coureur tchèque, brillant vainqueur du Tour de Suisse il y a dix jours, s'affirme comme l'un des plus solides espoirs sur les courses à étapes. A l'instar d'Andy Schleck, Kreuziger fait en effet partie de la génération montante. «Rouler, grimper, il sait tout faire, à tel point que j'ignore quelles peuvent être ses limites», précise Mario Scirea, l'un des directeurs sportifs de Liquigas. Kreuziger a commencé à faire parler de lui en 2004 aux Mondiaux de Vérône où il a raflé la médaille d'or sur la course en ligne et l'argent sur le chrono. Deuxième du Tour de Romandie, il a ainsi confirmé son talent en devenir sur les routes suisses. Il a largement les moyens de rentrer dans les dix premiers et de viser le maillot blanc de meilleur jeune.
KIM KIRCHEN (High Road), 29 ans. S'il ne fait pas partie des favoris, il reste un outsider sérieux, capable d'accrocher le podium. Septième l'an dernier, le Luxembourgeois avait réussi à trouver le bon compromis entre la montagne et le contre-la-montre. Kirchen a remporté sa première grande victoire cette saison dans la Flèche Wallonne, le tout en se permettant le luxe de battre ses compatriotes et rivaux, les Frères Schleck...
Ca aurait été une étape pour Rogers qui avait fini 2ème à l'étape de Valkenbourg en 2006 derrière Boonen mais devant des Bennati...
Sinon, Freire sera sûrement le grand favori pour moi. Sinon, pourquoi pas SSG.
pozzato ou gilbert :ouioui:
ou steegmans qui avait gagné de la meme manière a nevers
attention a ciolek:il a montré aux quatre jours de dunkerque qu'il passait les bosses
Interview de Valverde:
A quelques heures du grand départ du Tour de France, à Brest, Alejandro Valverde (Caisse d'Epargne), l'un des principaux favoris, nous livre son sentiment sur ce à quoi pourrait ressembler la Grande Boucle en 2008.
« Alejandro, vous déclarez viser « seulement » le podium, est-ce qu'une deuxième ou troisième place ne serait pas une déception ?
L'année dernière, je disputais mon troisième Tour et c'était seulement le premier que je terminais. Je me suis classé à la sixième place et j'étais très satisfait en arrivant à Paris. Cette année, je suis là pour lutter avec les meilleurs, obtenir une place sur le podium, et bien évidemment pourquoi pas la première. Je vais me battre pour ça, mais sincèrement une place sur le podium m'irait bien. Au moment d'aborder ce Tour 2008, je me sens très bien physiquement et mentalement, je me dis que je n'ai « que » 28 ans et de belles années devant moi.
Quels seront vos principaux concurrents ?
Dans le désordre : Evans, Sastre, Cunego, Menchov et les frères Schleck. Mais il peut y en avoir d'autres...
Vous êtes l'un des plus redoutables coureurs lors des arrivées en côtes. Vous l'avez prouvé récemment dans le Dauphiné et Paris-Camenbert. Vous devenez donc le principal favori pour prendre le premier Maillot Jaune samedi à Plumelec. Cela vous tente-t-il ou préférez-vous attendre un peu ?
C'est sûr qu'en voyant le parcours de cette étape, elle me convient parfaitement. C'est la première étape du Tour et par excellence, tout le monde est en forme, tout le monde veut la gagner. Le rythme risque d'être très rapide, l'étape dangereuse, il ne faudra pas prendre de risques. Mais endosser le Maillot Jaune le premier jour ce doit être fabuleux. Mais ensuite, ce serait beaucoup de responsabilités pour toute l'équipe lors les jours suivants.
Où pensez-vous que se jouera le Tour cette année. Dans la montagne ou dans les chronos ?
Il y a toujours des écarts dans les contre-la-montre, mais la vraie différence se fera dans la montagne et plus particulièrement dans les Alpes qui viennent cette année après les Pyrénées lors de la troisième semaine. De plus, les Alpes sont particulièrement difficiles sur ce Tour. Elles seront décisives.
Vous pensez à l'Alpe d'Huez ?
Nous avons vu le parcours avec toute l'équipe, nous connaissons cette étape, elle est difficile. Mais pas seulement cette étape, il y a tout ce qui va précéder, l'accumulation de fatigue depuis le départ et deux autres « redoutables » étapes alpestres. C'est pour cela que celle de l'Alpe sera très certainement décisive. Il risque d'y avoir de gros écarts car nous serons tous à la limite de nos forces.
Ian Ullrich a déclaré qu'en raison de l'absence de certains coureurs, ce Tour 2008 serait dévalorisé. Cela peut-il installer le doute chez les spectateurs ?
Qu'importe les coureurs, le Tour de France reste la plus prestigieuse des courses cyclistes. Quant à l'absence de certains, je ne peux pas y faire grand chose... Peut-être qu'une partie des spectateurs a des doutes, mais cela a toujours existé et ça continuera. Ce qui compte, c'est que nous continuions à bien nous entraîner, à nous battre pour remporter des courses et à plaire à notre public et à ceux qui nous font confiance. On ne peut rien nous demander de plus.»
Cinquième du classement par points pour son premier Tour en 2007, Sébastien Chavanel revoit ses ambitions à la hausse à trois jours du départ de Brest : le sprinteur de la Française des Jeux se pose en prétendant au maillot vert, même si son premier objectif est d'accrocher une étape lors de la première semaine. «Il y a deux arrivées au sprint, à Nantes (lundi) et à Châteauroux (mercredi), qui me conviennent bien. mon premier grand rendez-vous, c'est la belle arrivée à Nantes, une longue ligne droite le long des quais, tout ce que j'aime.»
Alors que les principaux sprinteurs (Zabel, McEwen, Hushovd, Steegmans)compteront sur plusieurs coéquipiers pour les emmener, le cadet des frères Chavanel aura droit à une petite garde rapprochée : «J'aurai Gérard et Jégou pour m'épauler et je compte sur eux, j'espère qu'ils iront bien physiquement. Il ne va pas falloir se tromper au niveau du placement dans les trains (...) Je suis mieux physiquement que l'an dernier, j'ai plus de fraîcheur, moins de jours de course dans les jambes, plus de stages en montagne avec l'équipe. Une préparation idéale.»
Les organisateurs du Tour ont accordé à Robert Hunter (Barloworld) une autorisation exceptionelle pour quitter Brest jeudi : le Sud-Africain a rejoint la Suisse où son épouse a donné naissance à une fille mercredi. «Je ne me suis jamais senti aussi fier et humble en même temps, a expliqué le sprinteur, vainqueur d'une étape l'an dernier. Cela va me donner un surplus de motivation pour le Tour.» Selon le réglement, Hunter doit revenir à Brest vendredi, à la veille du départ de la course.
Le coureur espagnol Oscar Pereiro (Caisse d'Epargne) ne veut plus entendre parler du Tour de France 2006 et de son épilogue à rallonge. A la question d'un journaliste lui demandant comment il avait accueilli l'annonce du T.A.S. confirmant sa victoire d'il y a deux ans, l'Espagnol a repondu : « Je ne veux plus parler que de cyclisme avec tous ainsi qu'avec vous les médias, parler que de compétition et me tourner vers l'avenir. Nous sommes en 2008 et par respect pour ceux qui vont en découdre lors des prochains jours, je dirais qu'il faut oublier le passé et oublier le Tour 2006 ! Il faut le ranger aux archives et tout faire pour obtenir la victoire en 2008 mais aussi en 2009 et 2010. »
Depuis quand Ricco a gagné le Giro ?