Non, bien que le "sorta" me gène, c'est surtout l'emploi du présent et du passé simple pour un meme instant
la 2 ne soyons pas puis c'est pas franchement désagréable les photos bon ok " si tou été ecri en sms on en orè plin lku sa serè chian mè com cé pluto bi1 ecri on sen moke " alors ne chipotons pas ^^
Je ne chipote pas, c'est une remarque, un conseil pour que la lecture soit plus agréable
d'accord avec Math, c'est juste pour une lecture plus jouissive. vous avez vu le mot savant ?
nana mais sérieux cette fic est superbe, et ses petits défauts de son pas très grave. ^^
continu
La suite, la suite!
Comment ça elle a été postée il y a quelques heures et il faut attendre maintenant?
[HS] Je m'approche de mon 3000ème post à grand pas [HS]
Le camion fila à toute allure sur les routes désertes de l'est de NYC.
L'un des prionnsier s'exclama:
- Mais où est tout le monde ?
- certainement les barrages autour de Manhattan..., vous répondez.
Soudain, de violentes explosions se firent entendre.
- C'est quoi ?? Regardez la fumée ! Et le feu !
De derrière, un hélicoptère avança rapidement vers Manhattan..
Nous nous arrêtames pour regarder ce qui se passe le long de la côte. Et puis de toute façon, personne ne sait où aller maintenant...
- Est-ce qu'ils seraient en train d'évacuer Manhattan avec les hélicoptères ?
- Ca m'étonnerait..., vous répondez.
- Et qu'est-ce qu'il te fait dire ça ?, demande le gros baraqués
- Le virus !
- Quel virus ?
- Quand j'ai tenté de m'échapper, on m'a dit que j'avais le virus en moi...
Tous reculèrent sur ces derniers mots.
- ... et vous l'avez probablement aussi, sinon vous n'avez rien à faire dans cette cellule.
Maintenant, ce que l'on devrait faire, c'est retourner là-bas.
Tous vous regardaient d'effroi et perturber.
- C'est de la folie !, s'exclama un autre
- Et pourtant nous devons y retourner pour y trouver la réponse.
Un silence pesant s'installe.
Vous reprenez la parole:
- Bon ceux qui sont avec moi monte dans le véhicule et on y retourne, les autres, ... eh bien, prenez la direction que vous souhaitez et bonne chance.
L'hélicoptère repasse rapidement.
- La base est dans cette direction.
Alors qui veut y aller avec moi ?
Le gros baraqué et quelques autres courageux vous rejoignent.
Dans le camion, en route vers la base, vous faites connaissance avec les autres.
Il s'avère que le baraqué s'appelle Casper. Les deux autres s'appellent respectivement Henry et Marco.
Casper était un ex-taulard pour avoir fait dans la drogue et le gang à la moto.
Henry est expert informatique et ingénieur. Tandis que Marco est un Vénézuéliens bien maigre mais qui semble s'être souvent battu vu le nombre de marques sur son visage et le reste du corps.
Casper: Bon, là-bas on fera quoi ?
Vous: Juste avant de partir, j'avais repéré mon ancien interrogateur avec son calepin.
C'est lui qui m'avait dit que j'avais ce "virus".
On le trouve et on l'interroge.
Casper: Avec plaisir, haha !! On va tout faire pêter !!!
Henry: Si jamais, je peux m'occuper de hacker les ordinateurs pour accéder aux donné... au moins se fera pas repéré, Casper !
Casper: ouais d'accord...
Et toi, le Vénos, tu n'a rien à dire ?
Marco: Ma qué vé tu ? J'aime buen me battre moi, mi amigo.
S'il y a de l'embrouille, je leur pêtrai les cojones yaha !
Vous: Si tu veux.
La base est proche.
Par sécurité, vous préférez vous garer plus loin pour ne vous faire repérer.
Vous apercevez un peu plus haut l'hélicoptère de tout à l'heure. Il décolle à nouveau.
Dans le camions, il y a suffisament de fusils automatiques pour tous.
Maintenant, encore un autre choix.
Vous êtes qu'un simple homme de bureau, pas un militaire et déjà vous sentez le stress et la peur vous monter.
Casper le remarque et pose gentillement sa main sur l'épaule:
Casper: " De toute façon, il n'y a rien à perdre, alors, autant y aller tout de suite ".
Henry: " D'accord, mais de quel côté ? "
Casper inspectait notre armement. Et dès qu'il vit le bazooka, il s'empressa de dire:
Casper: " Moi je pense qu'on devrait tout faire pêter, en commençant avec cet hélico. Regardez ce matos de dingue ! "
Tous se retournaient. Mais vous reprenez votre sérieux et d'un air consternant:
Vous: " Hmm, ce ne serait pas sage... franchement, il faut qu'on fasse gaffe ! "
Casper: " Trop tard, l'hélico est parti... "
Vous vous retournez et vous apercevez un garde qui marche étrangement rapidement vers une porte à l'arrière où il n'y a que deux gardes. Vous reconnaissez la porte, c'est par là que vous êtes sorti. Et maintenant il n'y a que deux gardes. L'autre garde étant rentré par la porte.
Soudain, la porte s'ouvri, un civil sorta en tirant sur le soldat qui rentra. Cela surpris les deux autres et d'un coup de porte et puis de crosse , le civil assomma les deux gardes aisément. Vous le reconnaissez, il s'agit du Suisse !
Tous, vous courrez vers lui. Il vous repéra. Un sourir radieux sur son visage, il s'exclama:
" Ah vous voilà ! Je croyais que vous alliez partir sans moi ! "
Vous: " Bah, la situation a dégénéré assez rapidement. Qu'est-ce qui t'est arrivé ? "
le suisse: " Quand vous êtes partis, des soldats sont rapidement arrivés. J'ai réussi, comme promis, à les retenir. Tout en trouvant la sortie, j'ai tiré à reculon. Il doit bien en avoir une dizaine de mort. "
Casper: " Bien faits pour ces bâtards. Et ensuite ? "
Le Suisse: " Ils étaient trop nombreux et j'allait manquer de munitions. J'ai lâché une grenade. Le chemin est bloqué complètement à cause des débris.
Vous: " Ah c'est dommage, nous qui voulons y retourner ! ... "
Le Suisse: " Quoi? Vous êtes fou !
Moi j'ai un avion demain soir, je compte bien le prendre ! " dit-il, indigné.
Henry: " Tous les ponts de Manhattan subissent un blocus militaire. Pas moyen de quitter la ville.
Vous: " Au fait, quel est ton nom ? "
Le Suisse: " Je m'appelle Vincent, et vous ?
Vous retenez un petit rictus, son accent français vous fait bien rire !
Vous: " Voilà Henry, un spécialiste ordinateur, casper, le baraqué de service, et Marco, le Vénézuélien. Moi c'est Richard.
Vincent: " Cool. Et maintenant vous voulez y retourner ? Mais pourquoi donc ? "
Henry: " On doit apprendre plus sur ce fameux virus. On doit retrouver cet homme au carnet et l'intéroger. Tu es sûr qu'il n'y a pas d'issu ? "
Vincent (hésitant): " Bah il y avait une porte ouverte à gauche, deux étages plus bas... "
Vous: "Parfait, on y va. Mais avant, on doit apprendre quelque rudiments des armes. "
Pendant les dix minutes suivantes, le Suisse nous enseigna rapidement le maniement de nos fusils mitrailleurs. Des "Bushmaster A3", comme ils les appelaient. Ils nous a dit aussi comment se mettre à couvert au cas où et de bien suivre ses ordres.
Vous: " C'est drôle, vous les Suisses. Vous qui êtes neutres, vous êtes des militaires "
Vincent: " Service militaire obligatoire. Il faut bien s'assurer une certaine prtection..."
Vous marchez tous dans les escaliers. Le suisse devant, puis vous et Henry et Marco et Casper qui ferment la marche. La porte se présente à vous. Vincent l'ouvre sans difficulté. Soudain des pas se firent entendre...
De sa main, Vincent nous fit signe de se mettre à couvert de part et d'autre de la porte et d'observer le silence. Le buit des pas se firent plus sourds: la voie est libre.
Vous avancez avec beaucoup de prudence dans ce couloir inconnu. Pas de bureaux, pas de portes... juste un long corridor blanc et sombre...
Marco: " Ma, on va où ? "
Vincent: " Je ne sais pas... "
Johnson: " Il y a personne ! "
Vincent: " Chut ! Je crois que j'ai entendu quelque chose... "
Mais des bruits pas se refont entendre. De plus en plus proche. Une ombre qui se déplace rapidement... mais rien de concret.
Casper: " Bordel, c'est quoi ce merdier ? "
Vous avancez encore plus loin. Vous entendez carrément des grognements. Soudain, une créature surgit. Pas le temps de la voir plus longtemps, elle a déjà sauté par dessus vous et s'est échappée.
Marco: " Kezako ??? C'était quoi ça ???? Haaa ! "
Vincent: " Silence ! "
Le Vénézuélien se calma...
Vous tournez à droite, de la où venait la créature. Il y a du sange parterre. Vous trouvez une cellulle. Ouverte. Il y a soldat de-dans, ou plutôt ce qu'il reste d'un soldat. Ce pauvre homme a ét littéralement déchiqueté par des coups de griffes et de machoires. Le spectacle vous donne la nausée.
Vous: " ça doit être cette "créature" qui a dû faire ça. C'est horrible ! "
Henry: " Alors on a eu chaud ! "
Une porte claque. Un groupe de soldats approche. Vous revenez vite sur vos pas pour vous cachez dans le tournant. Vincent risque un oeil:
Vincent: " Ils ne sont que trois ... et ... je .. crois..."
Il se retourne:
Vincent: " C'est lui ! C'est notre homme. "
voili voilou !! c'est fini
je tiens a préciser que je n'est corriger aucune faute !
a kan la suite ?
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-13882-10665-7-0-1-0-la-fic-dont-vous-etes-le-heros-civil.htm#message_13912
| Math310
| Posté le 15 avril 2009 à 23:15:47
| Je ne chipote pas, c'est une remarque, un conseil pour que la lecture soit plus agréable
Point d'inquiétude, j'userai dorénavant d'un langage plus docte que précédemment !
à vitcom pour ses magnifiques c/c ! ^^
j'vous explique la situation, je m'embettait chez moi, alors j'ai inventer une suite pour cette fic. je l'ai montrer a macko, et il a voulu que je la post alors voila, c'est ce que je fais (ne vous inquiétez pas, il reviens apres)
donc voila la suite, avec le choix numéro 2
Nous sommes toujours cachés derrière le mur. Vincent est prêt à passer à l'action, un pistolet dans chaque main. Les trois hommes se rapprochent. Il sent son cœur, battre, de plus en plus vite, l'adrénaline monte en chacun de nous ; d'un bon, Vincent sort de sa cachette, et vide les deux chargeurs sur les soldat. Au même moment, avec tout les autres, nous nous dirigeons vers notre cible, accroupi, pour ne pas se faire transpercer par une des balles de notre ami.
Une fois les deux hommes au sol, on saute sur notre cible, en m'écrasant sur elle, je voit l'expression de stupeur que l'homme au calepin a. Malheureusement, quand il tombe a terre, il se fracasse la tête contre le sol, et s'évanouit.
Nous décidons de le trainer dans un bureau ouvert, qui est libre. Sur la porte, est écrit : « bureau du chef Bergamote. Dans ce bureau, il n'y a aucune décoration, nous ne voyons que des feuilles de calculs, des documents et des photos. Toutes portent le nom de « compte rendu expérience sur le prototype », ou « photo après exposition a la lumière du prototype », ou encore « Graphique du rapport Poids/Force du prototype ».
Je murmure :
« C'était donc lui, cette chose, que l'on a croiser tout a l'heure .
-Qu'est-ce qui s'pass' ?, demanda le suisse.
-Et bien la chose que l'on a croiser tout a l'heure, j'apprend dans ce document que c'est une future arme militaire, et que si l'experience réussit, tout les soldats seront muni d'une force exeptionnel et d'une résistance presque illimitée a la douleur, ils n'en disent pas plus. »
En voyant l'homme au calepin qui commençait a bouger, vous dites au autres :
« Ok, on va faire comme dans les séries télévisées , un gentil flic, et un méchant ! Perso, je fais le gentil, qui veut faire le méchant ?
-Moi, réponds Casper
-Ok, prends le flingue du Suisse, tu aura l'air un poil plus intimident !, dis-je en souriant. Pendant ce temps, Henry, si tu peux essayer de pirater l'ordinateur ? Pour essayer de voler quelques informations ?
-C'est comme si c'était fait ! »
L'homme, en se réveillant, dit :
« qu'est-ce que je fais dans mon bureau ? Et qu'est-ce que vous faites là ?
-Écoutes mon gras, en ce moment, t'es pas trop bien placer pour poser les question.,lance Casper, alors écoutes moi bien ! Qu'est-ce qui a provoquer la panique ici ? »
Le caporal chef de sourcille pas. Il ne bouge même plus du tout, même pas un battement de cil.
« S'il vous plait, pouvais vous m'en dire plus sur ce virus dont vous m'avez parler ? »
Le même gros blanc. C'est Henry qui brise le silence.
« Les gars ! J'ai pirater sa messagerie, il a reçu un message, il y a vingts minutes, qui dit que le cobaye n°291 n'as pas supporter la dernière injection, il aurait muter, et serait devenu fou ! »
En entendant ceci, Casper perds réellement son calme :
« Bon, t'entends ça ?, vocifère-t-il, qu'est-ce que c'est que t'as refiler a Richard ? C'est quoi ce gros bordel ? »
Toujours aucune réponse de la par de Mr Bergamote
« Bon, on le butte? », demande Casper
Deux choix s'offrent a vous (j'en ai pas trouver 3 ^^ )
1.Vous vous enfuyez a l'anglaise sans aucune réponse mais en faisant sauter tout le bâtiment
2.Vous le forcez a répondre sous la torture
merci =D j'accepte les critiques (constructives)
le gras ? c'est quoi un nouveau mot ?
sinon c'est bien mais on est obligé de leur fait comettre un crime ? chacun de ces 2 choix sont des crimes mais bon
la 2 faut le faire parler a quoi ca servirait de faire suater le batiment ? faut faire jacter le pelo (si possible avec des methodes gore )
lol je voulais dire sauter pas suater et c'est la peine d'essayer de me reprendre sur moi
remarque:
-c'est une fic dont VOUS êtes le héros! donc pas de "JE"! xD
Sinon c'est bien aussi! (mais si vous vous mettez à deux sur une fic sa va être chaud pour coordiner avec les autres fic non )
la 1
Ne t'inquiète pas, Alcatraz, je lui est dit ce qu'il ne faut pas ce qu'il se passe.
La 2, pas pour la torture, mais pour le faire parler.
ah ok! on se comprend
la 2! sciez-lui la jambe avec une cuillère, comme dans Naheulbeuk!
oui tkt alcatrtaz, je lui est montré et il ma dit de la poster, mais c'est lui qui va continuer hein !!! comme d'hab ^^
sinon, oui c'est vrai j'aurai du écrire en "vous" mais ça me venait beaucoup plus facilement .
en plus je vous raconte pas... au début j'écrivait au passé simple ... je me suis retrouver avec des :"nous nous retrouvâmes dans le burreau ..." la grosse galere ^^
La 2!! C'est pas mal tout sa
bravo à vous.
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L'erreur est humaine, mais l'humain est-il une erreur?
oh un fan de naheulbeuk,je choisis aussi la 2 (coupons lui les cheveux avec un ciseaux)
-c'est une fic dont VOUS êtes le héros! donc pas de "JE"! xD
je parlais de ce que je pensais apres chacun parle pour lui