Enjoy ! :ok

@+all;

ah ca devient mieux tu rattrape tes derniers chapitres là

Nous ne sommes pas narcissiques

On se kiffe c'est tout )

Très bon chap, tu me régales

Il est excellent ce chapitre!! Vivement le prochain.
P.S.: merci pour tes explications de l'autre jour.

Eh bien alors, Master18, tu délaisse ta fic'? Bon, à bientôt j'espère!

Non, la suite, c'est...euh tout à l'heure, ou demain.

;) a priori c'est plus pour demain lol. J'attend ton chapitre avec impatience!!

Bon, voilà le chapitre 24

Enjoy

DRAGON BALL NEXT GENERATION
OAV : A LA CROISEE DES CHEMINS
CHAPITRE 24 : PRELUDE

**

L’être humain est armé contre une multitude d’obstacles et d’ennemis. Mais il en demeure quelques-uns contre lesquels tout effort est vain. Parmi eux, la mort et le temps.

Le temps file.
Le temps n'attend personne.
Le temps est un précieux bien dont on ne peut disposer à l’infini. Mais, c’est alors qu’il nous manque, qu’on en vient, enfin, à l’apprécier, à sa juste valeur.

La journée du 1er Novembre, 793, arrivait à son terme.
Mais, nombreux étaient ceux qui n’avaient eu la chance de la vivre. La Terre était décimée. Un quart de ses habitants était mort aujourd’hui. Quelques-uns des malheureux avaient été victimes du virus Anadora, qui n’avait de cesses de sévir. D’autres encore avaient été victime de la méchanceté de leurs semblables, pour qui, le moindre prétexte était suffisant à prendre les armes.
Tuer n’était plus une épreuve. Tuer était devenu un passe-temps, un jeu. Une obsession.

La journée du 1er Novembre, 793, arrivait à son terme.
Mais, nombreux étaient ceux qui n’avaient pas eu la chance de la vivre. Nombreux étaient ceux qui n’avaient pu voir le ciel, à présent, écarlate de la Terre, se déchirer inexorablement, dévoilant aux yeux de tous un trou béant duquel se décollaient les étoiles, qui tombaient au ciel, emportant dans leur chute la vie des passants.

La journée du 1er Novembre, 793, arrivait à son terme.
Mais, nombreux étaient ceux qui ignoraient l’état d’anxiété dans lequel se trouvait Dendé, le dieu de la Terre. En effet, le doute l’avait plongé dans une telle angoisse qu’il semblait avoir perdu plusieurs kilos, revêtant un air hâve et maladif dont on ne lui reconnaissait pas. En attestaient la pellicule de sueur qui recouvrait son visage olivâtre et amaigri.
Mais, il savait que le pire l’attendait, que les sueurs froides laisseraient place à un flot de larme. Pauvre Dendé. Il ne croyait pas si bien dire…
A présent, lecteurs, il me faut me tasser dans l’ombre pour laisser éclater la lumière de la vérité ; et vous faire découvrir par vous-mêmes la fin des aventures des ces héros tragiques au destin d’or…

**

Quelques heures plus tôt, dans les profondeurs du Palais Céleste, les sept dieux de la Terre étaient réunis autour d’une table à l’occasion d’un conciliabule censé débattre de l’avenir de la « planète bleue ». Les conversations commencèrent allègrement ; les dieux plaisantant à tue-tête. Pourtant, l’heure n’était guère à la plaisanterie, et Dendé ne tarda pas à le leur rappeler…

- Mais je suis en train de rêver, ma parole ?! Les terriens sont en train de s’entretuer, d’autres en train de tomber malade ! Mais, la seule et unique chose dont vous préoccupez, c’est de parler du passé ! De boulangerie ?! Honte sur vous !
- Du calme, Dendé, dit le dieu numéro deux, Legolas d’un ton qui se voulait apaisant.
- Bon alors, reprit le protégé de Piccolo, l’air impatient, vous m’avez dit avoir trouvé le moyen de remédier à la situation sur Terre. Est-ce que c’est vrai ?

L’un des dieux se leva solennellement, et commença à arpenter la salle éclairée, faisant les cent pas autour de ses semblables. Il marcha ainsi pendant plusieurs minutes lorsqu’il s’arrêta subitement. Il releva la tête, et déclara à mi-voix :

- Nous n’avons trouvé qu’un seul moyen pour sauver la Terre.
- Oui, et quel est-il ?
- Que le Mal renaisse de nouveau, répondit Retsu, l’air accablé.
- Quoi ? Vous vous moquez de moi ? s’indigna Dendé.
- J’aimerais bien, mais il n’y a pas d’autre seule solution ! Tu dois sans doute te demander la raison d’une telle décision. C’est pourtant simple, poursuivit Retsu, à la suite du meurtre du Chaos par les élus, le Mal a disparu, et le Bien commence à disparaître progressivement. Par conséquent, il n’y a donc ni Bien, ni Mal. A présent, c’est l’anarchie qui règne, le désordre.
- C’est ce qui explique la raison pour laquelle les Terriens s’entretuent, ajouta Legolas d’un ton brusque.
- En définitive, le seul moyen pour que le désordre cesse réside dans la restauration de l’Equilibre des Forces. Et il n’y a qu’un seul moyen pour cela : que le Mal revienne.
- Mais, en faisant cela, fit remarquer Dendé, l’air intrigué, le Chaos reviendra t-il pas à la vie ?!
- Il peut. Mais, nous pouvons aussi choisir parmi la Terre ou l’Univers un Homme qui deviendra en quelque sorte la nouvelle source du Mal, et reprendra ainsi la place vacante laissée par l’Empereur du Mal. Cet Homme deviendra alors…l’Héritier… l’Héritier du Mal.
- Et je suppose que vous avez déjà choisi son identité. Alors qui est-il ?
- C’est Végéta, annonça Retsu en fronçant les sourcils comme pour montrer la difficulté d’une telle annonce.
- Vé…Végéta. Mais pourquoi, Végéta ? interrogea Dendé en se levant brutalement de table comme pour afficher son mécontentement. C’est impossible ! Pourquoi lui plus qu’un autre ? Pour son passé de criminel ?!
- Entre autres, mais c’est aussi parce qu’il n’y pas d’être humain sur Terre avec un cœur assez endurci, les épaules assez larges pour devenir l’Héritier. Tu le croiras peut-être pas, mais il sera à l’hauteur.
- C’est injuste ! s’emporta Dendé, désabusé. Injuste ! Est-ce que vous avez pensé à sa réaction, celle de sa famille et de ses amis ? Et qui est-ce qui se chargera de lui annoncer qu’il devra mourir spirituellement parlant pour que la Terre renaisse ? Qui lui dira qu’il doit redevenir l’homme froid, insensible et malveillant qu’il fut pour nous sauver ? Qui va le lui dire ?
- Toi, répondit Seito, dieu numéro un d’un ton péremptoire. C’est toi, et personne d’autre, tu entends ? Bien sur, poursuivit-il d’un ton sarcastique, si tu as une autre solution, nous serions ravis de l’entendre. Alors, Dendé ?!

L’intéressé jura. Il traversa la pièce, tête basse, laissant ses prédécesseurs traiter du cas de l’Héritier. Il se résolut finalement à quitter ladite "Salle des Archive".

- Êtes-vous certains que ça marchera ? Est-ce qu’en devenant, l’Héritier, Végéta permettra que la Terre retrouve la paix ?
- Cela permettrait de mettre fin à toute cette violence et cette anarchie. Mais en ce qui concerne le virus Anadora, je crains, hélas, que ce ne soit suffisant.
- Merci, c’est que je me disais.

Aussitôt, il quitta la pièce pour aller annoncer la terrible nouvelle. Mais, dans son trajet aérien, son instinct l’en dissuada, et il se décida de retrouver Maître Karin. Il espérait que l’ermite puisse répondre à ces interrogations auquel cas leurs chances de rédemption demeuraient, quoiqu'infimes. Mais, dans le cas contraire, songea Dendé, je crains qu’on doive préparer de nombreuses funérailles.

**

Loin des préoccupations de leur ami, Son Goku et Pan, auxquels s’était joint Végéta, sillonnaient la Terre depuis maintenant deux jours à la recherche de Bra. En vain. Deux jours qu’ils espéraient que l’adolescente était saine et sauve.
Cependant, à mesure que le temps s’écoulait, il leur était de plus en plus difficile de garder leur optimisme. Mais, Végéta se refusait à considérer l’hypothèse de la mort de sa fille. C’était tout simplement inconcevable.

- Végéta, commença Kakarotto d’un ton neutre, Végéta…
- Quoi ?! Quoi ? Pourquoi faut-il que tu parles, Kakarotto ? La situation n’est-elle pas assez compliquée comme cela, hein ?! Imbécile !
- Si. Seulement, je me disais qu’il serait peut-être temps que tu rentres auprès de Bulma, suggéra l’autre saiyan, l’air dubitatif.
- C’est hors de question, tu entends ?! Hors de question !
- Le fait est qu’elle a besoin de toi, Végéta ! s’écria le fils de Baddack, courroucé. Comment peux-tu être aussi insensible ? Enfin, c’est ta femme ! Elle a plus que jamais besoin de toi ! Elle se retrouve enceinte contre son gré, et sa fille qui a disparu ! Végéta, je t’en prie, rentre voir Bulma !
- J’en ai strictement rien à foutre ! Je ne me reposerai pas tant que je n’aurai pas retrouvé ma fille ! Elle ne peut pas être morte, Kakarotto ! Non, c’était impossible !

Végéta ferma les yeux, détourna le visage pour contenir ses larmes, mais son compatriote n’était pas dupe. Il avait suffisamment observé le visage de son équipier pour lire son affliction. Ses yeux, d’ordinaire durs et n’exprimant que la rage, ne reflétaient plus qu’à présent, désespoir et amertume. C’est alors que contre toute attente, la voix aigue de Pan rompit ce moment d’émotion :

- Et si l’un des Défenseurs de la Paix l’avait kidnappé ?
- Non, c’est impossible, répondit Goku d’un ton péremptoire. Pour la simple et bonne raison que nous aurions senti leur présence à leur arrivée. Et puis, je ne pense pas qu’ils iraient jusqu’à enlever Bra. J’en suis absolument certain.
- Si ces misérables ont, ne serait-ce que toucher un seul de ses cheveux, je jure sur ma vie de les faire souffrir comme jamais Homme n’a encore souffert. La mort ne sera rien, à côté de cela, croyez-moi.
- Est-ce que je pourrai y participer, moi aussi, Végéta ? demanda Pan, l’air plus sérieuse que jamais.
- Pan ! s’écria son grand-père d’un ton réprobateur. Si ta mère t’entendait parler ainsi, elle aurait une crise cardiaque ! Alors, tu ferais mieux de te contrôler.
- Bon, d’accord, grommela la jeune fille. Mais… c’est de mon amie qu’il s’agit. De ma meilleure amie, ajouta t-elle. Alors, si je peux aider, je le ferai.

Végéta esquissa un infime sourire. Le premier depuis plusieurs jours, maintenant, si bien que mes muscles faciaux semblèrent l’élancer.
Puis, aussitôt, la tristesse et l’inquiétude reprirent leur droit, et son visage s’assombrit.
Les trois compagnons continuèrent leur périple pendant près deux heures lorsque Son Goku suggéra à sa petite-fille de rebrousser chemin. Elle était complètement exténuée, écrasée de fatigue par ces deux jours d’investigation.

- Entendu, dit Pan. Mais, tenez-moi au courant.

Brusquement, les deux parents décidèrent de s’immobiliser dans les airs, laissant Végéta prendre de l’avance. Ils s’observèrent quelques minutes, ne disant mot, profitant mutuellement de leur image. Il s’agissait peut-être de la dernière fois qu’ils se voyaient avant quelques années, si ce n’était plus. Puis, le père de Son Gohan se décida à briser ce silence intense et saisissant, et rétorqua :

- Ce n’était pas tout à fait la semaine que j’avais imaginée pour nos retrouvailles, mais avec le temps, j’ai compris que rien ne se passait comme nous le voulions.
- Oui, acquiesça Pan. Fais bien attention à toi, grand-père.
- Toi aussi. Je compte sur toi pour prendre soin de ta mère et cette fille que vous avez adopté. Comment s’appelle t-elle déjà ? Rahi ?!
- Elle s’appelle Iria, grand-père, rectifia Pan avec un sourire. Dommage que tu ne l’aies pas vu, et Danté, le fils d’oncle Goten.
- La prochaine fois, j’espère.

A ces mots, ils s’étreignirent tendrement durant de longues minutes. Mais la dure réalité reprit encore une fois son droit, et ils durent se séparer.

- A bientôt, grand-père ! Et préviens-moi s’il passe quelque chose ! J’y tiens !
- A bientôt, Pan.

Sans plus attendre, ils activèrent deux auras translucides autour de leur corps puis fendirent le ciel dans deux directions complètement opposés, espérant de tout cœur que leur chemin viendrait à se croiser. Mais, Goku l’avait bien dit : « rien ne se passe comme nous l’avons prévu ».
N’était-ce qu’un simple au revoir ou des adieux, je vous laisse, lecteurs, en juger par vous-mêmes…

Trop bien franchement rien a dire fais un tour sur ma fic pour me donner des conseils

Quel beau chapitre... Un tantinet dramatique mais bien écrit et prenant. Vivement la suite!!

Moi je ne dirais qu'une seule chose,tu es parti sur une premiere saison assez banale,aprés tu es parti sur la saison 2 avec le chaos,c'était la perfection,et maintenant la saison 3qui petit a petit rattrappe le succes de ta seconde saison et puis depassera bientot la perfection

Au fait je me demandais, tu compte te présnter aux prochaines lections pour la palme d'or?

pour mike pour ce commentaire, même si en tant qu'auteur, c'est la saison 2 qui m'a donné le plus plaisir.

Sinon, concernant la palme d'or, je suis tenant du titre de la dernière palme, donc il me semble que je peux pas participer.

La suite, au cours de la journée.

Chapitre 25: Cinq minutes.

Je n'ai pas oublié. La suite, demain

Voici donc, le chapitre 25, nouvellement intitulé "Au nom du père". J'espère que vous aimerez

Le prochain chapitre sera beaucoup plus court que celui-ci qui est la réunion ou la fusion de deux chapitres.

Ce sera le numero 26: "La fureur dans le sang".

Laissez vos commentaires.

@+all,

Dommage qu'il n'y ai pas assez de lecteur, pour cette fiction qui pour moi et la mieux écrite ...
J'ai lu queque chapitre en diagonale, et sérieusement je te félécite, ca déchire.

Problématique, l'idée de rattraper tous ces chapitres ( dont la longeur est impressionante ) me rebutte.

J'essayerais de commencer ^^

Bon courage. Le plus important, c'est de commencer, Vegeto. Après, ça passera tout seul

Pourquoi le " " au début ?

Ouais bon j'essayerais un de ces jours ...