J'aime.

Sweet.

Magnifique

Sweeet

Suite que j'espère tant attendue pour vous

D'ailleurs, la réponse à l'énigme était Homère, créateur de l'Iliade et L'Odyssée Oui, je sais, je fais beaucoup référence à la mythologie grècque, mais c'est quelque chose qui me passionne
Chapitre 12 :

-Je … Enfin … Mon beau père m'avait fait … Des avances. Et, évidemment, pour ne pas trahir ma mère, tu te douteras sans doute que j'ai bien évidemment refusé. Et il m'a dit : « Tu es si belle, ma très chère belle-fille, tu es aussi belle qu'un cerisier faisant ses fleurs … La ressemblance est tellement flagrante que si je te change en cerisier, cela ne fera pas grand chose, hm ? Trouves-toi même le moyen de te rechanger en femme ordinaire … » Et il m'a changée en cet arbre. Mais c'est à mon tour de te poser une question. Comment as-tu su ce qu'il fallait faire pour me rechanger en Marquelles ?
-Ah ! Eh bien, tu sais, j'ai eu une vision. Comme toi tu as eu à propos de mon père … J'espère bien évidemment que celle-ci ne se réalisera pas, n'est-ce pas ? De toutes façons, ton beau-père est mort, tué pas Nimbus, non … ?
-Si, si … Il est mort comme les autres membres de ma famille … J'avais beau avoir été transformée en arbre, je voyais tout et j'entendais tout. Je voyais quand tu venais te recueillir auprès de moi et j'étais si heureuse à chaque fois que je te voyais, tu sais …
Elles se serrèrent dans les bras, tellement émues de se retrouver. Puis Marquise se pencha vers le rempart, laissant ses longs cheveux s'éparpiller par dessus sa tête. Elle regarda son père et finit par se remettre droite et dit de sa voix douce en se tournant vers sa droite, d'où se trouvais Lùa :
-Il faudrait peut-être que tu leurs explique un peu plus ton arrivée, non ? Je penses qu'il faut descendre et il faut que tu leur fasses un petit discours, car les paroles de mon père à l'air de les endormir. Ton énergie devrais les réveiller un bon coup … Allons-y !
Lùa laissa se faufiler un petit rire entre ses lèvres et dit, avec une voix qui laissait paraître quelques rires :
-D'accord, mais tu as intérêt à dire quelque chose toi aussi, car je n'ai pas du tout envie d'être la seule à parler ! Je n'ai pas l'habitude, moi … Tu comprends ? Ha ha ha !
-Oui, oui, je comprends, tous ces siècles à attendre, enfermée dans ce cerisier, ont du te rendre timide, c'est tout à fait compréhensible …
Lùa lui donna une petite tape sur l'épaule et dit :
-Ne te moques pas de moi !
Avec un petit rire.
-D'accord, d'accord, je dirais un ou deux mots. Cela te suffit à te convaincre de descendre pour faire un discours ?
-Oui, oui, d'accord, je vais le faire, ton discours ! Mais n'oublie pas de dire quelques petites choses …
-Promis. Descendons, à présent …
Sur ces mots, elles sautèrent par dessus le rempart et en ralentissant leur chutes à l'aide de leurs ailes qui aidait bien. Tout le monde se tournait vers elles, y comprit Satur qui s'arrêta dans sa phrase et s'exclama :
-Allons-bon ! Voyez qui voilà ! Je vais arrêter mon discours ennuyant pour laisser place à la jeunesse ! Je vous laisse la place, mes chères, et nourrissez le public de vos mielleuses paroles ! A tout à l'heure !
-Oui, à tout à l'heure, père, dit Marquise. Elle se tourna vers son « public » et continua ; A présent, je laisse la parole à Lùa, qui avait été enfermée ou transformée en cerisier, et qui a, je suppose, beaucoup de chose à vous expliquer sur tout cela … N'est-ce pas, ma chère ? Ils doivent être perplexe de toute cette histoire, alors ne les fait pas attendre plus.
Sur ces mots, la jeune femme s'avança et Marquise recula, les mains jointes à l'avant. Lùa, gênée, bégaya à peine quelques mots :
-Bonjour … Cher Marquels … Je ne sais pas quoi dire, ou je ne sais pas par où commencer … Enfin …
Fin du Chapitre.

Lùa est une marquelle ?...
Un discour, un discour !!!
Bien, bien.

Suite !!

Suite !

+1 Trotro

SWEEEEEEEER !!!

A votre avis, je finis le tome vers le chapitre 20 ou 25 ?

Comme tu veux

J'ai peur que 20 soit trop court, donc j'aimerais votre avis

C'est la cousine de Marquise non ?

Oui

Je bavouille devant ton chapitre

Sweeeeet

Non c'est la meilleure amie car toute la famille de Marquise est morte Bref 20 chapitres ou 25 avant le prochain tome ?

Pardon toute la famille de Lùa est morte

Donc ça veut dire qu'à un moment, les Marquels et Marquise (et Satur) vivait ensemble ?

Je pense que 25 chapitres seraient mieux Enfin, si t'as assez d'inspi pour ^^

Donc ça veut dire qu'à un moment, les Marquels et Marquise (et Satur) vivait ensemble ? Ils n'ont jamais vécus ensemble, quand ils sont nés, Satur était déjà en vie, c'est un dieu immortel. Par contre, comment est-il né, c'est encore un secret ... Bref, maintenant, ils va vivre avec Marquise et Lùa au dernier étage du palais. Les Marquels et Marquelles pourront aller au rez-de-chaussez pour prendre de l'eau ou des fruits des quelques arbres fruitiers qu'il y a. Enfin, dans les bonnes saisons, car même s'ils sont dans les cieux, ils peuvent avoir froid et chaud

Je pense que 25 chapitres seraient mieux Enfin, si t'as assez d'inspi pour ^^ Je compte arrêter le tome pile quand ils vont faire de nouvelles découverte, mais vous n'attendrais pas un mois avant le prochain tome ... Non ... Juste une ou deux semaine

Si vous avez d'autres questions, n'hésitez pas Suite demain pour que j'ai le temps de faire beaucoup de chapitres

Comment Marquise et Lùa sont-elles devenues amies ?
Parce que si les marquels pouvaient pas aller voir Dieu et sa fille... Enfin, c'est peut-être la suite de l'histoire !

Pour éclairer quelques mystères car j'ai déjà fais la suite et que je peux pas la changer ( ) voici une petite interview !

Journaliste anonymement anonyme dont le nom commence par Florona et finis par l (F) : Monsieur Satur ! Monsieur Satur !
Satur (S) : Oui ?
F : Pourquoi les Marquels ne pouvait pas aller vous voir, vous et votre fille ?
S : Tout simplement car si ils montaient aux cieux, ils se faisaient foudroyer. Des petites décharge, hein, mais qui genre de l'électricité statique qui durent une journée. Sa fait pas du bien, quand même. Et ça vous éjecte. Mais pas fort, on est pas des sadique, nous et ma fille.
F : Pourquoi vous ne parlez pas aussi bien que dans l'histoire ?
S : ... ? Mon langage spécial "jeune" ne vous a pas plu ?
F : Ah ! Si, si !
S : Ouf ! D'autres questions ?
F : Oui ! Comment votre fille et Lùa sont devenues amies ?
S : Ah ! Elles, elles sont vraiment THE meilleures amies du monde ! Ma femme était auparavant une mortelle. Elle allait donc chez son épicière qui avait une fille. Quand nous nous sommes rencontrés et que elle a "crée" Marquise, elle voulait qu'elle est des amies. Elle s'est donc adressée à son épicière favorite, qui lui a présentée sa fille ; Lùa. Bref ...
F : Comment êtes vous né ?
S : Je dois aller au toilette !
F : Eh !
Bon, c'est tout pour aujourd'hui, notre journaliste est féminine et ne voulais pas êtres choquée à vie. Ne m'en voulez pas ! Euh .. Ne lui en voulez pas !

J'ai passé beaucoup de temps sur les chapitres qui vont suivre. En voici un !

Chapitre 13 :

Elle reprit son souffle, baissa les yeux, puis regarda les Marquels avec un regard plus pétillant que jamais :
-Je vous remercie infiniment de tous ce que vous avez fait pour moi. Sans vous, je serez encore un cerisier simple, sans vie. Merci, merci mille fois. J'avais refusé les avances d'un membre de ma famille qui n'étais pourtant pas du même sang que moi, d'ailleurs, et il m'a lancé un sort. De toute manière, il est à présent … Mort … Enfin … Grâce à Marquise qui a eu une vision, elle a su quoi faire pour me sortir de là. Je lui dois une fière chandelle. Et à vous aussi, plus que tout. Encore merci. Sans vous, qu'aurais-je fais ? Bref, je ne vais pas prendre tout ce moment pour moi, je vais plutôt laisser un petit peu la parole à Marquise … N'est-ce pas, Marquise ? Allez, fais nous donc honneur de ta douce voix.
Celle-ci lâcha un petit rire et s'avança de nouveau en faisant un clin d'œil à Lùa :
-Je n'ai rien à ajouter de plus. Je vous laisse observer encore ce beau paysage … Qui vous sera bientôt très familier.
Elle se tourna vers Lùa et dit :
-Bien, à présent, remontons.
Elles prirent leur élan et s'élancèrent vers le dernier étage.

La nuit tomba enfin. Les Marquels étaient encore émoustillés et il en restait quelques dans le « hall » du palais, qui n'en revenait toujours pas. Satur était dans sa chambre, qui était jaune et orange pour représenter le soleil qui est, disait-il, la chose qu'il vénère le plus aujourd'hui. Lùa avait elle aussi une chambre qui avait les murs bleus turquoise et le plafond blanc. Le sol était de la moquette bleu foncée avec des petits points blancs pour rappeler les étoiles. En fait, ce sol était tout à fait ressemblant au ciel qu'observait Marquise en ce jour béni. Elle était appuyée à la terrasse de sa chambre, les yeux pleurant de joie. Elle s'inclina et joint alors ses mains quelle posa sur son front. Elle murmura :
-Zeus, dieu des dieux. Héra, reine des dieux. Poséidon, dieu de la mer. Aphrodite, déesse de l'amour et de la beauté. Athéna, déesse de la guerre. Héphaïstos, dieu du feu. Ai-je dis les prénoms des dieux et déesses les plus importants et les plus importantes ? Je l'espère. A présent, veuillez m'excuser de ne pas avoir de sacrifice à vous faire. Je vous fais juste don de ces quelques paroles pour vous prier d'exaucer mon vœu le plus cher.
Elle redressa la tête pour admirer les merveilleuses étoiles qui semblait briller pour lui dire de continuer ses paroles. Elle rebaissa la tête et continua :
-Laissez ma vie telle qu'elle est maintenant. Laissez moi me reposer et savourer mon présent bonheur d'avoir retrouver ma plus chère amie. D'avoir mon père sain et sauf. D'avoir le bonheur des Marquels qui envahit mon cœur. D'être tout simplement … En vie ?
Elle reprit son souffle un instant et continua, toujours en murmurant de sa voix mélodieuse :
-Je vous en prie. Ne bougez plus l'instant qui est celui-ci. Ne changez plus ma situation de vie, grand dieu et déesse grec. Je vous en prie de tout mon cœur. Exaucer le seul vœu que je vous ai demandé. Depuis des siècles que je suis en vie, je ne vous ai demandé aucune faveur. Exaucer la seule que je vous demande. Je vous en prie.
Elle se releva et regarda longuement le ciel en laissant la brise légère de la soirée caresser sa chemise de nuit. Elle tourna les talons et rentra pour ensuite fermer la baie vitrée. Elle se coucha enfin, le cœur gros de son vœu. Puis elle s'endormit enfin en étant enfin heureuse pour de bon.
Fin du Chapitre.

Suite !

"Sans vous, je serez encore un cerisier simple, sans vie."
Les arbres sont des êtres vivants, inculte

Je sais
Mais dans le sens qui peut pas bouger, car je trouve que c'est toujours plus poétique de dire "Sans vous, je serais encore un cerisier simple, sans vie." Que "Sans vous, je serais encore un cerisier, un arbre qui ne peut pas bouger, pas parler, etc." Et désolée pour l'énorme faite à serais