PS : pour ton com, PSG_Forever . Je précise quand même, au cas où tu ne connaîtrais pas ce forumeur, que je ne parlais pas de toi quand je parlais de PSG7 .
Très heureux de voir que tu ne l´as pas mal pris (personne n´a jamais mal pris mes critiques mais ça peut arriver donc autant prvenir que guerir ^^).
Mais j´ai quand meme l´impression que suite à mon commentaire tu crois que tu es moins bon que Tati. Bah justement dans ma "longue critique" j´essaye de t´expliquer que t´es pas loin de son niveau mais il te manque deux trois trucs dont tu peux facilement te procurer (un peu de réflexion avant d´ecrire? Je faisais ça moi).
J´hesite à repondre sur les couples mais très franchement en ayant un peu étudié la psychologie de JKR (je dis pas que je connais son mode de fonctionnement mais sa maniere de faire) , ça m´etonnerait grandement qu´il y ait une quelquonque histoire entre ron et Hermione (bien qu´il existe de nombreux signes avant coureurs,je suis d´accord sur ce point là), à mon avis elle fait comme tout bon écrivain, elle laisse le lecteur la suite la plus logique (en l´occurence qu´il vont avoir une liaison) mais elle changera au dernier moment les données pour partir dans une direction imprévisible.
Après tout on annoncait pas il y a quelques années que Harry et Cho etait un couple qui durera?
En tout cas ne me fais pas dire ce que je n´ai pas dit, tu peux tout a fait rejoindre le niveau de tati (meme si c´est extremement compliqué ^^).
C´est nul
Comment on peut etre supporter du psg et etre aussi con? ^^
N´empeche faudrait que tu m´expliques, pourquoi tu fais ça?
Delta
Je ne cherche toujours pas à contredire que je sois un peu en dessous du niveau de Tati, mais tu te trompes quand même sur les deux points que tu as évoqués .
Sache que j´ai réfléchi pendant longtemps pour écrire les chapitres actuels de ma fic (pour les chapitres du début, par contre, c´était vraiment au jour le jour...). Donc ta remarque m´a un rien vexé, mais bon, je ne le prends pas "mal" non plus .
Quant à la manière de pensée de JK Rowling, je n´aurais rien pu te répondre si Jk Rowling n´avait pas dit elle-même que...
du VRAI tome 7 :
Hermione va se voir dans le miroir du Riséd dans les bras d´une certaine personne, et que nous avions tous bien compris de qui il s´agissait (elle avait dit aussi que Harry et Hermione ne sortiraient pas ensemble, lol)
fin du .
Voilà, mais une fois encore, il ne faut pas lire ma réponse en imaginant que je sois énervé .
Je suis pas sur de suivre là c´est qui cette certaine personne? (ce que tu as écris entre parenthèse me trouble encore plus ^^)
Faut se detendr un epu hein vous vous prenez un peu trop au serieux enfin bon ....
Je pense que c´est JKR qui a dit ça
Non mais psg, faut comprendre aussi, quelqu´un passe du temps à écrire et il met tout son temps, il se consacre à fond sur ce projet et quelqu´un arrive en disant "c´est nul", ça casse vraiment quoi
Tu aurais pû le afire plus doucement c´est vrai. Mais cela prouve qu´il déborde d´énergie
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"Vaut mieux rater un baisé que baisé un raté"
Delta La certaine personne ne peut être, comme beaucoup l´on déviné, Ron .
Bonne lecture
28
Une affaire de cœur
On aurait dit que les liens d’amitié qui soudaient Harry, Ron et Hermione s’étaient rompus. Non, pensa Harry, en fait, leur amitié qui avait duré pendant près de sept ans s’était bel et bien éteinte. Ron n’avait plus le moindre geste, la moindre réaction, parole, ou attitude amicale à l’égard de qui que ce soit. Ils ne s’étaient pas réellement disputés – comme lors de leur quatrième année, pour une affaire de jalousie, parce que Ron ne supportait pas l’attention que Harry attirait sur lui malgré lui. Mais c’était ainsi, Ron n’était plus son meilleur ami.
Hermione n’essayait plus du tout d’adresser la parole à son petit ami, qui était bel et bien devenu son ex-petit ami. Mais c’était beaucoup plus que cela, évidemment, car il était devenu impensable pour Hermione de se trouver à moins de plusieurs kilomètres de Ron, contre qui elle devait avoir beaucoup de rancœur. Hermione ne parlait pas non plus énormément à Harry ; elle passait la majorité de son temps en compagnie de Parvati et Lavande – qui se montrait de toute évidence bien plus aimable avec Hermione depuis que Ron ne sortait plus avec elle et qui semblait même réellement compatissante vis à vis de la dureté de Ron –, les deux jeunes femmes étant semble-t-il devenues ses nouvelles meilleures amies. Harry ne comprenait pas si Hermione lui en voulait à lui aussi, mais si cela avait été le cas, cela n’aurait pas eu beaucoup de sens. Il penchait plutôt pour le besoin de la jeune femme de s’écarter du monde des hommes, et surtout de rester le plus loin possible de Ron.
Il était vrai que Harry ne laissait pas son ancien meilleur ami tout à fait seul. Ils se rendaient ensemble en cours et s’asseyaient côte à côte, mais Harry se débrouillait toujours pour avoir quelqu’un de sympathique – en général Neville, mais cela pouvait également être Dean ou Seamus – de l’autre côté de sa chaise. C’était comme si Ron et lui avaient fait semblant d’être les meilleurs amis du monde, tout en ne faisant aucun effort car leur comédie n’aurait pas été crédible.
Il ne parlait plus à Ron, et Hermione s’était éloignée de lui : cela donnait comme résultat que le meilleur ami qu’avait Harry en ce moment était Neville. Certes, Harry aimait beaucoup ce dernier, surtout depuis qu’il avait pris une part aussi importante dans le combat contre Voldemort, à ses côtés. Cependant, même s’il n’avait rien contre le fait d’avoir un ami proche de plus, il n’avait jamais envisagé qu’un jour, Neville deviendrait le seul à pouvoir recevoir le titre de « meilleur ami ». Néanmoins, même s’il devait maintenant assumer seul la charge de soutien scolaire, Harry pouvait rire et aussi vivre un peu…
Mais au bout d’une semaine, il n’en pouvait déjà plus. Non pas que cette vie fût à ce point insupportable – en dehors du fait qu’il ait perdu, ou presque, les deux meilleurs amis qu’il ait jamais eus, sa vie n’était pas si maussade que cela –, mais il ne pourrait jamais avoir un moral ni un mental suffisamment solides s’il continuait à ce rythme-là… Il ne serait jamais suffisamment fort pour vaincre Voldemort. Et puis, après tout, il restait encore une personne qui comptait pour lui, et avec qui il n’avait plus l’intention de perdre plus de temps à attendre inutilement.
Il se creusa les méninges pendant une bonne partie de la nuit, vendredi soir, pour trouver le meilleur moyen de l’aborder, et ses réflexions se poursuivirent dans son sommeil et ses rêves…
Le lendemain matin, quand il se leva, il se dit qu’il était vraiment trop compliqué, parfois. Il était déjà sorti avec Ginny une… non, deux fois. Il la connaissait, après tout, alors pourquoi se donner tout ce mal ? Pour passer du temps avec Ginny sans la brusquer, il ne connaissait qu’une seule méthode, une tactique qu’il avait déjà expérimentée plusieurs fois : les devoirs… D’ailleurs, il n’avait pas spécialement besoin de se limiter à cela, il y avait bien d’autres choses qu’ils pouvaient faire ensemble sans « sortir » au sens où certains auraient pu l’entendre… Il verrait à quel moment il pourrait lui parler, et si cela devenait trop long, il prendrait les devants.
Il entra dans la Grande Salle pour prendre son petit déjeuner et vit que Ginny se trouvait avec des amis. Quand elle se leva, ces mêmes amis se levèrent également et partirent avec elle. Harry ne voulut pas l’importuner. De toutes manières, en y repensant, ils allaient forcément se voir le jour même…
Ses devoirs, il les commença un peu avec Neville avant de rejoindre seul les vestiaires du terrain de Quidditch et de réviser ses stratégies pour le match contre Serdaigle en attendant l’arrivée des autres joueurs. L’entraînement se déroula bien mieux que celui de la semaine précédente.
Ron, bien que très froid avec tout le monde, ne posait pas de problème et obéissait aux consignes de son capitaine ; on pouvait même dire qu’il donnait le meilleur de lui-même : il faisait autant d’efforts qu’il commençait à en faire en cours, un peu comme s’il envisageait la possibilité de devoir à un moment ou à un autre monter un balai de course lorsqu’ils rechercheraient les Horcruxes ou devraient attaquer Voldemort, pensa Harry avec tristesse. Ginny, même si elle ne paraissait pas tout à fait en pleine forme, montrait autant de talent pour envoyer et recevoir le Souaffle qu’à son habitude, et les autres joueurs, eux, paraissaient déterminés à ce que l’équipe de Gryffondor rattrape le retard qu’elle avait pris dans le championnat de Quidditch, si bien que Jimmy Peakes et Ritchie Coote faillirent blesser plus d’un de leurs coéquipiers.
Quand Harry décréta que l’entraînement était terminé, l’heure du déjeuner était quelques peu dépassée, et l’enthousiasme de tous avait été bien entamé. Sur le chemin du château, Harry se hâta de rattraper Ginny avant que ses amis – ou Neville – ne pointent le bout de leur nez.
– Hé, Ginny, attends-moi !
Elle se retourna et l’attendit avant de reprendre la marche au même rythme.
– Au début j’avais un peu peur, mais finalement, l’équipe promet, dit Harry d’un ton satisfait. Je crois bien qu’on peut battre Serdaigle et peut-être même remporter la coupe.
– Oui, j’espère, répondit Ginny d’un ton courtois. Et maintenant, tu peux me dire ce que tu veux ?
Pris de court, Harry se demanda s’il n’avait pas dit ou fait une bêtise. En fait, il se demandait s’il n’était pas en train d’en faire une, en ce moment même… Mais il était trop tard pour reculer.
– Je voulais simplement te demander… Ça a te dirait de faire tes devoirs avec moi ? J’aimerais bien parler avec quelqu’un d’autre que Neville, pour changer un peu.
– Tu as quelque chose contre Neville ? s’étonna Ginny, sans laisser voir si elle était mécontente ou non.
– Non, c’est juste que… j’aimerais passer un peu de temps avec toi, si ça ne te dérange pas, avoua Harry.
Il se sentait un peu audacieux, et ignorait si oui ou non il allait trop loin compte tenu de la perte et la dure vision qu’avait subies Ginny les semaines précédentes.
Mais à sa grande surprise, cette dernière lui adressa un sourire radieux.
– Avec plaisir, dit-elle. Tu manges avec moi ? On ira à la bibliothèque après, si tu veux.
– Ça me va très bien, répondit Harry en lui rendant son sourire.
Il croyait à peine à la réaction de la jeune fille. Il n’aurait jamais cru la voir avec un sourire si franc, si tôt… Mais peut-être qu’elle aussi, malgré tout ce qui arrivait, malgré la perte de son propre père et ce qui était arrivé à sa mère, avait décidé de ne pas se laisser abattre, d’aller de l’avant, et de vivre ?… Cela devait être plus compliqué que cela, pensa Harry, mais il le découvrirait sans doute plus tard.
Ils déjeunèrent ensemble, l’un en face de l’autre, et discutèrent de tout et de rien. Ils commencèrent à se plaindre ensemble de tout le travail que les professeurs donnaient en sixième et septième année, surtout Abel. Ils poursuivirent cette conversation sur le chemin de la salle commune, puis en redescendant au quatrième étage, mais ils se turent à l’approche de la bibliothèque.
Ils passèrent la moitié de l’après-midi à faire leurs devoirs. De temps à autre ils chuchotaient un peu, mais ils restèrent silencieux la plupart du temps. Il n’y avait pas la moindre tension entre eux, ils expédiaient simplement et tranquillement leur travail scolaire dans l’atmosphère paisible de la bibliothèque de Poudlard, sévèrement maintenue par Mrs Pince.
– Tu ne m’as pas embêtée, cette fois-ci, remarqua Ginny lorsqu’ils rejoignirent la salle commune, vers quatre heures de l’après-midi.
– Qu’est-ce que tu veux dire ?
– Tu n’as pas essayé de trop me faire rire ou de me déconcentrer de mes devoirs… Enfin tu ne m’as pas dragué, quoi, dit Ginny avec un sourire.
Harry se surprit à rougir. Il paraissait incroyable que la jeune fille parle aussi facilement de ce genre de chose en ce moment…
– J’aimerais bien qu’on se revoie de temps en temps, dit Ginny, d’une voix un tantinet moins gaie. C’était sympa de faire nos devoirs ensemble, mais on ne peut pas vraiment parler à la bibliothèque. Si tu veux passer du temps avec moi, il y a beaucoup d’autres endroits à Poudlard – le parc, par exemple. Et puis moi aussi j’aime bien être avec toi, déclara-t-elle sans détour. Et puis ça me fait du bien en ce moment d’être avec quelqu’un qui me connaît peut-être un peu mieux que Colin ou les autres…
Son sourire sembla soudain un peu triste. Harry comprit qu’il s’agissait sans aucun doute d’une allusion à ce dont ils n’avaient pas parlé de la journée.
Harry décida d’accepter la « proposition » de Ginny. Les jours suivant, ils passèrent plus de temps ensemble, que ce soit à faire un bout de chemin tous les deux dans les couloirs ou à se détendre brièvement – il faisait froid – dans le parc, ou en discutant à la sortie des entraînements de Quidditch.
Ils ne délaissaient pas leurs amis, et Ginny n’en avait d’ailleurs aucunement l’intention, même si Harry s’ennuyait un peu à cause de cela. Ce n’était pas tant le fait de n’avoir plus qu’un seul véritable ami que le fait que cet ami soit Neville, songeait Harry ; mais ce n’était pas tant le fait que ce soit Neville que la dure réalité qu’il n’avait plus celui qu’il avait considéré pendant plus de six ans comme son meilleur ami, et d’être maintenant en froid avec Hermione, d’une façon inexplicable.
En fait, Harry avait la nette impression de passer presque autant de temps avec Ginny que lorsqu’elle était sa petite amie. Certes, ils ne s’enlaçaient pas, ne s’embrassaient pas, mais une réelle complicité commençait à renaître entre eux, ainsi qu’une relation privilégiée ; c’est du moins ce que Harry espérait…
Parfois, il avait la sensation d’être observé lorsqu’il se trouvait avec Ginny, et à chaque fois qu’il se retournait, il entrapercevait le regard glacé de Ron. Harry se demandait si maintenant qu’il avait perdu toute volonté d’avoir des relations sociales, Ron verrait d’un mauvais œil que sa petite sœur ressorte avec Harry… Mais à chaque fois qu’il y pensait, il frémissait presque de colère en se disant qu’il ne laisserait pas Ron détruire tous les couples sous prétexte qu’il était malheureux. Après tout, sa petite sœur trouvait bien le courage de vivre, sourire et rire malgré la mort de son père et l’actuelle faiblesse mentale de sa mère, alors de quel droit s’y opposerait-il, lui qui avait choisi la voix de la solitude ?
Le samedi suivant, Harry s’aperçut que dans très exactement une semaine, c’est-à-dire un autre samedi – un jour sans cours –, correspondrait à la date du 14 février : la St Valentin… Eh bien évidemment, une question difficile se posait à lui : fallait-il inviter Ginny à passer a journée avec lui, « en amoureux » ? Etaient-ils – ou plutôt le seraient-ils dans sept jours – déjà prêts pour sortir de nouveau en tant que couple ?… Ginny pouvait-elle réellement aller de l’avant à ce point ?… A peine trois semaines après tout cela ?…
Le meilleur moyen d’en être sûr, c’était de le lui demander, pensa Harry, tout en sachant qu’il prenait un gros risque. Cependant, son instinct le poussait à le faire ; une sorte d’intuition qui n’était pas seulement due à son désir de ressortir avec Ginny – en tout cas il l’espérait…
Il ne trouva pourtant pas le courage de le lui demander ni lundi, ni mardi, ni les jours suivants. Ils se voyaient toujours de temps en temps, mais une sorte de gêne s’était installée, et le regard intrigué et les sourcils froncés de Ginny indiquaient qu’elle s’en était rendue compte. Elle commençait à paraître sérieusement mécontente, et se mit même à éviter Harry le vendredi. Harry décida donc de prendre son courage à deux mains et de se lancer : même si Ginny risquait de se sentir brusquée, il serait honnête et était de toutes manières prêt à accepter sans broncher tout refus de sa part.
Comme elle était déterminée à l’éviter, Harry attendit dans la salle commune que Ginny cherche à monter dans son dortoir. Aux alentours de onze heures, elle se leva enfin de son fauteuil – où elle discutait avec des amis – et sans se soucier de celles qui l’accompagnaient, Harry se posta devant elle.
– Ginny, je peux te parler en privé ? demanda-t-il d’un ton très direct.
Ginny voulut lancer un regard agacé à ses amies, mais celles-ci s’étaient déjà éloignées avec un sourire malicieux qui, au goût de Harry, ajoutait une touche de ridicule à cette situation.
– Qu’est-ce qu’il y a ? soupira Ginny. Tu vas enfin me dire ce que tu n’as pas voulu dire pendant cinq jours ?
– Oui, répondit Harry avec une franchise qui le surprit lui-même.
Ginny leva les sourcils. Il y eut un silence un peu lourd.
– Alors ? s’impatienta la jeune fille.
Harry se réveilla.
– Je me demandais si tu accepterais de passer la journée avec moi, demain, déclara-t-il. Je veux dire… pour la St Valentin. Même si on ne peut pas aller à Pré-au-Lard, nous avons tout un château qui est presque à notre disposition, alors…
– D’accord, coupa Ginny.
– Quoi ? dit Harry, surpris.
– Je veux bien être avec toi pour la St Valentin, dit Ginny. Demain, sois levé à… disons… huit heures. On déjeunera et on « improvisera » à partir de là.
Elle eut un timide sourire, un sourire bien moins large ou facile que celui qu’elle avait eu lorsque Harry lui avait proposé de faire leurs devoirs ensemble. Puis elle rejoignit son dortoir avec ses amies que Harry vit chuchoter avant que la porte ne se referme. Il monta dans son propre dortoir avec une étrange sensation au niveau de l’estomac.
Les autres garçons se trouvaient toujours dans la salle commune. Tandis qu’il se déshabillait et enfilait son pyjama, il entendit la porte de la pièce claquer derrière son dos. Il se retourna et fit face à Ron.
– Qu’est-ce que tu fabriques avec ma sœur ?
Au grand soulagement de Harry, son ton et son visage n’avaient rien d’agressif. On aurait plutôt dit que Ron éprouvait de la curiosité – mais une curiosité dépourvue du moindre enthousiasme ; une curiosité « froide »…
– Je passe la journée avec elle demain – pour la St Valentin. Ça te dérange, le rabat-joie de service ? demanda Harry sur un ton de défi.
Il n’avait tout de même pas l’intention de laisser la nouvelle personnalité de Ron s’immiscer dans sa vie privée, ni dans celle de sa petite sœur.
Ron soupira et hocha la tête d’un air méprisant.
– C’est pas vrai…, marmonna-t-il. Tu perds toujours ton temps avec ce genre de stupidité alors que tu aurais bien mieux à faire…
– Moi et ta sœur, on a décidé de vivre, c’est tout ! répliqua Harry, piqué au vif. Tu as choisi de renoncer au bonheur : très bien ; tant pis pour toi. Mais ta sœur, elle, a décidé de continuer à essayer d’avoir une vie heureuse, même si c’est très difficile. Et toi, son grand frère, tu n’as pas intérêt à t’y opposer, parce que je ne te laisserai pas faire, déclara Harry d’un ton soudain violent.
MOUAHAHHAHAHAHAHAH QU´EST-CE QUE C´EST FOUTREMENT BON CETTE DEUXIEME PARTIE DE LA SUITE
Un autre jour, Harry aurait peut-être été réticent à sortir en plein hiver, même si le soleil n’était pas caché par les nuages. Mais il était heureux d’avoir une bonne excuse pour serrer Ginny contre lui, au cas où elle aurait trop froid…
Ah mais Harry la classe quoi Petit coquin
JIM T´ES TROP FORT !! En plus tu coupes vraiment au moment où je veux pas mais c´est normal
Ah là là le bonheur est de retour, même si Ron comme ça, ça m´inquiète mais pour l´instant JE M´EN FOUS xD je suis trop content pour Harry
BRAVO
Bon j´ai pas encore lu (il est un peu tard) je lirai demain mais par contre c´est totalement officiel ton spoiler?
Je crois que je vais me lancer dans un truc que je maitrise pas du tout: La parodie. Enfin j´ai jamais essayé, sa t´embeterait si je t´envoie un extrait vite fait demain? (Par adresse electronique)
Fan.
Pas grave, Delta, j´attendrais . Mon spoiler est tout à fait officiel, oui . Ah moins bien entendu que les news d´Endoloria et de JV ne soient pas fiables .
Tu peux m´envoyer un extrait (pas trop long , je suis pas vraiment un mordu de parodie ) de ta parodie si tu veux . On verra si c´est drôle .
Bon bah voila c´est lu et retenu ^^
On passe du tragique à l´euphorique? J´ai remarqué un truc mais ce n´est pas extremement important car ça ne pas géner, il y a très peu de description des lieux, remarque on s´imagine très bien vu que l´on a lu un nombre incalculable ces descriptions dans les livres.
Petite question: Il vivait quand déja Harry potter (je sais que c´est après la seconde guerre et dans les années 80 non?)
On a droit un pti spoiler? Avec qui elle sort Hermione?
Continue j´attend la suite. Et puis pour la parodie j´en suis pas sur ^^
MET UNE SUITE VIIIIIIIIIIIIIIIIIIITE JE VE VOIR L´INERTIO
La première année de Harry il me semble est en 1991/1992.
put1 nn i fo pa coupé la sa se fé pa
sinn c tp bi1 ta fic c kan ke tu mé la suite
OOOOOOOOOO !! !!!!!!
Jim sérieux trop baléze
Mais quelle suite !! énorme !! Avec qui elle a rdv hermione ? au début je pensais a ron mais a la fin j´ai compris que non Vite !! ! je veux savoir mais il est vraiment trop bizar ron j´espére qu´il le restera pas trop longtemps et que harry va se bouger un peu le c** pour aller botter le train a quelque mangemort sur le coup de la colére avec son sortilége (si bien sur il réussit ) et oui je veux du combat !! !
jim vraiment trés bien écrit et stp vite la suite