oups !!!!!
dsl pr double post
en prenant son verre, aupres d'elle il se penche .. lui glisse à l'oreille en lui frôlant la hanche : tu es bien jolie, dans un divin sourire .. tournent les vio, tournent les vio, tournent et s'en vont, tournent les vio, tournent les violons ..
Resalut à tous et en particulier a Gouloudrioul ,a Leroy,a Sparda0,a Oslo80 qui sont avec mwa depuis le début de cette aventure dsl de cette longue absence mé bon je ne démord pas de cette fic.Gouloudrioul je ne sé pa si tu te souviens 2 mwa mé sach ke jamé je n'arreterai de te lire
un p'tit verre ... *hips*
Wouhou, lorgas, ça faisait longtemps oO. J'ai bien peur que Sparda et Oslo ne soient plus ici ! En tout cas content de te revoir. BLLPPELL
Je suis de retnurze...!! Retour ! Retour de pays oublié !
Je termine avant la rentrrrrrr AHHHHH !!! ée !
Pourquoi ?!
(Bravo à ceux qui ont compris mon message de taré )
compriiis ! *burp*
t'as intérêt à te grouiller parce que la rentrée c'ets demain pour moi ! (à 8h) donc je veux la suite demain avant 8h !
C'est ça .
Et comment ça se fait que c'est demain pour toi
Gouloudrioul et sa celebre fic ... Je vois que tes fideles lecteurs sont toujours nombreux ^^
Pour moi aussi la rentrée c demain 8 heures et moi aussi ça fait plaiir de te revoir Gouloudrioul ah oui
valix=lorgas=fils-de-mandarin
Ichi t en zone a ? T abite ou
ben, pour ceux que ça intéresse -surement pas grand monde- moi aussi je reprends demain !
moi aussi demain
trop courtes les vacances
moi ze reprend lundi =P
Vive les études et en plus on est bien mieux assis le cul sur une chaise entrain de dormir non
C maran detre tt seule !OOOOOHHHOOOOOOOOO la rentrée c 2main
Saut tout le monde! Je vien de finir de lire ta fic...
Elle est génial!!!
Franchement au début elle ma donné envie de faire ma fic a moi... Et bah je me suis vite degouté, comparé a toi je suis nul!( j'ai le même âge que toi )
Continue comme ca j'attend la suite avec impatience!
Promis deux poste par semaine! Trois si j'ai le temps lol!
Hu ! Et ben un grand merci à toi ! D'autant plus que je t'ai donné envie d'écrire, et c'est pas rien . Je jetterai un oeil à ta fic, si j'ai le temps (eh oui, les vacances, c'est fini T_T).
Bon, je vais poster cette suite ! Je suis toujours pas satisfait, mais c'est pas grave, j'en ai trop marre de vous faire attendre. Au pire, dites vous que je referai peut être ce chapitre .
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L’herbe bruissait sous les pieds d’Eleor alors qu’elle tentait tant bien que mal de rattraper Lomdère. Cela faisait des heures qu’ils escaladaient une immense colline nappée d’une mer d’herbe qui se trémoussait au grès du vent. De grosses masses noires tournoyaient dans le ciel. La pluie n’allait pas tarder à tomber. Eleor sentait plus que jamais la nature autour d’elle. L’arôme de la terre humide, le parfum de l’air moite et les exhalaisons des herbes fraîches. Le vent caressait son visage et faisait voleter ses mèches noires. Mais tout cela était un moindre soulagement quand chaque pas devenait un supplice et que chaque souffle faisait rugir ses côtes de douleur. Lomdère la malmenait depuis déjà des heures et des heures. Elle souffrait. Ses jambes frêles pliaient sous l’effort. Ses muscles lui faisaient un mal de chien. Ses petits poumons de fillettes parvenaient tout juste à l’oxygéner correctement. Se frayer un chemin dans l’herbe haute n’était pas chose aisée, mais quand il fallait aussi supporter le vent en pleine face, un rythme difficilement soutenable et une pente escarpée, la tâche apparaissait inconcevable. Lomdère maintenait le même rythme depuis le début, et elle n’avait eu aucun répit. Mais elle tenait bon. Difficilement, mais elle tenait bon. Cela dit, sa détermination commençait sérieusement à être mise à l’épreuve. Elle se contentait de fixer le sommet, les traits tirés et les yeux emplis de fatigues et de lassitude. Le haut de la colline. C’était le but. C’était là où ils allaient enfin pouvoir se reposer. Et il ne restait plus que quelques dizaines de mètre à franchir.
Lomdère jeta un coup d’oeil derrière lui. Il entendit la gamine lâcher un énième râle d’épuisement. Il haussa les épaules et reporta son attention sur le sommet de la colline là où le temps se faisait plus menaçant que jamais. Ils allaient devoir trouver un abri pour la nuit, se dit-il, inquiet. Il avait mal choisi son jour pour se lancer à la poursuite d’Oleo.
Ils étaient partis à l’aube. Lomdère avait trouvé des traces de chariots qui s’éloignaient de Bowerstone par la sortie Nord. Il ne savait pas pourquoi ils avaient pris cette direction. Il ne savait même pas qui étaient ces gens. La seule chose dont il était au courant, c’était qu’Oleo avait entaché son honneur. C’était plus que suffisant pour qu’il s’empresse de partir. Il avait laissé l’obscure capitale derrière lui. Cette ville décadente, cette cité obscène, puante, putride. Quand Bowerstone n’avait plus été qu’un point au loin dans le paysage, tout ce qu’il avait ressenti avait été un dégoût profond et un arrière goût malsain dans la bouche. Il n’avait eu aucun remords. Il y avait passé des années, mais jamais il n’avait été plus soulagé qu’en la quittant. Le Monde s’offrait à lui. Albion lui ouvrait les bras. Il était enfin libre.
Enfin pas tout à fait. Puisqu’une sale gamine lui emboîtait le pas.
Il tourna à nouveau son regard vers elle. De toute évidence elle n’en pouvait vraiment plus. Peu importait. Le sommet était proche, ils allaient bientôt faire une pause et se reposer. Sa préoccupation immédiate n’était pas Eleor. Il fallait trouver un moyen de se protéger de l’averse qui s’annonçait. L’air était humide et l’herbe grasse et souple sous ses pieds. Il sentait le poids des nuages qui s'amoncelaient au dessus d’eux. Ses os geignaient déjà sous la future tumulte qui allait se déchaîner.
Puis soudain le sol se fit plus plat, la pente s’amoindrit, et, enfin, il atteignit le sommet. Eleor le rejoignit cinq minutes après, le souffle court, les côtes douloureuses. Elle s’écroula dans l’herbe, pliée en deux. Lomdère ne lui porta aucune attention. Il avait repéré un arbre gigantesque dont les branches entremêlées couvraient les nuages noirs. D’énormes racines ancestrales s’enfonçaient dans le sol et serpentaient dans la glaise. Son tronc massif venait scinder le ciel en deux et son ombre s’étendait jusqu’aux pieds de Lomdère, qui pourtant se trouvait à une cinquantaine de mètres. Il fit signe à Eleor de venir, mais celle-ci ne voulut pas bouger, trop épuisée pour faire le moindre mouvement. Il lui jeta un regard moqueur et se dirigea vers le colosse d’écorce en la laissant là. Eleor serra le poing, les larmes aux yeux et se leva tant bien que mal pour claudiquer à sa poursuite. Elle serra la mâchoire. Suivre cet homme était un jeu qui s’avérait de plus en plus difficile.
C’était un temps de cauchemar pour Luni. Il se sentait soumis, à genou dans la neige, le dos ployant sous la force des bourrasques glaciales. Il était difficile de faire la moindre chose. Il ne pouvait pas voir, sa vision était troublée par les nuées de flocons saccadées ; il ne pouvait pas entendre, la tempête mugissait à ses oreilles comme si elle agonisait ; enfin, il ne pouvait pas se lever car le froid s’était emparé de la moindre parcelle de son corps.
En revanche, s’il avait une chose à laquelle s’accrocher, c’était qu’il venait d’entendre hurler «PAPA!». Et que les deux silhouettes qui vacillaient sous la neige incessante, au pied d’un petit chalet difficilement distinguable, à quelques mètres de Luni, semblaient en être la source... Une scène pour le moins intrigante quand une tempête fait rage. La plus petite silhouette était de toute évidence celle qui avait crié. L’autre était donc le père. Celui-ci sembla dire quelque chose, puis tourna le dos à son fils. Il s’enfonça dans la neige, malgré les supplications incessantes du garçon.
Luni eut alors une intuition et une intense curiosité. D’une manière ou d’une autre il sut qu’il devait aller voir ce qui se passait. Ses muscles frigorifiés se gonflèrent et il fit la grimace de douleur. Il essaya de se lever mais le vent le plaqua à nouveau au sol. Ses mains nues s’écorchèrent contre la neige. Mais peu importait, il ne les sentait plus. Il fit à nouveau travailler ses jambes pour se redresser. Il sentait ses tendons plus que jamais. Ils allaient lâcher. Ils allaient lâcher si il continuait à forcer ainsi. Il retomba à nouveau dans la poudreuse, un cri silencieux aux lèvres. Ses doigts frottèrent contre le sol enneigé. La peau se déchira. Le sang apparu. La neige se teinta de rouge.
Luni perdit l’usage de ses mains.
Il ne s’y attarda pas, malgré l’horreur qui assaillit son coeur. Il fallait qu’il bouge coûte que coûte. Il fallait qu’il aille voir la scène. Quelque chose d’important s’y déroulait. Ses mains importaient peu pour le moment.
Ce fut une troisième fois qu’il tenta de se remettre debout. Il fit jouer ses articulations bleuies, ses ligaments congelés, ses muscles atrophiés, tenta vainement de faire abstraction du froid. Il hurla à plein poumon, rejetant l’air glacial qui s’immisçait en lui. Puis il se leva. Il se tint enfin sur ses deux jambes. Il crut qu’il allait vaciller et tomber mais il n’en fut rien, grâce à un formidable effort de volonté. Ses genoux s’entrechoquaient. Il avait le tournis. Il avait l’impression que de se tenir debout relevait de l’exploit. Que ce n’était pas quelque chose de naturel. Il ne rêvait que d’une chose, c’était de laisser aller ses mollets et de s’écrouler sur la neige.
Il ne le fit pas.
Presque malgré lui, il avança un pied dans la neige, se défiant de la rage des éléments. Son corps n’était plus qu’un pantin sans volonté. Il ne sentait plus rien. La moindre parcelle de son corps était engourdie. Il pouvait réfléchir, ça oui. Mais il ne voulait penser à rien, craignant d'entr'apercevoir sa propre mort dans les méandres de la tempête. Il se contenta donc d’avancer, petit à petit, une volonté inconnue animant ses gestes. Sa mâchoire était serrée à un tel point que les veines ressortaient.
Il n’arrêtait pas de fixer le père qui s’en était allé, et qui s’éloignait petit à petit du chalet. Le bâtiment en bois n’était d’ailleurs plus pour Luni qu’une ombre de plus parmi les maelströms de neige. Il s’en fichait. Tout comme de sa main. Tout comme du reste de son corps qui était en train de se rigidifier. La seule chose qui importait c’était cet homme qui s’enfonçait mystérieusement dans la forêt. Une sorte d’instinct primaire lui disait que c’était la seule chose dont il fallait se soucier. La seule chose qu’il fallait suivre.
Puis, finalement, au bout d’un temps infini, le père s’arrêta. Luni l’imita, et ses muscles rugirent de plaisir. Il resta quelques mètres en arrière pour demeurer inaperçu.
L’inconnu qu’il suivait venait de s’arrêter devant une façade rocheuse. Une façade sur laquelle avait été creusé un tunnel.
Au dessus de l’entrée, il y avait un signe étrange : une croix prise entre deux serpents. Et si j’avais été là, j’aurais reconnu ce signe comme étant celui qui figurait sur les parchemins de papa.
moi j'ai trouvé plutôt pas mal, je ne vois pas ce qi te dérangeais tant, mais bon après tout, c'ets toi qui te connait le mieux
pareil, sympa même si j'ai rien compris au début pcq jme souvenais plus des noms^^
sinon jtrouve que tu devrais te mettre à écrire à plein temps pour nous faire plaisir
juste comme ça tu voulais mettre quoi à la place de ton ??