J'ai rien contre toi, et je peut pas bannir...
Sois tn personnage rêve ou sois ta fait un Up dasn le futur!
Depuis quand il possède un Rathalos
Fast Forward
Depuis qu'il en a capturé et dompté un :3
sincèrement, j'adore.
Ok j'étais pas certain mais ça afit un gros Flash foward ça C'est bien pareil, j'aime ça
Merci, Merci
Alors alors. J'ai lu ton texte, et j'vais donc me permettre de te rédiger un 'tite critique.
Bon, tout d'abord, j'vais être franc, j'ai pas vraiment aimé. Non pas que le texte sois mauvais où quoi que ce soit, c'est juste que j’apprécie pas vraiment le style. Mais ça, tu peux pas le changer, donc c'pas important.
Aussi, un truc que j'ai remarqué, dans les dialogues, quand tu fais une incise, ne met pas de point, seulement une virgule. Par exemple :
« Je veux être un Chasseur-Trappeur. Répondit l'interpellé. »
Devrais faire :
« Je veux être un Chasseur-Trappeur, répondit l’interpellé. »
Autre chose : je trouve que le combat contre les Ludroths manque de réalisme. Encore là, ce n’est pas foncièrement mauvais, mais ça gâche un peu. J’ veux dire, c’est la première fois qu’ils chassent, et BAM, ils torchent un Ludroth royal chacun super facilement.
Cela dit, j’aime bien le scénario, pour le peu que tu as posté. Ça change de la plupart des fics, avec un conflit plus «humain».
Sur ce, j’te dis bonne continuation pour la suite, et voilà.
Merci.
Pour le problème des dialogues, j'ai toujours eu un problème avec ça :3
Mais moi je trouve que c’est le jeu qui manque de réalisme ^^ Après tout, avec la lourdeur d'une Grande Épée, une queue (surtout celle d'un Ludroth Royal) pourrait facilement être coupée en quelques coups à peine.
Et je prends note de tout ;3
Ah oui, c'est clair que MH, c'pas la série la plus réaliste, hein. Mais ça veut pas dire, qu'il faut le conserver dans une fiction ^^ .
Justement, le combat contre le ludroth est difficilement passé, si je puis m'permettre.
Je trouve que lorsque tu décris un combat, on perd en fluidité.
A part cela, le reste est bon.
La matinée était fraîche et une légère brise agitait les feuilles des arbres. Le soleil se levait lentement, et la journée commençait. Tout était calme, on entendait à peine le son du chant des oiseaux matinaux. Soudainement, brisant le silence paisible, une silhouette passa rapidement. Apparemment c'était un jeune homme qui courait sur le chemin. Tout en courant, il tentait d'attacher ses cheveux châtain foncé avec un petit ruban rouge. La tâche était pourtant ardue avec son sac à moitié sur l'épaule, et sa veste qui n'était même pas complètement attachée. Grognant légèrement et continuant à courir, il fourra le ruban dans sa poche en laissant ses cheveux qui lui arrivaient un petit peu plus haut que les épaules. Il attacha sommairement sa veste sans s'arrêter et plaça son sac sur ses épaules. Il tourna soudainement et dérapa mais garda pourtant l'équilibre. Il continua son chemin au pas de course et arriva finalement face à un grand homme -qu'il failli bousculer- qui le regardait avec un air sévère. Le jeune homme attacha rapidement ses cheveux et leva la tête pour regarder l'homme tout en faisant un pas en arrière.
J'ai lu jusque là. Tu n'écris pas mal, mais ton style d'écriture est un peu puéril. Tu manques de vocabulaire, et tes phrases manquent d'élégance.
J'viens d'me lever, j'ai l'cerveau un peu brouillé, donc il se peut que ce que je dis ne soit pas très correct :
" Le soleil se levait lentement, et la journée commençait. "
Le soleil se levait lentement, dévoilant les prémices d'une nouvelle journée ".
" Tout était calme, on entendait à peine le son du chant des oiseaux matinaux. "
"Tout était calme, le chant des oiseaux était presque inaudible." Le son du chant des oiseaux, s'moche. Tes phrases sont trop longues, raccourcis les à l'aide d'un vocabulaire plus riche.
" Soudainement, brisant le silence paisible, une silhouette passa rapidement. "
Soudain*. Une silhouette passa furtivement*. Manque de vocabulaire.
Bref, sinon s'pas mal pour une gamine de 13ans, continue.
Senes le poète.
Sinon j'suis d'accord et pas d'accord. Je trouve que c'est effectivement, par rapport au reste, surtout, pas mal pour ton âge. Après j'ai lu des bouts de tes anciennes fic', et j'ai pas vu d'amélioration dans ton style, j'irais même jusqu'à aborder la régression, même si le terme "stagner" serait plus approprié. Mouala.
D'accord, D'accord.
[PS: Jerry que mon pseudo à été banni ]
Je crois que c'est a cause du twalalalalalala
Oui moi aussi
on se ressemble beaucoup trop
~Chapitre IV~
La pluie ruisselait sur sa longue cape à capuchon, l'alourdissant légèrement. Ses bottes noires marchaient dans la boue et l'eau qui couvrait le petit chemin. La lune éclairait le paysage d'une lumière blafarde et argentée, reluisant sur les gouttes de pluie, donnant à cette scène un air irréel. Ses pas étaient rapides, mais pas néanmoins pressés, il semblait plutôt décontracté. Il faisait fi de la pluie froide qui s'abattait durement sur lui, et ne faisait que marcher vers son but précis. Outre sa cape noire et ses bottes de cuir, il portait des pantalons noir serrés par une ceinture noire elle aussi et un t-shirt gris foncé. Grâce à cet accoutrement foncé, il se fondait dans la nuit.
Dans son dos, on pouvait aisément voir son énorme épée, dont la lame était cachée dans un fourreau noir, attaché à lui par trois ceintures noires sous sa cape. Tout son visage, jusqu'au nez, était caché par une longue écharpe noire dont le bout était fouetté par le vent et le faisait claquer. Il portait, à sa taille, deux petits poignards dont la lame mesurait environ quinze centimètres.
Il fixait un point devant lui, ne pensant qu'à ce qu'il allait faire dans les prochaines heures. Tout était planifié dans sa tête. Les événements s'enchaîneraient, et tout s’emboîterait à la perfection. Le jeune homme tourna soudain dans un petit coin sombre et toqua trois fois à la porte devant lui. Il entendit quelques gémissements et puis des pas, apparemment quelqu'un qui se levait.
Le visage fatigué d'Adam apparu entre les barreaux. Il avait les yeux rougis par les pleurs, les cheveux ébouriffés.
-Elio! S'écria-t-il
-Chut! Pas si fort! Répondit ce dernier en ôtant son capuchon et en faisait signe à son ami de se taire.
Il le fixa dans les yeux, et aperçu toute la détresse que son compagnon ressentait. Il voyait tout de même une minuscule lueur d'espoir, probablement due à l'arrivée du blondinet.
-Je ne vais pas t'expliquer, ce serais trop long. Tout ce que tu dois savoir, c’est que tu dois faire comme si tu avais peur de moi. Ai l'air paniqué... Fais moi confiance.
Elio dégaina lentement un de ses poignards et donna un coup de pied dans la porte.
-Hurle! Somma-t-il à l'accusé.
Ce dernier s'exécuta, et ils furent rapidement entourés de dizaines d'officier. Le blondinet dégaina rapidement son épée et, d'un grand coup, pulvérisa la poignée qui gardait Adam enfermé. Il pris ensuite son ami et le tint fermement, le menaçant de son poignard.
-Vous bougez, je le tue! Hurla-t-il.
-On s'en fout, de toute manière il sera tué demain matin! S'écria un officier.
Un petit sourire se dessina sur les lèvres de jeune homme en noir et il siffla bruyamment. Étonnés, les agents ne firent rien, puis ils entendirent le cri d'un Nargacuga qui brisa le cou de plusieurs d'entre eux en entrant en scène.
-COURT! Hurla le jeune propriétaire du monstre noir, tout en se mettant à courir à son tour.
Pourtant, en une fraction de secondes, tous ses espoirs s'écroulèrent, lorsqu'il sentit une munition de fusarbalète passer près de sa joue. À peine une seconde plus tard, Adam s'écroula au sol. Le blondinet hurla de toutes ses forces, s’accroupissant près de son ami. La balle s'était fichée dans la nuque du jeune accusé, qui en était mort sur le coup. Elio sentit les larmes couler le long de ses joues, et il se releva avec rage. Il dégaina son épée en criant, puis fonça vers l'artilleur qui avait tué son meilleur ami. Ce dernier, surpris, eu à peine le temps de voir la lourde épée s'abattre sur lui qu'une gerbe de sang gicla et alla tâcher les vêtements du jeune homme.
Aveuglé par la rage, ce dernier se mit à se battre aux côtés de son Nargacuga, plus puissant que jamais grâce à l'adrénaline. Il ne voyait rien, ressentait à peine le chaud liquide qui éclaboussait son visage à chaque coup, il ne pensait qu'à son ami, étendu au sol, les yeux exorbités de surprise et de douleur. Il se repassait les souvenirs qu'il avait eu avec Adam pendant ces deux années, depuis leur enrôlement dans l'armée. Il se souvenait de leurs premiers combats, de tout ce qu'ils avaient vécu ensemble. Plus il y pensait, plus il gagnait en intensité dans le combat. Il ignorait la fatigue, la douleur, le froid et la pluie qui s'abattait dans pitié sur lui et qui ruisselait dans ses cheveux blonds...
Il tomba à genou, lâchant son épée. Il leva son visage vers le ciel et laissa la pluie le nettoyer, puisqu'il était taché de sang. Ses habits autrefois noirs comme la nuit portaient maintenant les séquelles de cette opération de sauvetage ratée. Épuisé, le jeune homme sentit à peine les larmes qui coulaient sur ses joues en se mêlant à la pluie et au sang, il ne faisait qu'observer la dépouille de son meilleur ami qui gisait à quelques mètres de lui. Il rampa jusqu'au cadavre, ignorant la boue et le sang qui rendait sa progression plus difficile. Il s'approcha du visage de son ami et lui ferma doucement les paupières, résigné. Il se redressa et réussit à s'asseoir. Il continuait d'observer le visage d'Adam, comme s'il aurait pu se réveiller d'un instant à l'autre. Le blondinet ramassa un couteau qui traînait au sol. Il le tint entre ses mains en l'observant. Adam avait été son seul ami, sa seule famille. Il avait tout laisser tomber pour tenter de le sauver, pourtant, il se retrouvait là, assit à côté de sa dépouille, avec un couteau dans les mains. Il s'apprêtait à faire quelque chose de fou, d'invraisemblable. Mais il ne voulait pas partir sans emmener un bout de son ami avec lui...
Lentement, Elio ouvrit une des deux paupières de son meilleur ami, remarquant ses grands yeux verts. Puis, il leva la main et posa la lame du couteau juste au dessus de son œil gauche. Sans broncher, il extirpa son œil de cet orbite, puis fit de même avec l’œil d'Adam. Il échangea les deux organes. Il referma ensuite la paupière de l'accusé et banda son propre œil. Il se retrouva ainsi avec un œil brun et un œil vert.
La douleur était très violente. Il sentait son œil gauche, enfin, celui d'Adam, qui le brûlait, il sentait son doigt manquant lui démanger, et il était simplement étendu dans la boue, alors que les premiers rayons du soleil perçaient lentement la pénombre. La pluie avait cessé, mais il était tout de même trempé jusqu'au os. Il gardait son énorme épée près de lui, ses deux poignards toujours accrochés à lui. Il gardait le couteau ayant servit à échanger les yeux dans sa main gauche dont l'annulaire manquait. Il ne faisait que regarder le ciel rosé sans que cela ne lui apporte de réconfort. Tout ce qu'il voulait, en ce moment, c'était s'endormir à jamais.
Il se releva péniblement et pris la dépouille d'Adam sur son dos, par dessus son épée qu'il venait de ranger dans son fourreau. Il l'attacha à lui, puis se mit à errer, sans but, sur le chemin. Il devait rendre honneur comme il se devait à son meilleur ami, même si il peinait à marcher. C'était son seul but pour l'instant.
Il marcha plutôt longtemps, du moins assez longtemps pour se rendre dans la forêt. Il s'y était enfoncé, de plus en plus loin de la civilisation, pourtant il continuait d'avancer aveuglément. Il enjambait les racines, les troncs d'arbres, les rochers, il continuait toujours d'avancer. Il avançait grâce à la force du désespoir, grâce à l'amitié qu'il ressentait encore et toujours pour Adam. Rien ne pourrait l'arrêter. Pas même la plus haute des montagnes. Pas même la plus vaste des plaines, le plus profond des océans. Il allait trouver un endroit digne de ce nom pour enterrer son ami.
Il devait bien marcher depuis plusieurs heures, et le soleil de midi le cuisait. Il sentait la sueur couler de son front et se frayer un chemin, du moins quelques fois, jusqu'à ses lèvres ou il expérimentait le goût salé de cette sueur se mêlant au goût âcre du sang dans sa bouche, ce qui n'était, avouons le, pas très prometteur comme mélange. Il fixait le sol, respirant lourdement, et fût donc très surpris de se heurter à une parois rocheuse. Il leva la tête et, aveuglé par la lumière de l'astre solaire, ne remarqua pas le silhouette au dessus de lui...
Il sursauta et n'eut le temps que de reculer d'un saut alors qu'il aperçut une Morpho-Hache se planter violemment sur le sol à l'endroit ou il était il y a quelque seconde. Cependant, celui ou celle qui avait utilisé cette Morpho-Hache n'était pas là, insinuant ainsi que l'arme avait été lancée.
-Hey! Qu'est-ce que tu fais là, avec une dépouille sur le dos? lança une voix qui venait d'en haut.
C'était une voix féminine, mais le blondinet ne pouvait apercevoir le corps de la femme, puisque dès qu'il levait la tête la lumière du soleil l'aveuglait. La jeune femme sauta au sol, laissant le loisir à Elio de pouvoir la voir.
Elle n'était pas très grande, peut-être un mètre soixante-trois. Elle avait de longs cheveux châtains qui descendaient en cascade dans son dos et qui encadraient son visage ovale. Ses grands yeux bleu-gris exprimaient en ce moment méfiance et surprise, en remarquant le bandage que portait notre jeune blondinet à l’œil gauche, ou plutôt à l’œil gauche d'Adam. Elle portait des pantalons noirs et des bottes de cuir aussi noir. Son haut était le haut d'une armure de Rathalos. Elle avait de longues jambes et une taille fine, malgré que son habillement ne le soulignât pas. Inconscience ou simple paresse? L'on ne pouvait juger correctement le haut de son corps à cause de son armure, mais était-ce intentionnel? Cette question, l'on ne pourrait y répondre à moins de demander à la jeune chasseuse, mais de ce qui avait été vu de son caractère, Elio préféra ne pas se risquer à cette question.
La jeune femme se baissa et ramassa son arme qui était restée plantée dans la terre; C'était une Morpho-Hache faite en Akantor. Cette arme n'était pas particulièrement belle mais l'on pouvait deviner qu'elle avait été fabriquée pour faire beaucoup de dégâts et que l'on avait omis d'améliorer l'apparence à son mieux, ce qui était parfaitement à l'image de la femme.
-Hey, je t'ai posé une question... Tu fais quoi ici avec un cadavre sur le dos? S'exclama-t-elle.
Elio se contenta d'observer la manipulatrice de la Morpho-Hache.
-Hého! Je te parle!
-Mel! Tu parle d'une façon d’accueillir un homme qui a l'air de venir de loin! prononça une autre voix féminine qui venait de la corniche.
L'interpellée se tourna vers la dite corniche en soupirant. Elle jeta un regard au blondinet tout en restant tournée vers la montagne.
-Et si tu venais l’accueillir toi même, plutôt? Lança la première.
Elio observa la femme descendre de la corniche à son tour. Elle avait de longs cheveux noirs raides, qui lui descendait un peu plus haut que le milieu du dos. Elle était légèrement plus grande que la première, soit environ un mètre soixante-six centimètres, et portait des pantalons faits en Jeans, un matériaux dont le blondinet avait déjà entendu parler. Son haut était le plastron d'une armure Lagiacrus d'un bleu azur.
Dans son dos trônait une épée et un bouclier du Ceadus. C'était une arme magnifique qui semblait mythique et puissante. L'épée était en diagonale dans son dos, et le bouclier par dessus la dite épée.
-Bonjour, je m'appelle Emily, commença cette dernière, et elle, en pointant la première venue, c'est Melody.
Celle-ci fit un signe de tête pour saluer Elio, les bras croisés, restant tout de même méfiante.
-Puis-je savoir ce que vous faites ici, de plus avec une dépouille sur le dos? demanda Emily.
Le blondinet s'apprêtait à répondre et ainsi il ouvrit la bouche pour parler. Aucun son ne s'échappa de sa gorge sèche. Il fut pris de vertige, commença à voir embrouiller, puis sentit ses jambes défaillir sous lui. Ce fut ensuite le noir complet.
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Il se tortilla dans tous les sens, lorsqu'il sentit une poigne ferme le retenir en place. Il gémit légèrement et ouvrit lentement les yeux. Il aperçu, au dessus de lui et qui le tenait en place, la jeune femme à la Morpho-Hache. Elle l'observait et il l'observait. Ce devant être assez étrange à voir. Elle se recula ensuite, alors qu'il se rendait compte qu'il n'avait plus de bandage sur l’œil et que son doigt manquant avait, quant à lui, été bandé. Il réalisa alors qu'il avait un œil vert et un œil brun, ce qui devait être assez étrange en réalisant le contraste entre les deux couleurs.
Le blondinet se mit alors à regarder partout, à la recherche de ses affaires.
-On a mis tes armes dans le coin, là-bas, et la dépouille de ton ami dans l'autre hamac... lâcha Melody en pointant les deux endroits.
Elio soupira de soulagement.
-Vous... Je.... Je veux... Je voudrais... l’enterrer... prononça avec un énorme effort notre blondinet, épuisé.
La jeune femme réfléchit un instant, et l'ancien soldat en profita pour observer l'endroit ou il se trouvait. C'était une grande et vaste grotte en cercle. Au milieu il y avait un endroit pour faire un grand feu et, au dessus, il y avait une installation peu complexe permettant d'accrocher un chaudron au dessus du feu ou encore d'y glisser une broche pour la viande. Il y avait en tout quatre hamacs, tous près les uns des autres, qui était fabriqués avec des lianes, du bois et du tissu. Du côté opposé à celui d'Elio se trouvait deux seaux, probablement utilisés pour aller chercher de l'eau ou tout autre substance liquide. Soudain, la voix de la femme qui avait été à son chevet un peu plus tôt le tira de ses pensées.
-Emily! Le petit blond, là, il veut enterrer son ami! On pourrait l'aider, et le mettre à côté d’où on avait enterré Rawrrrr!
-Bah... J'vois pas d'objection... répliqua l’interpellée.
Melody sourit, puis se tourna à nouveau vers le jeune homme. Elle l'aida à se lever et demanda à son amie de transporter le cadavre, elles allaient effectuer le vœu du blessé.
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