tout à fait d'accord
Maxbouillot est sur le forum ovelord 2 pour le moment donc au pire poster dans ce forum pour demander la suite ^^
c'est tout simplement génial, il sort quand ton livre ??^^
Chapitre 10: La prise de Golder.
Le roi Gold Goldoson était assit sur les remparts, il observait la plaine s’étalant devant sa forteresse, elle était recouverte de tentes et de feu de camp, que les Larbins avaient allumés la veille. Tout le bois des environ avait été brûlés, servant à faire des lances et à alimenter les fourneaux qui serviraient à fournir les Larbins bruns en armes. À présent, tout les moutons et toutes la bière était épuisée, il ne restait plus rien à manger, ni à boire. La fin de ce siège approchait pourtant, car en secret, Merlak préparait son attaque finale sur le royaume des Nains.
Quartiers des Larbins, les troupes attendaient les ordres, et assiégeait sans cesse les murs pour patienter. Les géants venaient se briser contre les hauts murs de la forteresse, alors que les catapultes, maniées par des trolls, faisaient pleuvoir une pluie de roche sur la puissante citadelle. Les Hordes de Larbins poussaient des tours mobiles immenses, qui se dirigeaient vers les murs.
La majorité des Nains n’ayant pas péri lors de la prise de leur capitale s’était réfugié là, et ils subissaient depuis plusieurs jours déjà les assauts des Larbins et de leurs alliés Trolls et Géants, dont les rangs semblaient sans fin, alors que ceux des Nains se réduisaient au fur et à mesure que le temps passait…
C’était une guerre d’usure qui avait commencée, aucun des deux camps ne voulait la perdre, mais les Larbins avaient bien plus d’avantages que les Nains… Merlak, le Général Vert, était l’un des «généraux» les plus rusés et vicieux, ses soldats en avait pleinement conscience… Pour vaincre, il n’hésiterait pas une seconde s’il lui fallait sacrifier tous ses hommes pour prendre la citadelle des Nains… Et c’est avec une fureur proche du fanatisme que les Larbins se lançaient à l’assaut des remparts…
Les Bruns, toujours en première ligne, armés de leurs lances, haches, masses et épées en tout genre, ils se jetaient avec férocité sur les Nains qui leurs barraient la route… A l’abri, derrière des protections devant la citadelle et au sommet des tours mobiles, des Rouges faisaient un «feu a volonté» et ne cessaient de bombarder les Nains, visant particulièrement les réserve de poudre explosive et de mines, ce qui infligeait d’important dégâts aux rangs des Nains… Parfois, un Vert, voir deux ou trois, parvenait à pénétrer les rangs des défenseurs Nains en se glissant dans la masse des Bruns, ils faisaient un maximum de morts dans les premiers rangs avant de retourner aussi vite que possible dans leur camp… Les Bleus, eux, n’étaient pas aussi nombreux que leurs homologues militaires, mais ils étaient aussi actifs que ces derniers, sinon plus, car dès qu’un Brun tombait il était rapatrié aussi vite que possible au camp, ou un Bleu se chargeait de le réanimer… De cette manière, les trois quart des morts du côté des Larbins étaient réanimé pour revenir a la charge, alors que les Nains devaient soigner leurs blessés et sauver leurs morts des griffes baladeuses des Bruns de la deuxième ligne, qui se chargeaient de délester les ennemis tués de leurs armes et armures avant de se relancer au combat, des Verts novices dissimulés parmi eux délestaient de leurs objets précieux les cadavres des ennemis tomber pour ramener ces objets au camp…
Le général Vert observait la pile d’objets en tout genre que ces soldats ramenaient du front, ces trésors étaient triés et soigneusement étudiés par des Bleus anciens, serviteurs de la Bibliothèque… Ces derniers, habillés dans leurs robes bleues pâles et pour la plupart trop vieux pour aider au front, mettait des monocles afin d’observer les trouvailles, ces dernière étaient étalés devant eux, alors qu’ils étaient assis sur des tables basses et que des Verts Nouveau-nés, sans la moindre expérience du combat, leur passait les objets…
-C’est du cuivre, sans aucun intérêt, dit l’un des Bleus tout en jetant plus loin un collier qu’un Vert venait de lui mettre sous le nez…
-Le crétin qui a fait cette bague a mis un zircon et pas un diamant, dit un autre Bleu en retirant une pierre blanche d’une bague en or… Par contre, l’anneau est en or véritable, il peut aller…
-Cette broche est en or, en plus le rubis qui l’orne est véritable… Elle peut aller aussi, dit un autre Bleu en jetant derrière lui une broche d’or ornée d’un rubis…
Derrière les tables auxquels étaient assis les Bleus, les objets jugés dignes d’intérêts étaient empilés en tas, et des esclaves humains envoyés par Gorall s’occupait de remplir plusieurs charrettes tirées par des bœufs avec ces objets précieux… Les charrettes pleines étaient conduites par des régiments de Bruns armé de lances vers Narl…
Observant les dernières charrettes en partance pour la Tour Noir, le général Vert fut interrompu dans ses pensées par un Vert, les lames de ses gants étaient ensanglantées, et il ne paraissait pas en bonne état non plus: l’une de ses canines étaient brisés, ses oreilles étaient couvertes de cicatrices et il semblait avoir perdu le bout de sa queue…
-Poison au rapport, général… dit le Vert en effectuant un salut militaire…
-Trêves de bavardages, Poison, tu vas me dire quel est notre situation, et ce dans les moindres détails…
-Bien… Comme d’habitude, nous ne progressons pas… Malgré les efforts des Bruns de la première ligne et ceux de nos frère Verts qui se glissent dans les rangs ennemis, ces sales barbus sont tenaces… Ils ne reculent pas, malgré le nombre de morts… De plus, leurs tireurs sont redoutables pour nos hommes, et leurs mines vont d’important dégâts dans nos rangs a pied, ils ont même abattus une de nos tours…
-Mmmh… Et pour ce qui est de nos travaux? Où est Crasseux?
Ils entendirent un bruit de marteau frappant le sol, et un Brun portant un casque de mineur arriva près d’eux, son casque était couvert de dorures, et de nombreux autres Bruns vêtus comme lui, mais avec des casques plus simples, le suivait, chacun ayant une pioche en main…
-Crasseux au rapport, général, dit le Brun portant le casque décoré…
-Alors, comment ça se passe, Crasseux?
-Tout va bien, ça avance vite… Nous ne tarderons plus longtemps…
-Bien, très bien… Quand pourrons-nous lancer l’assaut?
-Ce soir, si les travaux avancent aussi vite que maintenant, mais j’aurais besoin de plus de bras…
-Dis-moi de combien et tu les auras, répondit Merlak…
-Il m’en faudrait une bonne cinquantaine, général…
-Tu les auras… Fais tout ce que tu veux, mais ça doit être prêt pour ce soir, compris?
-Compris, général, fit Crasseux en effectuant un salut et en repartant avec ses hommes…
Merlak se tourna alors vers Poison, qui semblait attendre patiemment les ordres de son supérieur… Le général les lui donna simplement:
-Cessez l’assaut, ramenez nos hommes et faites les se préparez pour ce soir… Exécution…
-Bien, général, répondit le Vert en effectuant un salut militaire avant de repartir vers le front…
Plus tard, bien plus tard, la nuit était tombée sur le champ de bataille, et les Nains se reposaient comme ils le pouvaient à l’ abri dans leur citadelle… Merlak, lui, se tenait a l’entrée d’un tunnel, un tiers de ses Larbins se tenaient derrière lui, des Bruns, des Rouges et des Verts, prêts au combat… Crasseux émergea du tunnel, son casque couvert de terre et sa pioche en main, il se mit devant le général et dit, d’un air satisfait tout en se frottant les mains:
-Tout est prêt, général… Nous n’attendons plus que vos ordres…
-Parfait, répondit le Vert…
Il se tourna ensuite vers les Larbins qui le suivaient, chacun arborait un sourire carnassier et semblait prêt…
-En avant, fit le général en pénétrant dans le tunnel…
Plus tard, dans la nuit, une des sentinelles Naines se tenaient à son poste, observant le camp ennemi qui faisait face a la citadelle… S’appuyant sur sa hache, la sentinelle semblait sur le poing de s’endormir, piquant du nez et ayant de plus en plus de mal a garder les yeux ouverts… Il entendit un léger bruit de terre retournée dans son dos, puis il ferma les yeux, pour de bon cette fois… Le Général retira ses griffes qu’il avait enfoncées dans le cou de sa cible d’un seul coup, avant de se tourner vers ses hommes et de dire, avec un sourire sadique:
-A l’attaque…
Les Verts pénétrèrent dans les quartiers qui abritaient les soldats de l’élite, commettant un massacre sinistre et silencieux, alors que les Rouges mettaient le feu au réserve de poudre et de mines et que les Bruns se jetaient sur les sentinelles et les autres guerriers qui sortaient des dortoirs… Pendant ce temps, a la tête de ses Verts, le général ouvrit lui-même les portes de la forteresse, laissant pénétrer en son sein le reste de ses troupes, Trolls et Géants compris…
Ce fut un massacre sans nom… Malgré leur vaillance, les Nains ne pouvaient endiguer le flot de Bruns qui s’abattait sur eux… Leurs tireurs tentaient tant bien que mal de les contenir, et leurs Lance-flammes faisaient de gros dégât, sauf que les Rouges se mirent en première ligne, devant les lance-flammes, les rendant inefficace… Dès qu’une troupe de Vert eut achevé les derniers lance-flammes, les Bruns se jetèrent avec une frénésie sanguinaire sur les Nains… Parmi les ennemis les plus coriaces se trouvaient les Guerriers Nains, et surtout leur roi, qui était un adversaire de taille… Chacun d’entre eux fauchaient les Larbins comme un fermier fauche son champ, a grand coup de hache… Le roi était à la tête de sa troupe, ils formaient un dernier carré afin de tenter de renverser le cour de la bataille en s’approchant du grand étendard des Larbins, qui se tenait juste à côté du général Merlak… Ce dernier, voyant le roi Nain approcher, se fondit dans la foule de Larbins qui se pressaient de tous les côtés, et lorsque le roi le vit, il était trop tard, ses griffes s’étaient profondément plantées dans le ventre du roi Nain, qui n’avait pas eut le temps de revêtir une cotte de mailles… Ainsi mourut le roi de Goldo, ses derniers soldats périrent bien vite, et les prisonniers furent immédiatement envoyés à Narl…
Laissez-moi des commentaires, merci, et désolé pour cette (trop) longue attente, mais j’ai récemment été repris d’un regain d’inspiration… J’espère que ca vous plait…
Magnifique, un peu déçu que le roi des nains meurent sans avoir tué au moin mille larbins
Pour l'assaut d'Angélis tu pourrais pas mettre des nains, elfes et halfelins en disant qu'après la chute de leur royaume, ils fuyèrent vers le Donjon d'Angélis, dernierrempart du bien ?
PUTAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIN !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Comment tu fais pour écrire autant ?T as kel age ?
C étais SU-PER GE-NI-AL !!!!!!!!!!!!!!!!!!
T super!!! kontinue comme sa, j ADOOOOOOOOOOOOORE !!!!!
Ne laissons pas couler le règne des ténébres...
slt
sérieux c'est trop génial
moi jdis tu devrais rallonger l'histoire et essayer de la proposer a un éditeur. Apparemment ta pas mal d'imagination
qui sait, peut être que dans un an on verra un livre intitulé Overlod...
allez laissez pas ce topic couler
ouaaaaaaaaaa va zi max continue ses magnifique!!!
Hollywood, ta vu ça c'est de l'artiste, toi comparé à lui t'es une vrai merde.
A prendre au second degrès (Oopas )
Chapitre 11: La fin du siège d’Abondance…
Le château d’Abondance… Du temps du Mage, l’ancien Overlord, c’est là-bas que résidait le seigneur du fief éponyme… Il accueillit de nombreux réfugiés du lieu désormais connut sous le nom d’Angelis, alors qu’il était encore connut comme le «Pic du Paradis»… Détruit lors d’une incursion Ruborienne, grâce a l’aide de leurs «Yeux Démoniaques», le château ne fut rebâtit qu’au début du règne du roi François Worlig, Roi d’Angelis et «Vainqueur du Géant Ruborien»… Le Duc d’Abondance était le nouvel occupant de ce lieu depuis qu’il avait été désigné pour le gouverner par le roi d’Angelis…
L’actuel Duc, Guillaume d’Abondance, était partit avant le début de la guerre contre l’Overlord, il devait être en route pour rejoindre son fief et le libérer, du moins c’était ce qu’espérait sa femme, la Duchesse Helena ne pouvait néanmoins s’empêcher de douter du retour de son époux, qui semblait tarder… Elle était à la fenêtre de la chambre de ses enfants, Charles et Rose, qui n’avaient pour l’ainé que quatre ans et pour la cadette que 2 ans…
De la fenêtre de leur chambre, la Duchesse observait le sinistre spectacle auquel le château tout entier assistait depuis déjà trois jours… Une mer noire, d’acier, de crocs, de griffes, de chair… Dans leurs amures noires et complètes, des milliers de Bruns patientaient aux bords des pentes qui entouraient le château, attendant le signal de leur général… Ils étaient en plein rassemblement depuis le matin, et ils semblaient se préparer à une attaque finale sur le château, des centaines de Rouges se tenaient aux bords du fossé pour bombarder l’ennemi dès que l’ordre leur serait donner…
Dans sa tente, le général Gorall observait encore une fois le «colis» que lui avait fait envoyer son «père»… C’est à ce moment que son fidèle lieutenant Freyjr entra dans la tente… Le Brun, toujours armé de sa hache et dans son armure nettoyée s’inclina devant son supérieur avant de prendre la parole, d’un ton respectueux…
-Les esclaves ont été transférés, les échelles et les grappins sont prêts, nous n’attendons que vos ordres, général…
Gorall était assit sur un siège de bois… Il se releva et se dirigea vers Freyjr, une lueur dans son regard prouvait qu’il avait envie d’en découdre avec l’ennemi, ce qui fit sourire le jeune Brun… Sur un signe du général, des Bruns entrèrent, apportant avec eux son armure noire… Ils entreprirent de revêtir leur commandant, ce qui était assez simple, comparé aux moments ou ils devaient aider le «Maître» à changer d’armure, ce qui était une tâche des plus difficiles, surtout si le «Maître» devait mettre ou enlever son armure d’Arcanium…
Une fois revêtu de son armure, le général empoigna sa lame d’acier d’une main avant de sortir de la tente et de se diriger vers le promontoire qui se trouvait tout près, en fait il était juste en face du pont-levis du château… Il portait son casque, mais le retira avant de fixer le rempart, ou se tenaient de nombreux soldats et chevaliers Humains, ainsi que quelques Halfelins…
Au côté de son général, Freyjr portait toujours, en plus de sa grande hache, la grande bannière violette de l’Overlord… Ce n’était pas l’unique bannière, car il y en avait plusieurs disséminées dans toute l’armée, mais elle était la plus spéciale, vu qu’un étrange paquet de toile rouge était planté à sa pointe…
Gorall regarda encore le rempart, la duchesse venait d’y monter, accompagner du conseiller de son mari, le seigneur Alvin de Malane… Alors que la dame avait une longue chevelure noire, une silhouette fine, une peau pâle et était de taille moyenne, le conseiller était légèrement plus petit, chauve, portant une armure de chevalier et maniant une épée longue…
Gorall ne pouvait s’empêcher de fixer la jeune dame, comme presque tous les Larbins de sa troupe, en effet elle avait un corps que beaucoup auraient enviées, excepté Satine, la Maîtresse de l’Overlord… Une lueur sadique était visible dans le regard du grand Brun quand il désigna la dame, qui lui faisait face depuis le sommet des remparts, de la pointe de son épée en disant:
-Vous, la femme… C’est vous qui dirigez cette bande de cloporte qui sert de défenseurs à ce château?
-En effet, je dirige la défense de ce château, et je vous prie de vous adressez a moi sur un autre ton, créature, répliqua Helena sans perdre son calme…
-Vous semblez bien assurée, poursuivit Gorall… Vous pensez quoi? Dites-moi? Vous nourrissez encore l’espoir que quelqu’un vienne vous sauver?
Elle ne répondit pas… En effet, elle songeait toujours à son époux, qui reviendrait bientôt, sans doute avec des renforts alloués par le Roi pour bouter l’ennemi hors de leurs terres… Tant que le château tiendrait, grâce au moral inébranlable de ses soldats, Abondance résisterait… Gorall réfléchit un court instant avant de reprendre la parole…
-Vous pensez que votre mari va revenir, ma jolie? Dit-il en pointant Helena de la griffe…
-Ne manquez pas de respect à notre Duchesse, monstre!! Hurla le seigneur de Malane, il semblait outré alors que sa maîtresse gardait un calme olympien…
-En effet, poursuivit Helena sans prendre attention a ce que venait de dire son conseiller, mais en quoi cela vous intéresse? A moins que vous ne vouliez en connaître un peu plus sur celui qui vous pourfendra…
-Me pourfendra? Dit Gorall…
Le général Brun se tourna vers Freyjr et lui murmura quelque chose dans le creux de l’oreille… Le Brun à la hache afficha un sourire sadique avant de se mettre à ricaner méchamment… Il se tourna vers les Larbins à ses côtés pour leur murmurer quelque chose… Leurs réactions furent semblables à la sienne, le bouche à oreilles marcha et, très vite, ce fut l’entièreté des troupes qui ricanaient tout en observant la dame… Les défenseurs du château avaient de quoi s’interroger… Dame Helena, qui commençait à perdre patience, s’adressa à Gorall, sans pour autant perdre son calme:
-Puis-je connaitre la raison de cette soudaine hilarité? Dit-elle…
Gorall la regarda à nouveau, ricanant toujours… Le paquet qu’il avait reçu et qu’aucun de ses Larbins ne connaissait était planté au sommet de l’étendard que Freyjr tenait fermement… Le général arracha des griffes d’un Brun proche sa lance avant de l’utiliser pour ôter la toile du paquet… La toile rouge chuta au sol, et tous virent ce qu’était le «paquet»… Des yeux sombres encore ouverts, des traits acérés, des cheveux noirs mi-longs, une peau pâle qui l’était plus encore dans la mort… C’était la tête du Duc William qui était le «paquet», et le fait qu’elle se trouvait là, empalée sur la bannière de l’Overlord, signifiait que le Duc et son escorte avaient dut être pris en embuscade par les forces ennemies… Deux petits cris se firent entendre, venant du château… Dame Helena se retourna pour voir que c’étaient ses enfants qui, observant avec leur nourrice depuis la fenêtre de leur chambre, avaient fut ce qui restait de leur père…
Gorall observa les soldats ennemis, qui commençaient à trembler, ayant perdus tout espoir… Il remit son heaume et se tourna vers ses troupes, empoignant fermement son épée avant de la pointer vers le château pour hurler:
-Chargez!!!!
Poussant des cris barbares et hurlants, les Bruns envoyèrent leurs échelles et leurs grappins pour gravir les remparts et se jeter sur les Humains et leurs amis Halfelins… Ces derniers ne résistaient plus qu’avec l’énergie du désespoir… La Duchesse elle aussi avait perdu tout espoir, comme le conseiller de son mari, et ils venaient de quitter rapidement le rempart, se dirigeant vers les écuries ou la nourrice était arrivée avec les enfants de la Duchesse… Une troupe de chevalier les attendait pour qu’ils puissent prendre le large et rejoindre Angelis, ce qu’ils allaient faire, lorsque Gorall arriva, accompagné de Freyjr… Il y avait dix chevaliers Humains, en plus du seigneur de Malane, ils dégainèrent dès que les Bruns approchèrent…
Gorall se tourna vers son lieutenant, qui s’était délesté de sa bannière pour la confier à un autre Larbin et qui maniait maintenant sa grande hache à deux mains… Le général regarda ensuite les chevaliers Humains avant d’avancer vers eux, Freyjr le suivait de près… Il murmura à son compagnon d’arme, tout en continuant à avancer:
-On fait moitié moitié… J’en prends cinq, tu en prends cinq, ok?
-Compris, général, répondit Freyjr… Mais pour leur chef, ont fait comment?
-Pour lui, ont ferra aussi moitié moitié… Je prends le bas, tu prends le haut, c’est d’accord?
-A vos ordres, général…
Balançant sa hache, le Brun se jeta sur les chevaliers les plus proches, alors que son supérieur parait aisément un coup d’un autre chevalier… Le chevalier parait assez facilement les coups d’épées de son adversaire, grâce à son bouclier, les coups pleuvaient des deux côtés… Mais, alors qu’il allait être décapité, Gorall se laissa tomber au sol, l’épée de son ennemi passant au dessus de lui et ne lui laissant pas le temps de répliquer il perça son armure d’un coup puissant, transperçant son estomac et son ventre…
Après une longue demi-heure, le général et son lieutenant avaient achevés tous les chevaliers ennemis… Freyjr avait décapité ces adversaires d’un coup de hache bien placé et Gorall les avait soit décapité, soit transpercé… Lorsqu’ils firent face a Alvin, ce dernier était déjà moins sur de sa victoire… Mais, n’en laissant presque rien paraître, il se jeta sur les deux Bruns, en pure perte… D’un coup Gorall lui trancha les deux jambes, et Freyjr planta sa hache dans son torse…
La Duchesse sortit une dague que sa robe bleue dissimulait et se mit en position de combat devant les deux Bruns qui approchaient… Les deux riaient a gorge déployée devant la frêle humaine, et elle ne comprenait pourquoi, jusqu’à ce qu’elle se tourne pour voir la nourrice de ses enfants au sol, un mince filet de sang coulant de sa bouche, et deux Verts appliquaient leurs lames contre les gorges des petits, affichant des sourires sadiques…
Voyant que la situation était maintenant sans espoir, la Duchesse laissa tomber sa dague au sol avant de regarder Gorall, avec un air implorant…
-Je vous en prie, dit-elle, je me rends, mais épargnez mes enfants… Pitié…
Gorall regarda un moment la dame, puis les deux enfants, avant de faire signe de main tout en se retournant, aussitôt des Verts sautèrent sur la Duchesse pour l’assommer, alors que ceux qui s’occupaient des enfants faisaient de même… Le général Brun s’éloigna pour rejoindre la cour du château, ses troupes ayant pénétré la place avait massacré les défenseurs qui n’avaient pas baissés les armes et était entré dans le donjon…
Dans le Donjon, vers les appartements des nobles de la cour du Duc… Dans son appartement, dont la porte faisait face à une fenêtre, un des serviteurs noble de la cour, un petit homme chauve et moustachu vêtu de violet, qui en plus d’être petit était aussi très maigre, il était entrain de vider son coffre-fort pour en remplir des sacs, afin de quitter les lieux le plus rapidement possible… Il n’entendait rien de la bataille au dehors, vu que sa porte était conçue pour ne laisser passer aucun son…
-Ces sales bêtes ne m’auront pas, disait-il… Je vais me tirer en vitesse… Avec le cheval que je me suis préparé, et grâce à cet argent, je n’aurais aucun mal à rejoindre le Roi… Oui… Il faut que je le prévienne de ce qui se passe… Il le faut…
C’est à ce moment qu’il entendit des petits grognements dans son dos… Il se tourna pour découvrir une petite escouade composée d’un bleu, de quatre Bruns, de deux Rouges et d’un Vert, qui se tenaient sur le pas de la porte, ils ne semblaient pas content du tout, et avait donc dut entendre tout ce qu’il avait dit… Il se releva (il était à genou devant son coffre) et tenta de trouver quelque chose pour se défendre… Malheureusement pour lui, un Brun fut plus vif et rapide… Se saisissant du poignet de l’humain, il le traîna dans le couloir jusqu’à la fenêtre la plus proche, qui donnait sur la court du château… Soulevant comme il le pouvait l’homme, le Brun le jeta par la fenêtre, et afficha un large sourire en entendant le cri d’horreur de sa victime…
Devant la porte du Donjon, le Général venait d’ôter son heaume, afin de mieux observer ce qui se passait autour de lui… Il entendit un cri et sans rien laissé paraître, il fit deux pas vers la droite, laissant un paquet s’écraser au sol là ou il se tenait un peu plus tôt… Observant le cadavre en sang, avec encore quelques traces de violet, le Brun lui cracha au visage, enfin, il cracha sur ce qu’il restait du visage, avant de se tourner vers Freyjr, qui était en arrière:
-Commandant Freyjr, envoyer un courrier a Narl pour que le Maître soit informé de notre victoire…
-Bien, Général, répondit le Brun à la hache en effectuant un salut militaire…
-Veillez également a faire nettoyer ce château, et a ce que l’ont amène toute la nourriture disponible ici, ainsi qu’une ou deux femmes humaines… Nous allons nous reposer quelques jours avant de poursuivre vers Angelis…
-Compris, Général…
-Je prends mes quartiers dans ceux du Duc… Dès que je l’ordonnerais, faites moi amener la Duchesse, compris?
-Oui, mon général, répondit encore le Brun, avec une pointe de jalousie dans la voix…
Une fois qu’il eut donner son dernier ordre, Gorall entra dans le donjon, piétinant les restes du petit chauve… Dans le château, de telles scènes se répétaient… Ont défenestraient les serviteurs qui voulaient résister, et chaque nouveau cadavre en sang faisait pousser des cris de joie barbares aux Larbins… Abondance était tombé…
Et voici la suite tant attendue... Le prochain chapitre sera très chauds (vu qu'il se déroule dans le désert de Ruboria^^), puis viendra le tour d'Angelis... Ensuite, j'aviserai... Laissez vos avis...
De mieux en mieux, la manière de rédiger tes textes s'améliore à chaque chapitre.
Magnifique
Pour Angélis, je verrais bien des elfes dirigé par un archer héro, un robuste nain et des ... nains ^^ et des halfelins, sans compté les humain, mage et tout ça ...
vrm tres bon.....mais la sa fait un long mois.... a quand la suite
vu que le dernier chapitre remonte a l'année dernière : A QUAND LA SUITE?
C'est mort je pense
Non, ce n'est pas mort.
C'est juste que, vu que j'écris plusieurs fictions dont une que je compte transformer en roman, je n'arrive pas a trouver beaucoup de temps à consacrer à ma fiction.
Mais j'ai commencer le chapitre suivant, et je compte le poursuivre.
Je compte aussi poursuivre les "VI Cycles du Mal".
Voilà, afin de vous tenir au courant.
Merci à toi de quand même venir poster pour expliquer que les gens n'attendent pas pour rien, j'apprécie
Sinon la fic que tu es entrain de concrétisé se base sur Overlord ou pas du tout ?