En lisant ce pavé je remarque que mon système de commentaire n'est pas très bon.

J'ai peut-être tendance à critiquer plus le fond que la forme, mais c'est inquiétant quand je vois tout ce que j'ai omis de souligner, notamment sur l'animation.

Sinon, les Arwings disposent de canons lasers (et donc tirent les faisceaux de même nature) + d'un lanceur Smart Bomb. Enfin, voilà pour le détail

Merci Impact et Death.

« certains volant en véhicules bleus de police, d’autres en vaisseaux blanc, bleu et vert… »
Humm... Pourquoi mélanger véhicules de police et Arwings? D'autre part, pourquoi ne pas accorder les adjectifs de couleurs? A la limite j'aurais compris sous la forme de « blanc bleu vert »...
-> Chais pas, j'me suis dit que dit sous la forme "blanc bleu vert" ça serait pas très correct, et que mettre des "s" pourrait porter à confusion et vous faire croire que les vaisseaux était en blanc uni, ou en bleu uni comme ceux de la police, ou en vert uni. Sinon pour le mélange de vaisseaux j'me suis pas posé la question, c'est venu comme ça. Pour moi c'est le bazar, donc ça doit l'être jusqu'au bout.

« fit remarquer Lucario alors qu’une aura bleue enveloppait son corps, parce qu’il se servait de ses pouvoirs. »
Je reste sceptique sur le fait que l'on peux couper une action hors-dialogue avec une virgule. Je veux dire, grammaticalement, il n'y a pas d'indice expliquant que c'est une action hors-dialogue, pas même la minuscule après le « ! » qui est peut être correcte.
-> Ça s'est déjà vu dans plein de livres, donc c'est tout à fait correct, et je pense que vous avez tous compris que c'était hors-dialogue.

« fit Marth avant de déglutir, puis de se ressaisir et de dire : »
Le « : » est totalement inutile, et ne se fait pas à mon goût. Tu mets une virgule et on comprend ce que tu veux dire, puisque les dires suivent après.
-> Objectivement parlant, ça se fait, ça s'est déjà vu dans des livres là aussi.

« reste-t-il »
Il n'y a pas de tiret tant qu'il ne s'agit pas d'une question. Sinon on devrait écrire « Béni suis-je. » au lieu de « Béni suis je. ».
-> Sauf qu'avec "ainsi", soit on met une virgule après ce mot et on fait sujet-verbe comme d'hab, soit on met "Ainsi ne reste-t-il", un peu comme avec "Peut-être" ou "Aussi".

« braillèrent les deux ennemis jurés. »
Brailler est un acte issu d'une gaminerie, et entre Samus et Ike c'est plus du dégoût que de la gaminerie. Mais sinon ça reste correct, je dis juste mon avis.
-> C'est tout autant de la gaminerie que du dégoût à vrai dire, tu noteras que leurs disputes sont parfois assez gamines et que cette fois, ils ne se sont pas parlé directement.

« donna un pistolet au prince qui le prit assez maladroitement. »
Etant donné que tu cherches la légèreté dans ce chapitre, tu aurais dû écrire « qu'il prit assez maladroitement. ».
-> "donna un pistolet au prince qu'il prit maladroitement" ça n'a aucun sens. On peut comprendre qu'Ike donne le pistolet à Marth, et qu'ensuite il prend Marth maladroitement. Ça veut rien dire.

« Etaient-ils graves ? »
J'ai du mal à comprendre la question: Bowser se questionne sur le fait que les Aurasphères sont puissantes ou mortelles?
-> Par la suite du paragraphe où il est mentionné qu'il n'aimerait pas envisager la mort de Fox, et que "ils" se rapporte à "chocs", tu peux en déduire qu'il parle des chocs, et non des Aurasphères, et que dans ce cas il se demande si ces chocs ont provoqué des décès par exemple, puisqu'on parle de chocs graves.

« soulagé que sa chevelure ne serve plus de prise. »
Mégarde ou faute de frappe? C'est du passé simple qu'il faut mettre.
-> Non c'est bien du subjonctif, on peut dire "je suis soulagé que tu t'en sois sorti", et là j'peux mettre le subjonctif présent autant que le subjonctif imparfait, j'prends ce que passe le mieux en général.

Pour ce qui est des vaisseaux qui auraient dû tirer des lasers quand ils sont dans la ville, j'vais juste te c/c une phrase du texte...
"comme ils étaient tout de même tous au-dessus de la ville, Bowser venait de se rendre compte, avec satisfaction, qu’il n’y avait plus la menace d’Arwings. "
Ça me paraît logique, ils vont pas risquer de tirer sur des civils.
Je ne me suis pas attardée sur le vaisseau auquel s'est raccrochée Samus, même si ce n'est pas un vaisseau de police.

Bon, je suis un peu fatiguée donc j'vais pas commenter la suite, même si j'ai lu et que je comprends ce qui m'est reproché. Désolée d'avoir fait un chapitre décevant, de toute façon la suite arrive demain et non aujourd'hui, c'est mieux, et d'un autre côté vous serez bientôt débarrassés des suites décevantes, donc ne vous inquiétez pas pour ça. Merci d'avoir commenté Alls.

Me suis trompée, après "ainsi" l'inversion sujet-verbe n'est pas obligatoire, ça se fait plus dans un registre soutenu. Dans tous les cas ça convient à Marth.

Il m'arrive de repenser à certaines choses, comme ça, retiens que mes analyses ne sont jamais à 100% terminées.

Suite tout à l'heure, désolée du retard.

Suite relue, dernière partie du chapitre 21, en espérant qu'elle soit pas mauvaise...

• Chapitre 21 : Au-delà d'une simple fuite* [Dernière partie]

- FOX ?!?

Le renard, à moitié penché sur son appareil, la main sur son pistolet, lançait un regard intimidant et furieux à ses adversaires et proies. Un rictus jaunâtre et indigne de lui apparaissait sous son museau.

- Vous enfuir est une très grosse erreur, vous allez le regretter ! À moins que vous ne vous rendiez ! leur cria-t-il, impitoyable, tandis que l’Arwing avançait toujours tout droit vers la sortie de la ville, automatiquement.
- T’es un grand malade, toi ! l’insulta Bowser.
- Tu ne peux pas nous faire ça, pas toi ! s’insurgea Samus, dont la voix trahissait du souci et de la gêne.
- Si tu ne t’écartes pas, je serai dans l’obligation de t’éloigner moi-même ! le menaça Marth en se tournant vers l’avant avec son arme provisoire.
- Essaie pour voir, essaie seulement ! le provoqua le chef de la police.

La bande commençait à perdre de vue le kidnappeur. Bowser entendit l’épéiste au pistolet déglutir, puis déclarer avec dureté :

- Tu ne me laisses pas le choix, Fox…

De façon vive, il brandit alors son arme vers l’animal et tira, d’abord une simple fois, puis de manière répétée… Trois autres fois seulement. Sans toutefois toucher Fox, mais tout ce qui se trouvait autour… Et à présent, il n’y avait plus de cartouches laser !

- Oh…, fit Marth en regardant le pistolet avec dépit.

Bowser se mordit la lèvre. Là, ils étaient dans le pétrin. Ils sortaient de la ville et étaient sur le point de passer par des portes de contrôle du même type que celles de tout à l’heure, lorsqu’ils étaient entrés. Néanmoins, le vaisseau bleu du singe et de Pikachu s’éloignait de plus en plus au-dessus de la plaine, et Fox se moquait ouvertement d’eux puisqu’il avait tout de même l’avantage. Le groupe était sur un couvercle de conteneur à ordures et chacun de ses membres tenait quelque chose. Le renard puant et stressé se trouvait sur son appareil en pilotage automatique et demeurait libre de ses mouvements, libre de pouffer et de s’esclaffer… Et de tirer de façon rapide et invisible sur la main de Marth afin de lui faire lâcher son arme !

- AAARGH !!
- Marth ! s’exclama Ike.
- J… Je vais bien… Cette chose a surtout touché l’arme…, marmonna le prince, alors que le pistolaser chutait.
- Tu es peut-être un prince sur Terre, Marth, mais ici tu n’es rien, tu ne peux même pas combattre ! ricana Fox, l’air dément.
- J’ai malgré tout toute ma tête encore, contrairement à toi, et c’est bien dommage de te retrouver en piteux état, regretta sincèrement le Terrien.
- Vous êtes une âme bien tourmentée, constata Lucario sans regarder Fox. Vous croyez que votre excès de zèle au travail noiera votre rage, votre rancœur, votre douleur, votre sentiment de solitude et d’abandon, mais en fait, vous ne faites que vous autodétruire petit à petit ! Il n’est pas encore trop tard pour vous en rendre c…
- LA FERME !!!

Ils venaient de dépasser la dernière porte de contrôle. Elle s’était refermée après le rugissement du policier, qui serrait les dents et tremblait. Derrière lui, le fuyard qui retenait Pikachu avec lui volait de plus en plus haut…

- V-VOUS… QUE SAVEZ-VOUS DE CE QUE JE RESSENS ?! QUI ÊTES-VOUS POUR M’ANALYSER AINSI ?!? VOUS QUI TENTEZ DE ME FUIR COMME TOUS LES AUTRES !!!
- Arrête, Fox ! lança Samus, scandalisée mais un peu honteuse.

Le renard braquait déjà son pistolet droit vers Bowser, ou le pilier du couvercle. Celui-ci, pour la première fois depuis l’évasion de l’hôpital, fut parcouru d’un long frisson de peur.

- Vous êtes comme tout le monde, au fond, poursuivit Fox, hors de lui. Vous ne servez pas à grand-chose et vous êtes hypocrites. Je vous souhaite d’aller brûler en… Hein ?!

Ayant remarqué la présence d’une ombre géante au-dessus de lui et de ses ennemis, Fox leva brusquement la tête vers le haut. Il fut soudain masqué par une silhouette, foncée de dos, grande et musclée, qui bondit d’en-haut jusqu’à lui. Une ligne, correspondant à un bras et surtout un poing, jaillit du côté droit de la silhouette et frappa la patte de Fox qui tenait le pistolet. Ce coup était accompagné d’un cri particulier…

- FALCON PUNCH !!!

…Et cet acte n’était autre que la signature de Captain Falcon, qui adressa un pouce en l’air à ses amis situés derrière lui. Ce pouce fut ensuite remplacé par un index, comme pour dire « Regardez au-dessus de vous ». Alors le groupe sur le couvercle suivit l’indication, tandis que le Captain entraîna Fox loin de son véhicule, sur la terre ferme.

- Créa-Main ?!? s’exclamèrent les cinq compagnons en chœur.

La main géante aux doigts stables les survolait. Elle avait dû porter secours à Falcon avant de le conduire là. Si c’était bien le cas, la raison de ce geste leur échappait totalement…

- Samus, décroche-toi tout de suite de ce vaisseau, il va exploser ; quant à vous, accrochez-vous tous à votre support jusqu’à ce qu’il commence à se casser, je serai devant, clarifia-t-elle.

La chasseuse de primes s’exécuta aussitôt. Ike et Bowser tinrent fermement le couvercle, du mieux qu’ils pouvaient, alors que celui-ci tombait à terre quelques seconde après le clash de l’appareil de Fox. Le support tournoya sur la plaine, que le guerrier et la tortue frôlaient de leurs doigts. D’autres vaisseaux du pénitencier arrivaient en renfort, mais ils n’étaient qu’une dizaine. Ce n’était pas moins inquiétant, car le plus préoccupant sur le moment, c’étaient l’éloignement du primate et de Pikachu, et la destruction progressive du couvercle de poubelle…

- ON SAUTE !! hurla Bowser en fléchissant un peu plus les genoux.

Grâce à son petit élan, il put se jeter de la fermeture de conteneur à ordures avec ses coéquipiers et le sac. Derrière eux, le couvercle se cassait en glissant toujours aussi rapidement sur le sol verdoyant, et retourna à l’état de morceaux de débris.
Créa-Main se tenait à dix mètres d’eux, devant… La police n’était pas loin non plus…

- Et comme si ça suffisait pas, ils nous tirent dessus ! s’indigna Ike, qui portait le gros sac sur son dos.
- J’ai perdu une chaussure ! s’écria Samus en regardant en arrière, avec des difficultés à courir.

Marth et elle étaient les plus rapides, ils atteignirent alors le gant blanc en premier. Lucario fut le troisième, Ike l’avant-dernier, et malgré les tirs, ils avaient fait tous les efforts possibles pour accélérer la cadence. Néanmoins, Bowser restait à la traîne… Il trottinait à peine, la langue hors de la bouche, épuisé, et en plus de cela, frôlé par les lasers.

- Du courage Bowser, du courage ! Tu y es presque ! le soutint Marth en tapant d’excitation sur Créa-Main.
- Vous pouvez aller bien plus vite que ça, et vous le savez, espèce de victime ! l’attaqua le Pokémon Aura. Vous avez déjà oublié Pikachu ?

Le Koopa fixa subitement celui qui venait de s’adresser à lui ainsi. Pikachu… Le déclic. Bien sûr qu’il pouvait aller plus vite !
Il ne se fit alors pas prier et employa sa technique de la Forteresse Toupie pour arriver sur Créa-Main en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. Fatigué, il s’effondra même sur la paume gigantesque. Les offensives de la police ne les touchaient pas tant qu’ils étaient tous posés sur la main.

- Que voulez-vous que je fasse ? demanda Créa-Main sans trahir une once d’émotion.
- Suivez ce vaisseau qui s’enfuit, s’il vous plaît, indiqua Samus en montrant du doigt un point dans le ciel.
- Pas de problème… Dodo.

Avant même que le groupe n’ait le temps de prononcer un « merci », ses membres reçurent un petit choc qui les fit rebondir sur la face intérieure de Créa-Main… Qui les enveloppa avec ses doigts alors qu’ils étaient plongés dans un profond sommeil, avant de retourner entièrement la paume fermée vers le bas et de fuir telle une fusée. Au passage, il paralysa, sans les toucher, tous les véhicules en approche de lui, qui furent contraints de chuter et même parfois d’exploser, impuissants.

Impuissant tel Fox McCloud, figurant, alors qu’il aurait tant préféré être le héros. Pour la seconde fois depuis son arrivée au poste de chef, il avait laissé des prisonniers s’évader. Trois fois plus que la dernière fois, s’il calculait bien. Et il s’agissait encore de personnes qu’il connaissait, pour la plupart… Pourquoi était-ce toujours ce genre de personne qui lui causait des soucis ? Peut-être ces gens savaient-ils mieux quelles étaient ses faiblesses, et par la même occasion, comment les exploiter ? Comme si la solitude ne le torturait pas déjà assez, il fallait de surcroît qu’on lui fasse croire qu’on voulait son bien… Tu parles d’un bien ! Fini les sottises, le renard ne laisserait plus personne lui pourrir la vie.
Et il allait devoir avant tout régler ses comptes avec Captain Falcon, pour cela. Ce même homme qu’il avait eu dans son équipe et qui n’avait pas hésité à le trahir et à l’humilier. Ce même homme qui venait de se relever comme si de rien n’était… Fox se rua vers lui pour le rouer de coups.

- Hé ! fit Falcon en se protégeant à l’aide de ses bras.
- Tiens, t’as que ce que tu mérites ! De quel droit tu te permets de me détruire encore plus la vie ? De quoi j’me mêle, connard !? Pourquoi tu les as aidés à fuir ?! Pourquoi tu te mets contre moi ?! Pourquoi vous vous mettez tous contre moi !? J’vous ai fait quoi, à tous, bordel ?!? Vous êtes partis avec ma joie de vivre, vous voulez me voler mon travail maintenant ? C’est ça, hein ? ‘Tain mais allez tous vous faire foutre et laissez-moi c’qu’il m’reste ! ALLEZ TOUS VOUS FAIRE FOUTRE !! Laissez-moi c’qu’il m’reste, laissez-le moi… Laissez-le moi… Allez crever… Laissez-moi crever…

Plus il assaillait Falcon, plus il sentait les larmes venir. Sa voix sonnait plus rauque que d’habitude. Il était abattu. N’en pouvant plus, il se laissa tomber sur son punching-ball humain et ne se retint plus de pleurer. Ce qu’il n’avait guère fait quand ses amis l’avaient quitté. Ce qu’il n’avait guère fait quand sa compagne – et même plus, peut-être la femme de sa vie – l’avait abandonné. Ce qu’il n’avait guère fait quand il était devenu chef de la police. Il n’avait pas le droit de craquer, mais toute cette collection d’évènements pathétiques avait finalement eu raison de lui…
Il s’attendait à se faire insulter par le Captain puisque celui-ci avait gagné… Et pourtant, il se fit juste tapoter le dos, et entendit tout près de son oreille gauche :

- Là, là. Moi, je suis là. Tu n’as pas que le travail, tu m’as moi. Je ne suis pas seulement avec les autres, je suis avec toi. Je ne t’abandonnerai pas tant que tu auras besoin de moi, parole d’honneur. Même avec cette saleté de virus. Je suis d’ailleurs certain qu’ils réussiront à fabriquer ce fichu remède.

Le renard hocha doucement la tête contre son torse. Il venait de comprendre que le groupe de fugitifs n’en avait pas après lui, et qu’il était obligé de partir. En le retenant, il l’aurait tué… Non, cela n’avait rien d’une simple évasion. C’était un combat contre le mal qui le rongeait…
Et à partir de ce jour, Fox McCloud décida de mener le même combat.

À Suivre.

Bonne intrigue. Je trouve que tu arrives à bien manier tes personnages, tu leur as trouvé de bons rôles et la phrase de fin est, pour moi, magique, fantastique, elle prouve qu'en chaque être se trouve une part de bien comme une part de mal.
Qui aurait cru qu'un Pokemon pouvait être si profond et philosophe?
Et le retour triomphant de Créa-main qui donne du repos bien mérité à nos héros qui avait bien souffert pour être libre .
Mais la question est : Est-ce-qu'ils vont pouvoir sauver Pikachu enlever par un mystérieux primate qui sait conduire?

Bonsoir,

Un excellent chapitre, comme d'habitude.
Les personnages ont chacun un très bon rôle, surtout Lucario !

Enfin bref, continue ! Je te soutiens.

Excellent chapitre, ca fait plaisir de voir fox reprendre du poil de la bête !

Merci.

Pas mal quoiqu'un peu court.

Dommage que la reconversion de Fox McCloud soit aussi simple !

Petite remarque : peut-être qu'osef que Samus perd une chaussure

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Posté le 21 mai 2011 à 18:52:48 Avertir un administrateur
Pas mal quoiqu'un peu court.

-> " dernière partie du chapitre 21" Hmm...

"Dommage que la reconversion de Fox McCloud soit aussi simple !"
Je me disais que quelqu'un allait faire la remarque. Mais pour moi Fox n'est pas un personnage principal et je ne veux pas m'attarder sur son cas. D'autant plus que C.Falcon était censé lui parler, et que de toute façon il a enfin pu extérioriser sa rage. Dans ces conditions il est un peu normal de se remettre en question, que ce soit rapide ou non.

"Petite remarque : peut-être qu'osef que Samus perd une chaussure "
Tant que t'y es, osef de l'histoire aussi ?
Non mais sérieusement, ok pour toi comme pour les autres ça peut être un détail, mais ça peut expliquer des choses par la suite, tu ne penses pas ? As-tu pensé aux descriptions possibles ? Et après on va encore me taper dessus parce que j'aurais oublié des détails ou de la description ou fait des incohérences. Je peux comprendre que certains choix vous agacent, qu'ils ne conviennent pas, et il est vrai que certains détails peuvent être inutiles. Mais là tu sais même pas pourquoi j'ai écrit ça et tu te permets de dire "osef" en parlant pour les autres. C'est sympa de me prendre pour une idiote qui écrit dans le vent et sans réfléchir, merci.

Je suis peut-être pas parfaite, et qu'on me dise quelles erreurs je fais, c'est quelque chose que j'apprécie, même si c'est parfois dur de savoir qu'on écrit des textes décevants. Mais pas besoin de se montrer vexant...

J'ai lu, je retire mon commentaire précédent concernant le fait que Marth était quelque peu délaissé

L'arrivée de Falcon et Créa-Main en tant que Deus Ex Machina permet de conclure la fuite de nos héros et d'achever l'objectif de Falcon, raisonner Fox (dont le raisonnement rapide est tout à fait en accord avec son comportement récent, avec tout ce stress il devait avoir facilement des sautes d'humeur, tu pourrais même arriver à faire un HS sur Falcon et Fox si tu veux faire un petit break dans l'aventure principale ). Je rajoute aussi que le retour de Créa-Main me fait me poser une question: Créa-Main a-t-elle contracté le virus pour ainsi vouloir rester avec le groupe?

Quand au cas de la chaussure, j'ai souris En pleine panique pour survivre voir Samus s'exclamer de la perte de sa chaussure rappelle à la fois qu'ils ont fait du shopping avec Falcon (nous permettant de garder ainsi le lien avec tes chapitres précédent, tu marques un point ) de plus c'est vrai qu'on peut se demander si cela aura une importance, par exemple s'ils sont assaillis par la suite.

OMG joré jamé cru fox changé kom sa!!!!

Mod kikoo off

Le changement est vraiment inattendu je l'aurais jamais deviné!

Mais...Où sont donc Link Cartoon, Wolf, Peach, et ce sale rat( ) de Rondoudou?

Bah j'me suis un peu emportée avec Impact, on s'est déjà expliqués juste après

En fait les Deus Ex Machina c'est pas toujours de bonnes options... Là j'ai pris le risque parce que j'imaginais pas l'histoire autrement et que j'y ai mis un certain sens, mais quand j'écris j'me rends compte après que c'est du Deux Ex Machina, et c'est pas toujours quelque chose de bon à faire dans une histoire... Ce n'est que ce que j'ai lu quelque part, mais je suis pas mal d'accord avec cette théorie, donc j'espère juste que je vais pas abuser de ça et que mon histoire aura toujours du sens

Pour la chaussure c'est surtout que courir avec des talons c'est pas toujours pratique, c'est une réalité (J'en porte pas pour info ).

Merci des commentaires.

C'est pas faux, pour reprendre ce que j'ai entendu sur M6: "Les talons hauts sont des chaussures de princesses, elles sont faites pour faire attendre ces messieurs."

Sinon, de rien pour les commentaires, tant que ta fic reste aussi intriguante il y en aura toujours en stock!

Suite dimanche quasi-sûr

Désolée si vous pensiez qu'il y aurait une suite

UP pous souhaiter une bonne fête à Maman Crazy

+ Je lirais et commenterais

Merci mon petit chat

Suite aujourd'hui
Il y aura un sommaire et un résumé au prochain chapitre. ^^ Parce qu'il viendra dans un peu plus longtemps, genre 2-3 semaines.

Enjoy !

• Chapitre 22 : En territoire ennemi*

Si à Corneria City il faisait déjà jour, la nuit, elle, venait à peine de tomber sur l’hôpital privé des stars de Nintendo. La commune d’Argenta n’avait qu’une heure de différence avec ce dernier, mais cela n’empêchait pas le fait que le déroulement d’une journée était long sur Terre. Tant qu’à faire, autant se servir de cette longueur de temps pour bien calculer ses actes, surtout lorsqu’on s’infiltrait à l’intérieur d’un repaire tel que l’hôpital, car…

- Le temps, c’est de l’argent.
- Je crois qu’en courant plus vite que toi et les losers de Nintendo, je gagne beaucoup de temps, et donc bien plus d’argent, dans ce cas.
- Je m’en fous.

…Discutèrent deux individus qui venaient de passer par le large trou qui avait résulté de l’explosion d’un mur, causé par un Super Scope, il y avait déjà une semaine seulement. Presque une semaine, du moins. Les deux intrus savaient un peu ce qu’il s’était passé dans cet endroit glacial. Après tout, c’étaient des agents très spéciaux.
Le premier à avoir parlé était un homme habitué des infiltrations. Ce fut donc avec la souplesse et la discrétion naturelles d’un chat qu’il arriva à pénétrer à l’intérieur du bâtiment, au milieu des débris jamais nettoyés. Et cela, en dépit de son poids d’homme grand, musclé et surtout très armé. La lumière reflétée par la Lune, à travers les fenêtres du couloir, trahissait la présence de grenades et de deux longs pistolets distincts sur sa combinaison foncée. Il s’agissait d’instruments sombres et à l’aspect plutôt lourd, à l’image de leur possesseur.
Car ce n’était pas simplement un homme barbu dans la trentaine d’âge, et dont les cheveux bruns et mi-longs étaient plaqués en arrière avec un bandeau autour du crâne. Solid Snake était un soldat d’exception, un prédateur sûr de lui.
Or il n’avait pas la même assurance que son coéquipier du moment, autrement dit le deuxième personnage à avoir parlé. Si l’un voulait seulement mener à bien sa mission, l’autre avait plutôt soif de compétition. Nul besoin de porter un arsenal sur son corps plus petit que celui de Snake, cela aurait gâché son meilleur atout : la vitesse. Certains couraient à la vitesse du son, mais lui avait la vitesse de la lumière, et il était prêt à le prouver quand quiconque le voudrait. Une vélocité supersonique, digne d’un hérisson bleu à gants blancs et à chaussures rouges… Sonic n’avait pas volé son nom. Avec sa taille d’enfant humain, trop haute pour un hérisson ordinaire, il ne passait pas inaperçu…

- Hé, on n’doit pas se faire remarquer, aurais-tu oublié ? Alors arrête de remuer comme ça, boulet ! sermonna Solid Snake à voix basse.
- Les flexions-extensions pour un échauffement, c’est important, surtout quand on a des jambes en or, se défendit le compétiteur. En plus, n’oublie pas que notre ennemi est sûrement très fort, même si ça me fait mal de l’admettre… Le mur explosé le prouve. Pour pouvoir me mesurer à lui, je dois être au top de ma forme.
- On est justement là pour pas avoir à nous mesurer à lui.
- Et c’est toi qui dis ça avec toutes tes armes sur le dos ?
- Ça m’étonnerait pas qu’on ait affaire à quelqu’un d’ici là, puisque tu constitues un handicap avec tes flexions-extensions foireuses. Notre mission est de collecter des informations sur les activités de l’ennemi et de lui voler des échantillons d’expériences qu’il aurait pu faire.

Des nuages masquèrent la lune. L’obscurité nocturne s’imposa alors dans le couloir, donnant le feu vert à Snake et Sonic pour se déplacer en quête d’un recoin. Ils se trouvèrent finalement à l’autre bout du couloir. À droite de cette place se tenaient deux portes, un ascenseur et, au bout, une bifurcation perpendiculaire. Après un dernier coup d’œil en arrière, les deux intrus restèrent collés au mur du couloir afin de guetter une arrivée.

- En tout cas, cette mission prouve bien que chez Nintendo il n’y a que des faiblards, fit remarquer Sonic. Le conseil a carrément demandé l’aide de Sega et de l’organisation Foxhound de Konami, juste pour un plombier qui a pété les plombs ! Je ne suis là que par fair-play et que parce qu’à la base nous étions invités à cette édition de Smash Bros, autrement je les aurais volontiers laissé s’enfoncer tout seuls.
- Cool.
- « Cool » ?! Tu trouves que c’est cool comme situation ? Moi, je m’attendais à du combat et à des courses, ÇA c’est cool ! Cette mission-là, elle est aussi cool que ta coupe de hippie…

Snake fronça les sourcils. Il ne savait pas vraiment comment il devait prendre cette remarque. Oh, et puis, ce n’était pas important.

- M’ok, s’tu le dis.

Sonic, lui, haussa les sourcils en dévisageant son complice. Puis il posa ses poings sur ses hanches en grimaçant.

- Quand même, t’es pas très bavard comme mec, j’ai l’impression de parler à un robot ou à Mario…
- Ah.
- « Ah », « Cool », « S’tu le dis », ce sera quoi la prochaine fois ? « Mouais » ?
- Mouais.
- Pff, t’es désespérant, je n’ose même pas imaginer ton succès avec les filles. Même moi je gagnerais si on faisait le défi de séduire des femelles en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire.
- Je n’en aurais rien à faire si tu gagnais, sauf si ma mission était de te vaincre à ce petit jeu. Si mon objectif était de conquérir le cœur d’une femme, je mettrais en œuvre tous les moyens nécessaires pour y arriver, et j’y arriverais. Là, je dois collecter des informations sur les activités de l’ennemi et…
- Et lui emprunter des échantillons d’expériences qu’il aurait pu faire, oui, je sais, répéta Sonic en roulant des yeux.
- Oui. Et rien d’autre. Une chose à la fois. Je n’ai pas à taper la discute avec toi, surtout au moment où on doit s’infiltrer discrètement ici. Donc, parle pour ne rien dire si tu veux, moi tant qu’on ne m’a pas demandé de m’intéresser à toi, je m’en fous.
- Et si je te donnais la mission d’aller te faire voir avec les faiblards de Nintendo, tu le ferais ?!

L’espion quasiment taciturne lâcha un soupir et essaya de se reconcentrer sur la raison de sa présence dans cet hôpital. Ce hérisson pouvait être sympathique, il ne savait pas. Or, une chose était sûre : il était pire qu’une femme…

- Je remplirai cette mission mieux que toi, se vanta-t-il, tu vas v…
- Chut !

Snake poussa le corps de Sonic contre le mur. Il avait perçu un bruit de pas. Non, un bruit de roulettes. En tout cas, quelque chose, ou quelqu’un, approchait. Par chance, la lumière faisait de l’ombre du côté du couloir vide, et pas du côté d’où la présence semblait venir. À moins que les deux infiltrés ne montrent leurs têtes, ou qu’ils ne dégagent une forte odeur, ils ne risquaient pas d’être remarqués tout de suite.
Le silence remplaça le son. Il allait être brisé de nouveau par Sonic, mais Snake eut le temps de plaquer sa main sur la bouche de l’hybride verbeux. « PLAK ! » fit le plat de sa main.
Mais qu’est-ce qu’était « Plak » ? Le bruit de l’action de poser brutalement sa paume sur quelqu’un ou quelque chose. Un bruit, tout simplement !
Et contre ce dernier, vint riposter un son d’attaque... Celui d’un tir de deux lasers rouges, lumineux et parallèles qui perça le mur du long passage, auquel faisaient face Sonic et Snake.
Le hérisson déglutit, avant de se parer au combat, au cas où cela devait arriver. Quant au soldat, il analysait la situation et les multiples stratégies qui s’offraient à eux deux. Il était évident qu’ils ne pouvaient pas bouger ou se cacher ailleurs, car de toute façon…

- La lumière de mes lasers s’est affichée en tournoyant sur le mur avant de passer à travers… Et si l’orientation de la Lune vous protège, mon tir, en revanche, a révélé vos ombres par terre. Vous êtes cernés.

Cette voix n’appartenait pas à un être humain. Elle sonnait de façon métallique… Il était donc fort probable que cette attaque ait été directement lancée par ce qui composait la « chose » qui avait parlé. Les deux intrus tournèrent lentement la tête l’un vers l’autre afin de pouvoir se regarder dans le blanc des yeux et de vérifier qu’ils se comprenaient.

- ALORS ? MONTREZ-VOUS ! cria la voix assez mécanique sans émotion.

Et Sonic obéit aussitôt.
Après avoir donné une légère impulsion à son pied droit, il courut en virant à droite, afin de sortir du couloir et de pouvoir foncer sur l’ennemi. Leur intuition à Snake et lui ne les avait pas trompés : c’était un robot qui les avait repérés. Blanchâtre, fin autant au niveau du corps qu’au niveau des bras, il n’avait pas l’air bien méchant. Son pied, à l’allure de bas de chariot à roulettes cachées, paraissait si encombrant, qu’il était évident que la vitesse lui manquait. Au final, à part les lasers et les coups typiques des robots, un seul élément pourrait inquiéter l’alliance Sega-Konami. Il s’agissait de l’antenne qui se trouvait sur la boîte à deux yeux rouges - sûrement parce qu’il était en position d’attaque - et ronds qui servait de tête à la machine… Celle-ci n’était certainement pas seule dans les parages.
L’animal avait terminé son analyse rapide. Alors, il pouvait arrêter de courir devant et autour de l’automate dans le but de le perturber, et prendre un vif élan pour foncer droit sur lui… Non, pour vite passer au-dessus de lui et l’attaquer de haut… Non, pour se placer derrière lui de façon presque invisible et lui donner un coup de poing pour le pousser. Le robot avait tourné ses yeux écarlates vers l’arrière trop tard, trop tard pour voir arriver le missile noir que venait de lui envoyer Snake ! Pendant ce temps, Sonic lui échappa en reprenant sa course folle vers Snake !
Mais tandis qu’il le rejoignait, il remarqua, en passant près de l’adversaire, que ce dernier repoussait le missile grâce aux flammes droites produites par son pied levé dans les airs… Et puisqu’il en était ainsi, le projectile de Snake creusa un trou dans le plafond, n’ayant pu atteindre sa cible première.