Remballe ta propagande, s'il-te-plaît...

Ness...

Toute façon non, c'est thématique sur Zelda. Tu dois INVENTER ton propre personnage. Bon le miens vient de Lylat, mais je lui ait pas mit de Blaster etc... Donc c'est fair-play.
Tu fais ton perso, tu lui choisis trois armes.

Ensuite, l'organisateur, en l'occurrence Linki, te désignes un adversaire qui a lui même inventé un personnage, SON personnage. Il te désigne également une arène.

Chacun écrit un texte d'un combat où il fait gagner son personnage. Les autres participants votent ensuite le meilleur TEXTE, et ce selon 7 critères:
- Originalité (combat le plus original, faut surprendre le lecteur)
- Utilisation de l'arène (il faut que le lecteur voit qu'on se serve bien de l'arène désignée par Linki, le maximum possible)
- Utilisation des personnages (les personnages doivent être vivants dans le texte, qu'on puisse se mettre à leur place)
- Action (celui qui enchaîne le mieux l'action du combat)
- Description (celui qui décrit le mieux les lieux, l'arène, l'ambiance etc...)
- Orthographe, Syntaxe etc... (0 fautes dans l'idéal, des structures de phrases pas maladroites et si possible un vocabulaire riche avec des figures de styles.)
- Préférence (Enfin, le texte que le lecteur a préféré, pour des raisons purement subjectives.)

On fait le compte de ces critères, et celui qui obtient le plus de ces critères a 1 point.
Celui qui a le plus de point remporte la manche.
Au premier tour je suis passé avec 6 points contre 4.

Donc, inutile de faire un personnage invincible, l'autre pourrait bien remporter le match en faisant mourir son personnage, parce que c'est le meilleur texte qui est noté, pas le meilleur personnage.

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Bande d'inculte!

C'est pas parce que c'est ton anniv' qu'il faut t'enflammer !

Ouais et d'ailleurs si vous voulez participer au prochain sachez que je ne m'en occuperai pas, parce que les ootiens sont desespérants.
Par contre si Eagle veut vraiment reprendre le flambeau comme il me l'a dit sur msn, je l'aiderai volontiers dans l'organisation et je pourrais éventuellement participer.

Voilà qui est bien intéressant.
Le seul détail est que si Eagle reprend le flambeau, je ne pourrais pas l'affronter Enfin, du moment qu'il y a un concours relevé, et bien organisé, je ne demande rien de plus.

Bien sûr que si, Linki a bien participé à son tournoi. Il s'est fait massacrer au premier tour par Tenji.

J'ai voté pour Tenji.

Mais ouais, si j'organise je peux participer aussi.

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Alors là, c'est parfaitement intéressant

PARTIE 3 :
Chapitre 19 :

Samus ouvrit les yeux... Il faisait noir. Elle se redressa, refoulant les couvertures qui lui recouvraient le corps. Elle prit un instant à se souvenir où elle se trouvait... cela faisait huit jours, maintenant, et pourtant, chaque matin, elle se sentait perdue... Elle se glissa hors des draps, et s'étira. Elle sentit son dos craquer, encore engourdi par une bonne nuit de sommeil. A tâtons, la jeune femme s'habilla. Elle pressa un petit bouton au mur, et lentement, les volets coulissèrent, sans un bruit. La lumière blafarde des lampadaires éclaira faiblement la salle. C'est vrai, c'était l'hiver, il faisait encore nuit. Samus sortit de sa chambre, à pas feutré. Tout le couloir était encore plongé dans l'obscurité. Elle descendit l'escalier, toujours dans le noir, avançant lentement, pour ne pas rater de marche. Samus franchit le hall d'entrée, et déboucha dans le salon. A l'autre bout de la pièce, la cuisine était éclairée. La jeune femme entra. Fox, assis derrière la table, penché sur le journal, leva la tête vers Samus. Il tenait dans une main un croissant, dans l'autre une tasse fumante.
"Samus, fit-il en finissant sa bouchée, vas-y, installe-toi !"
La jeune femme s'exécuta, avec raideur. Elle considéra un instant les pots de confiture, sans faire un geste pour autant.
"Prend, l'encouragea le renard, n'hésite pas !"
Samus se retint encore un peu, mais la faim l'emporta. Elle s'empara d'un croissant, et y mordit goulument.
"Tu vois, continua Fox, tu avais faim !"
Samus hocha la tête.
"Ca fait plus d'une semaine que tu es là, enchaîna le vulpin. Je t'ai déjà dit de faire comme chez toi ! Je ne vais pas mourir pour quelques croissants tu sais."
Samus lui rendit un sourire reconnaissant.
"Merci, bafouilla-t-elle maladroitement."

C'était... étrange.
Ce Fox McCloud était pourtant bien chaleureux, et elle en avait bien sûr entendu parler à maintes reprises. Mais elle se sentait mal à l'aise. Cette hospitalité... Samus avait l'impression de déranger, d'être de trop. Elle avait toujours eu un fort caractère... mais quoi qu'elle fasse, elle n'arrivait pas à parler à McCloud. Mais ce qui la dérangeait vraiment, c'était ce que cela impliquait... elle n'était plus habituée à une vie calme et paisible, où l'on mange des croissants le matin. Sa vie, c'était l'action, les missions... et la solitude. Elle avala sa tasse de café d'un trait. Avec Wolf, c'était différent. Le loup ne la ménageait pas; était rude dans ses propos. Mais... elle avait l'impression qu'il l'appréciait à sa juste valeur: celle d'une femme d'action. Elle savait que Fox faisait son possible pour qu'elle se sente bien... Mais elle avait plus l'impression de le déranger et de s'immiscer dans sa vie... Samus se leva soudain.
"Tu t'en vas déjà, interrogea Fox.
-Oui..."
Le renard s'essuya la bouche.
"Où est-ce que tu vas cette fois ?
-Au palais de justice. J'aimerais en savoir un peu plus sur les peines que l'on peut lui infligé..."
Fox soupira:
"Tu sais, avoua-t-il, sur Lylat, la peine de mort est mise en pratique sans le moindre scrupule. Wolf était un criminel avant de vaincre l'empereur anglar... et maintenant, voilà qu'il replonge en détruisant le château d'une monarchie étrangère... il aurait pu déclencher la guerre..."
Samus baissa les yeux. Le renard reprit...
"La peine qu'ils vont réquisitionner ne fait aucun doute...
-Fox ?
-Oui ?
-Pourquoi es-tu si aimable avec moi ?"
Le renard sembla ne pas comprendre la question. Samus poursuivit:
"Après tout, pourquoi m'aides-tu ? Wolf et toi, ce n'est pas une grande histoire d'amour, à ce qui j'ai compris.
-Tu m'as expliqué les faits, et selon eux, Wolf a été manipulé. Il me paraît juste qu'il soit jugé comme tel...
-Pourtant, lui n'a pas était très scrupuleux à ton égard... avec cette histoire pendant la guerre contre les anglars..."
Le renard haussa les épaules.
"Ne t'en fais pas pour ça..."
Sans plus insister, Samus saisit sa veste fourrée, et sortit. Elle fit quelques pas dans la rue... Décidemment, il faisait vraiment froid...

Loin de là, Wolf ouvrit les yeux.
Une douleur fulgurante lui traversa le dos. Il était tombé de son lit... enfin, si cette couche misérable méritait le nom de lit ! Le loup se redressa lentement. La fatigue ne tarderait sans doute pas à avoir raison de lui... il prit son front entre ses mains... quelle douleur atroce... il avait besoin de plus de sommeil... Il se laissa aller contre le mur de pierre, sombre et froid. Dans la cellule d'à côté, un hurlement strident retentit. Wolf hurla à son tour...
"Mais tu vas la fermer oui ?!"
On lui répondit par un léger gémissement, puis plus rien... Ce mec, à côté, c'était de sa faute ! Wolf se prit de nouveau la tête entre les mains. Si seulement ce type la fermait pendant la nuit. Il avait dormi, quoi ?... une heure ou deux ! Chaque fois qu'il commençait à somnoler, l'autre l'ouvrait et gueulait à pleins poumons. Il y eut un grand silence, puis, un nouveau hurlement, plus terrible que tous les autres, s'éleva brusquement. Wolf crut sentir les poils de sa crête se hérisser...Des pas résonnèrent dans le couloir. Le loup releva la tête, pour voir deux gardiens passer en vitesse. Les pas s'arrêtèrent... Wolf tendit l'oreille... la porte de la cellule voisine grinça.
"Tu vas arrêter, beugla la voix d'un garde, tu vas déclencher une émeute !"
Il n'y eut pour toute réponse qu'un nouveau rugissement. Intéressé, Wolf s'approcha des barreaux de sa propre cellule. Nouveau rugissement... le loup se pencha autant qu’il put pour distinguer la scène. Il ne vit que le bras d'un garde s'emparer de sa matraque... puis un coup... Wolf sentit ses muscles se crisper... le hurlement se mua en gémissement... puis il n'y eut que des coups: une rafale de coups... les gardes passait l'autre à tabac. Puis, le bruit mat d'un corps que retombe sur le sol... les gardes ressortirent de la cellule.
"T'as compris cette fois, hurla l'un d'eux ?"
Rangeant leur matraque, ils s'apprêtèrent à repartir, lorsque l'un d'eux tourna la tête vers Wolf:
"Qu'est-ce que tu mattes, toi ?"
Un sourire étira les lèvres du canidé... l'ironie lui plaisait vraiment. C'était une figure de style magnifique, selon lui:
"Je ne matte, renvoya-t-il, que toute votre finesse de gardes diplomates. Mais j'avoue que ce type m'a fait chier toute la nuit. Il est certain qu'avec tous les coups qui vous venez de lui asséner, il arrêtera de se plaindre..."
Le gardien crispa sa main, autour du manche de sa matraque, mais se ravisa... Wolf observa les deux hommes s'éloigner, puis disparaître au bout du couloir. Il se laissa tomber sur sa couche... son bassin l'élança atrocement. Il resta un instant allongé, les griffes enfoncées dans le métal du lit, en apnée... chaque élan de douleur lui irradiait le corps. Il reprit lentement sa respiration, encore tout courbaturé... Lentement, il se releva, de peur que la douleur ne ressurgisse. Une fois assis, il souleva sa veste, découvrant ainsi d'épais bandages blancs, qui lui recouvrait tout le torse, des pectoraux jusqu'à la partie supérieur des abdominaux. A l'hôpital, ces enfoirés avaient expédié l'affaire bien vite... on aurait dit qu'ils avaient eu peur que Wolf reste entre leurs murs... Le loup releva la tête en arrière: la douleur revenait...
"AARRRRRGGGHHH..."
Wolf sursauta... son voisin venait de hurler pour lui... Il pensa à Samus : elle n'était jamais venue lui rendre visite depuis qu'il était en prison... depuis cinq jours. Trois jours à l'hôpital, puis ces cinq longs, très longs jours de prison... soudain, il réalisa qu'elle lui manquait étrangement... et lui en voulu d'autant plus de ne pas plus s'occuper de lui. Mais alors, il lui en voulut encore plus, car maintenant, il se sentait idiot. La douleur de la blessure mal soignée lui transperça de nouveau le corps... Il fallait qu'on le sorte d'ici !

Samus marchait dans la rue. Corneria l'étonnait toujours. Malgré l'heure très peu avancée, de nombreux commerces étaient déjà ouvert. Et les clients étaient au rendez-vous, bravant le froid du glacial hiver. Alors que la jeune femme passait devant une magnifique enseigne d'un magasin de textile, elle fut attirée par un vif éclat de voix. Curieuse, elle pénétra dans la boutique. Devant elle s'étalait une plaine de tenues variées, en passant de la robe au gilet. Sur une estrade, les nouveaux produits étaient jetés en pâture aux clients envieux. Samus se fraya un chemin entre les dentelles, et découvrit, devant les cabines d'essayage, un étrange trio: un avien, à l'air exaspéré, une jeune femme, joyeuse et pleine de vie, ainsi qu'un jeune homme aux cheveux bleus... Cet avien... Samus eut une étrange impression... le connaissait-elle ? A vrai dire, tous trois lui donnait une étrange impression... le jeune homme aux cheveux bleus émergea d'une cabine. Il portait une sorte de tenue en cuir... certes, élégante en soit, mais que ne convenait en rien au porteur...
"C'est comment, demanda-t-il à ses compagnons."
L'avien s'empressa de répondre.
"C'est parfait ! On s'en va !
-Non, fit la jeune femme, je trouve qu'il te faudrait une veste moins ample..."
Le jeune homme acquiesça, et disparût derrière le rideau... L'oiseau jeta un regard haineux à la jeune femme:
"Voilà, susurra-t-il, on en a encore pour une heure maintenant !
-Bah, quoi ?! J'allais pas le laisser sortir comme ça ?"
L'avien soupira. Samus, embusquée derrière un rayon, renonça. Ce n'était qu'une impression anodine, comme on a souvent: une impression étrange, déstabilisante, qui pourtant s'avère infondée... La chasseuse détourna le regard, et sortit du magasin... ces trois personnes n'étaient que de simples citoyens, ou touristes... sans doute…

Samus marcha quelques instants, morose... elle se sentait déprimée... après tout, peut-être que Fox avait raison, et qu'il n'y avait plus rien à y faire. Wolf était condamné ? Perdue dans ses sordides pensées, elle marcha machinalement jusqu'au palais de justice, comme elle l'avait fait de nombreuses fois depuis le sanglant soir, il y avait huit jours... Ses pas crissaient sur la neige boueuse... elle releva la tête et contempla un instant le gigantesque édifice... blanc, tout blanc. Avec un toit de tuiles noires, soutenu par d'innombrables colonnes romanesques... imposant... imposant monument. La jeune femme gravit lentement les marches, la tête enfouie entre ses épaules. Elle poussa la lourde porte... Quelle chaleur ! L'intérieur du palais était chauffé à bloc ! Samus se découvrit promptement, glissant son manteau sous son bras... Elle traversa le large hall, construit d'un style baroque chargé, déboucha dans les couloirs austères. Elle hésita un instant, tourna sur sa droite... à moins que ce ne soit à gauche... ce palais de justice portait bien son nom: un palais ! Ah, ça devait être ici ! Samus poussa la petite porte en bois verni... Ca y était ! La bibliothèque ! La jeune femme pénétra dans la pièce. C'était un peu comme le magasin de vêtement de toute à l'heure, mais avec beaucoup, beaucoup de vêtements. Vêtements qui, ici, étaient des livres. C'était donc une infinité d'ouvrages qui s'étalait sur une infinité d'armoires, dans l'infinité de cette pièce, où Samus se sentait infiniment petite... Il avança avec une infinie précaution, pour ne pas briser le silence de plomb qui régnait en maître. Les lecteurs éparpillés dans la pièce semblaient si concentrés que la moindre perturbation semblait pouvoir la traîner devant le juge... Elle se dirigea à incognito vers une étagère... elle l'avait bien repérée, la veille, cette étagère... la grosse, en bois, près de la plante verte... La jeune femme saisit l'ouvrage, qu'elle avait également repéré la veille: l'ouvrage qui l'intéressait. Le livre semblait relativement usagé. Vieille couverture décolorée, reliure fragile... " La Peine " (c’était le titre du livre...) faisait... peine à voir ! Samus s'assit à la table la plus proche et ouvrit le livre... La jeune femme fut abasourdie... sous ses yeux s'étalait un amas de termes juridiques, plus ou moins compréhensibles... plus ou moins expressifs... auxquels elle ne pigeait... rien ! Elle referma le livre, déçue... les écrivains devaient être de mèche avec les universités de droit... Seul moyen de comprendre: faire des études... Samus reposa le livre à sa place, entre " Le sage est humble " et " La preuve vous désigne du doigt". Quels titres tordus ! Samus soupira. Elle détestait, plus que tout, se déplacer pour rien. Elle avala sa salive : que faire ? Soudain, une porte métallique, derrière l'étagère, s'ouvrit. Samus se retourna, et observa les arrivants au dessus des rangées de livres. Il y avait un homme... costard cravate... nickel chrome. Probablement un avocat. Samus ne pouvait voir son visage. Il semblait dialoguer avec une femme... tenue soignée, également: costume serré, moulant; léger décolleté... Là encore, Samus ne distinguait pas son visage.
"Tout de même, commença une voix masculine, vous pourriez faire un effort..."
Il y eut un blanc, l'homme poursuivit;
"Enfin, mon client ne mérite pas ça... la peine est excessive ! Faite au moins un geste, un rabais..."
La femme prit la parole. Elle avait une voix profonde, calme et posée, qui arrivait tout de même à dégager une agressivité plus que prononcée.
"Les choses ne marchent pas comme ça, répliqua-t-elle. Vous ne teniez pas les mêmes propos lors de l'audience préliminaire d'hier ! Il n'y aura aucun marché, je conserverai la peine que j'ai réquisitionnée à l'instant... le procès n'a pas tourné en votre faveur, vous auriez du le prévoir. Si vous aviez été plus humble, alors, une négociation aurait été envisageable... or..."
Elle laissa ses paroles pénétrer l'esprit de l'homme, puis esquissa un pas pour s'en aller. Derrière sa rangée de livres, Samus distingua l'homme bouger. Il tentait de retenir la femme.
"Je vous en prie, commença-t-il, madame le procureur ! Vous...
-Arrêter, ou je porte plainte pour harcèlement !"
L'homme tenta de la retenir...
"Attendez ! Maître O'Donnell..."
L'esprit de Samus sembla se distorde sous l'effet de ces mots... Cette femme ? Procureur ? Maître O'Donnell ? O'Donnell... cela n'était peut-être qu'une de ces fameuses impressions, une de ces fameuses coïncidences... mais il ne fallait pas laisser cette chance passer. Samus se rua de l'autre côté de l'étagère...
" Maître O'Donnell, cria-t-elle."
La femme se retourna... de longs poils gris... un port de taille noble, l'air assez hautaine. Deux yeux pourpres perçants, à l'expression froide indéchiffrable... Samus n'y croyait pas, la ressemblance était flagrante. La louve observa Samus...
"Elle-même, fit-elle en tendant promptement la main vers la chasseuse. Je peux faire quelque chose pour vous ? "

Preum's

PS: J'ai pas lu.
PS2: Je vais lire.

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PS2 ... c'était un jeu de mot ?

PS3: C'est orgasmique comme lecture. No fake.
J'ai attrapé froid en lisant la partie ou Samus se promène dans Corneria... C'est fort... Très fort...

Voilà donc... Elle

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Content que ça t'as procuré... tant de chose
Bon, je vais essayer de préparer le 20 pour ce week-end !

Aller, little up !

Wouah !!! Wolf avait une soeur ! Pas croyable...

Moi ausis je participe à ce tournoi ! J'ai passé le premier avec 6 votes pour moi et ... 0 vote pour mon adversaire ! Et ouais je suis le meilleur, que voulez-vous ...

Comment ça mon adversaire à sorti un texte bidon ? NAN NAN !! C'est parce que je suis bon !

Et pour savoir ! Celui qu'est le plus méchant, c'est moi ! J'ai tellement fait souffrir ma tante qu'elle en est morte de chagrin ! Et ca c'est vraiment terrible !!!

Chaud la référence !

PS : J'ai pas lu donc je vais lire !
PS 2 : Pas si mal dans l'ensemble
PS 3 : Trop similaire à la 360 ...

Bon je m'égarre, et je vais lire !

Trés bon chapitre, les descriptions sont toujours aussi bien maitrisée, et l'ambiance est vraiment envoutante ! Comme d'hab c'ets toujours un texte écrit d'une main de maître mais il y a une grosse incohérence !

je ne comprend pas pourquoi Samus ne reconnait pas Marth lors qu'elle l'a bien vu en emblocratie ... je pense qu'un gars au cheveux bleus, humain de surcroît à Corneria aurat du l'interpeler ... Enfin,j'espere que tu auras une bonne excuse à me fournir

Ralala... Laisse le faire ! Il a pensé à tout, j'en suis sur !

Euh... oui, écoute kamiel.
Non, sérieux, je me suis tâté... J'ai finalement tranché. Samus ne connaissais pas du tout Marth. De plus, leur altercation à eu lui la nuit, et une capuche couvrait la tête de la chasseuse, donc je me suis dis que ce n'était pas trop incohérent qu'elle ne s'en souvienne pas. De plus, elle doute quand même beaucoup, ce qui prouve que... et d'un autre côté, Samus n'est pas étonnée de voir des extra-terrestres etc... donc un homme aux cheveux bleus... Sinon, content que ça t'ai plus