Prologue :
Aucune d’elles ne savait ce que l’avenir leur réservait …
Aucune d’elles ne pouvaient deviner qu’elles allaient découvrir un sentiment très fort et indescriptible …
Malgré cela, Mélodie et Karen, deux jeunes filles que tout oppose, sont reliées par un étrange lien que le destin à tissé… elles vont devoir vivre avec, qu’elles le veuillent ou non.
Elles vont remarquer que tout le monde est différent, malgré leurs nombreux points communs…
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Bonjour tout le monde !!! Voici le prologue un peu (beaucoup) court de ma nouvelle fic !
Eh, oui j’ai décidé d’en recréer une nouvelle, car après quelques jours de vacances, sans post, ma première fic à coulé, et je n’ai pas retrouvé le courage pour aller la chercher dans les annales du forum … Car je ne trouvais pas de nouvelles idées et je crois que je me suis surtout beaucoup surestimée… Certains trouveront mon attitude irrespectueuse ou quelque chose dans le genre, ils ont bien raison, je regrette de m’être lancée tête baissée sans réfléchir dans ce premier projet et je m’excuse donc sincèrement pour ceux qui aimaient bien ma fic … Voilà j’ai donc bien réfléchi et je repart sur de nouvelles bases bien solides et des idées plein la tête ! Je m’excuse encore auprès des modérateurs et des forumeurs, qui, j’espère, me comprendront !
Donc voici ma fic qui met en scène deux jeunes filles que vous allez découvrir très bientôt !
Voici le chapitre 1 ! J’espère qu’il vous plaira !
Chapitre 1 :
Karen s’allongea sur son lit douillet et se demanda ce qu’elle allait bien faire de sa journée. La jeune fille âgée de 14 ans, seule héritière de ses riches parents ambassadeurs avait bien raison de s’ennuyer. En effet, ses géniteurs étant toujours en voyage pour leur travail, et laissaient donc leur fille moisir d’ennui dans leur villa chic et richement décorée qui faisait tache au milieu du petit village campagnard du nom de My-taillou. C’était une vielle petite bourgade perdue dans la campagne habitée par de sympathiques petits animaux. Le seul bémol expliquant l’ennui de Karen : il n’y avait pas d’enfants donc pas d’école, donc … pas d’amis. Karen avait toujours eu un désagréable mauvais caractère dû à l’absence de ses parents, mais aujourd’hui, il n’y avait personne pour en subir les conséquences, car la jeune fille ne fréquentait pas les adultes. De toutes façons, notre riche héroïne n’avait jamais eu vraiment d’amis, car ses parents tenaient toujours on ne sait pourquoi à habiter dans de modestes petits villages où les habitants « de classe moyenne » comme disait son père, se calfeutraient dans leurs petits maison branlantes à la vue de la très riche famille. Karen se leva, s’assit devant sa coiffeuse, maquilla ses yeux bleus, brossa et tressa ses cheveux blonds et sortit de sa grande maison pour aller faire un tour en ville. Enfin, ce qu’elle appelait ville, c’était un magasin de vêtements et d’accessoires, tenu par deux mignonnes jumelles hérissons ; et juste à côté, une petite cabane de bois avec un petit panneau où l’on pouvait lire « Boutique Nook ». Le gérant était donc Tom Nook, un raton laveur assez avare ; Karen avait fait connaissance avec ce dernier un fois, et elle était partie en courant dès qu’elle eut entendu le mot « travail ».
Le village se complétait avec sept ou huit maisons et une grande place devant la mairie, cette dernière étant ornée d’une grosse horloge et tenait compagnie à un panneau d’affichage chargé. Une espèce de tente accrocha l’œil de la jeune fille. Elle se rapprocha et tourna autour pour l’identifier : C’était un tente basique d’une couleur sombre qu’on avait décorée de motifs plus clairs. Karen prit son courage à deux mains et entra sans crainte de déranger. Elle fut d’abord très surprise de voir une chatte assise derrière une table basse où trônait une boule de cristal, puis fut plus rassurée quand son hôte l’invita à s’assoir :
- Entre donc, que veux-tu savoir ? Je suis Astrid la voyante et je…
-C’est quoi ce charabia ? La coupa la jeune fille. Ca fait trois mille ans que j’ai parlé à personne et la première personne à qui je parle c’est une vieille folle qui se fait passer pour une voyante pour arnaquer les gens ???
-Quelle impertinence !! Tu vas connaître le châtiment d’Astrid !! On verra bien qui rira le dernier, ah ! Soit tu accomplis ta bonne action de la journée, soit tu la finiras les genoux ensanglantés !!
-Nan mais tu me veux quoi la vieill… euh Astriche là, moi j’me tire, j’préfère rester seule qu’ici une minute de plus !! Déclara la riche fille affolée. Allez bonjour chez vous, oubliez pas votre rendez vous chez le psy !!!
-Je m’appelle Astrid et je pense que tu te souviendras de moi !!! Relança la chatte, outrée.
Karen sortit à grands pas et elle posa à peine un pied pas qu’elle se retrouva par terre.
« J’aurais peut-être mieux fait de bien lui parler, à l’autre Astripe… pensa-t-elle. »
Illico presto, elle se releva mais eut à peine le temps de dire ouf qu’elle retomba sur le sol.
« Soit tu accomplis ta bonne action de la journée, soit tu la finiras les genoux ensanglantés !! » La jeune fille se remémora les paroles d’Astrid et chercha une bonne action à accomplir. Elle comprenait mieux maintenant le sort qu’Astrid lui avait jeté ! Soudain, une idée lui vint. Elle rampa jusqu'à la mairie, ouvrit la porte et demanda à genoux :
- Bonjour, euuh, … Madame ! Vous aviez pas une histoire de dons aux pauvres quand j’suis arrivée, là ?
- Comment ? Et … que fais-tu pas terre en fin ! Relève-toi, un peu de tenue !
- Oh, me gonflez pas, c’est l’autre sorcière qui m’a soulé et elle m’a jeté un sort, un truc bizarre mais je sais pas comment elle à fait, et j’crois qu’il faut que j’fasse une bonne action…
- Ah ! Je comprends mieux ! Oh oh oh ! Donc, tu veux faire un don à la ville de Ploucville ?
- Oui oui, le premier truc qui vous passe sous la main fera l’affaire … Tenez, 2000 clochettes …
- Merci à eux ! Je crois qu’ils mangeront de la gadoue grillée … C’est l’habitude …
En réalité, la vie là-bas était bien dure… A défaut de manger de la gadoue grillée, on ne mangeait rien, ou alors un jour sur deux quand on avait bien travaillé… Mais les pauvres dons n’étaient qu’une goutte d’eau dans la mer quand on voyait qu’il fallait nourrir toutes ces bouches s’abritant dans cette ville ; le mot le plus approprié serait bidonville, qui recouvrait des kilomètres et des kilomètres de surface …
personne ne veut lire ma fic ?
Si moi je l'ai lue et je la trouve géniale
how merci !
J'ai dejà écrit les deux chapitres suivants, je les mettrais un peu plus tard...
Et Vite vite la suite
Voici le chapitre 2 !!! S’il vous plait, si ma fic vous plait, mettez un petit post ! Merci =)
Chapitre 2 :
Nous voilà donc dans l’horrible et triste Ploucville. Au beau milieu des habitants affamés et malades, se trouve une famille semblable aux autres : en soulevant le tissu qui sert de porte, on peut apercevoir, abritée dans sa maison de tôle et de carton, une jeune fille lisant sur un coussin rapiécé. Cette jeune fille se nomme Mélodie et elle a 13 ans, presque 14. Elle habitait Ploucville avec son père et sa mère car ils étaient touts les deux au chômage et s’étaient fait expulser de leur maison faute d’argent. La jeune démunie attend patiemment le retour de ses parents qui cherche de quoi se nourrir ou des choses utiles dans la décharge près de Ploucville. C’était ce qu’ils appelaient leur travail. Tous les pauvres s’y retrouvaient pour y trouver fortune. Par exemple, Les parents de Mélodie ramenaient souvent à leur fille des canettes de soda vides qu’elle découpait et tordait de façon à faire de sympathiques petits vide-poches qu’elle vendait aux habitants des riches villes voisines pour quelques clochettes. Les plus généreux en achetaient mais d’autres gens mauvais et radins l’insultaient ou écrasaient sans pitié ses petites créations. La jeune fille ayant fini son travail pour aujourd’hui, elle dévorait un roman oublié sur une terrasse qu’elle avait volé en revenant de son gagne-pain. Elle adorait les livres, malgré qu’elle n’ait lut qu’un ou deux petits ouvrages obtenus de la même façon que le dernier. Ses petits yeux verts suivaient curieusement les lignes et ses cheveux de couleur sombre retombaient de chaque coté de son fin visage. Mélodie rêvait de liberté, comme certains personnages dans ses livres d’aventures … Elle voulait quitter ce bidonville et se reconstruire une vie ailleurs… Ses parents rentrèrent soudainement, interrompant ses rêveries :
- Bonjour ma chérie …
-B‘jour Papa, b ‘jour ‘man. Alors ? Alors, vous avez trouvé des choses intéressantes ?
-Oui, mais trop peu pour nous trois … Comme d’habitude … Son père soupira et Mélodie remarqua que sa mère avait la larme à l’œil. Malgré cela, elle lui tendit quelques fruits abimés et rajouta :
-Tiens, mange ça, tu es en pleine croissance, il faut que tu te nourrisses !
Malgré qu’elle soit affamée, la jeune fille sauta sur l’occasion de s’expliquer :
-J’en ai marre de vous handicaper comme ça ! Vous me donner toujours à manger et vous vous mourrez de faim à coté !!! J’ai bientôt 14 ans et vous vous occupez de moi comme d’une gamine ! Vous ne voulez même pas que je vous aide à travailler ! Je peux me débrouiller toute seule, vous savez !!
Sur ce, elle jeta dans un sac plastique ses quelques haillons troués, ses livre et ses quelques clochettes qu’elle avait gagné dans la journée et s’enfuit en courant. Ses parents savaient qu’il ne servait à rien de la retenir. Elle avait la tête bien vissée sur les épaules et quand Mélodie avait une idée, elle n’y renonçait jamais. Avec beaucoup de chance, elle reviendrait peut-être. Cette dernière, après avoir courut quelques minutes, s’assit sur un rocher et réfléchit.
« Je n’ai pas beaucoup réfléchi jusqu'à maintenant. Il ne faut pas que je m’embourbe dans les problèmes pour une décision prise sur un coup de tête ! Tout d’abord, j’irai dans un petit village de campagne où les gens ne sont pas trop riches … J’espère qu’ils m’accepteront … Il le faut ! Ensuite, je chercherais un travail et je pourrais vivre tranquillement. A ce moment là, quand j’aurais assez de clochettes, j’improviserais. »
Notre pauvre héroïne marcha jusqu'à rejoindre la grande route, puis la suivit en ignorant les klaxons des automobilistes. Il était tard car le soleil commençait déjà à se coucher, mais la jeune fille continua en espérant trouver un abri pour la nuit. Elle arriva à un croisement où l’on pouvait voir indiqué : Charm : 14 kilomètres. Bebey-town : 9 kilomètres. Mélodie avait déjà marché jusqu’à ces villes pour travailler et elles ne correspondaient pas à ses attentes : trop grandes, bruyantes et polluées. Mais en dessous de ce panneau se trouvait un autre petit écriteau de bois qui indiquait un petit chemin de terre. Les lettres étaient un peu effacées mais on pouvait y lire : My-taillou, 3 heures de marche. La fillette opta pour ce village et commença à avancer dans la boue, les prés l’entourant. Elle ne tiendrait plus très longtemps et ses baskets non plus si elle continuait de marcher 5 minutes de plus. Alors, elle regarda autour d’elle et remarqua une petite maisonnette au beau milieu des champs. La jeune fille, exténuée, se dirigea vers ce petit abri en faisant bien attention de ne pas écraser les plantations, et ouvrit la porte. Ce n’était que du matériel de jardinage et quelques sacs d’engrais et de graines. Elle fit de ces derniers un matelas inconfortable et s’endormit rapidement. Le matin venu, notre jeune fugueuse fut réveillée par la lumière du jour, se frotta les yeux et regarda en direction de la porte. Tout d’un coup, on entendit en cri strident résonner dans la cabane.
j'adore !
la sweet !
Je vais lire ! J'ai survolé le prologue, je pense que tu as un bon potentiel et que tu es assez intelligente pour accepter les critiques qu'on te fait ! Dès demain, je te donne mon avis !
Et demain à 10h, regarde le journal
Cette fiction est d'une qualité rare parmi les nouveaux.
Tout d'abord, tu n'as pas oublié les descriptions, et tu les as bien cachées dans le texte. Ensuite, tu arrives à captiver le lecteur, et tu ne le freines quasiment jamais grâce à un orthographe quasi-parfait. Il y a bien quelques virgules en trop ou en moins qui se baladent parfois, mais cela ne gêne pas.
Bonus : les quelques petites fautes
"une vielle petite bourgade" >>> Vieille.
"que fais-tu pas terre en fin" >>> Enfin.
"ils étaient touts les deux " >>> Tous les deux.
"Ils s’étaient fait expulser" >>> Expulsés. Attention aux accords.
"[..]ses parents qui cherche" >>> Cherchent.
"elle n’ait lut" >>> Lu. (C'est un participe passé. )
"coté" >>> côté.
"on entendit en cri" >>> On entendit un cri.
La plupart sont des fautes d'inattention, c'est pourquoi avec une bonne relecture, elles devraient toutes partir !
Comme je le disais, tu as un grand talent. Ton histoire est captivante, je vais donc faire comme tout le monde et dire "Suite" !
PS : Si tu veux, à partir de ton chapitre 5, je peux t'inscrire au Michelin des fictions, en espérant que ça te fasse un coup de pub.
Bonjour tout le mode !! D'abord merci Petoline pour ta critique.
Ensuite, j'aimerais vous annoncer qu'après demain, c'est la rentrée pour moi, donc le rythme des chapitres ralentira considérablement. . Mais demain, j'ai beaucoup de temps pour moi donc je pourrais écrire une chapitre ou deux !
Et c'est là que les bons conseils de Peto interviennent ! /
Les bons conseils de papy Peto
Prends un cahier (de brouillon, ça marche bien) que tu réserves pour ta fic. Amène-le à l'école avec tes autres cahiers, et lorsque tu as une heure de libre, tu peux le sortir et préparer ta fiction à l'avance. Je le fais personnellement, et j'en profite même pour les améliorer un max dans le même temps ! /
sweet
Petoline : Merci pour le conseil, je le ferai si j'ai le temps .
Je pense que ce chapitre sera un peu plus court que les autres, mais c’est maintenant que l’histoire débute vraiment !
Chapitre 3 :
Un taureau se tenait sur le pas de la porte, brin d’herbe à la bouche, surement le paysan propriétaire de la cabane. C’était Mélodie qui avait crié, d’abord surprise, puis rassurée par ces paroles :
- Waaaa … Tu cries vachement fort !!!
- Bon… Bonjour ?
- Ah oui ! Bonjour, enchanté, je m’appelle Angus, je suis un taureau dans la vraie vie et astrologiquement, j’habite à My-Taillou, je suis fermier, et j’ai une trentaine d’années ! Je fais des rimes, sans efforts, j’suis trop fort ! Et toi ?
- Euh … Je m’appelle Mélodie … J’ai 13 ans … bientôt 14… je n’ai pas de maison… et j’aimerais justement aller à My-Taillou !
- Eh bien ma petite demoiselle, c’est bien parce que je suis gentil et que j’ai oublié de poster ma lettre que je vais retourner à My-Taillou exprès pour toi ! Monte sur le tracteur, t’es tellement fine qu’on tiendra bien à deux ! Raconte-moi ton histoire, on a le temps, mon p’tit village est bien à une demi-heure !
Même si elle n’était pas bavarde, notre jeune demoiselle raconta de bon cœur son histoire à Angus, rassurée par sa générosité. Après un long moment d’explications, le taureau déclara :
- Voilà demoiselle, nous sommes arrivés ! Viens, comme je te l’ai dit, j’ai une lettre à poster, et la Mairie est juste devant nous !
En effet, un grand bâtiment se tenait devant eux. La fillette descendit agilement du camion, se dirigea vers la porte en s’apprêta à l’ouvrir quand une jeune fille blonde sortit en trombe de la mairie, bousculant Mélodie au passage.
- Oh, ne t’inquiète pas, lui expliqua son nouvel ami, c’est Karen, elle a emménagé récemment au village avec ses parents, mais elle a un caractère de cochon ! Ne t’attend pas à des excuses, viens, entre !
La pauvre fille pénétra dans la mairie et s’extasia : C’était la première fois qu’elle voyait un bâtiment en si bon état ! Elle qui avait toujours vécu à Ploucville, ne connaissait que les petites cabanes de misère ! Deux comptoirs se tenaient devant elle, avec un pélican derrière qui les accueillit avec un grand sourire. A l’arrière de la mairie, on pouvait discerner des tas de paperasses et une vieille tortue endormie.
- Bienvenue, Angus ! Commença le pélican, qui était, après observation, une demoiselle et qui avait approximativement le même âge qu’Angus. Qui est cette jeune fille ?
- Bonjour Opélie, répondit le taureau, figure toi que je l’ai trouvée dans mon cabanon à outil, elle dormait dedans. Son nom est Mélodie, et je l’ai conduite ici car elle vient de Ploucville et veut reconstruire sa vie ici ! Et … j’ai aussi une lettre à poster.
- Bien ! Elle a perdu sa langue ou quoi ?
- Non ! Intervint soudainement l’intéressée. Je … suis enchantée ! Je suis juste un peu surprise par les événements, vous savez.
- Hmm, je comprends… Je crois que tu as entendu, je m’appelle Opélie.
Le pélican s’adressa à la tortue derrière elle :
- Monsieur le maire ! Réveillez-vous ! Nous avons une nouvelle habitante !
La vieille tortue émergea doucement de son sommeil se leva pour aller serrer la patte à notre jeune fille :
Enchanté, je m’appelle Tortimer, maire de cette ville, j’espère que tu t’y plairas. Viens, je vais te conduire chez Nook, le gérant de notre seul magasin. Il te construira une maison et te trouvera volontiers du travail !
En partant, Opélie tendit une carte de la ville à la jeune nouvelle habitante, qui se laissa guider par le maire, le sourire aux lèvres. Son cœur était presque rempli de bonheur, il serait plein si son dernier souhait se réalisait : Trouver une maison et un travail !
La vieille tortue l’interrompit dans ses rêveries :
- Tu t’appelles bien Mélodie, c’est ça ? Oh, eh bien, Mélodie, nous sommes arrivés ! Je te laisse te débrouiller, je retourne à ma siest… mon travail !
- Merci Monsieur ! Je ne vous remercierais jamais assez !
Elle entra dans la petite cabane de bois. Des outils semblables à ceux qu’elle avait vus dans le petit cabanon d’Angus trônaient sur des petits présentoirs. Quelques meubles, papiers peints et tapis complétaient le chaleureux magasin. Un raton laveur dans un tablier l’accueillit :
-Bien le bonjour ! Regarde ce que tu veux, demande moi si tu veux le prix, hm ?
-Vous devez être Nook c’est bien ça ? Je viens … Je viens vous demander du travail ! Et une maison pendant qu’on y est !
- Oh oh tu es bien rapide ! Qui es-tu ? Moi c’est Nook ! Pour le travail, c’est OK, enfile ça !
Mélodie enfila le même tablier que le raton laveur portait en lui répondant :
- Je m’appelle Mélodie ! Et je viens de…
- Tut tut tut ! Tu me raconteras tout ça après le travail ! Tu logeras à l’arrière du magasin pendant que je construirais ta maison, tu pourras me rembourser petit à petit, Je pourrai t’agrandir encore plus ta maison à l’avenir, si, bien sûr, tu as le moyens ! Tu vois, je peux être aussi rapide que toi ! Na !
Le cœur de Mélodie était enfin rempli ! Sa première tache était de planter des fleurs autour du magasin, et dès qu’elle eut fini, le soleil se coucha et Nook lui permit d’aller se reposer et de lui raconter son histoire.
Oui, chef, bien, chef !
A vos ordre, je le ferai ! Mais ce que je voulais dire c'est que je le ferai si j'ai des heures détudes (normalement, j'en ai, mais en 3eme j'en aurai plus ! Eh, oui c'est qui la débile qui a pris l'option latin ? ) Ensuite, si j'ai fini mes devoirs (rien de mieux que de rentrer des cours sans avoir de devoirs à faire). Je vais pas le faire en cours non plus ! Quoi que, je veux bien ...
Dispensée de cours de sports ? le rêve ...
Désolée du double post mais je préfère rester avec mes amies pendant les récrées ou pauses de midi ... on n'est meme pas sures d'être dans la même classe Je veux pas non plus ne penser vraiment qu'a ma fic mais savoir la mettre de coté sans la délaisser pour pouvoir profiter de la vie comme il se doit !!
Toujours toute seule ? c'est triste ! En même temps,
j'aimerais bien parfois avoir du temps à moi comme toi ! Pour le sport, je fais de la danse avec d'autres amies, et je préfère largement ça qu'aux sports du collège
Hello, Papy Peto est de retour. :vieux:
Bon, j'ai bien aimé le chapitre. J'ai trouvé un peu bizarre le coup du taureau, j'ai imaginé un véritable taureau sur ses quatre pattes.
A part ça, quelques petites fautes pour la plupart d'inattention :
"surement" >>> Sûrement.
"figure toi" >>> Figure-toi. (A l'impératif, on met souvent des tirets entre le verbe et la personne à laquelle on parle.)
"le moyens" >>> Les moyens
OK, c'est bon, j'ai tout dit. Sweet !
PS : Si tu veux plus de lecteurs, je pense que le mieux est de participer à la vie du forum. Enfin, c'est un conseil, tu fais comme tu veux !