Lethe x Muarim C
Lethe: Muarim.
Muarim: Bonjour Lethe …
Lethe: Tu t’en sors ? C’est probablement la première fois que tu te bats dans une armée comme celle-ci.
Muarim : Oui. C’est exact. Je me sens parfois un peu perdu, car je n’ai pas l’habitude de me battre ainsi.
Lethe : N’hésite pas, si tu as des questions, j’ai une grande expérience des combats … Je commandais un régiment à Gallia.
Muarim: Tu dois être une combattante hors pair et un chef de premier ordre. Y a-t-il beaucoup de femme qui commandent des armées ?
Lethe : À Gallia, peu importe ton sexe. Tu dois juste faire de ton mieux.
Muarim : Ça me parait juste.
Lethe : Mais toi, tu as connu l’injustice. On dit que tu as été esclave à Begnion.
Muarim : Tu n’imagines pas l’horreur que c’est. Tu as toujours été fier d’être un laguz. Tu as vécu sous la protection du roi de Gallia. Tu ne sais pas ce que c’est …
Lethe : …
À venir Oscar - Janaff B et A *.*
Oscar x Janaff B
Oscar : Euh … bonjour.
Janaff : Oui ?
Oscar : On se retrouve ! Ah ah ah ! Aaaaah … Euh désolé pour l’autre jour. Je n’ai pas …
L’habitude de parler aux laguz, alors … Hé, y a-t-il quelque chose que tu ne comprends pas au sujet de notre groupe ?! Je peux peut-être t’aider.
Janaff : Non pas particulièrement. Pourquoi ?
Oscar : Justement, je pensais … tu me rappelles mon frère … … Allez, Oscar vas y … Vous … êtes incroyables, vous les laguz ! Je veux dire que même un jeune enfant comme toi peut se battre si …
Janaff : Tu as dis « enfant » ?!
Oscar : Euh … qu’est ce qui ne vas pas ?
Janaff : Tu m’as regardé ? Je ne suis pas un enfant ! J’ai plus de 100 ans !
Oscar : Quoi … ? Cent … ans … ?
Janaff : Je ne sais pas quel age tu as, mais ceux qui me traitent d’enfant ne vivent pas assez longtemps pour s’en vanter ! Ne m’appelle plus JAMAIS comme ça ! C’est compris, humain ?!
Oscar : Bon sang, Oscar ! Quel idiot tu fais ! Là tu l’as vraiment énervé ! Mais à quoi je pensais ? Maintenant, il faut que je m’excuse. Je vais sûrement rater ça aussi …
Oscar x Janaff A
Oscar : Mmmm …
Janaff : Oui ? Oh, c’est toi.
Oscar : Ecoutes, je suis vraiment désolé pour ce que j’ai dit l’autre fois. Pardonne mon ignorance s’il te plait.
Janaff : Ah ! Très bien … c’est oublié. Mais ne recommence pas. Au fait, quel age as-tu ?
Je n’arrive pas à savoir avec vous, les beorcs.
Oscar : J’ai 24 ans.
Janaff : 24 ans ?! VINGT-QUATRE ?! Mais tu n’es encore qu’un enfant ! Un bébé, même ! Je n’arrive pas à croire que les beorcs envoient leurs enfants se battre ! Comment peuvent-ils être à ce point cruels ?
Oscar : Euh … eh bien …
Janaff : Comment t’appelles-tu, petit ?
Oscar : Euh … Oscar.
Janaff : Je suis Janaff. Mais appelle-moi « oncle janny » Pas étonnant que tu sois si impoli. Mais je suis surpris que tu saches parler.
Oscar : Oui, euh … mmm … surprenant, c’est le mot. Je suis plutôt en avance pour mon age
Janaff : Eh bien, c’est le devoir des aînées de guider l’oisillon jusqu’à qu’il sache voler. Je te pardonne tes remarques déplacées. Si tu as besoin de quelque chose, viens me voir. Si tu fais un cauchemar, oncle janny te consolera. Ça va ?
Oscar : Euh … je vais biens … merci. Ça va m’être d’un grand secours.
Merci pour le soutient ^^
C´est tout naturel.
On me dit pas merci à moi ... è_é
Lane Désolée de ne pas avoir répondu plus tôt. XD En fait il me semble que le soutien de Stefan/Soren que j´avais lu n´étais pas de toi donc tu as du aussi le copier et à ce moment là j´ai pas dû trouver ta version, mais, merci pour l´avoir copiée à nouveau ! ^o^ Faut sérieusement que je me remette à ce site que j´ai à peine commencé. ^^
Merci à tous pour votre aide. ^o^
Sinon j´avais copié Marci Rolf mais j´vois qu´il y est déjà... XDDDD
Oscar Ooooooh, pauvre Oscar... é_è Merciii Oscar ! ^o^
De rien ...
Mdr Jannaf "Oncle Janny"
Merci Copaiiin ^-^
Pareil que Becky.
Merci aussi Jumeau. ^^
Bientot d´autres soutiens
Zoupi
Moi je vais reboszser pour mon site.
(Non, non, j´ai pas abandonné ! )
AAAAAAH ! Je viens de me rendre compte...
Lane En fait je voulais dire le Stefan/Soren C, désolée ! ^o^
Il avait été posté par un certain Link37, en page 8. XD
Désolée désolée ! ^^
Mais pourquoi les soutiens sont si durs à obtenir :O ?
Dit moi Revy... c´est pour quand ce site? o_o
Euh... Quand j´aurais publié ma BD je pense que je m´y mettrais. =D
Mois d´Aout quoi.
Mhhh... de quelle année?
Courage Revy.^^
Me revoici de retour, pour vous jouer un très bon tour ! "~^
J´ai fini tout récemment ma 4ème partie de FE4, et j´ai quelques nouveaux Soutiens pour ce topic.
Les nouveaux Soutiens sont les suivants :
- Muarim x Zihark B et A ;
- Muarim x Largo C, B et A ;
- Tauroneo x Largo C, B, et A ;
- Rolf x Tauroneo B et A ;
- Ike x Reyson B.
Je vais diviser la publication de ces Soutiens en 2 posts, celui-ci étant le premier.
Sur ce, let´s go !!
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MUARIM / ZIHARK B :
Muarim : Zihark.
Zihark : Oh, Muarim. Qu´est ce qui t´amène ?
Muarim : Tu as retrouvé ta poudre pour épée ?
Zihark : Malheureusement, non.
Il va falloir que j´en rachète. Je déteste emprunter les affaires des autres.
Muarim : Ceci peut-il t´être utile ?
Zihark : C´est quoi ? Oh, waouh ! Cette poudre pour épée doit coûter une fortune...
Comment se fait-il qu´un Laguz ait ça ?
Muarim : La force de l´habitude.
Zihark : Je ne te suis pas.
Muarim : J´étais esclave autrefois. Mon ancien maître m´obligeait à affûter ses lames pour lui. Je suis devenu assez doué pour ce travail.
Il m´apportait ses épées à l´improviste.
Si je n´avais pas le matériel nécessaire pour ce travail, il me battait.
Je suis toujours mal à l´aise quand je n´ai pas ces choses avec moi.
Zihark : Je suis désolé de t´avoir rappelé de si mauvais souvenirs.
Muarim : C´est le passé. Tu veux que j´affûte ta lame pour toi ?
Zihark : Merci, mais un vrai guerrier prend soin de son épée lui-même.
Mais j´apprécie ton offre.
Muarim : Alors, prends au moins cette poudre.
Je n´en ai plus besoin.
Zihark : Muarim...
Merci. Tu me sauves. Je ne dis pas ça par simple politesse, mais... ça te dirait de dîner avec moi ?
Muarim : J´en serais ravi.
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MUARIM / ZIHARK A :
Zihark : Muarim.
Muarim : Qu´y a-t-il, Zihark ?
Zihark : J´ai ramassé ça pour toi.
Muarim : C´est...
Zihark : J´ai entendu dire que le peuple félin raffolait des feuilles de ce type de plante.
C´est assez rare, mais j´ai appris à les repérer.
Muarim : Mm...
Zihark : Je me suis trompé de plante, c´est ça ?
Muarim : Non, non... c´est ça. Malheureusement, ce n´est pas quelque chose dont les tigres sont friands.
Zihark : Oh... je l´ignorais.
Désolé. Une de mes amies adorait l´odeur de ces plantes.
Je croyais que tous les Laguz aimaient cette odeur autant qu´elle.
Muarim : Tu... fréquentais une Laguz ?
Zihark : Oui.
Muarim : C´est très rare. J´ai entendu parler d´histoires d´amour entre Beorc et Laguz. Ca a dû être difficile.
Je ne crois pas que les gens acceptent ça facilement.
Zihark : C´était... trop dur à supporter pour elle.
Nous ne pouvions pas nous marier et la pression était trop forte pour qu´elle reste avec moi.
Mais je n´ai jamais aimé une autre femme.
Et je ne crois pas que ça arrivera.
Muarim : Je peux avoir ces herbes ?
Zihark : Quoi ? Mais je croyais...
Muarim : Ca n´a pas d´effet sur moi, c´est vrai, mais j´apprécie ton geste, et ta bonté me touche.
Je suis désolé d´avoir fait ressurgir un souvenir aussi désagréable.
Zihark : Merci. C´est gentil. Hé. Je suppose nous sommes quittes maintenant, non ?
NOTE ACE => A la dernière phrase de Zihark, je pense qu´il voulait dire : "Je suppose que nous sommes quittes maintenant". Pour moi, l´oubli du "que" dans le jeu est une erreur de traduction.
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TAURONEO / LARGO C :
Largo : C´est étrange...
(Tauroneo apparaît.)
Tauroneo : ...
Largo : Hé, Tauroneo !
(Tauroneo se retourne vers Largo.)
Tauroneo : Mmm ?
Largo : Tu ne trouves pas cette armée bizarre ?
Je veux dire qu´il est assez rare de voir une armée composée de soldats venant d´autant de pays différents. J´ai voyagé et comabttu dans de nombreux pays, et c´est la première fois que je vois quelque chose comme ça.
Tauroneo : Tu as raison. Certains sont même d´anciens soldats de Daein.
Toutes les nationalités sont représentées, ça, c´est sûr.
Largo : Le plus agréable, c´est de pouvoir goûter toutes sortes de plats exotiques. Miam ! Je n´ai jamais aussi bien mangé de ma vie.
Tauroneo : Qu´est ce que tu tiens ?
Largo : Cette plume ? Oh, c´est juste pour noter quelques idées pour m´en rappeler plus tard. Sinon, j´oublie tout !
Mais revenons à la nourriture. J´ai remarqué que les Laguz aiment ce qui est épicé !
Et ils se sont mis à boire avec nous ! Ah ha ha ! C´est fantastique ! D´ailleurs, quelle est ta boisson préférée ?
Tauroneo : Ma boisson ? Je ne suis pas difficile. Plus c´est fort, mieux c´est !
Largo : Et l´arôme ?
Tauroneo : Pas d´importance.
Largo : Ah aaaaah aaaah !! ! J´aime ta réponse !
Je vais la noter pour ne pas l´oublier.
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TAURONEO / LARGO B :
Largo : Mmmmm...
Tauroneo : ...
Largo : Ahhhh... euh... aaaaaaahhh...
Tauroneo : Qu´y a-t-il ?
(Largo se retourne, vers Tauroneo.)
Largo : Hem ? Oh, c´est toi.
Tauroneo : Ca fait des heures que tu regardes ce morceau de papier.
Serais-tu devenu fou ?
Largo : Oh, oui, tout à fait. Fou...
Tu n´as peut-être pas tort...
Il va falloir que je le note.
Mais ça attendra. Je ne peux pas penser à deux choses en même temps.
Tauroneo : Ah ? Et à quoi penses-tu en ce moment ?
Largo : J´économise l´argent que je gagne ici pour ouvrir un commerce.
Je pensais à une taverne.
C´est une bonne idée, non ?
Tauroneo : Une taverne ? Oui, c´est une bonne idée.
Tu comptes aussi vendre à manger ?
Largo : Des en-cas ? Oui ! Les gens pourront aussi manger ! Je ne tiens pas à ce que mes clients meurent de faim...
J´aimerais que tout le monde s´y sente bien. Les gens aiment le beurre, non ? Eh bien, je placerai du beurre sur chaque table !
Tauroneo : C´est un beau projet.
Où vas-tu l´ouvrir, cette taverne ?
Largo : Ca ne se voit peut-être pas, mais je suis originaire de Begnion. Alors, je crois que j´ouvrirai ma taverne là-bas.
Mais d´après ce qu´on dit, Crimea et Daein sont aussi des endroits agréables.
Le choix va être difficile...
Tauroneo : ...
Tu veux que je t´aide avec la taverne ?
Largo : Oh, oui ! Ce serait fantastique !
Deux cerveaux valent mieux qu´un.
Ton aide me sera précieuse, j´en suis sûr.
Bien. Alors, on aura des pots de beurre...
Mais qu´y aura t-il d´autre au menu ?
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TAURONEO / LARGO A :
Largo : Mmmm... ce n´est pas bon.
Ca non plus...
(Tauroneo apparaît.)
Tauroneo : Tu penses encore à ta taverne ?
Largo : Hé, Tauroneo ! Tu peux me donner ton avis ?
Tauroneo : J´en serais heureux.
Largo : J´essaie de trouver un nom pour ma taverne.
Tauroneo : Qu´as-tu trouvé jusqu´ici ?
Largo : Que dis-tu de : "Au petit pot de beurre" ?
Tauroneo : Mmmm. Ce n´est pas très... original.
Largo : Tu as peut-être raison. Laisse-moi réflechir.
Je veux en faire un endroit où Beorc et Laguz pourraient se détendre autour d´un en-cas et d´une bonne boisson.
Que dis-tu de : "Ici les Beorc et Laguz peuvent se détendre autour d´un en-cas et d´une bonne boisson" ?
Tauroneo : C´est un peu long.
Largo : Pas terrible, hein? Oh ! Que vais-je faire ? Je suis vraiment nul pour ces trucs-là.
Tauroneo : Tu prends ça trop au sérieux.
Pourquoi ne pas lui donner le nom de quelque chose que tu aimes ?
Largo : Mais, oui ! Je vais l´appeler "Chez Calill."
Elle a toujours été ma préférée.
Tauroneo : Lui donner le nom d´un ancien amour ?
Je trouve que c´est une bonne idée.
Je ne manquerai pas de venir apprécier le beurre et la boisson quand tu ouvriras.
Largo : Tu as intérêt ! Je garderai une bouteille de ta boisson préférée pour toi.
Ta boisson préférée c´est... attends, je le sais. Je l´ai écrit quelque part.
Oh, c´est ici... du fort !
Tauroneo : Ouais.
Largo : Aaaaa ah ah ah !! ! Compte sur moi !
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Le reste viendra plus tard dans la soirée, après la diffusion des épisodes de Heroes ! "~^
Ok, comme promis, voici la seconde partie ! "~^
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MUARIM / LARGO C :
Largo : Hé, là-bas !
Tes bras sont énormes !! !
Comment es-tu devenu aussi fort ?
(Muarim apparaît.)
Muarim : ... ?
Largo : Mes bras sont déjà costauds, mais comparés aux tiens...
Muarim : Tu es assez musclé, toi aussi.
Largo : Ah ah ah ah ! La force brute est la seule chose que je possède avec certitude ! Où vas-tu avec ces cruches ?
Muarim : Je vais les remplir au puits.
Largo : Tu comptes toutes les remplir ? Elles doivent peser une tonne une fois remplies d´eau !
Une, deux, trois, quatre, cinq...
Ca en fait un sacré paquet.
Laisse-moi t´aider.
Muarim : Ce n´est pas nécessaire.
Largo : Ah ! Mais ça ne me dérange pas !
Je ne suis peut-être pas capable de jeter des sorts compliqués, mais je peux porter des objets lourds comme tout le monde !
(Largo disparaît.)
Muarim : ... Très bien. Alors, allons-y.
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MUARIM / LARGO B :
Largo : Comment ça va, Muarim ?
Muarim : Largo. Merci pour ton aide, l´autre fois.
Largo : Ah ah ah ah ! Ce n´était rien. Tu sais, j´ai beaucoup voyagé, mais je n´ai jamais rencontré quelqu´un d´aussi gaillard que toi.
Je suis assez fort, mais tu pourrais te servir de moi comme serpillère. Qui peut soulever le plus de nous deux ?
Muarim : Difficile à dire...
Largo : La chose la plus lourde que j´ai soulevée, c´était un arbre que j´avais coupé. Il faisait trois fois ma taille. Et toi ?
Muarim : Eh bien...
Une fois, j´ai détruit une montagne.
J´ai utilisé les débris pour réparer un mur.
Largo : Quelle taille faisait cette montagne ?
Muarim : Mmm... elle était immense.
Largo : C´est incroyable ! ... Hé, que dirais-tu d´un petit test de force ? Je suis sûr que nous serions à peu près à égalité !
Muarim : Non, c´est que...
Largo : Allons, ne sois pas si coincé !
Viens ! On va s´amuser !
Muarim : ... Mmmm...
D´accord. Mais juste une fois !
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MUARIM / LARGO A :
Largo : Hé, Muarim ! Notre petite compétition de l´autre jour était sensationnelle !
(Muarim apparaît.)
Muarim : Oui. Je me suis bien amusé.
Largo : Les gens ont commencé à s´approcher quand on a essayé de voir qui pouvait soulever le plus de jambons fumés ! Quelle foule !
Muarim : Mmm... c´est devenu un peu incontrôlable quand on a commencé à porter des gens.
Largo : Ah ah ah ! Nous étions au coude à coude jusqu´au dernier moment.
La dernière chose que j´ai ajoutée, c´était ce gros morceau de jambon, mais quand tu as souvelé la fille !
Comment s´appelle-t-elle déjà ?
Muarim : Mist.
Largo : Oui, c´est ça.
On aurait pu arrêter la compétition là, si nous avions su lequel était le plus lourd. Mais je crois bien que c´était le jambon...
Muarim : Tu es vraiment impressionant.
Largo : Impressionant ? Moi ? Non, Muarim !
C´est toi le plsu impressionant !
Muarim : Je ne parle pas de tous les jambons que tu as souvelés.
Mais tu as réussi à rassembler tout le monde. Tu leur as permis de rire, malgré la tension du combat.
Tout le monde a pu évacuer son stress et se détendre un peu.
Largo : Oui, tout le monde a le droit de se détendre un peu ! Aaaah ah ah !!
Muarim : Tu me traites comme les autres.
Tu es un bon Beorc.
Largo : Ah ah ah ! Pourquoi en serait-il autrement ?
Il n´y a aucun mérite à ça.
Pour la compétition, je pense que nous sommes à égalité. Mais au bras de fer, je suis imbattable !
Muarim : Ah ! C´est ce qu´on verra !
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TAURONEO / ROLF B :
Tauroneo : Depuis des générations, les mebres de notre famille sont d´illustres guerriers de Daein.
Mon père et moi avons eu l´honneur de servir la famille royale comme généraux. C´est notre plus grande fierté...
Rolf : Qu´est-il arrivé à Jean ?
Tauroneo : Je l´ai élevé pour qu´il serve l´armée de Daein, comme mon père l´avait fait pour moi. Il a essayé de suivre mes pas.
Très jeune, il est devenu chevalier haut gradé et il a été affecté à la garde du palais. Cependant...
Rolf : Que s´est-il passé ?
Tauroneo : On l´a envoyé au front en tant qu´aide de camp de Ashnard. Il est revenu sur une civière, grièvement blessé.
Il a échappé à la mort, mais pas à ses blessures. Il ne marche plus.
Rolf : Oh, non...
Tauroneo : Ma femme en a presque perdu la raison.
Elle pleurait nuit et jour, jurant qu´elle ne survivrait pas si une chose comme celle-ci se reproduisait.
Elle voulait vivre en paix... avec sa conscience. Elle m´a supplié de quitter l´armée.
Mais je n´ai pas pu accepter sa demande. La tradition militaire de notre famille remonte à des générations.
Bien des généraux de ce royaume ont porté le même nom que moi. Je ne pouvais pas mettre fin à tout ça.
J´ai essayé d´entraîner mon plus jeune fils pour qu´il puisse reprendre le flambeau. Je voulais qu´il devienne général de Daien.
Rolf : Tu as fait quoi ?!
Tauroneo : Je sais... c´était stupide. J´étais tellement obsédé par l´honneur, la tradition familiale.
Lorsque j´ai compris mon erreur, ma femme et mes enfants étaient partis.
Depuis... je vis seul dans ma grande demeure, entouré d´innombrables médailles et souvenirs.
Seul... depuis des années...
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TAURONEO / ROLF A :
Tauroneo : Ah, j´avais tort...
J´aimerais pouvoir m´excuser auprès d´eux.
Rolf : As-tu une idée de l´endroit où se trouve ta famille ? Des indices ? Quoi que ce soit ?
Tauroneo : ... J´ai appris que ma femme a quitté Daien pour vivre avec des amis à Crimea.
Je suppose qu´elle est encore là-bas.
Rolf : Alors, pourquoi ne vas-tu pas la trouver ?
Tauroneo : Je suis certain qu´ils ne veulent plus entendre parler de moi.
Même si je les trouvais, reparaître maintenant rouvrirait d´anciennes blessures. Je ne veux pas leur faire plus de mal.
Rolf : Mais c´est stupide ! Je veux dire... J´aimerais revoir mon père !
Tauroneo : ...
Rolf : J´ai toujours dit à mes frères que j´allais bien, que je ne me sentais pas seul.
Mais la vérité, c´est que mon père me manque. Nous avons tellement à nous dire.
Tauroneo : Oh...
Rolf : Mon père est mort.
Je ne peux plus le voir.
Mais tu peux revoir ton fils. Tu es en vie.
Tauroneo : Tu... as raison.
Mais c´est trop tard.
Rolf : Ce n´est PAS trop tard ! Tant que tu es en vie, il n´est jamais trop tard.
N´hésite pas ! Va les voir !
Je suis sûr qu´ils t´attendent.
Tauroneo : Peut-être que tu as raison, Rolf.
Peut-être que je devrais...
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IKE / REYSON B :
Ike : Reyson !
Reyson : Je suis ici, Ike.
(Reyson apparaît.)
Vous voulez discuter de notre stratégie ?
Ike : Oui. Votre participation aux prochains combats va être déterminante. Vous vous sentez bien ?
Reyson : Eh bien... j´ai réalisé que je supporte mieux l´énergie négative quand je vole. Une simple brise peut vraiment m´aider.
Je vais tenir le coup. Soyez rassuré.
Ike : Vous avez l´air fatigué. Epuisé, même.
Je crois savoir ce que ressent le roi de Phoenicis. Je suis désolé de vous en demander autant.
Reyson : (plisse ses paupières) Vos paroles sont vexantes.
J´ai choisi d´être ici.
Ike : Ce n´est pas ce que je voulais dire...
Je suis désolé. Je sais que vous détestez qu´on s´inquiète pour vous. C´est juste...
Reyson : (ferme les yeux) Ike ? Silence. Si c´était quelqu´un d´autre, je l´aurais déjà frappé pour l´obliger à se taire.
Ike : Oh ! Du calme, Reyson ! Ce n´est pas utile ! Et... je ne pensais pas que les hérons pouvaient attaquer.
Reyson : (rouvre les yeux de manière normale) ... Je sais comment cogner !
Même si...
Ike : Oui ?
Reyson : Je subis plus de dégâts que ma cible.
Ike : Comment ?!
Reyson : Lorsque j´ai frappé le Duc de Tanas au visage, il n´a fait que saigner du nez, mais je me suis cassé les os de la main.
Ike : Sacrebleu...
Reyson : Tout à fait.
Ike : ... Mais ça vous a fait du bien, non ?
Reyson : Oui !