Bon ca fait quelques jours que j´ai pas pu venir, manque de temps.
En arrivant j´ai vu ton chapitre et j´ai vu sa taille qui m´a fait plaisir.
Mais, alors que tout joyeux, je commencai a lire ton chapitre, je tombe sur une faute dés la premiére phrase :
"Tout en marchant en avant" marcher en avant ? Je suis pas sur que ca se dise.
Et un peu plus loin :
"et de toute façon, nous n’aurions pas eu les moyens de la payer.
-Oui, nous aurions eu les moyens." Jane confirme et contredit a la fois. "Si" à la place de oui peut étre.
Et à la fin :
"Il aurait voulu tirer sur le lit de la rivière" C´est peut étre pas une faute mais en tout cas je comprend pas ce que ca veut dire.

Parfois la transition entre les passages est un peu rapide : Partie 2(je considére que les parties sont les grand passages séparés par des "***") tu passe directement de l´histoire de la féte du temps à skriff qui danse, bon peut étre ca dérange personne mais moi si, il faut pas que ca aille trop vite aprés je suis perdu
Bon sinon le chapitre est trés bien comme tous, un seul petit poin me géne : ou est passer la vache!!! (voir dans les premiers chapitres)

si c´était une de mes parodie, la vache aurait vaincu le démon noir merci de ce commentaire, commentaire qui a gaché le 500ieme message!!! ( ( (

c´est a moi que tu demande de faire un commentaire en passant ?
eh bien si j´en fait pas c´est pasque j´ai pas envie de dire après chaque chapitre "très bon chapitre", "super, on veut la suite" ect...

Ok...

Sinon, anecdote drole: une de mes amies trouvait le passage sentimental hilarent, je lui demande pourquoi et dans un mail, elle me montre la situation sous cet angle : "Heye, j´manque d´air... comment ca, donc? Ah, s´pask kekun m´embrasse langoureusement.... ca explique tout.... "déclic" YARK! OTE TOI DE LA, MÉCHANTE FILLE!"
c´´Est vrai que c´est drole vu comme ca.

j´aimerai bien que tu m´explique pourquoi link fait ca, a une princesse en plus ^^
sinon super comme d´habitude en particulier la scéne sentimentale ^^

Ta scéne est pas mal tourné bien que, c´est vrai, elle soit assée comique.

pour te réponde Grand Poteau Colérique (c´est pas la bonne interprétation? ), Link, dans sa vie marqué par la violence, la mort de ses parents, son rejet de la foret qu´il crut sienne, ses bataille contre des zombi, son double maléfique, son idéal amoureux brisé, Ganon tres tres violent, et sa colere refoulé contre le cactus de son frere (eh oui, l´humour HS me connait), il a eu peur devant cette premiere vrai preuve de tendresse amoureuse, et ayant des sentiments pour Zelda, il a comme on dit dans le jargon scientifique et tres élabor pété un cable.

J´aime mieux Gélatineux Portillon Coloré finalement

Eli´ marcher en avant» il marchait au dela des autres, en avant de Jane, pas marcher en avancant... bref... le Oui=Si est corrigé, et pour l´affaire de la rivière, je vuex dire qu´il aurait voulu tracter la rivière, comme si c´était un tapis sur lequel les Yrnikaux courait et qu´il voulait le tiré vers lui pour les ramener.

Tracter la riviére, il est fort !! !

bon ok je respectes ta fic mais j´en marre que link passe partout pour un trouillard

sinon pour l´interprétation de GPC t´étais pas loin dans ton 1er poste ^^

Tu es grand maigre et colérique? Moi je préfere largement Guibolles Pianotées au Calcium

(Ca ne t´offense pas, j´espere? Sinon, j´arrete tout de suite )

La suite est en cours d´éxecution, mais vuq ue j´ai un dernier exam de grammaire demain je dois étudier un peu... juste un peu, je vous promet de poster ensuite.

Chapitre 22 : La bonté des princesses

Lorsque Kermus émergea du passage secret, il tomba nez à nez avec la douce princesse Zelda, adossée au mur opposé. Il fut surpris de la trouver là, la prenant en flagrant délit, mais se remémora un de ses dictons préféré : « Ne te justifie jamais avant d’avoir été accusé. ». Il afficha donc un air faussement détaché.
-Bon soir, princesse.
-Bonsoir, Kermus. Je ne vous ai pas vu beaucoup, ces derniers temps.
-J’étais très occupé, je faisait connaissance avec le peuple, il est bien d’avoir des relations avec la plèbe, ils se montrent toujours amicaux avec les prince et les rois.
-Oui, vous semblé plus porté à établir des liens avec le peuple des forêts.
-Pardon?
-Les kokiri, expliqua-telle. Une domestique (aussi une de mes bonnes amies) m’a bien dit vous avoir vu en compagnie de ces charmants lutins. Je suis contente que vous établissiez des relations avec les autres peuple d’Hyrule. Mais la prochaine fois que vous avez des invités, faites-moi le savoir, je serai ravie de les accueillir.
-Bien, princesse.
-Passez une belle fin de journée.
« Elle ne se doute de rien. Bien, bien. » pensa Kermus.
Elle se détacha du mur et fit quelques pas vers sa chambre lorsqu’elle s’arrêta, debout au milieu du couloir, fixant l’autre extrémité de la section déserte.
-Ne me prenez pas non plus pour une gourde, je sais que vous manigancez quelque chose, dans ce souterrain. Et vous veillerez à bien traiter les kokiri.
Elle fit encore quelque pas et se stoppa brusquement.
-Cette nuit, passé minuit, vous vous présenterez discrètement avec les kokiri à la porte de ma chambre. Je veillerai à retirer la garde des couloirs qui séparent nos appartements, histoire de ne pas vous causer d’ennuis. Nous parlerons de cette situation. Ne tentez pas de me berner, vous êtes sur mon territoire et j’ai plus de pouvoir que vous. Organiser un assassina anonyme n’est pas chose difficile pour moi. Je déteste forcer le bras à mes prétendants, mais je m’y vois contrainte. Est-ce bien clair?
-Oui, princesse, confirma-t-il en courbant bassement l’échine.
Toujours en lui tournant le dos, elle le salua avant de repartir.
-Bonne nuit, Kermus.

Quelques heures plus tard, le toc-toc du prince se fit entendre. La princesse, habillée d’un simple vêtement de toile et d’une cape, alla ouvrir la porte.
-Entrez, dit-elle d’un ton sans émotions à Kermus.
Puis, en voyant les deux petits kokiri vêtus de vert, avec leurs petits bonnets et leurs culottes courtes, son ton se radoucit comme si elle parlait à des enfants.
-Venez, venez. Vous devez avoir froid, avec ces vêtements si courts. Je vois qu’il n’a pensé qu’a vous laisser assez de force pour que vous puissiez marcher. Il y a des pâtisseries sur la table, là-bas.
Kef, devant tant de tendresse et d’attentions, ne pensa même pas à afficher son air froid et méfiant. Son âme de gamin refit surface, le poussant inconsciemment à agir comme un enfant de six ans. Une petite lueur s’alluma dans ses yeux noirs. Tout comme Tiko, bien plus jeune que lui, il sauta sur l’assiette de confiseries. Ensuite, ils s’assirent sur le bord du lit, chacun la bouche pleine et de la nourriture dans les mains. La princesse avait pris place dans un fauteuil et Kermus, ne désirant pas attiser la colère de la princesse, décida de rester debout. La princesse attendit que les mignons kokiri ai fini de manger avant de les questionner.
-Dites-moi, est-ce que Kermus vous à maltraité, injurié ou blessé?
-Et bien, il nous a sauvé la vie, dit Kef, bien décidé à garder son air innocent, et ensuite il nous à fait visiter le château et il nous a donné de bonnes pommes à manger.
-Il a été un peu narquois, dans la ruelle, mais je crois que c’était par orgueil, rajouta timidement Tiko.
-Rien qui ne sorte de l’ordinaire, en sorte, conclu Zelda avec un peu d’exaspération. Je ne doute pas que vous ayez modifié ou caché une partie de la vérité par crainte des représailles de cet homme, mais dites moi toute la vérité cette fois, s’il vous plait.
Ils racontèrent ainsi la bagarre dans la ruelle, n’oubliant pas de mentionner qu’ils auraient pu se défendre eux même. Puis la marche jusqu’au château, ensuite l’emprisonnement dans la cave.
-Je m’attendais à bien pire que ça. Je suis heureuse que vous vous en tiriez bien. Kermus, racontez moi maintenant votre partie de l’histoire, avec le bateau.
-Eh bien, lorsque j’ai découvert ce port par pure coïncidence, je fut fasciné par le navire. Et n’ayant pas beaucoup de passe-temps ici, j’ai simplement décidé de tenter d’en savoir plus, et de le réparer. Je suis tombé sur ses kokiri un jour et je me suis dis qu’ils apprécieraient sûrement d’accompagner un prince dans ses démarches. De plus, je leur ai proposé de vendre leur potion magique.
-Potion? De quoi parlez vous?
-Euh, c’est parce que nous étions venus à Hyrule pour vendre de l’élixir, madame, heu, princesse. Nous avons omis ce détail, pardon.
-Ce n’est pas grave. Bon, demain matin, nous irons ensemble examiner ce navire et voir ce que nous allons faire. Nous garderons tout cela secret, bien entendu. Vous dormirez avec moi, les kokiri.
Elle mit le prince à la porte et s’étendit sur un canapé, regardant les nains s’endormir côte à côte. Elle se dit qu’elle aurait fait une bonne mère, peut être un peu protectrice, mais une bonne mère. Mais la seule possibilité envisageable d’avoir des enfants était de les avoir de Kermus, et cette idée la répugnait, maintenant. Elle allait sans aucun doute lui refuser le mariage, mais après avoir démêler l’intéressante histoire du bateau et du passage secret.

***

Une légère brume flottait au niveau du sol, cachant le disgracieux spectacle des restes de nourriture de la veille. Un coq fit entendre son chant. L’habituelle fébrile agitation matinale n’était pas présente, mais quelques villageois sortaient déjà, soucieux de rendre leur ville propre.

Jane fut réveillé par les cris de plusieurs paysans. Elle descendit les marches quatre à quatre, curieuse de voir ce qui se passait. N’importe quoi qui saurait la tirer de sa tristesse était le bienvenu. Elle pouffa de rire en voyant que trois paysans tentait de faire sortir Skrilf du village en le tenant par les bras. Dans sa positon en croix, il protestait vivement.
-Je vous le dis, je ne l’ai pas manger, votre poulet divin, il était déjà comme ça quand je l’ai trouvé! Ça devait être des chats, un hibou, un Dodongo, peut-être. La carcasse était déjà là!
-Les Dodongo ne sortent pas de leur caverne, tu devrais le savoir, tu cohabitait avec eux, avant.
-Et ce n’est pas un poulet divin, mais une cocotte sacrée! Surveille ta bouche impure! renchérit un autre.
-Une cocotte? C’est comme ça que vous appeler votre volaille? J’me serais attendu à moins vulgaire de la part de personnes fanatiques dans votre genre.
-Non, c’est le vrai terme! rechigna celui vers qui la remarque était dirigée.
-Messieurs, messieurs, excusez la conduite de mon ami Skrilf, il avait probablement trop bu hier soir. De plus, il n’est pas familier avec les coutumes, s’il vous plait, relâcher-le.
La voix provenait de l’auberge. Link dépassa Jane qui avait cessé de rire. Elle le regarda la dépasser sans un regard pour aller aider Skrilf. En fixant son dos, les larmes lui montèrent de nouveau aux yeux. La combattante les refoula. En constatant que le Héros du Temps avait déjà préparé sa monture, elle décida d’aller prendre son cimeterre et ses effets personnels dans sa chambre. Lorsqu’elle dévala l’escalier, elle se heurta contre Link, qui bloquait le passage.
-Ah… pardon de vous avoir brusqué, s’excusa timidement Jane.
-Non, c’est à moi de m’excuser. Tu n’as pas à me vouvoyer, tu sais.
-Je sais…
-J’ai honte de la manière dont je me suis conduit hier soir.
-Honte? Et moi donc…
-Je tiens à m’excuser, sincèrement, je me suis conduit en imbécile. Peut-être est-ce parce que c’est la première fois que l’on a de la tendresse à mon égard. J’ai eu une vie de souffrance, et j’ai mal réagi. Je te prie une dernière fois de me pardonner, je suis le seul fautif.
Elle aurait voulu répondre plus tard, y penser, mais c’était le genre de demande auxquelles il faut répondre sur le coup. Elle n’aurait toléré qu’un froid s’installe entre eux sachant qu’elle aurait pu l’empêcher. Elle répondit le plus spontanément possible.
-Toi aussi, pardonne-moi.
Une larme dévala sa joue. Link l’essuya doucement avec son doigt. Sous le coup de l’émotion, Jane s’effondra contre Link, qui la tint dans ses bras. Redoutant de faire la même erreur, elle voulu se retirer, mais Link la retint doucement. Ils restèrent un moment ainsi, collés l’un contre l’autre, Link lui frictionnant amicalement le dos, en plein milieu de l’escalier de l’auberge. Un murmure pénétra dans l’oreille de Jane.
-Merci.
« Merci pour quoi? » pensa Jane, « Merci pour lui avoir pardonné? Merci pour lui avoir témoigné de la tendresse? Merci pour quoi? »
Elle ne dit rien, elle ne pensa à rien, elle fit abstraction de tout et savoura cet instant qui ne risquait pas de se reproduire de sitôt.
-C’est moi qui te remercie.

Au loin, Skrilf, qui attendait aux portes de la ville, beuglait :
-Dépêchez-vous! Y’a rien à manger à l’extérieur de la ville, même pas une de leur volaille! J’ai faim!
-Je crois qu’il est temps d’y aller, murmura Link.
-Oui, approuva Jane dans un soupir.
Jane sortit la première, laissant Link payer les chambres. Lorsqu’il la rejoint, il avait déjà dilapidé le reste de son argent sur une deuxième monture.
-Et bien il était temps que vous arriviez, ça fait plus d’un quart d’heure que j’attends!
-Skrilf, calme-toi. Tiens, je t’ai acheté un cheval. Et ce n’est pas pour manger, est-ce clair?
-Oui, tant qu’on quitte cet endroit, je ferai ce que tu veux.
-Alors commence par faire descendre cet escalier de pierre à ton destrier.
Il désigna les marches qui menaient aux plaines. Epona, elle, sauta aisément par dessus, mais le Lizalfos avait bien plus de difficultés : après quinze minutes d’effort collectif, il n’était toujours pas descendu.
-Je déteste ce canasson, il a un nom?
-Non, je ne crois pas.
-Et bien maintenant il s’appèle Tête-de-Mule.
-Euh… tu es sûr que tu veux baptiser ton cheval avec ce nom stupide, demanda Jane.
-Oui, il lui va très bien.
Comme pour le contredire, « Tête-de-Mule » imita Epona en sauta au pied des escalier.
-Tu vois! Il est têtu comme une mule, il mérite son nom!
-N’empêche que c’est tout de même un nom ridicule.
Link tendit sa main à Jane, qui la saisit avec force pour se hisser sur la jument.
-Quoi? Vous me laisser mater ce cabochard tout seul? Je m’en souviendrai!
Les deux autres pouffèrent de rire.
-Alors, qu’est-ce qu’on fait, maintenant? demanda la princesse de Fhevyut.
-Et bien nous je dois rencontrer la princesse Zelda pour lui remettre le parchemin et aussi pour ça.
Il sortit de sa poche la sphère dorée qu’Eltrof lui avait donné.
-C’est ça qui doit guérir la plaie de Ruto, la princesse des Zora. Il y a trop longtemps que je ne l’ai pas vu, j’espère qu’elle vit toujours. Seul Zelda pourra activer le pouvoir de cette chose, il est donc prioritaire d’aller voir la princesse.
-Je crois que nous devrions aller voir Ruto d’abord. Nous devons lui résumer les évènements, et s’informer de son état. Enfin, c’est toi qui décide.
-Tu as raison, cette destination est beaucoup plus proche. Mais nous devons faire vite.
Ils partirent donc vers le domaine Zora. Jane, ayant entendu le nom de Ruto dans l’énumération de Darunia, se doutait bien qu’elle allait encore en découvrir plus sur la vie sentimentale de Link. Elle se jura d’être plus forte face à ces faits déstabilisants. Elle s’était réconcilié avec Link et ne voulait pas se le mettre à dos de nouveau.

***

Dans sa tour de glace, le seigneur Rosular se rongeait les ongles. Il angoissait depuis la veille, lorsqu’il avait apprit la terrible nouvelle. Son regard passait nerveusement des tête d’ours blancs empaillées au tapis en peau d’ours blanc en passant par les replis de sa cape en fourrure d’ours blanc. Toute cette blancheur immaculée, elle disparaîtrait bientôt, car il était de retour. Sa barbe bouclée frémissait tellement il était anxieux. Sa tignasse blonde n’était plus qu’une éponge emplie de sueur. Dans la salle des trônes, il était seul, les autres membres de la famille partis en voyage ou occupés à autre chose. Son trône était positionné dos au vitrail bleuté qui donnait sur la ville, en contrebas. Face à son trône se trouvait la porte de la Salle du Conseil. Entre les deux, alignés contre les murs, d’autres trône attendait patiemment leurs occupants. Tout ces sièges luxueux disparaîtraient bientôt, car il était de retour. La porte de la salle s’ouvrit brusquement. Rosular tressauta sur son trône, mais se calma un peu en voyant que c’était sa fille cadette, Elyane, qui lui apportait son repas.
-Papa, tu es beaucoup trop tendu, Kazhar t’a mentit pour se rapprocher du pouvoir, c’est dans ses habitudes que de te manipuler. Il n’a pas plus de pouvoir magique qu’une mouche. Tiens, mange et détends-toi, les autres viendront bientôt nous rejoindre et nous pourrons suggérer tes idées d’expansion.
-C’est ton frère qui m’inquiète. Ce jeune ambitieux est partit avec le peu de soldats, si on peut appeler ainsi ces bon à rien, que nous possédions et mes propres frères et sœurs sont tous occupés à gérer leur domaine. D’ailleurs, avec leurs projets de financement, ils ne cherchent qu’à escroquer les citadins. Si ton frère était là, il serait volontaire pour aller le combattre, même s’il sait que ce serait du suicide. Les autres ne sont que des couards, protégés dans la citadelle de glace. C’est ce qu’ils pensent, un vulgaire glaçon va les protéger du spectre. Mais pour qui ils se prennent, je devrait gouverner seul comme à Hyrule où à Fhevyut, seul roi du royaume, pas de cette fichue aristocratie. Je savais que ce système démocratique ne valait rien, quand ton arrière-grand-père à instauré ça!
-Du calme, du calme. Il va revenir, il va leur régler leur compte, aux tantes et aux oncles sans scrupules, tu verra. Et je te l’ai dit, le spectre n’est peut-être pas réellement de retour. En attendant, j’ai du apprêter moi même la viande de l’ours que j’ai chassé et tu va le manger, sinon je pique une colère.
-Comment peux-tu être si optimiste, Elyane?
-C’est dur pour moi aussi, papa, mais je m’efforce de me battre. Mon frère et toi, c’est tout ce qui me reste, ma seule vraie famille. Les autres sont entièrement corrompus par les biens matériels.
-Merci, tu me remonte le moral, Elyane.
-Il n’y a pas de quoi, papa.
Elle quitta la salle, et refermant la porte, elle murmura pour elle même :
-Kermus, reviens vite, nous avons besoin de toi.

exelent, mais une faute qui saute au yeux : "nous je dois" (link a la sortit de cocorico) mais sinon, toujours aussi bien ;)

pas mal
aussi bien que les autres ^^

oups, petite erreure que je vais corriger ^^

Chapitre intéressant et bien écrit

très bon chapitre, super, on veut la suite ect...

mouais, vive Eliwood et ses long commentaires
Mais merci beaucoup pour ces signes de vie ET compliments

Me voila Malade !! !
Bon alors j´ai relevé quelques fautes pour le premier pharagraphe :
"la prenant en flagrant délit" "la" a la place de "le"
"Bon soir" Bon jour la faute

Pour le reste globalement c´est toujours aussi bien mais :
Dans le passage ou Link va aider Skriff, Link se retrouve dans l´éscalier juste devant Jane alors qu´il était il y a trente seconde en train de régler le probléme avec Skriff et les villageois.
Link se trouvait devant Jane :"Link dépassa Jane", "En fixant son dos" puis Jane se retourne et Link se trouve de nouveau devant elle "elle se heurta contre Link, qui bloquait le passage.". Bizar mais peut étre est ce moi qui est mal saisi la situation.
Sinon le retournement de Link est peut étre un peu rapide (je parle là du retournement mental).

Quelques truc bien :
Une petite dose d´humour bienvenu.
Tu fais intervenir deux nouveau personnage dans ta fic : elle commence à devenir conséquente, c´est cool.
Tu te débrouille pour accentuer le suspens avec ce mystérieux fantome.
Tu a repris ton idée de la cocotte sacré

Bon, ce passage brouillé, la avec link, je te l´explique. Jane descend, sort et est dos a la porte de l´auberge.
Ensuite, Link sort de l´auberge et passe a coté de Jane, interpellant Skrilf.
Jane regarde son dos.
Jane rentre, va dans sa chambre, et lorsqu´elle redescend, Link se tient dans l´escalier, voulant mettre un terme a l´insuportable suplice du silence.

Rendez vous compte, pour le passage des nouveaux perso: J´ai commencé a composer ce passage en classe de francais, pour une porduction écrite a theme libre Et j´ai réussi a avoir un B (c´était évaluer sur le francais) et le prof a remarqué mon originalité.