Bon bah je refait e test de Shadow Warrior et de Witchaven II

C'est déjà mieux

Par contre, ton test est trop court, comme ça a déjà été souligné. Mais ce n'est pas trop grave puisque tu peux (dois) davantage développer certains points. Notamment les combos et le mode versus.

En détails :

- "Parmi eux comptent Yotshimitsu, Nina Williams ou même Jack."

Ce serait pas mal de décrire très brièvement ces trois exemples. "ou même Jack". Pourquoi "ou même" ? Là tu me parles d'un illustre inconnu (pour moi), comme si c'était le président des Etats-Unis.

- "Contrairement à eux, d'autres y partcipent au nom de la vengeance, c'est le cas"

Remplace la dernière virgule par un point. Sinon ton deuxième paragraphe est nettement meilleur que le pavé sur le scénario que j'ai lu hier. Sans rien connaître au jeu, ça me parle déjà plus.

- "l'arcade et le versus. Ce dernier"

Détail : j'avais aussi tendance à abuser de cette tournure : "ce dernier". Mais en fait, c'est vraiment moche. C'est mieux d'essayer d'éviter ce genre de tournure mais si tu n'as vraiment pas le choix, préfère "celui-ci" à "ce dernier". Ca veut dire la même chose mais c'est moins lourd.

- "Ce dernier donne la possibilité d'affronter sur le même écran un autre joueur."

Je l'ai déjà dit au début mais ça manque d'approfondissement. Il s'agit quand même d'un des deux seuls modes du jeu et le seul mode multi...

- "L'arcade, quant à lui, est un jeu en solo où il faut combattre pendant neuf niveaux différents personnages."

"pendant neuf niveaux différents personnages", c'est-à-dire ? Niveau = aire de combat ? Enfin, de toute façon, utiliser un pronom de temps en parlant d'un lieu, c'est bizarre. "à travers neuf niveaux..." ? D'ailleurs, en relisant la phrase, le "il faut", c'est aussi moche. Evite.

- "La fin est caractérisée par une scène en image de synthèse"

Tu as déjà parlé d'images de synthèse pour l'intro. En plus d'être un détail inutile, il s'agit donc d'une répétition.

- "Quelque soit le type de jeu choisi, le principe demeure le même : Deux participants (dont vous) s'affrontent sur un terrain, le but étant de vider complètement la barre de vie de son adversaire à coup de poing et de pied avant que le temps ne soit écoulé."

Déjà, scinde la phrase en deux. Elle est beaucoup trop longue (rappelle-toi le guide sur ce forum : des phrases courtes). Ensuite, il n'y a pas de majuscule après des double points. et la parenthèse "dont vous" est superflue. On se doute bien qu'on fait partie des combattants.

- "Pendant ces joutes, essayez de ne laisser aucun répit à votre conccurent grâce aux combos déclenchés suite à un enchainement de touches"

Le "essayez" casse le rythme de la phrase. Il vaut mieux l'enlever. Et comme je l'ai dit, tu n'expliques pas les combos. Or c'est indispensable pour ce genre de jeu.

- "L'utilisation des prises est aussi très pratique, elles permettent de mettre à terre très facilement vos ennemis."

Je te conseille de remplacer la virgule par "car".

- "Vous l'aurez compris, le jeu est accessible à tout le monde"

Bof, non. Ce que tu dis avant ne permet pas de comprendre que le jeu est accessible.

- "le jeu est accessible à tout le monde. Il n'y a aucune technique difficile à effectuer, tout est simple pour que tout le monde se régale."

Répétition de "tout le monde".

- "Techniquement parlant, Tekken est criant de réalité pour l'époque."

"réalisme" :p

- "Le jeu détient des graphismes soignés et détaillés."

Toujours un problème au niveau du verbe. "détient" ne colle pas dans ce cas-ci. "a", tout bêtement. Sinon, "affiche", "contient", "arbore", "est doté" mais pas "détient".

- "Tout compte fait, le succès de Tekken repose sur sa très bonne maniabilité, son aspect technique irréprochable et enfin et surtout sur son gameplay nerveux"

Pourquoi "Tout compte fait" ? Comme si le succès du jeu était du à autre chose mais finalement non ?

- Concernant le pavé de notes, mêmes remarques que hier.

Conclusion

Dans l'ensemble, c'est meilleur. Les phrases sont généralement mieux construites, les idées sont mieux expliquées et donc le test est déjà plus accessible à tout le monde.

Par contre, le test est trop court et manque d'approfondissements. Tu peux donc pallier ces deux problèmes facilement en allant plus loin dans tes explications. Ou en en fournissant là où il en manque (le mode versus et les combos par exemple).

Il faut aussi revoir le pavé de notes. Il y a des fautes inadmissibles. "oreil" par exemple. D'ailleurs je me demande même si des fautes aussi énormes ne mènent pas directement vers un refus...

PS : Ce coup-ci je n'ai pas atteint la limite de smileys. Ca veut dire qu'il y a moins de choses à redire

Attention, MàJ de mon test ! Gros pavé en vue

Après les excellents jeux de baston de Midway (Mortal Kombat), de Capcom (Street Fighter) et de SEGA (Virtua Fighter), Namco se lance à son tour dans l'aventure en créant Tekken. Ce dernier, apparu sur bornes d'arcade en 1994, adopte tout comme Virtua Fighter, son concurrent, des graphismes en 3D. Mais quel est le secret de Tekken pour être une aussi franche réussite ? Nous allons répondre à ceci en s'attardant sur son portage sur PS1 en 1995.

Tekken se différencie déjà très nettement de Street Fighter et de Mortal Kombat. En effet, le soft est affiche des modèles entièrement en 3D, tandis que les jeux de Capcom et Midway se contentent d'être en 2D. De plus, le jeu n'est pas gore. Il n'y a pas de giclées de sang et de démembrements barbares comme dans Mortal Kombat mais nous avons le droit à la place à des jolis halos de lumières, éclairs et nuages de fumée de toutes les couleurs. Le soft s'adresse donc déjà à un public plus large. Tekken est aussi accessible à tout joueur, les différents coups, prises et combos sont très simples à effectuer. Pas besoin de faire des enchainements monstrueux et techniques pour pouvoir atomiser votre adversaire. Mais son véritable conccurent est sans aucun doute le créateur du jeu de baston en 3D, qui n'est d'autre que Virtua Fighter, le soft de SEGA. Là encore, Tekken parvient à séduire le public en ayant des graphismes beaucoup plus fins, détaillés et surtout réalistes que son conccurent. En bref, le jeu de Namco réussi à se faire une place parmi les grands jeux du genre en proposant des graphismes soignés et par un gameplay accessible à tout le monde. Et cela se voit puisque le premier opus sur PS1 de la maintenant très célèbre saga s'est vendu à des millions d'exemplaires à travers le monde.

Heihachi Mishima, un maître des finances, organise un tournoi appelé le King of Iron Fist Tournament. Le prix mis en jeu est son entreprise, la Mishima Zeibatsu. De nombreuses personnes, intéressées par ce gros lot s'inscrivent. Parmi eux comptent Yotshimitsu, un puissant samourai en armures lourdes, King, un catcheur mexicain portant un masque de tigre et même Jack, un robot russe doté d'un extrême force et intelligence. Contrairement à eux, d'autres y partcipent au nom de la vengeance. C'est le cas notamment de Kazuya Mishima, le fils maltraité par son père. Il fut effectivement projeté avec violence par l'organisateur de la compétition dans un ravin, celui-ci étant rongé par la haine. En tombant, il se heurta à des rochers, cela lui fit une énorme blessure sur la poitrine du alors jeune Kazuya mais heureusement, il réussi à survivre.

Bref, Tekken, après une jolie introduction en images de synthèse présentant quelques participants de la compétition, nous propose deux modes de jeu : le mode arcade et le mode versus. Quelque soit le type de jeu choisi, le principe demeure le même après avoir choisi un des dix-huit personnages du jeu : Deux participants (dont vous) s'affrontent sur un terrain. Le but est de vider complètement la barre de vie de son adversaire à coup de poing et de pied avant que le temps ne soit écoulé. Si le combat n'est pas terminé avant le que le compte à rebours ne soit à zéro, la personne ayant le moins de vie est déclaré perdant du round. Pendant ces joutes, il faut tâcher de ne laisser aucun répit à votre conccurent. Le moindre temps mort laisse une chance de riposter pour votre adversaire, alors il faut vraiment se déchainer en enchainant les différents coups, prises et combos. Ceux-ci se déclenchent en appuyant sur plusieurs touches rapidement. Il permettent de donner des coups plus rapides et surtout plus devastateurs. Par exemple, si vous choisissez Kazuya, l'enchainement rapide des boutons carré , triangle, carré effectue trois coups de poing non seulement fulgurants mais aussi puissants. L'utilisation des prises est aussi très pratique car elles permettent de mettre à terre très facilement vos ennemis. Notons qu'elles s'élèvent au nombre de deux par personnage et sont toutes différentes. Concrètement, Yotshimitsu peut plaquer des personnes à terre de manière très brutale. De même King ne laisse pas indemne son adversaire en lui frappant la tête contre son genou. Il y a aussi possibilité de se relever rapidement tout en infligeant des blessures à l'ennemi ou alors de fondre sur l'ennemi soit pour l'écraser sous la masse masculaire de votre personnage soit pour tenter de le faire chuter en lui faisant une sorte de tacle glissé.

Voyons sans plus tarder ce que nous réserve les deux modes de jeu. Le mode versus donne la possibilité d'affronter sur le même écran un autre joueur. Le mode arcade, quant à lui, est un jeu en solo où il faut traverser neuf stages (niveaux). Pendant le périple, il faut affronter des participants touts aussi puissants les uns que les autres. Prenons l'exemple de King, celui-ci doit pulvériser neuf personnages adverses dont la redoutable Michelle, une jeune américaine capable de se tordre dans tout les sens pour vous abattre. Notre catcheur doit aussi affronter son maître pendant le tournoi avant d'accéder à la dernière étape : vaincre Heihachi Mishima. Notez que l'étape finale est commune à tout le monde. Peu importe le personnage séléctionné au début, le dernier combattant à éliminer reste Heihachi. Une fois abattu, une scène se déclenche pour montrer ce que font les différents personnages. Vous débloquez aussi de nouveaux guerriers que vous aurez battu au préalable. Notons que l'on peut régler le nombre de rounds, le chronomètre et la difficulté pour tout mode grâce aux options. Profitez de cela pour donner plus de piment à vos combats et les rendre plus longs.

Techniquement parlant, Tekken est criant de réalisme pour l''époque. Le jeu détient des graphismes soignés et détaillés. De plus, la bande-son est de très bonne qualité, les bruitages sont excellents et les thèmes musicaux vont donner beaucoup de rythme à vos combats. En bref, un très bon portage sur PS1 que tout amateur de jeux de baston se doit de posséder.

Les notes :

Graphismes 17/20 : Tekken dispose de très bons modèles 3D regorgeants de détails. Les animations sont très fluides et les divers effets associés aux coups sont très réussis.

Jouabilité 18/20 : Le soft est accessible à tout le monde. Un débutant ne trouvera pas les combos très compliqués à réaliser et cela même pour les prises. Côté maniabilité c'est parfait.

Durée de vie 14/20: Comptez vingt minute par personnage pour finir le mode arcade. Il n'y a rien à débloquer si ce n'est des combattants supplémentaires. Néanmoins, le jeu dispose d'une très bonne rejouabilité et le mode versus vous donnera l'occasion de défier vos amis ou votre famille.

Bande-son 17/20 : Les thèmes musicaux donnent du rythme à vos combats éffrénés et les bruitages sont d'excellente facture.

Scénario : 12/20 Il y a un semblant de scénario qui donne un sens aux successions de combat qui vous attendent.

Note générale 16/20 : On comprend pourquoi Tekken a eu autant de succès dans les années 90. Il est à portée de main de tous, simple à jouer et amusant. Les graphismes sont excellents tout autant que la bande-son qui donne beaucoup de vie à vos combats. Même après 17 ans, le jeu reste toujours aussi nerveux et acceptable à l'oeil et à l'oreille.

Auteur : Zizzlamazon

J'ai repéré des répétitions

"Même après 17 ans, le jeu reste toujours aussi nerveux et acceptable à l'oeil et à l'oreille. "

Euh n'oublie pas que ton test pourra être lu dans 1,2 ou même trois ans donc cette tournure n'est pas très conseillée.

Ok ok

Nettement meilleur.

Il y a encore des lourdeurs et des mauvaises tournures mais on est loin de la première version

En détails :

- "Après les excellents jeux de baston de Midway (Mortal Kombat), de Capcom (Street Fighter) et de SEGA (Virtua Fighter), Namco se lance à son tour dans l'aventure en créant Tekken. Ce dernier, apparu sur bornes d'arcade en 1994, adopte tout comme Virtua Fighter, son concurrent, des graphismes en 3D. Mais quel est le secret de Tekken pour être une aussi franche réussite ? Nous allons répondre à ceci en s'attardant sur son portage sur PS1 en 1995."

Très bon

- "En effet, le soft est affiche des modèles entièrement en 3D, tandis que les jeux de Capcom et Midway se contentent d'être en 2D."

Il y a un verbe en trop au début :p Sinon, ne défends pas trop ton jeu. Mortal Kombat est tout de même le premier jeu de baston à utiliser des vrais acteurs pour le jeu. Et d'après les images que j'ai vues, Tekken ne m'a pas l'air fort différent de MK...

- "Il n'y a pas de giclées de sang et de démembrements barbares comme dans Mortal Kombat"

Ce qui n'est pas forcément un avantage. Le gore, c'est un peu ce qu'on recherche dans ce genre de jeu :p

- "Le soft s'adresse donc déjà à un public plus large."

Très bonne conclusion

- "Pas besoin de faire des enchainements monstrueux et techniques pour pouvoir atomiser votre adversaire."

Plus loin tu nous donnes un exemple qui est plus compliqué à faire que la majorité des techniques de MK...

- "Mais son véritable conccurent est sans aucun doute le créateur du jeu de baston en 3D, qui n'est d'autre que Virtua Fighter, le soft de SEGA."

Il y a un problème de logique. Tu parles du concurrent du jeu en disant que c'est un créateur de jeu ? Tu devrais supprimer ça.

- "Là encore, Tekken parvient à séduire le public en ayant des graphismes beaucoup plus fins, détaillés et surtout réalistes que son conccurent."

Répétition de "concurrent". En plus tu parles de nouveau des graphismes à la fin. Parle-en une seule fois.

- "Parmi eux comptent Yotshimitsu, un puissant samourai en armures lourdes, King, un catcheur mexicain portant un masque de tigre et même Jack, un robot russe doté d'un extrême force et intelligence."

Là c'est beaucoup mieux. Le lecteur peut se faire une vague idée des personnages et ton "et même..." est déjà mieux justifié.

- "C'est le cas notamment de Kazuya Mishima, le fils maltraité par son père. Il fut effectivement projeté avec violence par l'organisateur de la compétition dans un ravin, celui-ci étant rongé par la haine. En tombant, il se heurta à des rochers, cela lui fit une énorme blessure sur la poitrine du alors jeune Kazuya mais heureusement, il réussi à survivre."

Et tu retombes dans l'erreur... Arrête-toi à la première phrase. Le reste est inutile et barbant, franchement...

- "Bref, Tekken, après une jolie introduction en images de synthèse présentant quelques participants de la compétition, nous propose deux modes de jeu : le mode arcade et le mode versus. Quelque soit le type de jeu choisi"

Le problème de ce paragraphe, c'est que tu l'introduis avec les modes de jeu et puis tu embrayes directement sur le gameplay, pour reparler des modes dans le paragraphe suivant. Ca, ça ne passe pas. Soit tu parles des modes, soit du gameplay mais tu ne fais pas les choses à moitié.

- "Deux participants (dont vous) s'affrontent sur un terrain."

J'ai déjà pointé ces deux problèmes (pas de majuscule après un double point et la parenthèse inutile) la dernière fois.

- "Le but est de vider complètement la barre de vie de son adversaire à coup de poing et de pied avant que le temps ne soit écoulé."

Je parlerais des combos et des prises à ce moment-là. Autant décrire directement tous les moyens pour attaquer l'autre.

- "Pendant ces joutes, il faut tâcher de ne laisser aucun répit à votre conccurent"

"il faut", évite. C'est la même chose que "essayer". Tu peux modifier ça très simplement : "Pendant ces joutes, tâchez de ne laisser aucun répit à votre concurrent." C'est plus fluide et donc plus agréable lors de la lecture.

- "Par exemple, si vous choisissez Kazuya, l'enchainement rapide des boutons carré , triangle, carré effectue trois coups de poing non seulement fulgurants mais aussi puissants."

Donner la combinaison de touches n'est pas utile.

- "Notons qu'elles s'élèvent au nombre de deux par personnage et sont toutes différentes."

Je n'avais pas relevé ça lors de la précédente correction. Mais pourquoi tu ne donnes qu'un seul exemple par personnage ? Autant parler des deux prises. Quitte à ne citer qu'un personnage.

- "Il y a aussi possibilité de se relever rapidement tout en infligeant des blessures à l'ennemi"

C'est-à-dire ?

- "Le mode versus donne la possibilité d'affronter sur le même écran un autre joueur."

Manque toujours d'approfondissement. A la limite, donne ton avis : c'est mieux que le solo ? Ca a un impact sur la durée de vie ? C'est mal foutu ?

- "une jeune américaine capable de se tordre dans tout les sens pour vous abattre"

"contorsionner", c'est mieux que "tordre".

- "Notre catcheur doit aussi affronter son maître pendant le tournoi avant d'accéder à la dernière étape : vaincre Heihachi Mishima."

Pas besoin de verbe avant "Heiachi truc".

- "Une fois abattu, une scène se déclenche pour montrer ce que font les différents personnages."

Pas clair. Justement, qu'est-ce qu'ils font ?

- "Vous débloquez aussi de nouveaux guerriers"

Guerriers ? C'est un jeu de combat, pas de guerre.

- "Le jeu détient des graphismes soignés"

Ca ne passe vraiment pas =/

- "Il n'y a rien à débloquer si ce n'est des combattants supplémentaires."

En fait, c'est bizarre ça. Dis plutôt "Quelques combattants supplémentaires peuvent être débloqués." Le lecteur ne s'attend pas spécialement à ce qu'on puisse débloquer des trucs alors pourquoi utiliser une tournure négative pour enfin de compte dire qu'il y a des machins à débloquer ?

Conclusion :

C'est beaucoup mieux. Il y a encore quelques problèmes mais plus légers et donc plus faciles à régler.

Par contre, je te conseille d'utiliser Word ou un logiciel qui intègre un correcteur orthographique. Il y a beaucoup de fautes et la moindre des choses, c'est d'envoyer un test exempt de fautes d'orthographe.

Tanil Merci, je tâcherai de corriger tout cela Mais ça fait plaisir de voir que c'est pas si chaotique que ça Pour ton conseil sur le plan, j'y avait pensé mais je me suis dit que j'avais pas envie de faire du pitoyable rafistolage alors j'ai laissé comme ça. Mais j'en était sûr !

PS : Tu as eu la réponse pour ton dossier ?

Merci.

Et non, je n'ai pas reçu de réponse.

Bon, MàJ de mon test de Tekken, petite musique au passage ( Sulfur - Slipknot) ==> http://www.youtube.com/waatch?v=PAAvNmoqDq0&ob=av2e

Bonne lecture ! Et merci mille fois à tout ceux qui m'aident pour que je puisse espérer un jour avoir un test accepté par la rédaction !

Après les excellents jeux de baston de Midway (Mortal Kombat), de Capcom (Street Fighter) et de SEGA (Virtua Fighter), Namco se lance à son tour dans l'aventure en créant Tekken. Ce dernier, apparu sur bornes d'arcade en 1994, adopte tout comme Virtua Fighter, son concurrent, des graphismes en 3D. Mais quel est le secret de Tekken pour être une aussi franche réussite ? Nous allons répondre à ceci en s'attardant sur son portage sur PS1 en 1995.

Tekken se différencie déjà très nettement de Street Fighter et de Mortal Kombat. En effet, le soft dispose d'une nouvelle technologie utilisée la première fois sur Virtua Fighter en 1993 que les jeux de Capcom et Midway ne possèdent pas encore : la 3D. De plus, avantage comme inconvénient, Tekken n'est pas gore. Il n'y a pas de giclées de sang et de démembrements barbares comme dans Mortal Kombat mais nous avons le droit à la place à des jolis halos de lumières, éclairs et nuages de fumée de toutes les couleurs. Le soft s'adresse donc déjà à un public plus large. Tekken est aussi accessible à tout joueur, les différents coups, prises et combos sont très simples à effectuer. Pas besoin de faire des enchainements monstrueux et techniques pour pouvoir atomiser votre adversaire.

Heihachi Mishima, un maître des finances, organise un tournoi appelé le King of Iron Fist Tournament. Le prix mis en jeu est son entreprise, la Mishima Zeibatsu. De nombreuses personnes, intéressées par ce gros lot s'inscrivent. Parmi eux comptent Yotshimitsu, un puissant samouraï en armures lourdes, King, un catcheur mexicain portant un masque de tigre et même Jack, un robot russe doté d'un extrême force et intelligence. Contrairement à eux, d'autres y participent au nom de la vengeance. C'est le cas notamment de Kazuya Mishima, le fils maltraité par son père.

Bref, Tekken, après une jolie introduction en images de synthèse présentant quelques participants de la compétition, nous propose deux modes de jeu : le mode arcade et le mode versus. Le mode arcade est un jeu en solo qui propose de traverser neuf stages (niveaux). Pendant le périple, il est impératif d'affronter des participants tous aussi puissants les uns que les autres. Prenons l'exemple de King, celui-ci doit pulvériser neuf personnages adverses dont la redoutable Michelle, une jeune américaine, capable de se contorsionner dans tout les sens pour vous abattre. Notre catcheur doit aussi battre son maître, Armor King, pendant le tournoi avant d'accéder à la dernière étape : Heihachi Mishima. Notez que l'étape finale est commune à tout le monde. Peu importe le personnage sélectionné au début, le dernier combattant à éliminer reste Heihachi. Une fois abattu, une scène se déclenche montrant une fin différente pour chaque personnage. Vous débloquez aussi de nouveaux participants que vous avez battu au préalable. Le mode versus, quant à lui, propose un mode à deux joueurs où ceux-ci doivent s'éliminer. Un mode vraiment jouissif permettant de vous mesurer à vos amis ou à votre famille. De plus, le versus est nettement plus intéressant que le mode arcade puisque l'on peut régler l'handicap. Ce dernier sert à donner plus ou moins de résistance aux coups encaissé. En clair, vous passerez beaucoup plus de temps en versus qu'en arcade si vous avez quelqu'un pour jouer avec vous. Notons que l'on peut régler le nombre de rounds, le chronomètre et la difficulté pour tout mode grâce aux options. Profitez de cela pour donner plus de piment à vos combats et les rendre plus longs.

Quelque soit le type de jeu choisi, le principe demeure le même après avoir choisi un des dix-huit personnages du jeu : deux participants s'affrontent sur un terrain. Le but est de vider complètement la barre de vie de son adversaire à coup de poing et de pied avant que le temps ne soit écoulé. Si le combat n'est pas terminé avant le que le compte à rebours ne soit à zéro, la personne ayant le moins de vie est déclaré perdant du round. Pendant ces joutes, tâchez de ne laisser aucun répit à votre concurrent. Le moindre temps mort laisse une chance de riposter pour votre adversaire, alors déchainez vous et soyez sans merci. Utilisez toutes les attaques proposées par le jeu : coups de poing/pied, prises et combos. Ceux-ci se déclenchent en appuyant sur plusieurs touches rapidement. Ils permettent de donner des coups plus rapides et surtout plus dévastateurs. Par exemple, si vous choisissez Kazuya, l'enchainement succinct de trois boutons pulvérise votre ennemi en lui mettant de puissants et fulgurants coups de poings. L'utilisation des prises est aussi très pratique car elles permettent de mettre à terre très facilement vos ennemis. Notons qu'elles s'élèvent au nombre de deux par personnage et sont toutes différentes. Concrètement, King ne laisse pas indemne son adversaire en lui frappant la tête contre son genou. Le catcheur effectue aussi une prise de catch qui fait hurler de douleur ses victimes. Il y a également possibilité de se relever rapidement tout en infligeant des blessures en vous projetant pieds en avant vers votre concurrent. Utilisez aussi le sprint à bon escient pour fondre sur l'ennemi soit pour le plaquer très sèchement, soit pour le faire tomber à l'aide d'un tacle glissé bien placé. Bref, vous avez largement de quoi faire pour vous amuser.

Techniquement parlant, Tekken est criant de réalisme pour l'époque. Les animations sont très fluides et bien faites. Les graphismes affichés sont d'une très grande beauté et les personnages regorgent de détails. Les environnements dans lesquels vous jouez sont très variés On combat par exemple à côté des ruines du Parthénon, dans un désert, ou même sur une plage. Il y en a pour tout les goûts. D plus, un thème est dédié pour un environnement, donnant beaucoup de rythme dans les affrontements. Les bruitages, eux, sont aussi d'excellente facture. On ressent réellement la puissance du coup quand quelqu'un est projeté violemment à terre à cause d'un puissant coup de poing. En bref, le jeu de Namco réussi à se faire une place parmi les grands jeux du genre en proposant des graphismes soignés et par un gameplay accessible à tout le monde. Et cela se voit puisque le premier opus sur PS1 de la maintenant très célèbre saga s'est vendu à des millions d'exemplaires à travers le monde.

Les notes :

Graphismes 17/20 : Tekken dispose de très bons modèles 3D regorgeant de détails. Les animations sont très fluides et les divers effets associés aux coups sont très réussis.

Jouabilité 18/20 : Le soft est accessible à tout le monde. Un débutant ne trouvera pas les combos très compliqués à réaliser et cela même pour les prises. Côté maniabilité c'est parfait.

Durée de vie 14/20: Comptez vingt minute par personnage pour finir le mode arcade. Il n'y a rien à débloquer si ce n'est des combattants supplémentaires. Néanmoins, le jeu dispose d'une très bonne rejouabilité et le mode versus vous donnera l'occasion de défier vos amis ou votre famille.

Bande-son 17/20 : Les thèmes musicaux donnent du rythme à vos combats effrénés et les bruitages sont d'excellente facture.

Scénario : 12/20 Il y a un semblant de scénario qui donne un sens aux successions de combats qui vous attendent.

Note générale 16/20 : On comprend pourquoi Tekken a eu autant de succès dans les années 90. Il est à portée de main de tous, simple à jouer et amusant. Les graphismes sont excellents tout autant que la bande-son qui donne beaucoup de vie à vos combats. On comprend maintenant pourquoi le jeu c'est vendu à des millions d'exemplaires à travers le monde, tout simplement parce que c'est un très bon jeu !

Auteur : Zizzlamazon

Alors ca avance Zizz ? Ton test est déjà beaucoup mieux
Encore un peu d'effort surtout dans la longueur et cela devrait passer

Bonne chance pour la suite !

Mon test de Kivi's Underworld vient d'être refusé et pourtant je suis enseignant de français à l'université, alors... Bref, ça n'est pas assez bien pour jeuxvideo.com.
Jugez par vous-mêmes si mon test est incompréhensible :
http://all-zebest.hautetfort.com/archive/2011/08/11/kivi-s-underworld.html

@ All zebest, quels motifs Jihem t'a fourni ?

salut blue-october comment tu vas ?

En effet j'avance très bien. Jihem m'a juste refusé le test pour un seul motif : le deuxième paragraphe lui plait pas trop. Je devrais avoir la réponse aujourd'hui

all_zebest Jeuxvideo.com veut des tests faciles à la compréhension, qui donnent ton avis sans trop le donner quand même et qui décrivent assez bien le jeu. Ce sont des choses que moi-même j'ai encore du mal à comprendre, mais j'en ai tiré des leçons grâce à des contributeurs qui ont été gentils de m'expliquer pourquoi mes tests étaient mauvais En général je faisait des phrases trop alambiquées et lourdes à lire, et j'avais quelque problème d'organisation, mais maintenant ça va mieux Hésite pas à poster tes tests refusés ici pour que les gens puissent t'aider

PS : Désoél pour les fautes j'écris parfois à l'arrache

All_zebest > J'ai lu ton test.
Bon ce que je peux dire c'est tout d'abord que la lecture n'est pas assez fluide (enfin pour ma part).
N'oublie pas que tu t'adresse à une cible plus jeune, qui ne prendra pas la peine de lire des pavés mélangés à des mots trop "compliqués".

Ensuite et ça n'engage que moi, les termes utilisaient sont beaucoup trop lourds.

Etant prof de français, le risque est de proposer un texte beaucoup trop scolaire.

Certaines phrases sont incompréhensibles, ça part dans tous les sens. Privilégier les phrases plus courtes au phrases longues interminables.

Pour finir il y'a trop de parenthèses.

Essayer au maximum de rester objectif et ne pas utiliser à foison le mot "nous" qui reste au final comme un "je"

Une fois de plus ce n'est que mon avis et je suis assez mal placé pour donner des leçons d'écritures à un prof mais c'est mon ressenti

Jihem as dû tu te donner son point de vu et son motif de refus

Bosse sur ces points et n'abandonne pas

all_zebest, on peut déjà pointer un problème : la longueur des phrases. Internet est un média simple et généralement efficace mais il n'est pas fait pour les longues phrases. Il vaut mieux privilégier des phrases plus courtes. Ensuite, l'utilisation de la première personne est proscrite : "je n’en dirai pas plus pour en laisser la découverte au joueur". Et par exemple, cette phrase est inutile. Autant directement passer à la suite sans préciser que tu n'en dis pas plus.

Le test me semble trop long aussi. La longueur idéale pour un test pour JVC, c'est entre 4500 et 6000 caractères (sans le pavé de notes). Il y a aussi trop de parenthèses et parfois trop de détails (notamment le passage sur le musicien qui a sorti un patch pour un autre jeu). Sinon point de vue vocabulaire, ça me semble correct.

Donc je pense que Jihem voudrait que tu condenses davantage ton test ? Point de vue construction de phrases et enchaînement d'idées, ça me semblait également bon

Ar4g0rn_S3B et Tanil ont tout dit

Courage n'abandonne pas

Sérieux qu'est-ce qui cloche ?

«Mon nom est Grondoval, et j'ai besoin de votre aide pour bouter les forces maléfiques qui sévissent. Sans votre soutien, la sorcière Cirae-Argoth plongera à nouveau le monde dans le chaos. Il faut me promettre de réduire à néant la malveillante pratiquante de la magie noire, même si je meurs pour cette noble cause. Alors, êtes-vous prêt à vous lancer dans cette périlleuse aventure ?»

Vous incarnez le chevalier Grondoval. Celui-ci de retour de son périlleux voyage dans l'île de Char, fête sa victoire contre la sorcière Illwhyrin dans son village. Le lendemain, notre homme, étonné, retrouve le village vide. Un peut plus tard, un dragon surgit des cieux et lui raconte la terrible nouvelle : les habitants ont étés capturés et massacrés par Cirae-Argoth, la soeur d'Illwhyrin. Le maître de la lame, furieux, rassemble son équipement et part hâtivement pour l'antre de la pratiquante de la magie noire. Le plan de la sorcière a donc fonctionné, Grondoval, rongé par la haine, vient dans son repère pour l'affronter. Mais il ne sait pas que bons nombres d'embûches l'attendent...

Witchaven II : Blood Vengeance, en tant que First Person Slasher, possède un but très simple : démantibuler tout ce qui passe. L'arsenal de départ est le suivant : épée longue, dague et sabre court. En croisant le fer pour la première fois, on remarque que le jeu est vraiment très violent. Effectivement, à chaque coup d'épée encaissé par l'ennemi, des projections de sang partent dans tout les sens. Une fois abattu, votre adversaire baigne dans une flaque de sang, dans un piteux état. Celui-ci laisse parfois une arme que l'on peut récupérer. Mais autant le dire de suite, la plupart des instruments de guerre que l'on ramasse sont ceux déjà présents sur la carte. Et pour tout vous dire, il y a largement de quoi s'amuser : massues à pointes, claymore, hallebarde, arc etc... Cerise sur le gâteau, si l'on parvient à trouver le bain magique, les armes en notre possession deviennent enchantées. De ce fait, la massue à pointes par exemple envoie des boules de feux sur vos ennemis, ou même encore la claymore les électrocute instantanément. Notons que les armes s'usent à force de frapper vos adversaires et finissent tôt ou tard par se casser. Armez vous jusqu'aux dents car vos opposants eux ne feront pas de quartier. Il sont très coriaces et ont tendance à s'acharner sur vous même après votre mort. Des chevaliers peuvent vous prendre par surprise et vous coincer dans un coin, vous laissant sans défense contre les pluies de flèches et de sorts envoyés par les différents mages et archers.

Pendant le périple, tâchez de trouver les clés dissimulées dans les quinze niveaux proposés par le soft. Elles vous donnent accès au pentagramme, objet indispensable pour finir un niveau. Une fois trouvé, courez au plus vite vers l'emplacement où il doit être inséré pour finir le niveau. Malheureusement, ce n'est pas si facile que ça. Le level-design est très labyrinthique, et comme si cela ne suffisait pas, des pièges très vicieux ont été mis en place. Prenez donc garde à ne pas vous empaler dans des pieux camouflés ou même encore à être brûlé vif par un des nombreux décors des donjons. Et pour pimenter davantage l'aventure, de nombreux démons, mages et chevaliers viendront vous rendre visite pour essayer de vous réduire en confettis. Même si le jeu propose quatre modes de difficulté allant de facile à très difficile, il reste tout de même réservé aux experts. Heureusement, les tableaux regorgent de nombreux items, tous aussi pratiques les uns que les autres. Cinq variétés de potions sont plus ou moins dissimulés dans les niveaux, vous pouvez en stocker neuf exemplaire de chaque sorte. Elles sont vraiment pratiques, la bleue permet de restaurer sa vie, la rouge de résister au feu, la verte de gagner de la force, la rose de devenir invisible et enfin la jaune de vous guérir du poison. Oui, certains adversaires, notamment les sorciers, peuvent vous empoisonner. Le mieux est donc de vite trouver un remède, à moins que vous ne teniez à mourir. Des sorts représentés sous forme de parchemins, peuvent être aussi pris sur le terrain. Ils sont très puissants et on divers effets. Certains pourront par exemple vous faire léviter, d'autres transforment vos ennemis en iceberg. En bref, c'est très utile dans les situations délicates.

Techniquement parlant, Witchaven II : Blood Vengeance s'en tire vraiment bien. Le soft utilise le Build Engine, un moteur graphique permettant d'afficher des environnements en 3D habités par de nombreux sprites (ennemis, objets, armes, items). Il faut tout de même avouer que le visuel a pris un sacré coup de vieux. Cependant, la bande-son est vraiment réussie dans l'ensemble. Les thèmes bien que banals, mettent vraiment bien le joueur dans la situation, même si la répétition de certains morceaux énerveront à coup sûr les plus impatients d'entre nous. Les bruitages sont vraiment bons, les différents coups de lames et chocs causés par les armes sont bien retranscrits. De même, les hurlements de douleur de vos opposants à leur mort sont très bien faits. Terminons en notant que le jeu dispose d'un éditeur de niveau, conçu exprès pour les esprits créatifs. Si il y aurait bien quelque chose à retenir de Witchaven II : Blood Vengeance, c'est que le jeu est extrêmement jouissif. On prend plaisir à jouer du début à la fin. Le soft propose de l'action à foison, du barbarisme et une ambiance heroïc-fantasy. Que demander de plus ?

Les notes :

Graphismes : 13/20 Witchaven dispose de graphismes corrects. Sans vous arracher la rétine, les animations fluides et les sprites plus fins que dans le premier opus sont vraiment agréables à regarder. Cela plaira à coup sûr aux nostalgiques qui y trouveront tout le charme d'antan.

Jouabilité : 15/20 Le jeu est très facile à prendre en main, le gameplay est très riche, ce qui fait de ce First Person Slasher un jeu très agréable à jouer, malgré la difficulté et le level-design très labyrinthique.

Durée de vie : 14/20 Comptez une bonne dizaine d'heure pour finir le jeu en facile, le double pour le finir en très difficile.

Bande-son : 15/20 Des thèmes pas impressionnants mais qui remplissent bien leur office, malgré qu'ils soit parfois un peu trop répétitifs. Sinon, côté bruitages, c'est très bon.

Scénario : 12/20 On a un semblant d'histoire qui fait directement suite au premier opus. Dommage que le jeu n'est qu'en réalité une succession de niveaux, car une histoire plus approfondie aurait été méritée.

Note générale : 16/20 Witchaven II : Blood Vengeance est une très bonne expérience en matière de First Person Slasher. Il se déroule dans un univers heroïc-fantasy où la barbarie est monnaie courante. Le soft détient un gameplay très riche et efficace. De plus les phases d'action sont très nerveuses. En bref, un très bon jeu des années 90 que tout amateur de FPS se doit de posséder !

Auteur : Zizzlamazon