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Note
au moins 18au moins 16au moins 14au moins 12au moins 10inférieure à 10
Date
moins de 24hmoins de 1 semainemoins de 1 moismoins de 3 moismoins de 6 moismoins de 1 an
Mode
Jouable en soloMulti en ligneMulti en coopératifMulti en localMulti sur le même écranMulti en compétitif
A peine un an après la sortie de Worms 3D, Team 17 a revu sa copie et nous invite à prendre part une nouvelle fois à des joutes féroces entre vers de terre. Si l'ensemble est loin d'avoir été complètement remanié, on découvre dans Worms Forts : Etat de Siege une nouvelle approche de la stratégie à la sauce Worms.
The Getaway ayant été injustement boudé par la critique, ceci n'a pas empêché Sony de mettre une suite en chantier. Se déroulant une fois encore dans la capitale anglaise, Black Monday ne cherche nullement à faire décoller la formule de son aîné et reprend plutôt tout ce qui a fait le succès du premier épisode. En parallèle, le gameplay subit un léger remaniement, de nouveaux modes voient le jour et le scénario décide d'être encore plus mature par le biais de dialogues crus et sans détour. Tout est donc en place pour que ce second segment gomme les imperfections de son grand frère afin d'y induire un plaisir ludique plus important. Malheureusement il n'en est rien puisque Black Monday est quasiment inférieur à The Getaway premier du nom, ce qui pourra sûrement en surprendre plus d'un, moi le premier.
Vétéran de la plate-forme, Harry, dit Pitfall Harry, repart dans la moiteur d'une jungle équatoriale pour une nouvelle expédition. Enfin, pas si nouvelle que ça puisque les joueurs consoles ont déjà pu la suivre il y a quelques mois.
Dans le monde secoué par des combats incessants, qu'est le domaine vidéoludique, seuls se démarquent les softs disposant de suffisamment d'atouts pour s'extirper du lot. Surtout dans le cadre des titres vous plaçant aux commandes d'automobiles gorgées de puissance et au design agressif. Il est impératif pour se démarquer de posséder une petite chose particulière, un caractère propre. L'innovation devient alors le maître-mot et définit la ligne de conduite à suivre. Sans cette touche légère, il n'est pas rare de sombrer dans l'oubli.
En dépit d'une communication qui le ferait passer pour la pire des petites daubes opportunistes et racoleuses, Flat Out est heureusement un petit régal de l'arcade qui sait par quelques artifices sortir du flot du genre. Fun, marrant, boosté et original.
Saga très populaire du côté de l'orient, la série des "Tales" de Namco foule pour la première fois du pied le vieux continent, suscitant l'émotion des hordes de fans de RPG de plus en plus nombreux en Europe. Voilà donc une sortie plus qu'événementielle, d'autant que le jeu en question se révèle être une véritable petite merveille.
Après les nombreuses extensions destinées à Everquest premier du nom, SOE se décide enfin à sortir une véritable suite à son jeu fétiche. Nouveau moteur graphique, gameplay repensé, monde transformé et nouveau scénario sont quelques-uns des ingrédients de ce jeu attendu au tournant par de nombreux fans. Dire que les développeurs n'ont pas droit à l'erreur est un euphémisme puisqu'aujourd'hui la concurrence est devenue beaucoup plus rude dans ce domaine avec les nombreux jeux de qualité déjà sur le marché et l'arrivée prochaine de World of Warcraft. Bref, Everquest 2 doit absolument être bon dans tous les domaines pour tenter de séduire le maximum de joueurs.
En jouant à ce Mortal Kombat : Mystification, on se rend compte que l'énorme travail réalisé par les équipes de développement ont servi à redresser le bateau qui prenait un peu l'eau depuis quelque temps. Bénéficiant d'une renommée à double tranchant, la série a toujours misé sur une violence exacerbée plutôt que sur un gameplay induisant une technicité de chaque instant. Mais aujourd'hui cette période semble désormais révolue, même si vous bénéficierez une fois encore des fameux "Finish Him" indissociables de la série. Deadly Alliance ayant ainsi ouvert le bal l'année dernière, Mystification le suit de très près en misant cette fois, outre une étonnante qualité graphique, sur un gameplay peaufiné, divers petits jeux bonus sans oublier un mode Quest assez surprenant.
Ne sachant plus quoi faire de ses longues journées à rêver au gré des vagues emportant les eaux usées des égouts en pleine mer, Nemo réfléchit longuement. Un beau jour, après moult observations, il comprit l'importance de ce que les hommes appellent l'argent. Son petit cerveau de poisson-clown entreprit alors de méditer sur des moyens d'engranger cette masse sonnante et luisante dont dispose ces personnes vivant sur la terre. La plus rapide et fiable solution fut à la fois simple et malicieuse, voire mesquine Quelle est-elle ? Et bien je l'ai tout simplement sous les yeux, m'apprêtant à vous la décrire.
Les auteurs de Medal Of Honor cèdent comme tout le monde à la nouvelle vague qui secoue le petit monde du FPS scripté, celle du Viêt Nam. Peu motivés ou alors ayant déjà craché toutes leurs cartouches, les gens de 2015 nous servent un Men Of Valor qui oscille entre l'insupportable et le risible, ne dépassant jamais le stade du moyen.
Ils sont de retour ! Brushing impeccable pour Michael Knight, jantes lustrées pour sa voiture KITT, le fier duo revient pied au plancher grâce à Davilex qui ne se lasse décidément pas de ce qu'il fait. C'est tant mieux, nous aussi on adore !
Faisant suite au premier épisode sorti sur Playstation en 2002, Digimon Rumble Arena 2 s'affiche comme un clone avoué de la série des Super Smash Bros de Nintendo. Au programme, de vastes pugilats jusqu'à quatre joueurs dans des arènes de folie, le tout enrobé de la licence des Digital Monsters.
Le duelliste le plus célèbre au pays du soleil levant continue de sévir sur consoles, et les possesseurs de Xbox n'y échapperont pas. Premier épisode disponible sur la console de Microsoft, Yu-Gi-Oh! L'aube de la Destinée risque de décevoir grandement les fans de la série à cause de son manque flagrant d'efficacité.
Si les titres d'Electronic Arts possèdent quasiment tous des apparats de plus en plus évolués, on peine parfois à trouver la ou les nouveautés qui nous feront acheter leurs nouvelles productions. Ceci se ressent encore plus dans la gamme Sports d'EA et autant dire que si ce NBA Live 2005 est un superbe titre sous bien des aspects, l'évolution par rapport à l'épisode 2004 est fine, vraiment très fine.
Ah les jeux adaptés d'une licence porteuse et s'étendant fièrement. Sorte de démangeaison insidieuse qui perdure depuis plus de quinze longues années, sans que personne n'ait trouvé de remèdes. Pire, plus les saisons passent, et plus cette allergie empire. Peu sont les élus qui ont réussi à se défaire de cette marque apposée sur leur flanc. Quand est-ce que les éditeurs, et par la même les studio de développement affiliés, qui n'y sont pour pas grand chose, comprendront qu'essayer de faire rendre une bobine de manière brute dans une cartouche ou un DVD-Rom défie les lois même de la physique.
Sortant prochainement au cinéma, le dernier né de Pixar se pointe également dans nos maisons par le biais de THQ qui nous refourgue un jeu d'action vite fait, mal fait. Une licence comme on en voit tant.
Les Indestructibles, c'est le titre d'un film d'animation avant d'être un jeu vidéo. Et ce n'est pas n'importe quel dessin animé car celui-ci est issu des fameux studios Pixar à qui l'on doit déjà quelques perles comme Toy Story ou encore Monstres & Cie.
Les Indestructibles, c'est le titre d'un film d'animation avant d'être un jeu vidéo. Et ce n'est pas n'importe quel dessin animé car celui-ci est issu des fameux studios Pixar à qui l'on doit déjà quelques perles comme Toy Story ou encore Monstres & Cie.
Les Indestructibles, c'est le titre d'un film d'animation avant d'être un jeu vidéo. Et ce n'est pas n'importe quel dessin animé car celui-ci est issu des fameux studios Pixar à qui l'on doit déjà quelques perles comme Toy Story ou encore Monstres & Cie.
SNK est mort, vive SNK. Alors que la mythique société japonaise a arrêté depuis déjà quelques temps la production de la non moins mythique Neo-Geo, cela ne l'empêche pas de nous sortir de nombreux titres sur tous supports, un peu à l'image de Sega. Détentrice de plusieurs licences très juteuses, le temps du renouveau semble être arrivé puisque l'année 2005 verra l'arrivée des premiers épisodes 3D de King Of Fighters et de Metal Slug. Mais pour l'heure, gardons-nous bien de juger ces titres et accueillons le célèbre Metal Slug 3 avec le sourire. Sortez les cuivres et les percussions, étalez le tapis rouge et agenouillez-vous devant un des meilleurs beat'em all 2D de tous les temps qui arrive enfin sur PS2 dans une version, certes avare en bonus, mais n'ayant rien perdu de son humour et de sa dérision.