Derniers tests de jeux vidéo - page 743

Retour aux sources du FPS le plus primaire, Painkiller avec sa réalisation de rêve, son atmosphère soignée et son gameplay défoulant s'est fait une belle place dans la ludothèque de nombre de joueurs. C'est donc avec une joie non dissimulée que l'on accueille ce premier add-on.

Privée injustement de la saga la plus mythique de Square, à savoir Final Fantasy, la GBA peut désormais se consoler en accueillant les deux épisodes fondateurs de la série. Au risque de faire fondre en larmes les nostalgiques, voici enfin réunis sur une seule cartouche le premier et le second chapitres de cette divine saga sur la portable de Nintendo. Le Saint Graal est à portée de main.

Fallout, vous connaissez ? Ce fameux jeu de rôle avait su séduire une grande partie des inconditionnels de RPG grâce à la liberté d'action qu'il offrait, à sa richesse intrinsèque, mais aussi et surtout grâce à son univers post-apocalyptique. En effet à l'époque de sa sortie en 1997, on était plus habitué aux ambiances heroic-fantasy qu'aux flingues et autres mondes dévastés. Ce cadre particulier est aussi celui de The Fall : Last Days of Gaia qui compte bien se faire une petite place dans le monde très concurrentiel des jeux de rôle sur PC.

Dans le monde boueux et pétaradant du motocross, un homme normal ne survit pas plus de huit minutes sans les protections adaptées. Véritables guerriers des temps modernes, les adeptes de ce sport intransigeant chevauchent des montures de plusieurs centaines de centimètres cubes, cabrant furieusement, et crachant leur haine. Sortes de chevaliers opposés à des dragons libérés de leurs chaînes, ces motards de l'extrême risquent leur vie à chaque instant. Une lutte incessante qui octroie un côté épique et mythique à ces affrontements. Comment ça j'exagère ?

Après le carton assuré l'année dernière par cette perle de jouabilité qu'était Prince Of Persia : Les Sables Du Temps, Ubi Montréal frappe une seconde fois en ne laissant pas dormir la licence. Pour cette Ame Du Guerrier, on nous avait promis moult changements et améliorations, les promesses sont-elles tenues ?

Après le carton assuré l'année dernière par cette perle de jouabilité qu'était Prince Of Persia : Les Sables Du Temps, Ubi Montréal frappe une seconde fois en ne laissant pas dormir la licence. Pour cette Ame Du Guerrier, on nous avait promis moult changements et améliorations, les promesses sont-elles tenues ?

Après le carton assuré l'année dernière par cette perle de jouabilité qu'était Prince Of Persia : Les Sables Du Temps, Ubi Montréal frappe une seconde fois en ne laissant pas dormir la licence. Pour cette Ame Du Guerrier, on nous avait promis moult changements et améliorations, les promesses sont-elles tenues ?

Prince of Persia, c'est le titre d'une série de jeux devenue culte au fil du temps. C'est en 1989 que l'aventure commença. La recette était simple : prenez un prince courageux, un vizir maléfique et une princesse enlevée. Mélangez le tout en ajoutant une once d'ambiance orientale et vous obtenez un hit. En 1993 et en 1999 on a eu droit à deux suites. Mais ce n'est qu'avec le titre sorti fin 2003 que nous avons vraiment pu assister à un engouement populaire pour ce personnage, engouement qui appelait évidemment la sortie d'un nouveau jeu, et c'est aujourd'hui chose faite avec ce cinquième volet qui risque d'en dérouter plus d'un.

Il a vu le jour voilà plus de 20 ans sous sa forme filmographique, il est sorti l'année dernière sur PC, et il nous fait à présent l'honneur de venir saluer les possesseurs de Xbox. Son nom : Tron 2.0, sous-titré Killer App pour cette édition sur console de salon. Ne vous attendez pas pour autant à un titre inédit, mais plutôt à une adaptation réussie du jeu qui nous avait séduits sur PC.

Une structure morne s'élève sous le rideau de pluie déchirant les lourds nuages jusqu'alors silencieux et menaçants. Un monolithe de béton, vide et sans âme. Cette tour s'élève en tant que miroir d'une société sur le déclin, pervertit par les guerres incessantes pour le contrôle d'une substance nommée le métal de force. Découvert récemment sur la planète 2202XAB, il va devenir l'excuse principale d'un groupe de Réploïdes rebelles soumis à Epsilon. Qualifié immédiatement de menace pour l'ordre subtilement établi, ce dernier devint la cible privilégiée de la Fédération, qui envoya X, Zero et Shadow sur l'île de Méga Cité afin d'éliminer ce guerrier énigmatique. Mais l'amitié est bien peu face à une volonté d'émancipation.

Il est dit dans les arcanes des Précurseurs qu'un homme solitaire, sans histoire et sans passé, voguant sur les flots aiguisés du temps et de l'espace libérera le monde de ses infestations. Celui-ci apparu en une journée durant laquelle aucune manifestation ne supposait l'avènement d'une nouvelle ère. Avec l'aide des habitants d'Abriville, il mit fin au règne éphémère d'une lèpre nommée Metal Heads. Mais les êtres peuplant ces terres nouvellement libérées oublièrent vite ses faits héroïques. Mis sur le devant de la scène par ces derniers, il fut donc la cible principale des moindres dysfonctionnements, finissant exilé dans un désert aride. Serait-ce le point final de la prophétie ? Voici son histoire.

Allez zou, on perd pas le sens du rythme, et on ne laisse pas sa voix se reposer car voilà venir une nouvelle fournée de titres à fredonner avec Singstar NRJ Music Tour. Personnellement, j'aurais plus nommé ça Singstar Lieibig Music Tour, mais bon, les goûts et les couleurs...

Nous y voilà, les joueurs console vont eux aussi pouvoir goûter à Call Of Duty, comme leurs homologues Pcistes. Dans la veine de Medal Of Honor, on nous promet un spectacle grandiloquent, une mise en scène bluffante et un jeu qui veut toujours autant ressembler à un film d'action, au point peut-être d'en perdre de vue l'essentiel : jouer

Nous y voilà, les joueurs console vont eux aussi pouvoir goûter à Call Of Duty, comme leurs homologues Pcistes. Dans la veine de Medal Of Honor, on nous promet un spectacle grandiloquent, une mise en scène bluffante et un jeu qui veut toujours autant ressembler à un film d'action, au point peut-être d'en perdre de vue l'essentiel : jouer

Ce n'est pas le genre le plus adapté aux consoles portables, et pourtant les éditeurs se plaisent à tenter régulièrement l'exercice du First Person Shooter sur N-Gage. Cette fois, c'est Activision qui nous propose un nouvel opus de Call of Duty, pour un résultat moyennement convaincant.

Tiens, comme il est étrange de voir débarquer un jeu Garfield à quelques semaines d'intervalle de la sortie du film éponyme. On serait donc tenté de dire qu'on profite un peu de cette sortie pour filer en douce un jeu mettant en scène le chaton le plus flemmard de l'histoire de la bande dessinée. Bon maintenant qu'on a eu l'idée du siècle, il ne reste plus qu'à trouver un style de jeu...hum...et pourquoi pas Luigi's Mansion ? Oui, excellent, un jeu en 3D avec un Garfield armé d'un aspirateur. Magnifique, il ne reste plus qu'à lancer la machine.

Attention innovation. Alors que des compilations plus ou moins réussies de jeux à consonance nostalgique sortent dès que les éditeurs ont quelques problèmes à dénicher un concept intéressant, voilà enfin un titre sortant de cette mouvance. En effet, au lieu de mettre en avant des pongs, pacmans et autres galaxians monochromatiques, Arcade Action propose 30 softs qui sont en fait identiques à ceux que je viens de citer, si ce n'est quelques petits ajouts censés les sublimer. Un retour en arrière, avec une petite pincée de bond en avant qui finit tout de même loin en arrière. Obscur ? Voici l'explication.

Down Under ou comment faire du neuf avec du très, très vieux. Premier add-on pour Transport Giant, cette extension fait le minimum en apportant une nouvelle campagne et quelques véhicules inédits. Rien de vraiment transcendant en somme.

L'année 2004 aura vu pas moins de deux épisodes de la série Colin McRae Rally. Si on peut penser que ça ne représente rien, c'est tout de même énorme pour l'industrie vidéoludique, ou du moins pour une grosse série comme celle de Codemasters. Nous ne reviendrons pas ici sur les défauts que peuvent induire ce genre de productions à la chaîne et parlerons plutôt des grandes qualités de Colin 2005 version N-Gage, car si le jeu n'est pas exempt de défauts, le travail réalisé par Ideaworks 3D! est de très bonne facture et saura vous rallier à la cause de jeu de courses qui fera du bien à la console portable de Nokia.

L'année dernière, nous avions été parmi les seuls à clairement dire que non, l'adaptation de PES 3 sur PC était très loin d'être parfaite : menus à l'aspect Playstation 2 (triangle pour revenir en arrière, croix pour valider...), pas de mode online, bug qui faisait que l'on jouait en accéléré ou au ralenti selon la puissance de son PC... Bref, la mouture PC de PES 3 nous avait beaucoup déçus. C'est donc un peu craintif que je me suis lancé dans ce quatrième volet. Allait-il être aussi convaincant que sur console ? Réponse tout de suite.