Derniers tests de jeux vidéo - page 735

Alors que le beat'em all bat son plein sur la console de Sony, Konami décide de venir jouer les trouble-fêtes avec Nanobreaker, un jeu qui fleure bon les hectolitres d'hémoglobine façon ketchup. Mais devant la pauvreté de ce titre provocateur, on a bien du mal à croire que c'est l'homme de Castlevania : Lament of Innocence qui est aux commandes.

La mode est depuis longtemps à l'adaptation de vieux titres sur GBA et lorsqu'il ne s'agit pas de la résurrection d'un hit oublié de tous, il s'agit de lui offrir une suite. Ce coup-ci, c'est Guardian Heroes qui s'y colle. Après avoir fait les beaux jours de la Saturn, le voilà qui arrive sur la portable de Nintendo.

Les épisodes de Yu-Gi-Oh! continuent de s'enchaîner sur consoles, et c'est au tour de la PS2 d'accueillir un second volet inspiré du manga de Kazuki Takahashi. Konami sait comment rentabiliser sa licence, mais plutôt que de nous assommer avec les règles désormais bien connues du duel de cartes, l'éditeur opte pour un tout nouveau concept.

Les pouvoirs psychiques sont super à la mode on dirait, après Second Sight qui vient juste de faire son arrivée sur PC, c'est au tour de Psi-Ops de sortir de ses consoles pour tâter le terrain des PCistes. Visiblement, soulever des trucs sans les toucher est la nouvelle tendance 2005, alors si vous voulez être fashion cet été, va falloir vous mettre à tordre des cuillères par la seule force de l'esprit.

Souvenez-vous, c'était durant l'été 2004 que Joint Operations sortait en Europe. Ce titre fut une très bonne surprise preuve, s'il était encore besoin, que Novalogic est toujours capable de sortir des jeux de qualité quand ils s'en donnent la peine. Leur titre a d'ailleurs connu un succès amplement mérité et il était donc normal qu'un add-on voit le jour. C'est aujourd'hui chose faite avec Escalation qui, faute d'être une révolution, apporte au soft original quelques ajouts bien sympathiques.

Un jour de pluie. Deux amis discutent à l'abri de leur béret cousu de carreaux multicolores, l'eau ruisselant sur leurs pantalons en tweed, appuyés sur leurs armes d'acier à la courbure assassine. Soudain, et sans aucun signe ne trahissant son énervement imposant, l'un d'eux se lisse la moustache, tout en manipulant du bout de ses chaussures à crampons une motte de terre innocente. En se rapprochant un tantinet on peut entendre ces mots :"Hum, bravo mon jeune ami, vous êtes bien en chance aujourd'hui. Le par n'est plus éloigné pour vous". Son compagnon ne lui répond que par un sourire naïf traduit comme une injure :"Riez, riez mon bon. Mais tout cela est à cause du vent du nord. Il me donne des picotements au niveau de la rétine". C'est aussi ça le golf. Des mauvais perdants, une activité nerveuse intense, et des amitiés qui se brisent. Mais pas que...

"A force de sillonner l'immensité intergalactique, j'ai fini par trouver une terre d'accueil, un endroit assez étrange qui semble régi par des règles que je ne connais pas. Je sens que je vais avoir du mal à me faire une petite place dans cette cité, mais je vais tout de même tenter ma chance. De toute manière, je n'ai rien d'autre à faire.

Les hommes, ou plutôt leurs créations, ont enfin dépassé les limites des voyages spatiaux à courte distance en créant un ascenseur orbital reliant la Terre et son satellite luminescent. Motivée par un sentiment de survie face à la guerre contre les réploïdes renégats (Mavericks), cette construction apparaît comme l'unique salut d'une humanité sur le déclin. Nommé Jacob, ce passage vers un univers détaché de conflits viscéraux intéresse évidemment au plus haut point les androïdes rebelles désirant façonner un nouveau monde dans lequel les errances du présent ne seront plus qu'un vague souvenir. Une nouvelle génération de réploïde voit alors le jour, disposant de la capacité de synthétiser l'ADN de n'importe qui, afin de créer des clones parfait de manière immédiate. C'est alors que X découvrit l'ampleur d'un futur assombri.

Si vous avez lu le super méga génial dossier sur l'histoire des machines (écrit par un garçon formidable), vous devez savoir que l'Intellivison était l'une des toutes premières consoles de jeu, une antiquité, presque une relique. La mode actuelle étant de se plonger dans nos souvenirs, le corps de la machine a été exhumé et autopsié pour momifier ses organes ludiques et les caser dans une galette laser moderne. C'est beau le progrès, même si ça ne sert pas à grand-chose.

Développé au départ pour les consoles Xbox et Playstation 2, Forgotten Realms : Demon Stone se voit présentement adapté sur PC et nous rappelle qu'il fait partie des meilleurs beat'em all du moment. Son talon d'Achille : une durée de vie ridicule qui limite à seulement quelques heures les excellents moments passés à se battre dans les Royaumes Oubliés. Malgré tout, ce voyage héroïco-fantastique vaut vraiment le détour.

Après le succès mérité de Pro Rugby Manager, il était normal qu'une suite voit le jour. C'est aujourd'hui chose faite avec un cru 2005 qui garde la même philosophie que son aîné tout en ajoutant des petits plus que réclamaient les joueurs à corps et à cri. Voyons donc ce que les talentueux développeurs de chez Cyanide nous ont concocté.

Parmi toutes ses productions, Pandemic Studios s'est entre autres illustré avec Full Spectrum Warrior, un jeu de guerre qui se voulait plutôt réaliste de par sa grande dose de stratégie dans l'approche de chaque combat. Le développeur, décidément très porté sur les armes et les conflits en tous genres, nous refait le coup d'une guerre qui éclate dans un futur proche. Cette fois, plus question de se prendre la tête sur des tactiques et des plans d'attaques, on fonce dans le tas sans se poser de questions !

Parmi toutes ses productions, Pandemic Studios s'est entre autres illustré avec Full Spectrum Warrior, un jeu de guerre qui se voulait plutôt réaliste de par sa grande dose de stratégie dans l'approche de chaque combat. Le développeur, décidément très porté sur les armes et les conflits en tous genres, nous refait le coup d'une guerre qui éclate dans un futur proche. Cette fois, plus question de se prendre la tête sur des tactiques et des plans d'attaques, on fonce dans le tas sans se poser de questions !

Imaginez un jeu de combat regroupant l'ensemble des figures emblématiques de la constellation Capcom, au travers de cinq inspirations majeures, allant de Street Fighter 3rd Strike à Street Fighter Alpha, en passant par Darkstalkers. Véritable graal vidéoludique pour les amoureux de cette firme aux possibilités créatrices plus que notables, ce titre se présentait comme l'aboutissement de la quintessence du savoir-faire de cette dernière en matière de jouabilité. Un beau cadeau en somme, qui chasserait les ombres néfastes de récentes productions plus axées sur la forme que sur le fond. Arriverons-nous jusqu'au déluge des 56 combattants de Marvel Vs Capcom 2, dans un flot de contentement enfantin ? Voilà les fiers conquérants qui s'avancent.

On les savait parties se prélasser sur des plages paradisiaques pour s'adonner aux joies du beach volley, et ce pour notre plus grand malheur. Aujourd'hui, les combattantes de Dead or Alive reviennent aux choses sérieuses en livrant bataille aux autres personnages de la série dans un Dead or Alive Ultimate aux allures de remake.

Un robot moche qui se transforme en avion, des couleurs fluo, une maniabilité discutable et un jeu sorti depuis 2 ans sur Xbox... hum, dites voir, on aurait pas renouvelé ma souscription aux daubes par reconduction tacite de contrat par hasard ? Ou alors je suis puni mais qu'ai-je fait ? Qu'ai-je fait ? Argh !!

Après un premier volet disponible uniquement sur Dreamcast, PC et GBA, Kao s'attaque aux consoles actuelles avec un second opus dans la droite lignée de son prédécesseur. On est donc en présence d'un jeu de plates-formes tout ce qu'il y a de plus classique. Notre kangourou saura-t-il faire face aux grands noms du genre ou sombrera-t-il dans les profondes oubliettes vidéoludiques ?

Petite question : à quoi reconnaît-on un jeu sur PC qui a une communauté très active ? Au nombre de messages postés sur les forums officiels ? Oui, c'est une piste. Mais on les reconnaît aussi au nombre d'extensions créées. Et bien si on tient compte de ces deux facteurs, Blitzkrieg fait figure de gros hit car outre ses qualités indéniables qui font de lui un des meilleurs jeux de stratégie sur la Seconde Guerre Mondiale, il dispose de deux add-on officiels mais aussi d'une pléthore de mods développés par des fans. Après l'add-on non officiel Ostfront : Barbarossa, voilà que l'aventure se poursuit avec une autre extension non officielle qui sort en magasin : Total Challenge Modern War.

Poursuivant tranquillement sa route, EA BIG nous sort cette année un nouvel opus de NBA Street, le dernier volume datant pour sa part de 2003. Loin de révolutionner la formule initiée par cette série de basket de rue, NBA Street V3 devrait malgré tout faire l'unanimité une fois de plus. En faisant preuve d'un panache sans bornes qui n'a d'égal que le fun omniprésent distillé le long des parties, le titre de la société canadienne se complaît dans un plaisir ludique de chaque instant. Prépares-toi michaël car désormais tu n'es plus le seul à savoir voler.

Poursuivant tranquillement sa route, EA BIG nous sort cette année un nouvel opus de NBA Street, le dernier volume datant pour sa part de 2003. Loin de révolutionner la formule initiée par cette série de basket de rue, NBA Street V3 devrait malgré tout faire l'unanimité une fois de plus. En faisant preuve d'un panache sans bornes qui n'a d'égal que le fun omniprésent distillé le long des parties, le titre de la société canadienne se complaît dans un plaisir ludique de chaque instant. Prépares-toi michaël car désormais tu n'es plus le seul à savoir voler.