Derniers tests de jeux vidéo - page 170

Depuis quelques années, des titres comme Binding of Isaac, Faster Than Tight ou Spelunky incarnent un certain renouveau du rogue-like, ne gardant que certaines des caractéristiques du genre, en particulier la génération aléatoire des niveaux, la mort permanente, ou l’évolution du personnage. Mais les rogue-likes « classiques », puisant directement leur source dans les grands ancêtres tels Angband, Nethack ou bien sûr Rogue, ne sont pas morts pour autant. Dungeon Crawl : Stone Soup s’inscrit clairement dans cette tradition, et en est l’un des meilleurs représentants actuels.

Après son passage sur PS3 en 2011, Disgaea 4 fait son retour sur PS Vita dans une version blindée de contenu supplémentaire. Avec un traitement similaire à celui de Absence of Detention, on se retrouve devant un « portage » plus qu'honnête.

A l'origine, Toki Tori était sorti en 2001 sur Game Boy Color, puis avait eu la chance d'être remaké en 2008 sur le WiiWare, avant d'être porté sur tout un tas de supports. Pour ceux qui seraient passés à coté, sachez que l'on y incarnait un poussin qui devait retrouver des œufs. Une mission en apparence simpliste, mais qui s'était avérée extrêmement fastidieuse à remplir : car derrière son aspect enfantin et ses faux airs de jeu de plates-formes, Toki Tori se basait uniquement sur la réflexion avec un gameplay qui pouvait notamment évoquer Lemmings, par l'utilisation des items. Cinq ans après ce remake, Two Tribes, le développeur historique de la franchise, nous a donc pondu une suite sobrement intitulée Toki Tori 2. Contrairement à ce que laisse entendre un tel titre, il ne s'agit pas là de simples niveaux en plus et de quelques mécaniques inédites. Non, ce second épisode va beaucoup plus loin, en faisant quasiment table rase des mécaniques d'origine.

Depuis quelques années, des titres comme Binding of Isaac, Faster Than Tight ou Spelunky incarnent un certain renouveau du rogue-like, ne gardant que certaines des caractéristiques du genre, en particulier la génération aléatoire des niveaux, la mort permanente, ou l’évolution du personnage. Mais les rogue-likes « classiques », puisant directement leur source dans les grands ancêtres tels Angband, Nethack ou bien sûr Rogue, ne sont pas morts pour autant. Dungeon Crawl : Stone Soup s’inscrit clairement dans cette tradition, et en est l’un des meilleurs représentants actuels.

Voilà plusieurs années que vous pouvez régulièrement revêtir vos plus beaux habits de dictateur à la tête d’un petit paradis tropical grâce à la licence Tropico. Néanmoins, dernièrement, on pouvait légitimement reprocher à la série d’un peu trop abuser de la photocopieuse d’un épisode sur l’autre, essentiellement lors du passage de Tropico 3 à Tropico 4. La cinquième édition du jeu de gestion propose sur le papier de rectifier le tir en introduisant plusieurs nouveautés censées dépoussiérer le concept toujours aussi jouissif d’incarner un chef suprême chargé de guider ses ouailles vers la prospérité. Est-ce le cas dans les faits ?

Vous avez une âme d'aventurier et rêvez de participer à Koh-Lanta ? Alors vous avez sans doute entendu parler de Day One : Garry's Incident, un jeu indépendant signé Wild Games Studio. Mais vous a-t-on prévenu que vous allez avoir affaire à des ennemis anormalement résistants qui rendraient jaloux Usain Bolt lui-même ? Ou encore que vous allez être condamné à tomber indéfiniment dans le vide si vous avez le malheur de charger votre partie ? Non bien sûr que non. Alors si vous le voulez bien, lisez ceci avant d'assouvir vos envies d'aventures.

Zeno Clash est de retour pour mettre un peu de folie dans nos vies. Avec ce second opus, le studio Ace nous fait continuer l'épopée de Ghat et de ses frères et sœurs. Plus de temps à perdre, serrez les poings et jetez-vous dans la mêlée.

Dans le monde du jeu vidéo, MIND : Path of Thalamus se pose comme une grande bouffée d'air frais. Entre voyage initiatique et balade onirique, ce titre est supporté par une direction artistique de toute beauté tout en faisant la part belle aux émotions.

Il est temps de dire au revoir (provisoirement?) à Clémentine alors que la seconde saison de The Walking Dead s'achève en crevant quelques cœurs au passage et en ouvrant la voie à une troisième saison déjà annoncée.

Il est temps de dire au revoir (provisoirement?) à Clémentine alors que la seconde saison de The Walking Dead s'achève en crevant quelques cœurs au passage et en ouvrant la voie à une troisième saison déjà annoncée.

Il est temps de dire au revoir (provisoirement?) à Clémentine alors que la seconde saison de The Walking Dead s'achève en crevant quelques cœurs au passage et en ouvrant la voie à une troisième saison déjà annoncée.

Dites au revoir à Delsin Rowe et bonjour à Abigail Walker alias "Fetch", l'héroïne de ce premier DLC d'inFAMOUS Second Son qui a la particularité d'être accessible aux non-possesseurs du jeu de base. Nommé First Light, cet opus faisant office de préquelle à l'aventure originale vous emmène de nouveau à Seattle pour sauter de toit en toit, désintégrer tout ce qui bouge tout en partant sur les traces de votre frère disparu.

Il est temps de dire au revoir (provisoirement?) à Clémentine alors que la seconde saison de The Walking Dead s'achève en crevant quelques cœurs au passage et en ouvrant la voie à une troisième saison déjà annoncée.

Après un Crown of the Sunken King sombre et tortueux, l’esprit machiavélique des développeurs de From Software accouche d’un nouveau DLC, second volet d’une trilogie à parution mensuelle articulée autour des couronnes des anciens Rois de Drangleic. Considéré comme moins inspiré et homogène que son prédécesseur, le level design fait partie des points faibles du non moins très bon Dark Souls 2. From Software semble s’être affairé à corriger le tir via ces contenus additionnels à la construction plus aboutie. Afin d’appuyer la différence avec le premier DLC, on quitte ici l’ambiance empoisonnée des entrailles de la terre pour prendre un bon bol de cendres et de flammes au sein d’une nouvelle zone plus aérienne mais toujours autant dénuée de pitié envers le joueur.

Après un Crown of the Sunken King sombre et tortueux, l’esprit machiavélique des développeurs de From Software accouche d’un nouveau DLC, second volet d’une trilogie à parution mensuelle articulée autour des couronnes des anciens Rois de Drangleic. Considéré comme moins inspiré et homogène que son prédécesseur, le level design fait partie des points faibles du non moins très bon Dark Souls 2. From Software semble s’être affairé à corriger le tir via ces contenus additionnels à la construction plus aboutie. Afin d’appuyer la différence avec le premier DLC, on quitte ici l’ambiance empoisonnée des entrailles de la terre pour prendre un bon bol de cendres et de flammes au sein d’une nouvelle zone plus aérienne mais toujours autant dénuée de pitié envers le joueur.

Après un Crown of the Sunken King sombre et tortueux, l’esprit machiavélique des développeurs de From Software accouche d’un nouveau DLC, second volet d’une trilogie à parution mensuelle articulée autour des couronnes des anciens Rois de Drangleic. Considéré comme moins inspiré et homogène que son prédécesseur, le level design fait partie des points faibles du non moins très bon Dark Souls 2. From Software semble s’être affairé à corriger le tir via ces contenus additionnels à la construction plus aboutie. Afin d’appuyer la différence avec le premier DLC, on quitte ici l’ambiance empoisonnée des entrailles de la terre pour prendre un bon bol de cendres et de flammes au sein d’une nouvelle zone plus aérienne mais toujours autant dénuée de pitié envers le joueur.

Telle une œuvre d'art contemporain, Hohokum, le simulateur de serpent mystique, débarque sur les consoles Sony sans crier gare. Poésie, art, philosophie, expérience unique, ou placebo pour récepteurs opiacés, beaucoup s'en donnent à cœur joie pour crier au génie, mais la réalité, soft en main, peut être tout autre. Oui, vous pouvez adorer Hohokum, tout comme vous pouvez passer à côté de son absence totale de sens...

Telle une œuvre d'art contemporain, Hohokum, le simulateur de serpent mystique, débarque sur les consoles Sony sans crier gare. Poésie, art, philosophie, expérience unique, ou placebo pour récepteurs opiacés, beaucoup s'en donnent à cœur joie pour crier au génie, mais la réalité, soft en main, peut être tout autre. Oui, vous pouvez adorer Hohokum, tout comme vous pouvez passer à côté de son absence totale de sens...

Telle une œuvre d'art contemporain, Hohokum, le simulateur de serpent mystique, débarque sur les consoles Sony sans crier gare. Poésie, art, philosophie, expérience unique, ou placebo pour récepteurs opiacés, beaucoup s'en donnent à cœur joie pour crier au génie, mais la réalité, soft en main, peut être tout autre. Oui, vous pouvez adorer Hohokum, tout comme vous pouvez passer à côté de son absence totale de sens...

C'est dans le monde des petites expériences indépendantes que l'on peut croiser The Plan. Véritablement atypique et gratuit, il ne vous faudra qu'une dizaine de minutes pour arriver à son terme. Il s'agit d'un petit projet du studio Krillbite en parallèle du développement de son jeu principal : Among the Sleep. C'est quand même pas mal productif comme moyen de tuer le temps non ?