Le 14 novembre 2024 à 17:09:
Le 14 novembre 2024 à 16:25:
On va dire que la qualité des débats sur ce forum est inversement proportionnelle à la propension à prendre ses affirmations tirées du fondement pour la réalité, en décrétant que l'égalité ou la liberté créent la violence, mais que les hiérarchies, les systèmes de domination et les inégalités n'en créent pas, comme si dans l'histoire, la violence n'avait jamais été exercée pour s'accaparer le pouvoir, pour prendre le pas sur ses concurrents, pour maintenir son autorité ou sa domination sur autrui, pour faire des prisonniers et des esclaves, pour maintenir le statu quo d'une autorité qui pratique le pillage fiscal, quand bien sûr elle n'est pas provoquée par les famines qui entraînent des révoltes et des séditions diverses...
La seule chose drôle là-dedans c'est que les mecs qui avancent ces justifications foireuses pour maintenir des systèmes de domination qui les arrangent se prennent au sérieux tout en prenant bien délibérément garde de ne pas regarder de trop près les violences que leurs systèmes engendrent, les misères qu'ils créent, les désespoirs qu'ils provoquent, tout en cherchant des pseudos légitimités factices pour imposer leurs intérêts aux autres comme s'ils étaient plus importants et que leur petite personne justifiait de maintenir autrui dans la servitude.
Alors que ça plus d'un siècle que l'anthropologie, la sociologie et les sciences politiques documentant les effets des systèmes de pouvoirs, de domination et d'oppression.
Et ensuite, ça pleurniche sur l'insécurité et sur la violence, et ça réclame plus d'autorité, qui va engendrer davantage d'insécurité, de servitude, de dominations diverses, d'exploitations, d'oppressions, d'inégalités qui mèneront à davantage de mécontentements et de violences, mais c'est pas grave, tant qu'on arrive à justifier la pseudo-légitimité factice de son pouvoir usurpé sur autrui, son allégeance à un ordre imposé et en fait, violent par nature, intrinsèquement, tout en rejetant la faute des violences sur les autres, les pauvres, les gueux, les mendiants et les traînes-savates, quand ce n'est pas l'hypocrisie de tout mettre sur le dos du bouc-émissaire étatique, pourtant à la botte de la classe dominante de qui on va lécher les semelles dans l'espoir de conserver sa miette de pouvoir.
Tout ce système est très connu depuis des siècles, en fait La Boétie appelait déjà çà la servitude volontaire, dès le XVIe siècle, - et encore, je dis çà pour ne pas remonter plus haut, le nature violente et corruptrice du pouvoir, des dominations, et des hiérarchies, on connaît çà depuis au moins depuis l'avènement de la philosophie chrétienne médiévale, pour ne pas parler des philosophes grecs comme Diogène pour qui la vie des honneurs était le vice à éviter.
Mais bon, on va dire que c'est l'égalité qui engendre la violence, comme ça pas besoin de remettre en question la doxa de l'ordre établi et de l'autoritarisme, et puis s'enfermer dans un cercle vicieux d'oppression-violence-prétexte à oppression-violence en réponse ad vitam c'est sans doute plus satisfaisant pour les bénis-oui-oui de la classe dominante que de reconnaître à chaque être humain (pour commencer) la dignité d'un être vivant qui ne vous appartient pas et sur qui vous n'avez aucune espèce de droit.
Dans un monde où le seul fondement que ceux qui se prennent pour des intelligents trouvent à la liberté, c'est le droit artificiel à la propriété privée sacralisée et à l'usurpation d'autorité, on pourra pleurnicher longtemps que ce sont les inégalités qui font la violence.Si l'égalité et la liberté véritables sont essentielles pour réduire la violence, quelles étapes concrètes penses tu que la société devrait entreprendre pour démanteler les systèmes de domination et de hiérarchie existants ? Sachant que les hommes sont tous dissemblables et que cette dissemblance mène naturellement vers des conflits. Car l'autre c'est ce qui n'est pas moi avec son histoire et sa psyché qui lui est prorpre, et en même temps que l'autre est comme moi. Mais cette similitude n'anhile pas pour autant la possibilité d'une violence, comme celles ou s'entrechoquent des positions divergeantes
Déjà, nulle part je n'affirme que la liberté **réduit** la violence, et pour l'égalité, c'est bien possible, mais ça reste encore à vérifier. En revanche ça n'en provoque pas davantage que les systèmes de domination impérialistes inégalitaires, ça c'est pour l'histoire des empires et du colonialisme. D'autre part, les conflits, c'est pas mauvais en soi, c'est d'ailleurs ce qui permet de renverser les dits systèmes de domination, et tu fais la confusion entre les conflits et la violence ; un conflit n'est pas forcément violent ; tout comme la violence n'est pas forcément conflictuelle, je peux parfaitement exercer une violence symbolique sur toi sans provoquer le moindre conflit, c'est ce que font d'ailleurs les pervers narcissiques pour soumettre leurs victimes à leur égocentrisme.
Par ailleurs, il n'est pas souhaitable de supprimer toute hiérarchie. Sur un bateau, il faut bien un capitaine pour fixer le cap et coordonner l'équipage. La question c'est de savoir qui joue le rôle du capitaine et de quelle manière. Être lucide sur les pseudos-justifications oiseuses des inégalités et remettre en question les discours stupides qui cherchent à les justifier fallacieusement à coup de pseudo-légitimité factice n'empêche de reconnaître que le mal est nécessaire ; Pour situer ma réflexion, je suis solidariste & institutionnaliste, je ne vais pas supprimer toutes les institutions sous prétexte de libertarianisme imbécile où ce serait le far wets et où chacun porterait des armes à feu pour soi-disant défendre sa propriété par lui-même selon son caprice égocentrique. Je te confirme donc que les institutions sont nécessaires pour organiser le vivre-ensemble, surtout qu'en tant que chrétien je crois que l'homme est pécheur.
Ca ne m'empêche de rire (jaune) quand je lis des divagations visant à justifier les inégalités produites par les systèmes de domination quand j'en vois.
Pour répondre tout de même plus précisément à ta question, toute pouvoir tire son autorité de la nécessité de la coopération, et non d'un **combat contre la violence** qui serait voué à l'échec vu qu'il est naïf de croire que ce qui provoque le problème résoudra le problème. Fondamentalement,; il n'y a pas de différence entre un pouvoir fort centralisé ou un systèmer anarcho-capitaliste libertarien, dans le sens où dans les deux cas, c'est celui qui a la force qui va s'accaparer le pouvoir, de toute façon. Seule l'échelle du pouvoir change - et ça change beaucoup de choses en pratique -, mais ça ne change pas la nature du pouvoir qui s'accapare et qui s'exerce par la force. Le chacun pour soi ou le un pour tous et tous pour un relève de la même logique de pouvoir. Quelqu'un qui a les moyens de prendre ascendant sur autrui pour son propre bénéfice risque de le faire - disons que j'évaluerait à 95% les chances qu'un humain normalement constitué réponde à la tentation d'opportunisme, et sauf quelques moines - et encore, il y a des pouvoirs dans un monastères, l'abbé ou d'autres instances existent là encore pour réguler la vie monacale - ou saints pourraient y renoncer. Je n'en fais pas partie d'ailleurs. Si on me donnait le pouvoir, je le prendrais, pas forcément pour en profiter perosnnellement, mais pour prouver que mes idées sont les bonnes et que j'ai raison ; les motivations peuvent varier mais au bout du compte, le pouvoir est la drogue de l'humanité, se sentir important sur cette petite planète perdue dans la galaxie ça marche pour tout le monde, je pense, et on l'assouvit à des degrés et de manières différentes. Certains préféreront être des éminences grises, d'autres de sinfluenceurs charismatiques, des lanceurs d'alerte, ou n'importe quoi, tant qu'on est persuadés de voir la vérité mieux que les autres et de vouloir que notre avis, notre nom, notre personnalité, n'importe quoi, devienne important.
C'est même la base de la psychologie du larbin qui sait qu'il ne pourra pas prendre le pouvoir de lui-même mais qui espère partager une miette de la gloire (ou de la richesse) de son maîmaître en se prosternant devant lui.
Mais supprimer une hiérarchie ne changera pas cette tendance.
Et donc, la seule manière de réguler tout ça, c'est d'ériger des contre-pouvoirs pour surveiller le dépositaire de l'autorité et l'empêcher d'abuser de son pouvoir, quitte à redistribuer les richesses aspirés par ce pouvoir.
Le 14 novembre 2024 à 18:12:
Tout débat ne peut naturellement avoir lieu sans la violence.
Si tu refuses l'idée de la possibilité de te faire violer, ne t'etonne pas
- captain pilier de comptoir, mais désolé de te contredire, des débats sans violence, ça existe, ça s'appelle une discussion entre amis. En plus, encore une fois, tu confonds conflictualité et violence. Il peut y avoir conflit sans violence et vice versa.
...Et pour venir dire à quelqu'un qui vient de vous démontrer la naïveté de vos affirmations qui relèvent des stéréotypes de la doxa qu'à aucun moment votre pensée critique (si vous en avez) ne va chercher à remettre en question pour chercher à penser un peu plus loin, il faut vraiment être en manque d'arguments...
Le 15 novembre 2024 à 17:17:20 :
Le 14 novembre 2024 à 17:09:
Le 14 novembre 2024 à 16:25:
On va dire que la qualité des débats sur ce forum est inversement proportionnelle à la propension à prendre ses affirmations tirées du fondement pour la réalité, en décrétant que l'égalité ou la liberté créent la violence, mais que les hiérarchies, les systèmes de domination et les inégalités n'en créent pas, comme si dans l'histoire, la violence n'avait jamais été exercée pour s'accaparer le pouvoir, pour prendre le pas sur ses concurrents, pour maintenir son autorité ou sa domination sur autrui, pour faire des prisonniers et des esclaves, pour maintenir le statu quo d'une autorité qui pratique le pillage fiscal, quand bien sûr elle n'est pas provoquée par les famines qui entraînent des révoltes et des séditions diverses...
La seule chose drôle là-dedans c'est que les mecs qui avancent ces justifications foireuses pour maintenir des systèmes de domination qui les arrangent se prennent au sérieux tout en prenant bien délibérément garde de ne pas regarder de trop près les violences que leurs systèmes engendrent, les misères qu'ils créent, les désespoirs qu'ils provoquent, tout en cherchant des pseudos légitimités factices pour imposer leurs intérêts aux autres comme s'ils étaient plus importants et que leur petite personne justifiait de maintenir autrui dans la servitude.
Alors que ça plus d'un siècle que l'anthropologie, la sociologie et les sciences politiques documentant les effets des systèmes de pouvoirs, de domination et d'oppression.
Et ensuite, ça pleurniche sur l'insécurité et sur la violence, et ça réclame plus d'autorité, qui va engendrer davantage d'insécurité, de servitude, de dominations diverses, d'exploitations, d'oppressions, d'inégalités qui mèneront à davantage de mécontentements et de violences, mais c'est pas grave, tant qu'on arrive à justifier la pseudo-légitimité factice de son pouvoir usurpé sur autrui, son allégeance à un ordre imposé et en fait, violent par nature, intrinsèquement, tout en rejetant la faute des violences sur les autres, les pauvres, les gueux, les mendiants et les traînes-savates, quand ce n'est pas l'hypocrisie de tout mettre sur le dos du bouc-émissaire étatique, pourtant à la botte de la classe dominante de qui on va lécher les semelles dans l'espoir de conserver sa miette de pouvoir.
Tout ce système est très connu depuis des siècles, en fait La Boétie appelait déjà çà la servitude volontaire, dès le XVIe siècle, - et encore, je dis çà pour ne pas remonter plus haut, le nature violente et corruptrice du pouvoir, des dominations, et des hiérarchies, on connaît çà depuis au moins depuis l'avènement de la philosophie chrétienne médiévale, pour ne pas parler des philosophes grecs comme Diogène pour qui la vie des honneurs était le vice à éviter.
Mais bon, on va dire que c'est l'égalité qui engendre la violence, comme ça pas besoin de remettre en question la doxa de l'ordre établi et de l'autoritarisme, et puis s'enfermer dans un cercle vicieux d'oppression-violence-prétexte à oppression-violence en réponse ad vitam c'est sans doute plus satisfaisant pour les bénis-oui-oui de la classe dominante que de reconnaître à chaque être humain (pour commencer) la dignité d'un être vivant qui ne vous appartient pas et sur qui vous n'avez aucune espèce de droit.
Dans un monde où le seul fondement que ceux qui se prennent pour des intelligents trouvent à la liberté, c'est le droit artificiel à la propriété privée sacralisée et à l'usurpation d'autorité, on pourra pleurnicher longtemps que ce sont les inégalités qui font la violence.Si l'égalité et la liberté véritables sont essentielles pour réduire la violence, quelles étapes concrètes penses tu que la société devrait entreprendre pour démanteler les systèmes de domination et de hiérarchie existants ? Sachant que les hommes sont tous dissemblables et que cette dissemblance mène naturellement vers des conflits. Car l'autre c'est ce qui n'est pas moi avec son histoire et sa psyché qui lui est prorpre, et en même temps que l'autre est comme moi. Mais cette similitude n'anhile pas pour autant la possibilité d'une violence, comme celles ou s'entrechoquent des positions divergeantes
Déjà, nulle part je n'affirme que la liberté **réduit** la violence, et pour l'égalité, c'est bien possible, mais ça reste encore à vérifier. En revanche ça n'en provoque pas davantage que les systèmes de domination impérialistes inégalitaires, ça c'est pour l'histoire des empires et du colonialisme. D'autre part, les conflits, c'est pas mauvais en soi, c'est d'ailleurs ce qui permet de renverser les dits systèmes de domination, et tu fais la confusion entre les conflits et la violence ; un conflit n'est pas forcément violent ; tout comme la violence n'est pas forcément conflictuelle, je peux parfaitement exercer une violence symbolique sur toi sans provoquer le moindre conflit, c'est ce que font d'ailleurs les pervers narcissiques pour soumettre leurs victimes à leur égocentrisme.
Par ailleurs, il n'est pas souhaitable de supprimer toute hiérarchie. Sur un bateau, il faut bien un capitaine pour fixer le cap et coordonner l'équipage. La question c'est de savoir qui joue le rôle du capitaine et de quelle manière. Être lucide sur les pseudos-justifications oiseuses des inégalités et remettre en question les discours stupides qui cherchent à les justifier fallacieusement à coup de pseudo-légitimité factice n'empêche de reconnaître que le mal est nécessaire ; Pour situer ma réflexion, je suis solidariste & institutionnaliste, je ne vais pas supprimer toutes les institutions sous prétexte de libertarianisme imbécile où ce serait le far wets et où chacun porterait des armes à feu pour soi-disant défendre sa propriété par lui-même selon son caprice égocentrique. Je te confirme donc que les institutions sont nécessaires pour organiser le vivre-ensemble, surtout qu'en tant que chrétien je crois que l'homme est pécheur.
Ca ne m'empêche de rire (jaune) quand je lis des divagations visant à justifier les inégalités produites par les systèmes de domination quand j'en vois.
Pour répondre tout de même plus précisément à ta question, toute pouvoir tire son autorité de la nécessité de la coopération, et non d'un **combat contre la violence** qui serait voué à l'échec vu qu'il est naïf de croire que ce qui provoque le problème résoudra le problème. Fondamentalement,; il n'y a pas de différence entre un pouvoir fort centralisé ou un systèmer anarcho-capitaliste libertarien, dans le sens où dans les deux cas, c'est celui qui a la force qui va s'accaparer le pouvoir, de toute façon. Seule l'échelle du pouvoir change - et ça change beaucoup de choses en pratique -, mais ça ne change pas la nature du pouvoir qui s'accapare et qui s'exerce par la force. Le chacun pour soi ou le un pour tous et tous pour un relève de la même logique de pouvoir. Quelqu'un qui a les moyens de prendre ascendant sur autrui pour son propre bénéfice risque de le faire - disons que j'évaluerait à 95% les chances qu'un humain normalement constitué réponde à la tentation d'opportunisme, et sauf quelques moines - et encore, il y a des pouvoirs dans un monastères, l'abbé ou d'autres instances existent là encore pour réguler la vie monacale - ou saints pourraient y renoncer. Je n'en fais pas partie d'ailleurs. Si on me donnait le pouvoir, je le prendrais, pas forcément pour en profiter perosnnellement, mais pour prouver que mes idées sont les bonnes et que j'ai raison ; les motivations peuvent varier mais au bout du compte, le pouvoir est la drogue de l'humanité, se sentir important sur cette petite planète perdue dans la galaxie ça marche pour tout le monde, je pense, et on l'assouvit à des degrés et de manières différentes. Certains préféreront être des éminences grises, d'autres de sinfluenceurs charismatiques, des lanceurs d'alerte, ou n'importe quoi, tant qu'on est persuadés de voir la vérité mieux que les autres et de vouloir que notre avis, notre nom, notre personnalité, n'importe quoi, devienne important.
C'est même la base de la psychologie du larbin qui sait qu'il ne pourra pas prendre le pouvoir de lui-même mais qui espère partager une miette de la gloire (ou de la richesse) de son maîmaître en se prosternant devant lui.
Mais supprimer une hiérarchie ne changera pas cette tendance.Et donc, la seule manière de réguler tout ça, c'est d'ériger des contre-pouvoirs pour surveiller le dépositaire de l'autorité et l'empêcher d'abuser de son pouvoir, quitte à redistribuer les richesses aspirés par ce pouvoir.
Si le pouvoir tend toujours à corrompre et que même les contre-pouvoirs peuvent devenir oppressifs, comment pouvons-nous éviter que la mise en place de nouvelles structures pour réguler le pouvoir ne conduise simplement à d'autres formes de domination et d'inégalité ?
Le 14 novembre 2024 à 18:59:
Eh oui mon grand. Malgré tes 50 piges, tu ne peux pas t'assoier sur la table du forum et poser tes couilles. Sais-tu pourquoi ? Parce que la simple culture ne suffit, pas plus que tes convictions idéologiques gauchisantes. Il faut quelque chose de plus. Cette chose est bien plus difficile à acquérir que tout le contenu de ta memoire à long terme.
eh oui mon petit, seulement, il me manque peut-être l'étincelle du génie que vous déployez à défendre vos préjugés droitards, mais la culture, même si elle n'est pas suffisante, elle est en déjà nécessaire pour parler de la réalité au lieu de prendre ses préjugés fantasmagoriques tirés de son chapeau fébrile pour la vérité universelle.
Ca s'appelle la curiosité - Nietzsche appelait çà la conscience intellectuelle dans le Gai Savoir.
Et ce n'est pas quand on en manque et qu'on prend sa doxa pour la réalité qu'on risque de pouvoir imposer son point de vue - que ce soit avec violence ou non - en fait.
Pour développer un argumentaire un tant soit peu cohérent et qui ne relève pas de la mythologie idéologique, 'faut commencer par savoir exercer son esprit critique, sa curiosité, par se remettre en question et par aller chercher un peu plus loin, au lieu de se croire le plus fort de basse-cour (de récréation) en balançant des pelletées de platitudes éculées.
Le 15 novembre 2024 à 17:22:43 :
Le 14 novembre 2024 à 18:12:
Tout débat ne peut naturellement avoir lieu sans la violence.
Si tu refuses l'idée de la possibilité de te faire violer, ne t'etonne pas
- captain pilier de comptoir, mais désolé de te contredire, des débats sans violence, ça existe, ça s'appelle une discussion entre amis. En plus, encore une fois, tu confonds conflictualité et violence. Il peut y avoir conflit sans violence et vice versa.
...Et pour venir dire à quelqu'un qui vient de vous démontrer la naïveté de vos affirmations qui relèvent des stéréotypes de la doxa qu'à aucun moment votre pensée critique (si vous en avez) ne va chercher à remettre en question pour chercher à penser un peu plus loin, il faut vraiment être en manque d'arguments...
Si le pouvoir corrompt inévitablement et que les hiérarchies conduisent souvent à l'oppression, est-il cohérent de les considérer comme nécessaires pour organiser le vivre-ensemble ?
Le 15 novembre 2024 à 17:28:37 :
Le 14 novembre 2024 à 18:59:
Eh oui mon grand. Malgré tes 50 piges, tu ne peux pas t'assoier sur la table du forum et poser tes couilles. Sais-tu pourquoi ? Parce que la simple culture ne suffit, pas plus que tes convictions idéologiques gauchisantes. Il faut quelque chose de plus. Cette chose est bien plus difficile à acquérir que tout le contenu de ta memoire à long terme.
eh oui mon petit, seulement, il me manque peut-être l'étincelle du génie que vous déployez à défendre vos préjugés droitards, mais la culture, même si elle n'est pas suffisante, elle est en déjà nécessaire pour parler de la réalité au lieu de prendre ses préjugés fantasmagoriques tirés de son chapeau fébrile pour la vérité universelle.
Ca s'appelle la curiosité - Nietzsche appelait çà la conscience intellectuelle dans le Gai Savoir.
Et ce n'est pas quand on en manque et qu'on prend sa doxa pour la réalité qu'on risque de pouvoir imposer son point de vue - que ce soit avec violence ou non - en fait.
Pour développer un argumentaire un tant soit peu cohérent et qui ne relève pas de la mythologie idéologique, 'faut commencer par savoir exercer son esprit critique, sa curiosité, par se remettre en question et par aller chercher un peu plus loin, au lieu de se croire le plus fort de basse-cour (de récréation) en balançant des pelletées de platitudes éculées.
Tu fais bien souligner l'mportance de la curiosité et de l'esprit critique pour éviter de tomber dans des platitudes idéologiques. Dans cette perspective, comment pouvons-nous remettre en question les systèmes actuels sans reproduire les mêmes schémas que nous critiquons ?
Le 14 novembre 2024 à 19:01:
T'es une Belle âme hégélienne, en d'autres termes un neuneu
Je n'en dirais même pas autant de toi. Bien que je foule allégrement le système hégélien, lui au moins, il a construit quelque chose de développé, de construit et de réfléchi, contrairement à tes blablas qui n'ont même pas l'intérêt de revêtir les oripeaux d'une construction intellectuelle un tant soit peu pensée.
Le 15 novembre 2024 à 17:32:27 :
Le 14 novembre 2024 à 19:01:
T'es une Belle âme hégélienne, en d'autres termes un neuneu
Je n'en dirais même pas autant de toi. Bien que je foule allégrement le système hégélien, lui au moins, il a construit quelque chose de développé, de construit et de réfléchi, contrairement à tes blablas qui n'ont même pas l'intérêt de revêtir les oripeaux d'une construction intellectuelle un tant soit peu pensée.
Le 15 novembre 2024 à 17:32:27 :
Le 14 novembre 2024 à 19:01:
T'es une Belle âme hégélienne, en d'autres termes un neuneu
Je n'en dirais même pas autant de toi. Bien que je foule allégrement le système hégélien, lui au moins, il a construit quelque chose de développé, de construit et de réfléchi, contrairement à tes blablas qui n'ont même pas l'intérêt de revêtir les oripeaux d'une construction intellectuelle un tant soit peu pensée.
Tu vois bien que la violence est nécessaire, puisque toi même tu viens de tomber comme un rat dans le piège tendu pour ton amour-propre, et tu tends à reproduire les mêmes comportements que ton interlocuteur afin de restaurer l'équilibre, le contrôle perçu de la situation. Les egos sont voués à s'entrechoquer car les individus sont différents et cherchent à se faire valoir.
Pas de bol
Le 14 novembre 2024 à 19:09:
Par ailleurs ce rejet du conflit fait bien de toi un réactionnaire.
Non seulement t'es dans une utopie, mais en plus tu fais un procès radical à ce qui est le moteur de l'Histoire et du progrès: les guerres, les massacres, les asservissements, les Révolutions.On doit beaucoup de belles choses aux deux guerres mondiales et même aux nazis.
Je ne sais où tu as vu que je rejette le conflit, mais sérieusement, tu te tires une balle dans le pied, là... Arrête, parce que tu te descends tout seul, mon petit.
Surtout que le conflit c'est quand même un peu la seule manière opérante de renverser les systèmes de domination inégalitaires que je dénonce, donc 'faut vraiment être un neuneu pour croire que je rejette le conflit.
En fait, tout ca que ça montre, c'est que tu projettes ta propre pusillanimité sur ton contradicteur.
Tout ça pour défendre un discours sans queue ni tête qui accumulent les non-sens en cherchant à justifier les inégalités sous prétexte que ça calmerait les violences.
Alors qu'il suffit de s'intéresser un peu aux sciences de l'homme, à l'anthropologie, à l'histoire, à l'archéologie, à l'ethnologie, pour savoir que c'est le contraire.
Pour rappel :
Le 15 novembre 2024 à 17:22:
Le 14 novembre 2024 à 18:12:
Tout débat ne peut naturellement avoir lieu sans la violence.
Si tu refuses l'idée de la possibilité de te faire violer, ne t'etonne pas
- captain pilier de comptoir, mais désolé de te contredire, des débats sans violence, ça existe, ça s'appelle une discussion entre amis. En plus, encore une fois, tu confonds conflictualité et violence. Il peut y avoir conflit sans violence et vice versa.
...Et pour venir dire à quelqu'un qui vient de vous démontrer la naïveté de vos affirmations qui relèvent des stéréotypes de la doxa qu'à aucun moment votre pensée critique (si vous en avez) ne va chercher à remettre en question pour chercher à penser un peu plus loin, il faut vraiment être en manque d'arguments...
Le 14 novembre 2024 à 22:50:34 :
Le 14 novembre 2024 à 18:12:08 :
Tout débat ne peut naturellement avoir lieu sans la violence.Si tu refuses l'idée de la possibilité de te faire violer, ne t'etonne pas
Un débat c'est l'inverse de la violence.
non, ce n'est pas l'inverse, un débat peut être ou ne pas être violent, les opposer n'est pas davantage constructif que les associer. Ce sont deux choses qui peuvent se croiser, voilà tout...
Quand on regarde le genre de débats que mènent Trump ou Milei, on ne peut pas dire que c'est l'inverse de la violence. Mais bon, en même temps ce sont deux personnages qui s'adressent à la bêtise des gens et qui exacerbent leur stupidité au lieu d'élever leur esprit, donc bon, c'est p'têt' pas le meilleur exemple...
Toujours est-il que ça n'a pas plus de sens de les opposer que de les coller ensemble à perpétuité.
Prends pas trop d'assurance. J'ai un diplôme de psychologie, reconnue institutionnellement.
Le 14 novembre 2024 à 22:59:
Le 14 novembre 2024 à 16:25:
On va dire que la qualité des débats sur ce forum est inversement proportionnelle à la propension à prendre ses affirmations tirées du fondement pour la réalité, en décrétant que l'égalité ou la liberté créent la violence, mais que les hiérarchies, les systèmes de domination et les inégalités n'en créent pas, comme si dans l'histoire, la violence n'avait jamais été exercée pour s'accaparer le pouvoir, pour prendre le pas sur ses concurrents, pour maintenir son autorité ou sa domination sur autrui, pour faire des prisonniers et des esclaves, pour maintenir le statu quo d'une autorité qui pratique le pillage fiscal, quand bien sûr elle n'est pas provoquée par les famines qui entraînent des révoltes et des séditions diverses...
Je pense que c'est faux de dire que toute autorité de l'un sur l'autre est une violence. Par exemple, tu n'es pas président de la république, Messieurs Macron & cie oui, est ce que tu le vis comme une violence ? La plupart des gens ne le vivent pas comme une violence en tous cas.
Vu que je suis anti-macroniste, oui, je prends çà pour une violence. Mais la question n'est même pas là, réduire les questions d'inégalités à **il est président de la république et pas toi, c'est pas de la violence** ça n'a aucun sens, c'est juste une phrase. Je te renvoie à Wittgenstein. Les sources et les effets des inégalités, ça s'étudie en sociologie, en sciences politiques, en philosophie et en anthropologie, ça n'a rien à vpoir avec lolilol il est chef de l'Etat et pas toi. Je te recommanderais bien de lire quelqu'un comme David Graeber, Nicolas Framont ou encore Lucas Chancel, mais déjà, 'faudrait savoir de quoi on parle quand on parle d'inégalités, ça commence là : https://youtu.be/sdLof_zjoms?si=BedCRaHEuW-GDuCA et ensuite par ici : https://youtu.be/49Kv9GgGgG2r0?si=d7IWDfg4rv7ulP2V&t=65 par exemple (les sous-titres sont dispos si tu as du mal avec l'anglais)...
Oui dans une société inégalitaire il y a parfois des abus de pouvoir et des révolutions, mais paradoxalement c'est quand elles prennent fin, avant cela il y a un équilibre qui peut durer des siècles. La société égalitaire elle n'a pas d'équilibre arrêté et exige un conflit permanent de tous contre nous pour arbitrer les problèmes à chaque instant.
Non, car là tu confonds égalité et anomie, c'est pas parce qu'on instaure une égalité de fait que ce sera la guerre de tous contre tous, au contraire d'ailleurs, la guerre de tous contre tous, l'instabilité c'est ce qu'engendre la concurrence pour les postes hiérarchiques, pas l'égalité.
L'égalité, c'est le contraire de l'anomie - il faut une loi pour l'imposer - et ça n'a rien d'instable, contrairement à la compétition permanente de nos sociétés qui sont en train de s'effondrer sur elles-mêmes.
En revanche, il est certain que ça coûte plus cher (en tout cas aux yeux des riches) ; quoique si on met bout à bout tous les gaspillages d'énergie des systèmes inégalitaires actuels qui serait épargnés, au final, le bilan est rien moins que certain...
Le 15 novembre 2024 à 18:00:
Prends pas trop d'assurance. J'ai un diplôme de psychologie, reconnue institutionnellement.
Je n'ai que faire de tes arguments d'autorité, j'ai un doctorat en sémiologie à mon actif et j'en prépare un autre en anthropo, et je m'en sers pas pour péter plus haut que ma tronche pour autant.
Le 14 novembre 2024 à 22:59:
Le 14 novembre 2024 à 16:25:
On va dire que la qualité des débats sur ce forum est inversement proportionnelle à la propension à prendre ses affirmations tirées du fondement pour la réalité, en décrétant que l'égalité ou la liberté créent la violence, mais que les hiérarchies, les systèmes de domination et les inégalités n'en créent pas, comme si dans l'histoire, la violence n'avait jamais été exercée pour s'accaparer le pouvoir, pour prendre le pas sur ses concurrents, pour maintenir son autorité ou sa domination sur autrui, pour faire des prisonniers et des esclaves, pour maintenir le statu quo d'une autorité qui pratique le pillage fiscal, quand bien sûr elle n'est pas provoquée par les famines qui entraînent des révoltes et des séditions diverses...Je pense que c'est faux de dire que toute autorité de l'un sur l'autre est une violence. Par exemple, tu n'es pas président de la république, Messieurs Macron & cie oui, est ce que tu le vis comme une violence ? La plupart des gens ne le vivent pas comme une violence en tous cas.
Oui dans une société inégalitaire il y a parfois des abus de pouvoir et des révolutions, mais paradoxalement c'est quand elles prennent fin, avant cela il y a un équilibre qui peut durer des siècles. La société égalitaire elle n'a pas d'équilibre arrêté et exige un conflit permanent de tous contre nous pour arbitrer les problèmes à chaque instant.
Nota bene :
Mais là où réside la violence à mon sens, c'est pas tellement dans l'inégalité elle-même que dans les rhétoriques fallacieuses de justifications produites par les instances de domination pour maintenir le statu quo. Une inégalité, c'est pas si grave, ça se compense ou ça se répare, c'est pas en soi un problème insurmontable.
Ce qui est insupportable, ce sont tous les discours pour dire : « vous voyez, si je suis supérieur à vous autres, c'est pas juste parce que j'ai eu la chance d'avoir l'opportunité de m'imposer sur vous - quel que soit le moyen employé, la force, l'élection, la compétition ou autre - c'est que c'était normal que je vous domine parce que je suis intrinsèquement plus méritant que vous, j'ai bossé pour être un parasite en captant le produit de votre travail pour mon confort ou pour ma petite gloriole perso »
C'est çà qui devient n'importe quoi. Les mecs qui sont au sommet, en plus, sont tellement ridiculement faibles d'esprit qu'ils croient à leurs propre propagande fantasmagoriques comme des gros mythomanes. Ce qui ne les empêche pas de se présenter comme des parangons de génies intellectuels, alors qu'en définitive, pour être sélectionné au sommet, c'est pas de l'intelligence qu'il faut, mais une bonne capacité à se soumettre aux critères de conformité au système dominant.
Pour reprendre l'exemple de Macron, le **Mozart de la finance**, on est en train de découvrir que personne n'a pompé et endetté autant le pays que lui. C'est pas son pseudo-génie sorti du néant de l'imaginaire des propagandistes médiatiques qui l'a fait mettre là où il est, c'est juste sa soumission à la banque Rothschild.
Vu que je suis anti-macroniste, oui, je prends çà pour une violence. Mais la question n'est même pas là, réduire les questions d'inégalités à **il est président de la république et pas toi, c'est pas de la violence** ça n'a aucun sens, c'est juste une phrase. Je te renvoie à Wittgenstein. Les sources et les effets des inégalités, ça s'étudie en sociologie, en sciences politiques, en philosophie et en anthropologie, ça n'a rien à vpoir avec lolilol il est chef de l'Etat et pas toi. Je te recommanderais bien de lire quelqu'un comme David Graeber, Nicolas Framont ou encore Lucas Chancel, mais déjà, 'faudrait savoir de quoi on parle quand on parle d'inégalités, ça commence là : https://youtu.be/sdLof_zjoms?si=BedCRaHEuW-GDuCA et ensuite par ici : https://youtu.be/49Kv9GgGgG2r0?si=d7IWDfg4rv7ulP2V&t=65 par exemple (les sous-titres sont dispos si tu as du mal avec l'anglais)...
Sais-tu que ce que tu dis est non seulement très creux mais en plus les auteurs que tu cites sont mainstream et que tout étudiant L2 de Sociologie est censé connaître ? Si tu veux du mainstream sur la violence, tu as Simmel, et toute la crasse bourdieusienne qui tourne autour des concepts de champs et de violence symbolique inhérent aux rôles sociaux quelqu'ils soient. Si tu veux un truc un peu moins mainsteam mais que tout étudiant de socio est censé avoir lu en fin de licence, il y a La violence n'est pas un accident de Slavoj Zizek
Je n'ai que faire de tes arguments d'autorité, j'ai un doctorat en sémiologie à mon actif et j'en prépare un autre en anthropo, et je m'en sers pas pour péter plus haut que ma tronche pour autant.
Si tu n'en as rien à foutre de la représentation que les autres ont de toi, et n'es pas préoccupé par ton amour-propre, tu ne réagirais pas comme tu réagis.
En outre, pour quelqu'un qui vient prendre comme référence un Nota Bene, c'est-à-dire le type qui s'est émasculé par conviction de la nécessité de ne pas avoir de gosse, ton doctorat prête à sourire. Mais cela ne m'étonne pas vraiment, car je suis un homme d'expérience.
Le 15 novembre 2024 à 19:16:
Vu que je suis anti-macroniste, oui, je prends çà pour une violence. Mais la question n'est même pas là, réduire les questions d'inégalités à **il est président de la république et pas toi, c'est pas de la violence** ça n'a aucun sens, c'est juste une phrase. Je te renvoie à Wittgenstein. Les sources et les effets des inégalités, ça s'étudie en sociologie, en sciences politiques, en philosophie et en anthropologie, ça n'a rien à vpoir avec lolilol il est chef de l'Etat et pas toi. Je te recommanderais bien de lire quelqu'un comme David Graeber, Nicolas Framont ou encore Lucas Chancel, mais déjà, 'faudrait savoir de quoi on parle quand on parle d'inégalités, ça commence là : https://youtu.be/sdLof_zjoms?si=BedCRaHEuW-GDuCA et ensuite par ici : https://youtu.be/49Kv9GgGgG2r0?si=d7IWDfg4rv7ulP2V&t=65 par exemple (les sous-titres sont dispos si tu as du mal avec l'anglais)...
Sais-tu que ce que tu dis est non seulement très creux mais en plus les auteurs que tu cites sont mainstream et que tout étudiant L2 de Sociologie est censé connaître ? Si tu veux du mainstream sur la violence, tu as Simmel, et toute la crasse bourdieusienne qui tourne autour des concepts de champs et de violence symbolique inhérent aux rôles sociaux quelqu'ils soient. Si tu veux un truc un peu moins mainsteam mais que tout étudiant de socio est censé avoir lu en fin de licence, il y a La violence n'est pas un accident de Slavoj Zizek
Déjà pour commencer, je m'adressais pas à toi, je répondais @ Naifzorus , donc toi, 'faut arrêter de te prendre pour le centre du monde. Et surtout, je m'en tamponne que ce soit mainstream ou pas, en premier lieu Graeber n'a rien d'un mainstream académique, et c'est pas un sociologue, quant aux deux autres c'est normal qu'ils soient connus vu que ce sont des figures de proue de la recherche sur les inégalités, l'un en tant que journaliste et essayiste et l'autre en tant que chercheur.
Mais je ne dis ça que parce que tu cherches les arguments d'autorité, vu que ce qui importe, c'est la pertinence de ce qu'ils disent, et non leurs titres, mais bon, je sais à qui je m'adresse, monsieur le diplômé en psychologie...
Bref, dans tous les cas, je ne suis pas en L2 de sociologie, malheureusement pour toi, mais si c'est çà ton niveau, j'ai un truc pour toi, c'est adapté à la mentalité des collégiens :
https://youtu.be/B1N63jICTL4?si=La8lhMRZdzPYoWTi .
Et de fait, si les vidéos que j'ai citées en exemple dans mon post précédent sont des mainstream, c'est parce qu'avant de se prendre pour un trop génie original en dehors des clous, quand on discute d'un sujet, on commence par les bases. Et accessoirement, par se mettre d'accord sur ce dont on parle.
Les thèses avancées, elles viennent après, quand on s'est déjà mis d'accord sur les fondations. On commence pas à construire une maison en partant de la toiture, on commence par les fondations.
Je n'ai que faire de tes arguments d'autorité, j'ai un doctorat en sémiologie à mon actif et j'en prépare un autre en anthropo, et je m'en sers pas pour péter plus haut que ma tronche pour autant.
Si tu n'en as rien à foutre de la représentation que les autres ont de toi, et n'es pas préoccupé par ton amour-propre, tu ne réagirais pas comme tu réagis.
Je réagis pourtant toujours pareil devant la crétinerie des pédants gonflés comme des outres de leur propre importance quand ils débitent des platitudes de café du commerce de L2 socio.
Et je t'ai déjà expliqué que ça sert à rien de projeter sur les autres tes propres fautes : celui qui réagit n'importe comment quand on lui démonte sa pseudo-argumentation fallacieuse en faisant des attaques ad personam parce qu'il est démuni d'arguments de fond pour soutenir ses préjugés de gros bourgeois n'a aucune leçon à donner en la matière à autrui.
Celui ici qui se répand en inepties oiseuses et qui étale ses diplômes en psycho comme si ça lui donnait le dernier mot quand il n'est même pas capable de développer une démonstration argumentative cohérente et réfléchie, c'est toi. Ne renverse pas les choses, c'est parfaitement vain, ça ne fait que dévoiler la vacuité de ta pensée non-critique et ton absence totale de capacité à se remettre en question.
Du coup, si tu te soucies de l'image que tu renvoies et de la représentation que les autres ont de toi, tu pourrais, au hasard, commencer par cesser de faire le poseur en t'imaginant que parce que je me fiche des arguments d'autorité, c'est que je ne fais pas attention à la représentation que je veux donner de moi.
Au fait, plop à toi !
En outre, pour quelqu'un qui vient prendre comme référence un Nota Bene, c'est-à-dire le type qui s'est émasculé par conviction de la nécessité de ne pas avoir de gosse, ton doctorat prête à sourire. Mais cela ne m'étonne pas vraiment, car je suis un homme d'expérience.
je **prend pas référence** sur un quelconque nota bene, inculte inopérant, un note bene est un ajout en fin de lettre qui correspond à complément d'information et ça se distingue du post-scriptum du fait qu'il aborde un point important complémentaire plutôt qu'un oubli post-signature.
Tiens, pour instruire le diplômé en psycho : https://fr.wikipedia.org/wiki/Nota_bene on va lui rappeler les bases des notes de bas de page.
Le 15 novembre 2024 à 21:34:53 :
Le 15 novembre 2024 à 19:16:
Vu que je suis anti-macroniste, oui, je prends çà pour une violence. Mais la question n'est même pas là, réduire les questions d'inégalités à **il est président de la république et pas toi, c'est pas de la violence** ça n'a aucun sens, c'est juste une phrase. Je te renvoie à Wittgenstein. Les sources et les effets des inégalités, ça s'étudie en sociologie, en sciences politiques, en philosophie et en anthropologie, ça n'a rien à vpoir avec lolilol il est chef de l'Etat et pas toi. Je te recommanderais bien de lire quelqu'un comme David Graeber, Nicolas Framont ou encore Lucas Chancel, mais déjà, 'faudrait savoir de quoi on parle quand on parle d'inégalités, ça commence là : https://youtu.be/sdLof_zjoms?si=BedCRaHEuW-GDuCA et ensuite par ici : https://youtu.be/49Kv9GgGgG2r0?si=d7IWDfg4rv7ulP2V&t=65 par exemple (les sous-titres sont dispos si tu as du mal avec l'anglais)...
Sais-tu que ce que tu dis est non seulement très creux mais en plus les auteurs que tu cites sont mainstream et que tout étudiant L2 de Sociologie est censé connaître ? Si tu veux du mainstream sur la violence, tu as Simmel, et toute la crasse bourdieusienne qui tourne autour des concepts de champs et de violence symbolique inhérent aux rôles sociaux quelqu'ils soient. Si tu veux un truc un peu moins mainsteam mais que tout étudiant de socio est censé avoir lu en fin de licence, il y a La violence n'est pas un accident de Slavoj Zizek
Déjà pour commencer, je m'adressais pas à toi, je répondais @ Naifzorus , donc toi, 'faut arrêter de te prendre pour le centre du monde. Et surtout, je m'en tamponne que ce soit mainstream ou pas, en premier lieu Graeber n'a rien d'un mainstream académique, et c'est pas un sociologue, quant aux deux autres c'est normal qu'ils soient connus vu que ce sont des figures de proue de la recherche sur les inégalités, l'un en tant que journaliste et essayiste et l'autre en tant que chercheur.
Mais je ne dis ça que parce que tu cherches les arguments d'autorité, vu que ce qui importe, c'est la pertinence de ce qu'ils disent, et non leurs titres, mais bon, je sais à qui je m'adresse, monsieur le diplômé en psychologie...
Bref, dans tous les cas, je ne suis pas en L2 de sociologie, malheureusement pour toi, mais si c'est çà ton niveau, j'ai un truc pour toi, c'est adapté à la mentalité des collégiens :
https://youtu.be/B1N63jICTL4?si=La8lhMRZdzPYoWTi .Et de fait, si les vidéos que j'ai citées en exemple dans mon post précédent sont des mainstream, c'est parce qu'avant de se prendre pour un trop génie original en dehors des clous, quand on discute d'un sujet, on commence par les bases. Et accessoirement, par se mettre d'accord sur ce dont on parle.
Les thèses avancées, elles viennent après, quand on s'est déjà mis d'accord sur les fondations. On commence pas à construire une maison en partant de la toiture, on commence par les fondations.
Je n'ai que faire de tes arguments d'autorité, j'ai un doctorat en sémiologie à mon actif et j'en prépare un autre en anthropo, et je m'en sers pas pour péter plus haut que ma tronche pour autant.
Si tu n'en as rien à foutre de la représentation que les autres ont de toi, et n'es pas préoccupé par ton amour-propre, tu ne réagirais pas comme tu réagis.
Je réagis pourtant toujours pareil devant la crétinerie des pédants gonflés comme des outres de leur propre importance quand ils débitent des platitudes de café du commerce de L2 socio.
Et je t'ai déjà expliqué que ça sert à rien de projeter sur les autres tes propres fautes : celui qui réagit n'importe comment quand on lui démonte sa pseudo-argumentation fallacieuse en faisant des attaques ad personam parce qu'il est démuni d'arguments de fond pour soutenir ses préjugés de gros bourgeois n'a aucune leçon à donner en la matière à autrui.Celui ici qui se répand en inepties oiseuses et qui étale ses diplômes en psycho comme si ça lui donnait le dernier mot quand il n'est même pas capable de développer une démonstration argumentative cohérente et réfléchie, c'est toi. Ne renverse pas les choses, c'est parfaitement vain, ça ne fait que dévoiler la vacuité de ta pensée non-critique et ton absence totale de capacité à se remettre en question.
Du coup, si tu te soucies de l'image que tu renvoies et de la représentation que les autres ont de toi, tu pourrais, au hasard, commencer par cesser de faire le poseur en t'imaginant que parce que je me fiche des arguments d'autorité, c'est que je ne fais pas attention à la représentation que je veux donner de moi.
Au fait, plop à toi !En outre, pour quelqu'un qui vient prendre comme référence un Nota Bene, c'est-à-dire le type qui s'est émasculé par conviction de la nécessité de ne pas avoir de gosse, ton doctorat prête à sourire. Mais cela ne m'étonne pas vraiment, car je suis un homme d'expérience.
je **prend pas référence** sur un quelconque nota bene, inculte inopérant, un note bene est un ajout en fin de lettre qui correspond à complément d'information et ça se distingue du post-scriptum du fait qu'il aborde un point important complémentaire plutôt qu'un oubli post-signature.
Tiens, pour instruire le diplômé en psycho : https://fr.wikipedia.org/wiki/Nota_bene on va lui rappeler les bases des notes de bas de page.
Je ne sais pas si tu as conscience de projeter tes propres accusations, car, si tu te relisais avec un peu plus de bonne foi, tu reconnaîtrais que les series de pavés creux ne sont pas synonyme de profondeur, et encore moins de pertinence ou d'une quelconque complexité de la pensée. N'importe quel aphorisme pascalien, formulé en très peu de mots, explose n'importe quel chieur pseudo-philosophique à la Onfray.
Tu devrais un peu plus mediter sur les citations dans ta signature plutôt que de les afficher comme le dernier m'as tu vu.
Si des gugus comme moi niquent le système et se retrouvent parqués dans des Masters après des doubles cursus de licence, il est grand temps de t'interroger sur ta propre carrière ainsi que sur sa signification.
Eh oui, tout ça c'est de la violence. Je ne sais pas si tu prends ton pied, mais moi oui car sans la liberté de te faire suer un peu, je m'ennuierai à mort. Ce qui, en même temps, répond en partie au titre du topax.
Le 15 novembre 2024 à 22:36:
Le 15 novembre 2024 à 21:34:
Le 15 novembre 2024 à 19:16:
Sais-tu que ce que tu dis est non seulement très creux mais en plus les auteurs que tu cites sont mainstream et que tout étudiant L2 de Sociologie est censé connaître ? Si tu veux du mainstream sur la violence, tu as Simmel, et toute la crasse bourdieusienne qui tourne autour des concepts de champs et de violence symbolique inhérent aux rôles sociaux quelqu'ils soient. Si tu veux un truc un peu moins mainsteam mais que tout étudiant de socio est censé avoir lu en fin de licence, il y a La violence n'est pas un accident de Slavoj Zizek
Déjà pour commencer, je m'adressais pas à toi, je répondais @ Naifzorus , donc toi, 'faut arrêter de te prendre pour le centre du monde. Et surtout, je m'en tamponne que ce soit mainstream ou pas, en premier lieu Graeber n'a rien d'un mainstream académique, et c'est pas un sociologue, quant aux deux autres c'est normal qu'ils soient connus vu que ce sont des figures de proue de la recherche sur les inégalités, l'un en tant que journaliste et essayiste et l'autre en tant que chercheur.
Mais je ne dis ça que parce que tu cherches les arguments d'autorité, vu que ce qui importe, c'est la pertinence de ce qu'ils disent, et non leurs titres, mais bon, je sais à qui je m'adresse, monsieur le diplômé en psychologie...
Bref, dans tous les cas, je ne suis pas en L2 de sociologie, malheureusement pour toi, mais si c'est çà ton niveau, j'ai un truc pour toi, c'est adapté à la mentalité des collégiens :
https://youtu.be/B1N63jICTL4?si=La8lhMRZdzPYoWTi .Et de fait, si les vidéos que j'ai citées en exemple dans mon post précédent sont des mainstream, c'est parce qu'avant de se prendre pour un trop génie original en dehors des clous, quand on discute d'un sujet, on commence par les bases. Et accessoirement, par se mettre d'accord sur ce dont on parle.
Les thèses avancées, elles viennent après, quand on s'est déjà mis d'accord sur les fondations. On commence pas à construire une maison en partant de la toiture, on commence par les fondations.
Si tu n'en as rien à foutre de la représentation que les autres ont de toi, et n'es pas préoccupé par ton amour-propre, tu ne réagirais pas comme tu réagis.
Je réagis pourtant toujours pareil devant la crétinerie des pédants gonflés comme des outres de leur propre importance quand ils débitent des platitudes de café du commerce de L2 socio.
Et je t'ai déjà expliqué que ça sert à rien de projeter sur les autres tes propres fautes : celui qui réagit n'importe comment quand on lui démonte sa pseudo-argumentation fallacieuse en faisant des attaques ad personam parce qu'il est démuni d'arguments de fond pour soutenir ses préjugés de gros bourgeois n'a aucune leçon à donner en la matière à autrui.Celui ici qui se répand en inepties oiseuses et qui étale ses diplômes en psycho comme si ça lui donnait le dernier mot quand il n'est même pas capable de développer une démonstration argumentative cohérente et réfléchie, c'est toi. Ne renverse pas les choses, c'est parfaitement vain, ça ne fait que dévoiler la vacuité de ta pensée non-critique et ton absence totale de capacité à se remettre en question.
Du coup, si tu te soucies de l'image que tu renvoies et de la représentation que les autres ont de toi, tu pourrais, au hasard, commencer par cesser de faire le poseur en t'imaginant que parce que je me fiche des arguments d'autorité, c'est que je ne fais pas attention à la représentation que je veux donner de moi.
Au fait, plop à toi !En outre, pour quelqu'un qui vient prendre comme référence un Nota Bene, c'est-à-dire le type qui s'est émasculé par conviction de la nécessité de ne pas avoir de gosse, ton doctorat prête à sourire. Mais cela ne m'étonne pas vraiment, car je suis un homme d'expérience.
je **prend pas référence** sur un quelconque nota bene, inculte inopérant, un note bene est un ajout en fin de lettre qui correspond à complément d'information et ça se distingue du post-scriptum du fait qu'il aborde un point important complémentaire plutôt qu'un oubli post-signature.
Tiens, pour instruire le diplômé en psycho : https://fr.wikipedia.org/wiki/Nota_bene on va lui rappeler les bases des notes de bas de page.Je ne sais pas si tu as conscience de projeter tes propres accusations, car, si tu te relisais avec un peu plus de bonne foi, tu reconnaîtrais que les series de pavés creux ne sont pas synonyme de profondeur, et encore moins de pertinence ou d'une quelconque complexité de la pensée. N'importe quel aphorisme pascalien, formulé en très peu de mots, explose n'importe quel chieur pseudo-philosophique à la Onfray.
Tu devrais un peu plus mediter sur les citations dans ta signature plutôt que de les afficher comme le dernier m'as tu vu.
Inutile d'essayer de se servir de mes propres reproches contre moi, vu que quand toi tu projettes, ça se voit. On dirait un gamin de 5 ans en cour de récréation de maternelle qui se délecte de clasher les autres pour se sentir plus intelligent que la moyenne. Aucun des mots inclus dans ton propos ne fait avancer la réflexion sur le sujet du topic, et je me demande si tu mesures à quel point tu es inintéressant.
J'essaye de te faire prendre conscience que tes posts ne servent à rien, que chercher à avoir le dernier mot, ça marche quand on dispose d'arguments pertinents, mais pas quand on se réfugie dans l'attaque ad-personam comme cache-misère de son manque de profondeur intellectuelle.
Il ne sert à rien de vouloir prendre exemple sur les aphorismes pascaliens : tes divagations n'ont rien à voir avec la réflexion intellectuelle d'un penseur de son niveau. D'ailleurs, tu révèles ton degré d'inintérêt dès que tu invoques ton gourou Onfray que tu fais semblant de mépriser alors que tu n'atteint pas son niveau.
Le 15 novembre 2024 à 22:38:
Si des gugus comme moi niquent le système et se retrouvent parqués dans des Masters après des doubles cursus de licence, il est grand temps de t'interroger sur ta propre carrière ainsi que sur sa signification.
Tu ne la connais pas, ma carrière, et de surcroît, 'faut cesser de te prendre pour le nombril de l'Univers : ce n'est pas parce que toi, tu ne t'interroges sur rien, pas plus sur ta carrière que sur autre chose, que ça t'autorise à croire que tout le monde fait comme toi et que personne ne s'interroge sur rien. Eh oui : c'est le sens de l'expression **se remettre en question** que j'évoquais déjà précédemment, mais dont tu ignores autant la signifiacation, que la mise en pratique.
Au moins, tu reconnais que tu es un gugusse, c'est déjà çà.
Mais cette première étape ne servira à que dalle si tu brandis ça en bannière décomplexée, si tu étales tes insuffisances comme des fiertés et que tu te répands en médiocrité avec un enthousiasme, - qui dois-je admettre, force l'admiration -, seulement, te satisfaire publiquement de ton indigence intellectuelle ne te rend pas moins inintéressant.
Le 15 novembre 2024 à 23:26:
Eh oui, tout ça c'est de la violence. Je ne sais pas si tu prends ton pied, mais moi oui car sans la liberté de te faire suer un peu, je m'ennuierai à mort. Ce qui, en même temps, répond en partie au titre du topax.
Non, ce que tu prends pour de la violence, c'est de la médiocrité. Peut-être que, parce que tu as la cervelle d'un bulot inopérant, ça t'excite, mais désolé de te décevoir, moi je m'ennuie. Quand je te lis j'ai l'impression de voir un gamin qui essaye d'imiter la sorcière Maléfique dans **La Belle au Bois dormant**, cherchant à jeter un maléfice d'endormissement à un mec qui voudrait qu'on ne lui gâche pas sa séance de visionnage de Psycho. Tu sais, le mieux à faire pour toi, ce serait de prendre **le Silence des Agneaux** non pas comme un titre de film, mais comme une injonction qui s'applique à tes pathétiques tentatives d'être pris au sérieux.
Donc je vais juste te poser une question est ensuite, cesser de répondre à tes provocations qui n'amusent personne (et il serait temps que tu te rendes compte que si tu crois l'emporter et enchaîner des victoires en prenant les divagations ineptes, niaises, ternes et insipides que tu multiplies tel un Jésus des trolls des petits pains fades, pour de la violence tu fais fausse route.)
Voici la question :
Est-ce que tu as des arguments pertinents pour faire avancer la réflexion sur le sujet du topic, pour critiquer mes arguments ?
Sinon, c'est pas la peine de balancer tes vannes pour attardés qui endorment tout le monde. Il n'y a aucune violence dans tes propos, juste de l'insignifiance mesquine et soporifère.