Oui |
Non |
Oui et non, cela dépend |
Je ne sais pas / je ne veut pas répondre |
N'esquive pas la question de ce que tu entends par "handicap" en disant qu'il signifie "désavantage", pour ensuite affirmer que la pauvreté serait un handicap. Prenons par exemple un directeur universitaire et un enseignant. Le directeur a naturellement de nombreux avantages et sans doute bien plus que l'enseignant, tant au niveau de la rémunération et des responsabilités administratives. L'enseignant se trouve t-il en situation de handicap face au directeur du seul fait qu'il est enseignant et l'autre directeur ?
Le 07 octobre 2024 à 21:26:43 :
Penser que le travail soigne l'esprit, c'est estimé qu'une femme qui ce fait violé tout les jours finiras par ci habitué et que part conséquent, la gravité de la chose auras diminué.C'est l'essence pur de l'esclavagisme, que de croire qu'imposé une influence sur autrui sans sont accord es bon pour lui.
Et il est normal, que quiconque subissant cela exprouve des véléité.
C'est ce montré indigne, d'exercé sont pouvoir.
Si tu force les autres, à contribué à la construction du reve qui es le tient, tu ne mérite pas sont apogée.Le travail, est un fardeau qui corrompt l'instant, mais égallement déprave le résultat de forme dans son ensemble.
Le plaisir, et l'envie les sublime.
Le 07 octobre 2024 à 21:33:35 :
Les gens bons sont ceux qui travaillent, les gens mauvais sont ceux qui ne travaillent pas.
Tu te trompe, l'homme bon es celui qui produit du bien, supprime du mal, améliore et partage.
L'homme mauvais, est celui qui supprime du bien, dégrade et partage des douleurs qui ne devrait pas l'etre.
Le travail, est une souffrance par conséquent, ses fruits sont corrompues.
En revanche, tu peut produire sans travaillé.Je ne dit pas de craindre la souffrance ou l'évité, elle fait parfois partie du résultat sublime des choses, mais l'imposé à autrui contre sont grès, en ce cachant derriére un systeme, c'est etre un monstre hideu et sans forme.
Ce n'est pas le travail qui rend libre, c'est que, acceptant de jouer le jeu de quelques détraqué ils te donne quelque friandises detournée de ta productivité celle d'un autre homme innocent, on t autorise par exemple, à te soigné, a 'vivre', et si tu refuse, alors tu peut mourir.
D'ailleurs, les hommes mauvais, sont surtout des hommes repondant à des influences de souffrance.
Mais pour en revenir au travail, je croit que si il était un individu, en sa présence, n'importe quel homme censé l'abattrais sur le champs, car lui, ne ce gene pas pour volé du temps, à chacun d'entre eux.
Si le travail est une souffrance qui corrompt tout résultat, comment vas tu nous expliquer que certaines personnes trouvent du sens, de la satisfaction et même de l'épanouissement dans leur travail quand d'autres souffrent en ne foutant rien et ont un sentiment de vide existentiel à travers la vacuité de leur vie ?
L'absence de travail en tant qu'effort collectif de transformer son habitat et de perpétuer les modes de vie ne menerait-elle pas l'homme vers une forme primitive d'animalité ? Je te rappelle que si t'es en train de shitposter ton caca là, c'est seulement parce qu'il y a des hommes et des femmes qui travaillent, et qui te permettent d'offrir ce droit de shitposter ainsi que leur cracher à la figure car comment organiser une société où chacun bénéficie des fruits du bien commun sans que personne ne soit tenu de contribuer d'une manière ou d'une autre ?
Le 07 octobre 2024 à 21:50:53 :
N'esquive pas la question de ce que tu entends par "handicap" en disant qu'il signifie "désavantage", pour ensuite affirmer que la pauvreté serait un handicap. Prenons par exemple un directeur universitaire et un enseignant. Le directeur a naturellement de nombreux avantages et sans doute bien plus que l'enseignant, tant au niveau de la rémunération et des responsabilités administratives. L'enseignant se trouve t-il en situation de handicap face au directeur du seul fait qu'il est enseignant et l'autre directeur ?
Pour la définition de handicape;
Premiere sur google chez moi
Course de chevaux ou épreuve sportive où l'on impose aux meilleurs concurrents certains désavantages au départ afin d'équilibrer les chances de succès.
L'handicape peut etre physique ou mateirel, supposé à tort ou as raison ou avérée.
Tu semble d'ailleurs de cette avis lorsque tu pretend que les pauvre ne sont pas handicapé mais que le riche lui, si.
Car la difference entre l'un es l'autre est jusqu ici simplement materiel, mais quand on change le sens de conclusion, ce serais faux?
J ai pas tout suivi.
Les riches peuvent etre handicapée, contraint malgrés eux d'etre des faibles parasites, et les pauvre on au contraire "la liberté" d'etre des esclaves de travaillé.
Jolie théorie et inversion accusatoire.
Bien, les riches le souhaitant peuvent devenir pauvre en quelques minutes, pourquoi ne ce libére ils pas du fardeau de la richesse?
Le 07 octobre 2024 à 21:26:43 :
Penser que le travail soigne l'esprit, c'est estimé qu'une femme qui ce fait violé tout les jours finiras par ci habitué et que part conséquent, la gravité de la chose auras diminué.C'est l'essence pur de l'esclavagisme, que de croire qu'imposé une influence sur autrui sans sont accord es bon pour lui.
Et il est normal, que quiconque subissant cela exprouve des véléité.
C'est ce montré indigne, d'exercé sont pouvoir.
Si tu force les autres, à contribué à la construction du reve qui es le tient, tu ne mérite pas sont apogée.Le travail, est un fardeau qui corrompt l'instant, mais égallement déprave le résultat de forme dans son ensemble.
Le plaisir, et l'envie les sublime.
Le 07 octobre 2024 à 21:33:35 :
Les gens bons sont ceux qui travaillent, les gens mauvais sont ceux qui ne travaillent pas.
Tu te trompe, l'homme bon es celui qui produit du bien, supprime du mal, améliore et partage.
L'homme mauvais, est celui qui supprime du bien, dégrade et partage des douleurs qui ne devrait pas l'etre.
Le travail, est une souffrance par conséquent, ses fruits sont corrompues.
En revanche, tu peut produire sans travaillé.Je ne dit pas de craindre la souffrance ou l'évité, elle fait parfois partie du résultat sublime des choses, mais l'imposé à autrui contre sont grès, en ce cachant derriére un systeme, c'est etre un monstre hideu et sans forme.
Ce n'est pas le travail qui rend libre, c'est que, acceptant de jouer le jeu de quelques détraqué ils te donne quelque friandises detournée de ta productivité celle d'un autre homme innocent, on t autorise par exemple, à te soigné, a 'vivre', et si tu refuse, alors tu peut mourir.
D'ailleurs, les hommes mauvais, sont surtout des hommes repondant à des influences de souffrance.
Mais pour en revenir au travail, je croit que si il était un individu, en sa présence, n'importe quel homme censé l'abattrais sur le champs, car lui, ne ce gene pas pour volé du temps, à chacun d'entre eux.
Si le travail est une souffrance qui corrompt tout résultat, comment vas tu nous expliquer que certaines personnes trouvent du sens, de la satisfaction et même de l'épanouissement dans leur travail quand d'autres souffrent en ne foutant rien et ont un sentiment de vide existentiel à travers la vacuité de leur vie ?
Car en prenant plaisir au travail, ils le sublime?
Ou en prenant plaisir au sublime il y travail?
Ce qui d'ailleurs, est d ava'tage une oeuvre ou un effort, qu un travail à mon sens, travail, veut presque litterallement dire, effort imposé, torture, souffrance, ça m'as plutot l'air antagoniste a plaisir.
Oui, les masochiste et les sadique existent, mais les gens qui ce trompe de mot sont beaucoup plus communs.
Beaucoup parle de leurs fonction comme etant leurs travail, definission acceptable, neamoins, il prenne d avantage plaisir à leurs fonction et sa retribution, qu a la partie travail de celle ci, qui consiste en réalité, à faire exactement une chose qui nous est imposé, par l homme ou la nature, et nous deplait.
L'absence de travail en tant qu'effort collectif de transformer son habitat et de perpétuer les modes de vie ne menerait-elle pas l'homme vers une forme primitive d'animalité ? Je te rappelle que si t'es en train de shitposter ton caca là, c'est seulement parce qu'il y a des hommes et des femmes qui travaillent, et qui te permettent d'offrir ce droit de shitposter ainsi que leur cracher à la figure car comment organiser une société où chacun bénéficie des fruits du bien commun sans que personne ne soit tenu de contribuer d'une manière ou d'une autre ?
Tu traite de parasite ceux qui tente d echappé au travail, bien, donc si on supprimais le travail, il n y aurais par extension plus de parasite, mais toi tu prefere supprimé les gens, plutot que la cause de leurs souffrance? intriguant.
Moui, moui, la necessité...mais aussi le plaisir, et oui, des gens sans que l effort selectionné d un autre homme leurs soit imposé, on egallement produit des choses, et d ailleurs, souvent les meilleurs. (hommes et choses, vu que c est liée)
J'ai une vision differente, et alors tu voudrais me faire travaillé, me faire souffrir, dans le sens littéral et ancien du terme.
C'est pour cela que le monde va mal, car il y as beaucoup trop de travailleur, et pas suffisament de passioné libre d'oeuvré.
Pourquoi trop de gens travaille? Car les plus puissants de ce monde, souvent cherche eux meme à evité ce travaille et la facons la plus simple est comme pour la souffra'ce redondante, de l'imposé à autruit, car la solution alternative, consiste à mettre les gens la ou ils s'épanouisse, et ça, sa demande des efforts, mettre tout le monde au fers, n'importe quel handicapé moteur et mental le peut, pour vu qu'il en ai le materiel.
Simplement.
Tu supprime le travail, tu supprime une des principale raison de la souffrance deporté sur le monde.
Contribué ce n'est pas travaillé.
Les animaux ne travaille pas, Marc Aurèle la dit, mais il est un homme, et meme les empereur intelligent et sages, peuvent ce trompé.
Le travaille est issue de la necessité et de la paresse, produire pour ce proteger, mais c est une source de souffrances appliqué pour en contré une autre.
''Course de chevaux ou épreuve sportive où l'on impose aux meilleurs concurrents certains désavantages au départ afin d'équilibrer les chances de succès.
''
Oui mais on s'en moque de l'étymologie.
Par exemple sincère veut dire étymologiquement sans cire. Il y a tout un contexte après derrière. Mais de l'étymologie on s'en branle.
L'handicape peut etre physique ou mateirel, supposé à tort ou as raison ou avérée.
Pas matériel.
Le handicap, tu peux aller voir la définition des classifications internationales et de l'OMS, renvoie aux difficultés que rencontre une personne dans son intégration sociale en raison de déficiences mentales, psychiques, d'une altération de la motricité, de la sensorialité etc. Aucune mention du matériel.
J'aime pas argumenter avec des définitions instituées car ça fait handicapé, mais puisque tu viens de parler d'étymologie, je me permets de jouer à ton petit jeu.
Tu semble d'ailleurs de cette avis lorsque tu pretend que les pauvre ne sont pas handicapé mais que le riche lui, si.
Le riche n'est pas handicapé parce qu'il possède, mais parce qu'il tend à ne pas travailler. Cette situation de soustraction face au travail causée par son rapport particulier à l'argent et qui lui fait oublier qu'il provient du travail. Que derrière chaque dividendes, derrière chaque performance statistique, derrière chaque rente immobilière, il y a des êtres humains qui ont sué du front.
Car la difference entre l'un es l'autre est jusqu ici simplement materiel, mais quand on change le sens de conclusion, ce serais faux?
J ai pas tout suivi.
Les riches peuvent etre handicapée, contraint malgrés eux d'etre des faibles parasites, et les pauvre on au contraire "la liberté" d'etre des esclaves de travaillé.
Jolie théorie et inversion accusatoire.Bien, les riches le souhaitant peuvent devenir pauvre en quelques minutes, pourquoi ne ce libére ils pas du fardeau de la richesse?
Ces riches ils existent, ce sont ceux qui travaillent, et qui, malgré leur fortune ont des occupations sérieuses. Un camarade de classe avait des parents médecins, sa famille avait 5 appartements dans un quartier prisé qu'elle louait. Elle n'était pas dans l'obligation de travailler car le revenu tiré de ces 5 appartements hérités permettait largement de se soustraire au travail, et pourtant ils ont préféré avoir une activité plutôt que vivre en parasites.
Car en prenant plaisir au travail, ils le sublime?
Ou en prenant plaisir au sublime il y travail?
Ce qui d'ailleurs, est d ava'tage une oeuvre ou un effort, qu un travail à mon sens, travail, veut presque litterallement dire, effort imposé, torture, souffrance, ça m'as plutot l'air antagoniste a plaisir.
Oui, les masochiste et les sadique existent, mais les gens qui ce trompe de mot sont beaucoup plus communs.
Beaucoup parle de leurs fonction comme etant leurs travail, definission acceptable, neamoins, il prenne d avantage plaisir à leurs fonction et sa retribution, qu a la partie travail de celle ci, qui consiste en réalité, à faire exactement une chose qui nous est imposé, par l homme ou la nature, et nous deplait.
Tu racontes de la merde. Pour te soustraire aux questions que je te pose. Tu ne t'en sortiras pas comme ça. Non seulement les autres savent que tu as tort, mais en plus tu sais que tu as tort. Faute de savoir quoi répondre, tu réponds n'importe nawak. Comme pour le reste qui va suivre car la réponse a été donnée dans mes questions que je t'ai posé, et auxquelles tu refuses répondre.
Repronons notre histoire du directeur, tu vas sans doute me dire que l'enseignant est handicapé, et donc il est préférable d'être en position de directeur plutôt que de l'enseignant.
Supposons que maintenant le directeur soit un idiot incompétant et qui a embauché un larbin pour faire son boulot à sa place. C'est un avantage n'est-ce pas ? Mais préfères tu être l'enseignant que tu vas considéré comme handicapé ou le directeur qui se soustrait au travail en embauchant un subalterne pour faire son boulot à sa place ?
Le 07 octobre 2024 à 23:08:07 :
''Course de chevaux ou épreuve sportive où l'on impose aux meilleurs concurrents certains désavantages au départ afin d'équilibrer les chances de succès.
''
Oui mais on s'en moque de l'étymologie.
Par exemple sincère veut dire étymologiquement sans cire. Il y a tout un contexte après derrière. Mais de l'étymologie on s'en branle.L'handicape peut etre physique ou mateirel, supposé à tort ou as raison ou avérée.
Pas matériel.
Le handicap, tu peux aller voir la définition des classifications internationales et de l'OMS, renvoie aux difficultés que rencontre une personne dans son intégration sociale en raison de déficiences mentales, psychiques, d'une altération de la motricité, de la sensorialité etc. Aucune mention du matériel.
J'aime pas argumenter avec des définitions instituées car ça fait handicapé, mais puisque tu viens de parler d'étymologie, je me permets de jouer à ton petit jeu.Tu semble d'ailleurs de cette avis lorsque tu pretend que les pauvre ne sont pas handicapé mais que le riche lui, si.
Le riche n'est pas handicapé parce qu'il possède, mais parce qu'il tend à ne pas travailler. Cette situation de soustraction face au travail causée par son rapport particulier à l'argent et qui lui fait oublier qu'il provient du travail. Que derrière chaque dividendes, derrière chaque performance statistique, derrière chaque rente immobilière, il y a des êtres humains qui ont sué du front.
Car la difference entre l'un es l'autre est jusqu ici simplement materiel, mais quand on change le sens de conclusion, ce serais faux?
J ai pas tout suivi.
Les riches peuvent etre handicapée, contraint malgrés eux d'etre des faibles parasites, et les pauvre on au contraire "la liberté" d'etre des esclaves de travaillé.
Jolie théorie et inversion accusatoire.Bien, les riches le souhaitant peuvent devenir pauvre en quelques minutes, pourquoi ne ce libére ils pas du fardeau de la richesse?
Ces riches ils existent, ce sont ceux qui travaillent, et qui, malgré leur fortune ont des occupations sérieuses. Un camarade de classe avait des parents médecins, sa famille avait 5 appartements dans un quartier prisé qu'elle louait. Elle n'était pas dans l'obligation de travailler car le revenu tiré de ces 5 appartements hérités permettait largement de se soustraire au travail, et pourtant ils ont préféré avoir une activité plutôt que vivre en parasites.
Car en prenant plaisir au travail, ils le sublime?
Ou en prenant plaisir au sublime il y travail?
Ce qui d'ailleurs, est d ava'tage une oeuvre ou un effort, qu un travail à mon sens, travail, veut presque litterallement dire, effort imposé, torture, souffrance, ça m'as plutot l'air antagoniste a plaisir.
Oui, les masochiste et les sadique existent, mais les gens qui ce trompe de mot sont beaucoup plus communs.
Beaucoup parle de leurs fonction comme etant leurs travail, definission acceptable, neamoins, il prenne d avantage plaisir à leurs fonction et sa retribution, qu a la partie travail de celle ci, qui consiste en réalité, à faire exactement une chose qui nous est imposé, par l homme ou la nature, et nous deplait.Tu racontes de la merde. Pour te soustraire aux questions que je te pose. Tu ne t'en sortiras pas comme ça. Non seulement les autres savent que tu as tort, mais en plus tu sais que tu as tort. Faute de savoir quoi répondre, tu réponds n'importe nawak. Comme pour le reste qui va suivre car la réponse a été donnée dans mes questions que je t'ai posé, et auxquelles tu refuses répondre.
Khey, j ai surtout la flemme.
Passe une bonne soirée
Khey, j ai surtout la flemme.
Passe une bonne soirée
Je l'ai très bien compris et c'est pour ça que tu cherches des excuses en crachant sur le travail. Car si tu te mettais au boulot tu saurais quoi répondre de pertinent et pas n'importe nawak. Mais au lieu de travailler tu craches sur ce que font les travailleurs qui transforment leur monde et eux-mêmes en évoluant en même temps que leur travail par l'expérience qu'ils en ont et qu'ils continuent d'acquérir.
Asticot suivant !
En philosophie, tout particulièrement, on ne "s'en branle pas de l'étymologie". Comme l'énonce Giorgio Agamben, je paraphrase, la conceptualisation est le moment poétique de la pensée. On ne peut donc pas naïvement considérer les mots en dehors de leur étymologie, en dehors de leurs usages.
Sincère est en ce sens probant : le sincère, c'est, encore aujourd'hui, presque littéralement, celui qui est "sin cera", celui qui est sans ajout, qui est ce qu'il est, et ce faisant dont la bonté, les déclarations sont "sans tâche", "pures", etc.
Pourquoi donc s'attarder sur la multiplicité des significations, tant étymologiques que par leurs usages? Car la signification coule dans les mots, au cours des siècles jusqu'à nous, et dirige encore la signification globale des mots, leurs usages. Se laisser aller à la réduction des significations, c'est donc se laisser diriger par le langage, en toute méconnaissance de cause.
S'il est bien possible de refuser certaines significations, il est impropre de ne pas les considérer dans "ce moment poétique de la pensée".
Le 07 octobre 2024 à 23:39:35 :
Asticot suivant !
Reste dans ton personnage, toi :
Fleur suivante !
Le 08 octobre 2024 à 09:27:55 :
En philosophie, tout particulièrement, on ne "s'en branle pas de l'étymologie". Comme l'énonce Giorgio Agamben, je paraphrase, la conceptualisation est le moment poétique de la pensée. On ne peut donc pas naïvement considérer les mots en dehors de leur étymologie, en dehors de leurs usages.Sincère est en ce sens probant : le sincère, c'est, encore aujourd'hui, presque littéralement, celui qui est "sin cera", celui qui est sans ajout, qui est ce qu'il est, et ce faisant dont la bonté, les déclarations sont "sans tâche", "pures", etc.
Pourquoi donc s'attarder sur la multiplicité des significations, tant étymologiques que par leurs usages? Car la signification coule dans les mots, au cours des siècles jusqu'à nous, et dirige encore la signification globale des mots, leurs usages. Se laisser aller à la réduction des significations, c'est donc se laisser diriger par le langage, en toute méconnaissance de cause.
S'il est bien possible de refuser certaines significations, il est impropre de ne pas les considérer dans "ce moment poétique de la pensée".
Si la signification étymologique d'un mot devait toujours être prise en compte pour comprendre son sens, comment Arashi va t-il m'expliquer que la plupart des locuteurs n'ont aucune connaissance de cette étymologie, tout en utilisant pourtant correctement ce mot dans des contextes variés et cohérents ?
T'en connais toutes les étymologies exactes, mêmes celles qui sont discutées et sujettes à contreverses ? Je ne crois pas. Ce qui compte c'est le contenu du concept. Mais connaître l'histoire de la formation du sens contenu reste à la fois intéressant mais aussi superflu, car tant que le contenu lui-même est saisi, que tu sais le mobiliser correctement, conformément aux règles collectivement partagées, ça suffit.
Mais surtout évoquer l'histoire des chevaux pour ensuite associer la pauvreté à l'handicap c'est plutôt bidon
Le 08 octobre 2024 à 09:45:00 :
Le 08 octobre 2024 à 09:27:55 :
En philosophie, tout particulièrement, on ne "s'en branle pas de l'étymologie". Comme l'énonce Giorgio Agamben, je paraphrase, la conceptualisation est le moment poétique de la pensée. On ne peut donc pas naïvement considérer les mots en dehors de leur étymologie, en dehors de leurs usages.Sincère est en ce sens probant : le sincère, c'est, encore aujourd'hui, presque littéralement, celui qui est "sin cera", celui qui est sans ajout, qui est ce qu'il est, et ce faisant dont la bonté, les déclarations sont "sans tâche", "pures", etc.
Pourquoi donc s'attarder sur la multiplicité des significations, tant étymologiques que par leurs usages? Car la signification coule dans les mots, au cours des siècles jusqu'à nous, et dirige encore la signification globale des mots, leurs usages. Se laisser aller à la réduction des significations, c'est donc se laisser diriger par le langage, en toute méconnaissance de cause.
S'il est bien possible de refuser certaines significations, il est impropre de ne pas les considérer dans "ce moment poétique de la pensée".
Si la signification étymologique d'un mot devait toujours être prise en compte pour comprendre son sens, comment Arashi va t-il m'expliquer que la plupart des locuteurs n'ont aucune connaissance de cette étymologie, tout en utilisant pourtant correctement ce mot dans des contextes variés et cohérents ?
T'en connais toutes les étymologies exactes, mêmes celles qui sont discutées et sujettes à contreverses ? Je ne crois pas. Ce qui compte c'est le contenu du concept. Mais connaître l'histoire de la formation du sens contenu reste à la fois intéressant mais aussi superflu, car tant que le contenu lui-même est saisi, que tu sais le mobiliser correctement, conformément aux règles collectivement partagées, ça suffit.Mais surtout évoquer l'histoire des chevaux pour ensuite associer la pauvreté à l'handicap c'est plutôt bidon
Il faut lire ce qui est écrit.
Déjà, je parle dans un contexte philosophique. Je n'attends en effet pas que mon compatriote que je croise dans la rue connaisse l'étymologie et l'histoire du mot "république" : je l'attends d'une discussion philosophique, ou d'une discussion intellectuelle.
Ensuite, car le sens de l'étymologie continue d'exister comme spectralement dans les mots (voir l'exemple de sin cere), bien que l'histoire de leur usage transforme également le sens d'un mot, ce dont j'avais déjà parlé.
Ayant évoqué ces deux idées, je crois avoir couvert tous les problèmes avec ton message.
PS. Le h est aspiré, donc non-muet.
Ouais mais si l'étymologie est essentielle dans une discussion philosophique pour comprendre un concept dans toute sa profondeur, jusqu'à quel point devrions-nous la considérer comme incontournable, même lorsque l'évolution du langage a rendu cette étymologie non pertinente pour comprendre enjeux contemporains liés au concept ? Donc comment arashi va t-il me justifier l'importance accordée à l'étymologie quand celle-ci entre en conflit avec l'usage moderne d'un mot ?
La pauvreté n'est pas un handicap, par définition.
Lorsqu'elle est présentée comme telle, c'est une figure de style
Le niveau monte
Le 08 octobre 2024 à 15:40:03 :
Ouais mais si l'étymologie est essentielle dans une discussion philosophique pour comprendre un concept dans toute sa profondeur, jusqu'à quel point devrions-nous la considérer comme incontournable, même lorsque l'évolution du langage a rendu cette étymologie non pertinente pour comprendre enjeux contemporains liés au concept ? Donc comment arashi va t-il me justifier l'importance accordée à l'étymologie quand celle-ci entre en conflit avec l'usage moderne d'un mot ?
La réponse est dans ta question.
Ta question fait par contre état de ta faiblesse intellectuelle.
L'étymologie permet par contre, parfois, pas toujours, ce qui était une évidence puisque je parle depuis le début de l'étymologie et des usages d'un mot (ce qui m'amène à me questionner sur les capacités à lire et à comprendre un texte simple de -latre), d'unifier des significations multiples d'un mot.
Le 09 octobre 2024 à 14:04:10 :
Le 08 octobre 2024 à 15:40:03 :
Ouais mais si l'étymologie est essentielle dans une discussion philosophique pour comprendre un concept dans toute sa profondeur, jusqu'à quel point devrions-nous la considérer comme incontournable, même lorsque l'évolution du langage a rendu cette étymologie non pertinente pour comprendre enjeux contemporains liés au concept ? Donc comment arashi va t-il me justifier l'importance accordée à l'étymologie quand celle-ci entre en conflit avec l'usage moderne d'un mot ?La réponse est dans ta question.
Ta question fait par contre état de ta faiblesse intellectuelle.
L'étymologie permet par contre, parfois, pas toujours, ce qui était une évidence puisque je parle depuis le début de l'étymologie et des usages d'un mot (ce qui m'amène à me questionner sur les capacités à lire et à comprendre un texte simple de -latre), d'unifier des significations multiples d'un mot.
Tu boucles. L'étymologie permet peut-être d'unifier les significations multiples d'un mot, comme tu l'affirmes, mais dans quelle mesure peux-tu concilier cette idée avec le fait que le langage par sa nature évolutive crée de nouveaux usages qui s'éloignent assez souvent de leurs racines étymologiques ? Autrement dit, comment peux-tu être certain que l'étymologie n'introduit des biais ou des distorsions dans la compréhension d'un mot plutôt qu'une véritable unification ? L'exemple des courses de chevaux évoqué par l'autre asticot illustre parfaitement le problème, car il a pensé le handicap seulement à travers l'idée de « avantage » et de « désavantage », de « préférable » et de « non préférable » ce qui l'a amené à s'embourber par la suite en ne sachant pas quoi répondre à ma question qui portait sur le rapport de l'enseignant avec le directeur universitaire.
Tu fais bien de rappeler le pseudo « Macrolatre ». Car que veut dire étymologiquement ce vilain petit jeu de mots « Macro -latre » ? D'un côté on retrouve « Macro » qui est un préfixe qui sert à agrandir ou à élargir un sens d'un mot. On peut par exemple parler de macro-économie, c'est-à-dire de l'économie globale au sens large. Mais Macro touche également à un topos associé à la figure de Macron, le suffixe "-latre", provenant de « idolâtre » renforce cette idée. Ainsi Macro-latre désignerait à la fois un serviteur de quelque chose qui est grand, un grand idolâtre, un idolâtre de Macron ou un électeur de Macron. Mais suis-je véritablement un électeur de Macron comme nous le fait croire cette étymologie ? Absolument pas. Or ceux qui ne me connaissent pas m'associent à son électorat car ils sont biaisés par les particules qui sont à l'origine de ce pseudo, alors qu'elles ne renvoient à rien d'autres qu'à un forumeur dont l'identité est déterminée par les qualités qu'on lui prête, une identité qui est dans les consciences collectives du forum rattachée à ce pseudo.
Il faut lire ce qui est écrit, ça t'évitera de tourner en rond.
Le 10 octobre 2024 à 17:45:08 :
Il faut lire ce qui est écrit, ça t'évitera de tourner en rond.
Tu sais ce qu'il te reste à faire donc petit asticot post-structuraliste et post-moderne
Autre exemple.
L'étymologie du mot salarium qui provient du sal c'est-à-dire sel, est telle pertinente pour comprendre les bases d'un concept aussi abstrait tel que « le salariat » ? Eh oui Arashi. Cette étymologie fait croire que le salariat a pu exister avant la possibilité de mesure objective du temps par des moyens mécaniques et aux critères standardisés. L'étymologie ne permet ni comprendre l'origine du salariat, ni ce que c'est concrêtement, à savoir un phénomène où un homme vend sa force du travail durant x heures pour un salaire y, tout ça par une convention commune dans le contrat. Avant la standardisation, et les mesures précises du temps de travail, il ne pouvait y avoir de salariat tel que l'on connaît. Non seulement l'étymologie ne permet pas de comprendre une telle abstraction mais en plus elle induit en erreur car ce n'est pas simplement une question de solde que l'on verse pour des services rendus comme dans le mercenariat par exemple