Le 21 avril 2020 à 19:53:12 Fdjidane5 a écrit :
Les yrr qui oublient que meme chez les plus jeune 15% finit en rea ( 99% en sort vivant) mais 1 moi après le deconfinement, les hôpitaux seront de nouveau saturé. Prêt à vivre dans un pays où l'on peut mourir d'une appendicite car impossible de prendre en charge?
Les YKK qui oublient de préciser que pour eux "les plus jeunes" = les personnes de moins de 85 ans
Le 21 avril 2020 à 19:53:35 Eldorado8 a écrit :
VITE ALLEZ SUR CNEWS ZEMMOUR VA PERLER DES BANLIEUES
Tu bandes ?
Les YRR qui veulent achever nos héros sans qui on serait nazis actuellement
Enfin je pense que y en a certains ici que ça réjouirait
Le 21 avril 2020 à 19:52:56 StreetStratDEUX a écrit :
Le 21 avril 2020 à 19:50:42 Porkolt a écrit :
Le 21 avril 2020 à 19:47:42 Alienware47 a écrit :
"La capacité du coronavirus à muter a été largement sous-estimée, et les mutations affectent le caractère mortel des souches.Une nouvelle étude menée par l'un des meilleurs scientifiques chinois a révélé que la capacité de mutation du SRAS-CoV-2 a été largement sous-estimée et que différentes souches peuvent expliquer les différents impacts de la maladie dans différentes parties du monde.
Le professeur Li Lanjuan et ses collègues de l'université du Zhejiang ont découvert, au sein d'un petit groupe de patients, de nombreuses mutations qui n'avaient pas été observées précédemment. Ces mutations comprenaient des changements si rares que les scientifiques n'avaient jamais envisagé qu'ils puissent se produire.
Ils ont également confirmé pour la première fois avec des analyses de laboratoire que certaines mutations pouvaient créer des souches plus mortelles que d'autres.
"Sars-CoV-2 a acquis des mutations capables de modifier substantiellement sa pathogénicité", ont écrit Li et ses collaborateurs dans un article non encore examiné par des pairs, publié dimanche sur le service de préimpression medRxiv.org.L'étude de Li a fourni les premières preuves concrètes que la mutation pouvait affecter la gravité de la maladie ou des dommages causés par le virus chez son hôte.
Li a adopté une approche inhabituelle pour étudier la mutation du virus. Elle a analysé les souches virales isolées chez 11 patients atteints de COVID-19 choisis au hasard à Hangzhou, dans la province orientale du Zhejiang, et a ensuite testé l'efficacité avec laquelle elles pouvaient infecter et tuer des cellules.Les mutations les plus mortelles chez les patients du Zhejiang avaient également été trouvées chez la plupart des patients en Europe, tandis que les souches les plus douces étaient les variétés prédominantes trouvées dans certaines parties des États-Unis, comme l'État de Washington, selon leur article.
Une autre étude a révélé que les souches new-yorkaises avaient été importées d'Europe. Le taux de mortalité à New York était similaire à celui de nombreux pays européens, voire pire.
Mais la mutation plus faible ne signifie pas un risque plus faible pour tout le monde, selon l'étude de Li. Dans le Zhejiang, deux patients de 30 et 50 ans qui avaient contracté la souche la plus faible sont tombés gravement malades. Bien qu'ils aient tous deux survécu, le patient le plus âgé a dû être traité dans une unité de soins intensifs.
Cette découverte pourrait mettre en lumière les différences de mortalité entre les régions. Les taux d'infection et de mortalité de la pandémie varient d'un pays à l'autre, et de nombreuses explications ont été proposées.
Les généticiens avaient remarqué que les souches dominantes dans les différentes régions géographiques étaient intrinsèquement différentes. Certains chercheurs soupçonnaient que les taux de mortalité variables pouvaient, en partie, être causés par des mutations, mais ils n'avaient pas de preuve directe.La question était d'autant plus complexe que les taux de survie dépendaient de nombreux facteurs, tels que l'âge, les conditions de santé sous-jacentes ou même le groupe sanguin.
Dans les hôpitaux, le COVID-19 a été traité comme une seule et même maladie et les patients ont reçu le même traitement quelle que soit la souche dont ils sont atteints. Li et ses collègues ont suggéré que la définition des mutations dans une région pourrait déterminer les actions pour combattre le virus.
"Le développement de médicaments et de vaccins, bien qu'urgent, doit prendre en compte l'impact de ces mutations accumulées ... afin d'éviter les pièges potentiels", ont-ils déclaré.
Li a été le premier scientifique à proposer le verrouillage de Wuhan, selon des rapports des médias d'État. Le gouvernement a suivi son conseil et, fin janvier, la ville de plus de 11 millions d'habitants a été fermée du jour au lendemain.
La taille de l'échantillon de cette dernière étude était remarquablement petite.
Les autres études de suivi de la mutation du virus portaient généralement sur des centaines, voire des milliers de souches."
"L'équipe de Li a détecté plus de 30 mutations. Parmi elles, 19 mutations - soit environ 60 % - étaient nouvelles.
Ils ont découvert que certaines de ces mutations pouvaient entraîner des changements fonctionnels dans la protéine de pointe du virus (j'en ai parlé dans un post précédent), une structure uaime au-dessus de l'enveloppe virale permettant au coronavirus de se lier aux cellules humaines. Une simulation informatique a prédit que ces mutations augmenteraient son infectivité.
Pour vérifier cette théorie, Li et ses collègues ont infecté des cellules avec des souches porteuses de différentes mutations.Les souches les plus agressives pouvaient générer 270 fois ( !!!) de charge virale par rapport au type le plus faible.
Ces souches ont également tué les cellules le plus rapidement.
C'est un résultat inattendu pour moins d'une douzaine de patients, "indiquant que la véritable diversité des souches virales est encore largement sous-estimée", écrit Li dans son article. Il pourrait y avoir beaucoup, beaucoup plus de souches.
Les mutations étaient des gènes différents de la première souche isolée à Wuhan, où le virus a été détecté pour la première fois fin décembre de l'année dernière.
Le coronavirus change à une vitesse moyenne d'environ une mutation par mois.
Lundi, plus de 10 000 souches avaient été séquencées par les scientifiques du monde entier, contenant plus de 4 300 mutations, selon le Centre national chinois de bioinformation.
La plupart de ces échantillons, cependant, ont été séquencés selon une approche standard qui pourrait générer un résultat rapidement. Les gènes n'ont été lus qu'une seule fois, par exemple, et il y avait une marge d'erreur.
L'équipe de Li a utilisé une méthode plus sophistiquée connue sous le nom de séquençage ultra-profond. Chaque élément constitutif du génome du virus a été lu plus de 100 fois, ce qui a permis aux chercheurs de constater des changements qui auraient pu être négligés par l'approche classique.
Les chercheurs ont également découvert trois changements consécutifs - connus sous le nom de mutations des tri-nucléotides - chez un patient de 60 ans, ce qui était un événement rare. Habituellement, les gènes ont muté à un endroit à la fois. Ce patient a passé plus de 50 jours à l'hôpital, soit beaucoup plus longtemps que les autres patients atteints de COVID-19, et même ses fèces étaient infectieuses avec des souches virales vivantes.
"Il serait très intéressant d'étudier l'impact fonctionnel de cette mutation tri-nucléotidique", ont déclaré Li et ses collègues dans le document.
Le professeur Zhang Xuegong, chef de la division bioinformatique du Laboratoire national des sciences et technologies de l'information de l'Université de Tsinghua, a déclaré que le séquençage ultra-profond pourrait être une stratégie efficace pour suivre la mutation du virus.
"Il peut produire des informations utiles", a-t-il déclaré.
Mais cette approche pourrait être beaucoup plus longue et coûteuse. Il est peu probable qu'elle puisse être appliquée à tous les échantillons.
"Notre compréhension du virus reste assez faible", a déclaré M. Zhang. Des questions telles que l'origine du virus, pourquoi il pourrait tuer certains jeunes gens en bonne santé tout en ne générant aucun symptôme détectable chez beaucoup d'autres ont encore laissé les scientifiques se creuser la tête.
"S'il y a une découverte qui bouleverse la vision dominante, ne soyez pas surpris".
Pour ceux que ça intéresse , a prendre avec des pincettes quand même
vu la syntaxe ça vient du charlatan de telegram ? Je pensais qu'il avait arrêté de raconter ses conneries
il a donné des sources en fait, réessayes
Ayaaaaa croire les gens sur telegram , ils croient tellement à une seconde catastrophique ceux là, il me font de la peine des vrais ykk en puissance
Le 21 avril 2020 à 19:54:40 Bolzeeeeeeeee a écrit :
Le 21 avril 2020 à 19:53:35 Eldorado8 a écrit :
VITE ALLEZ SUR CNEWS ZEMMOUR VA PERLER DES BANLIEUEStiens un sujet dont il ne parle jamais, courons vite l'écouter, ça changera de ses sujets habituels...Ah non
Le 21 avril 2020 à 19:55:02 Chybre a écrit :
Le 21 avril 2020 à 19:53:35 Eldorado8 a écrit :
VITE ALLEZ SUR CNEWS ZEMMOUR VA PERLER DES BANLIEUESTu bandes ?
OH OUI JE ME BRANLE LA
Il faut mettre en place la peine de mort dans le cadre d'un tribunal penal international pour tous les métodologistes agressifs
Le 21 avril 2020 à 18:45:59 Eldorado8 a écrit :
Vous pensez que Sibeth Ndaye va etre virer à la fin de la crise ?
Non elle est utile au gouvernement quand il s’agit de faire passer un message, en vue d’annoncer des mauvaises nouvelles
Le 21 avril 2020 à 19:53:35 Eldorado8 a écrit :
VITE ALLEZ SUR CNEWS ZEMMOUR VA PERLER DES BANLIEUES
Il va chier des racailles?
Le 21 avril 2020 à 19:55:34 Eldorado8 a écrit :
Le 21 avril 2020 à 19:54:40 Bolzeeeeeeeee a écrit :
Le 21 avril 2020 à 19:53:35 Eldorado8 a écrit :
VITE ALLEZ SUR CNEWS ZEMMOUR VA PERLER DES BANLIEUEStiens un sujet dont il ne parle jamais, courons vite l'écouter, ça changera de ses sujets habituels...Ah non
Le 21 avril 2020 à 19:55:02 Chybre a écrit :
Le 21 avril 2020 à 19:53:35 Eldorado8 a écrit :
VITE ALLEZ SUR CNEWS ZEMMOUR VA PERLER DES BANLIEUESTu bandes ?
OH OUI JE ME BRANLE LA
Les racailles
Le 21 avril 2020 à 19:54:55 JohnnyVoyou a écrit :
Le 21 avril 2020 à 19:53:12 Fdjidane5 a écrit :
Les yrr qui oublient que meme chez les plus jeune 15% finit en rea ( 99% en sort vivant) mais 1 moi après le deconfinement, les hôpitaux seront de nouveau saturé. Prêt à vivre dans un pays où l'on peut mourir d'une appendicite car impossible de prendre en charge?Les YKK qui oublient de préciser que pour eux "les plus jeunes" = les personnes de moins de 85 ans
Non 15% des moins de 50ans finissent en rea. Lorsqu il donnait encore les détails, 50% de la rea total en France avait moins de 55ans
Le 21 avril 2020 à 19:55:34 Eldorado8 a écrit :
Le 21 avril 2020 à 19:54:40 Bolzeeeeeeeee a écrit :
Le 21 avril 2020 à 19:53:35 Eldorado8 a écrit :
VITE ALLEZ SUR CNEWS ZEMMOUR VA PERLER DES BANLIEUEStiens un sujet dont il ne parle jamais, courons vite l'écouter, ça changera de ses sujets habituels...Ah non
Le 21 avril 2020 à 19:55:02 Chybre a écrit :
Le 21 avril 2020 à 19:53:35 Eldorado8 a écrit :
VITE ALLEZ SUR CNEWS ZEMMOUR VA PERLER DES BANLIEUESTu bandes ?
OH OUI JE ME BRANLE LA
même pas sur que tu trolls en plus
Le 21 avril 2020 à 19:55:50 Mavididieu2 a écrit :
Le 21 avril 2020 à 19:53:35 Eldorado8 a écrit :
VITE ALLEZ SUR CNEWS ZEMMOUR VA PERLER DES BANLIEUESIl va chier des racailles?
Surement khey
Le coronavirus pourrait se propager par les pets https://twitter.com/dailystar/status/1249093837999529985?s=21
Laurent Alexandre crache sur Raoult
https://www.youtube.com/watch?v=Gxv3XQpAHCM
Le 21 avril 2020 à 19:55:25 MaggeMay a écrit :
Le 21 avril 2020 à 19:52:56 StreetStratDEUX a écrit :
Le 21 avril 2020 à 19:50:42 Porkolt a écrit :
Le 21 avril 2020 à 19:47:42 Alienware47 a écrit :
"La capacité du coronavirus à muter a été largement sous-estimée, et les mutations affectent le caractère mortel des souches.Une nouvelle étude menée par l'un des meilleurs scientifiques chinois a révélé que la capacité de mutation du SRAS-CoV-2 a été largement sous-estimée et que différentes souches peuvent expliquer les différents impacts de la maladie dans différentes parties du monde.
Le professeur Li Lanjuan et ses collègues de l'université du Zhejiang ont découvert, au sein d'un petit groupe de patients, de nombreuses mutations qui n'avaient pas été observées précédemment. Ces mutations comprenaient des changements si rares que les scientifiques n'avaient jamais envisagé qu'ils puissent se produire.
Ils ont également confirmé pour la première fois avec des analyses de laboratoire que certaines mutations pouvaient créer des souches plus mortelles que d'autres.
"Sars-CoV-2 a acquis des mutations capables de modifier substantiellement sa pathogénicité", ont écrit Li et ses collaborateurs dans un article non encore examiné par des pairs, publié dimanche sur le service de préimpression medRxiv.org.L'étude de Li a fourni les premières preuves concrètes que la mutation pouvait affecter la gravité de la maladie ou des dommages causés par le virus chez son hôte.
Li a adopté une approche inhabituelle pour étudier la mutation du virus. Elle a analysé les souches virales isolées chez 11 patients atteints de COVID-19 choisis au hasard à Hangzhou, dans la province orientale du Zhejiang, et a ensuite testé l'efficacité avec laquelle elles pouvaient infecter et tuer des cellules.Les mutations les plus mortelles chez les patients du Zhejiang avaient également été trouvées chez la plupart des patients en Europe, tandis que les souches les plus douces étaient les variétés prédominantes trouvées dans certaines parties des États-Unis, comme l'État de Washington, selon leur article.
Une autre étude a révélé que les souches new-yorkaises avaient été importées d'Europe. Le taux de mortalité à New York était similaire à celui de nombreux pays européens, voire pire.
Mais la mutation plus faible ne signifie pas un risque plus faible pour tout le monde, selon l'étude de Li. Dans le Zhejiang, deux patients de 30 et 50 ans qui avaient contracté la souche la plus faible sont tombés gravement malades. Bien qu'ils aient tous deux survécu, le patient le plus âgé a dû être traité dans une unité de soins intensifs.
Cette découverte pourrait mettre en lumière les différences de mortalité entre les régions. Les taux d'infection et de mortalité de la pandémie varient d'un pays à l'autre, et de nombreuses explications ont été proposées.
Les généticiens avaient remarqué que les souches dominantes dans les différentes régions géographiques étaient intrinsèquement différentes. Certains chercheurs soupçonnaient que les taux de mortalité variables pouvaient, en partie, être causés par des mutations, mais ils n'avaient pas de preuve directe.La question était d'autant plus complexe que les taux de survie dépendaient de nombreux facteurs, tels que l'âge, les conditions de santé sous-jacentes ou même le groupe sanguin.
Dans les hôpitaux, le COVID-19 a été traité comme une seule et même maladie et les patients ont reçu le même traitement quelle que soit la souche dont ils sont atteints. Li et ses collègues ont suggéré que la définition des mutations dans une région pourrait déterminer les actions pour combattre le virus.
"Le développement de médicaments et de vaccins, bien qu'urgent, doit prendre en compte l'impact de ces mutations accumulées ... afin d'éviter les pièges potentiels", ont-ils déclaré.
Li a été le premier scientifique à proposer le verrouillage de Wuhan, selon des rapports des médias d'État. Le gouvernement a suivi son conseil et, fin janvier, la ville de plus de 11 millions d'habitants a été fermée du jour au lendemain.
La taille de l'échantillon de cette dernière étude était remarquablement petite.
Les autres études de suivi de la mutation du virus portaient généralement sur des centaines, voire des milliers de souches."
"L'équipe de Li a détecté plus de 30 mutations. Parmi elles, 19 mutations - soit environ 60 % - étaient nouvelles.
Ils ont découvert que certaines de ces mutations pouvaient entraîner des changements fonctionnels dans la protéine de pointe du virus (j'en ai parlé dans un post précédent), une structure uaime au-dessus de l'enveloppe virale permettant au coronavirus de se lier aux cellules humaines. Une simulation informatique a prédit que ces mutations augmenteraient son infectivité.
Pour vérifier cette théorie, Li et ses collègues ont infecté des cellules avec des souches porteuses de différentes mutations.Les souches les plus agressives pouvaient générer 270 fois ( !!!) de charge virale par rapport au type le plus faible.
Ces souches ont également tué les cellules le plus rapidement.
C'est un résultat inattendu pour moins d'une douzaine de patients, "indiquant que la véritable diversité des souches virales est encore largement sous-estimée", écrit Li dans son article. Il pourrait y avoir beaucoup, beaucoup plus de souches.
Les mutations étaient des gènes différents de la première souche isolée à Wuhan, où le virus a été détecté pour la première fois fin décembre de l'année dernière.
Le coronavirus change à une vitesse moyenne d'environ une mutation par mois.
Lundi, plus de 10 000 souches avaient été séquencées par les scientifiques du monde entier, contenant plus de 4 300 mutations, selon le Centre national chinois de bioinformation.
La plupart de ces échantillons, cependant, ont été séquencés selon une approche standard qui pourrait générer un résultat rapidement. Les gènes n'ont été lus qu'une seule fois, par exemple, et il y avait une marge d'erreur.
L'équipe de Li a utilisé une méthode plus sophistiquée connue sous le nom de séquençage ultra-profond. Chaque élément constitutif du génome du virus a été lu plus de 100 fois, ce qui a permis aux chercheurs de constater des changements qui auraient pu être négligés par l'approche classique.
Les chercheurs ont également découvert trois changements consécutifs - connus sous le nom de mutations des tri-nucléotides - chez un patient de 60 ans, ce qui était un événement rare. Habituellement, les gènes ont muté à un endroit à la fois. Ce patient a passé plus de 50 jours à l'hôpital, soit beaucoup plus longtemps que les autres patients atteints de COVID-19, et même ses fèces étaient infectieuses avec des souches virales vivantes.
"Il serait très intéressant d'étudier l'impact fonctionnel de cette mutation tri-nucléotidique", ont déclaré Li et ses collègues dans le document.
Le professeur Zhang Xuegong, chef de la division bioinformatique du Laboratoire national des sciences et technologies de l'information de l'Université de Tsinghua, a déclaré que le séquençage ultra-profond pourrait être une stratégie efficace pour suivre la mutation du virus.
"Il peut produire des informations utiles", a-t-il déclaré.
Mais cette approche pourrait être beaucoup plus longue et coûteuse. Il est peu probable qu'elle puisse être appliquée à tous les échantillons.
"Notre compréhension du virus reste assez faible", a déclaré M. Zhang. Des questions telles que l'origine du virus, pourquoi il pourrait tuer certains jeunes gens en bonne santé tout en ne générant aucun symptôme détectable chez beaucoup d'autres ont encore laissé les scientifiques se creuser la tête.
"S'il y a une découverte qui bouleverse la vision dominante, ne soyez pas surpris".
Pour ceux que ça intéresse , a prendre avec des pincettes quand même
vu la syntaxe ça vient du charlatan de telegram ? Je pensais qu'il avait arrêté de raconter ses conneries
il a donné des sources en fait, réessayes
Ayaaaaa croire les gens sur telegram , ils croient tellement à une seconde catastrophique ceux là, il me font de la peine des vrais ykk en puissance
MAIS
C'est un gars de l'oms pas un random, il a les infos avant tout le monde et d'autres en interne
Tout ce qu'il a énoncé s'est avéré vrai
Le 21 avril 2020 à 19:50:08 Bolzeeeeeeeee a écrit :
Sanofi qui prêtent "investir" 100 millions d'euros pour lutter contre le covid-19 alors que c'est surtout pour promouvoir leur solution, dont la chloroquineUn beau budget com, qui a surement en partit servi à l'astroturfing constaté ces dernières semaines
https://www.sanofi.fr/fr/Actualites/communiques-et-dossiers-de-presse/Sanofi-consacre-100-millions-d-euros-dans-la-lutte-contre-le-Covid-19
Raoult qui se dit mauvais commercial a été pourtant excellent dans ce domaine, bien aidé par un achat de comptes massif servant à promouvoir la bêtise et la justicier "gloire à notre grand gourou".
Rien qu'un exemple, son compte twitter a été ouvert le 23 mars. Sanofi s'envole au même moment
On sent néanmoins que ce cher raoult tente de plus en plus de simplement justifier tous ses actes plus que de prouver la véracité de ses dires. L'étau se resserre?
Il est pas représentant de Sanofi il est juste médecin et il soigne des gens en le prouvant qu'un traitement marche c'est tout
Le 21 avril 2020 à 19:56:00 Fdjidane5 a écrit :
Le 21 avril 2020 à 19:54:55 JohnnyVoyou a écrit :
Le 21 avril 2020 à 19:53:12 Fdjidane5 a écrit :
Les yrr qui oublient que meme chez les plus jeune 15% finit en rea ( 99% en sort vivant) mais 1 moi après le deconfinement, les hôpitaux seront de nouveau saturé. Prêt à vivre dans un pays où l'on peut mourir d'une appendicite car impossible de prendre en charge?Les YKK qui oublient de préciser que pour eux "les plus jeunes" = les personnes de moins de 85 ans
Non 15% des moins de 50ans finissent en rea. Lorsqu il donnait encore les détails, 50% de la rea total en France avait moins de 55ans
15% des moins de 50 ans finissent en rien mais oui
Raoult en PLS sur BFM
Le 21 avril 2020 à 19:55:25 MaggeMay a écrit :
Le 21 avril 2020 à 19:52:56 StreetStratDEUX a écrit :
Le 21 avril 2020 à 19:50:42 Porkolt a écrit :
Le 21 avril 2020 à 19:47:42 Alienware47 a écrit :
"La capacité du coronavirus à muter a été largement sous-estimée, et les mutations affectent le caractère mortel des souches.Une nouvelle étude menée par l'un des meilleurs scientifiques chinois a révélé que la capacité de mutation du SRAS-CoV-2 a été largement sous-estimée et que différentes souches peuvent expliquer les différents impacts de la maladie dans différentes parties du monde.
Le professeur Li Lanjuan et ses collègues de l'université du Zhejiang ont découvert, au sein d'un petit groupe de patients, de nombreuses mutations qui n'avaient pas été observées précédemment. Ces mutations comprenaient des changements si rares que les scientifiques n'avaient jamais envisagé qu'ils puissent se produire.
Ils ont également confirmé pour la première fois avec des analyses de laboratoire que certaines mutations pouvaient créer des souches plus mortelles que d'autres.
"Sars-CoV-2 a acquis des mutations capables de modifier substantiellement sa pathogénicité", ont écrit Li et ses collaborateurs dans un article non encore examiné par des pairs, publié dimanche sur le service de préimpression medRxiv.org.L'étude de Li a fourni les premières preuves concrètes que la mutation pouvait affecter la gravité de la maladie ou des dommages causés par le virus chez son hôte.
Li a adopté une approche inhabituelle pour étudier la mutation du virus. Elle a analysé les souches virales isolées chez 11 patients atteints de COVID-19 choisis au hasard à Hangzhou, dans la province orientale du Zhejiang, et a ensuite testé l'efficacité avec laquelle elles pouvaient infecter et tuer des cellules.Les mutations les plus mortelles chez les patients du Zhejiang avaient également été trouvées chez la plupart des patients en Europe, tandis que les souches les plus douces étaient les variétés prédominantes trouvées dans certaines parties des États-Unis, comme l'État de Washington, selon leur article.
Une autre étude a révélé que les souches new-yorkaises avaient été importées d'Europe. Le taux de mortalité à New York était similaire à celui de nombreux pays européens, voire pire.
Mais la mutation plus faible ne signifie pas un risque plus faible pour tout le monde, selon l'étude de Li. Dans le Zhejiang, deux patients de 30 et 50 ans qui avaient contracté la souche la plus faible sont tombés gravement malades. Bien qu'ils aient tous deux survécu, le patient le plus âgé a dû être traité dans une unité de soins intensifs.
Cette découverte pourrait mettre en lumière les différences de mortalité entre les régions. Les taux d'infection et de mortalité de la pandémie varient d'un pays à l'autre, et de nombreuses explications ont été proposées.
Les généticiens avaient remarqué que les souches dominantes dans les différentes régions géographiques étaient intrinsèquement différentes. Certains chercheurs soupçonnaient que les taux de mortalité variables pouvaient, en partie, être causés par des mutations, mais ils n'avaient pas de preuve directe.La question était d'autant plus complexe que les taux de survie dépendaient de nombreux facteurs, tels que l'âge, les conditions de santé sous-jacentes ou même le groupe sanguin.
Dans les hôpitaux, le COVID-19 a été traité comme une seule et même maladie et les patients ont reçu le même traitement quelle que soit la souche dont ils sont atteints. Li et ses collègues ont suggéré que la définition des mutations dans une région pourrait déterminer les actions pour combattre le virus.
"Le développement de médicaments et de vaccins, bien qu'urgent, doit prendre en compte l'impact de ces mutations accumulées ... afin d'éviter les pièges potentiels", ont-ils déclaré.
Li a été le premier scientifique à proposer le verrouillage de Wuhan, selon des rapports des médias d'État. Le gouvernement a suivi son conseil et, fin janvier, la ville de plus de 11 millions d'habitants a été fermée du jour au lendemain.
La taille de l'échantillon de cette dernière étude était remarquablement petite.
Les autres études de suivi de la mutation du virus portaient généralement sur des centaines, voire des milliers de souches."
"L'équipe de Li a détecté plus de 30 mutations. Parmi elles, 19 mutations - soit environ 60 % - étaient nouvelles.
Ils ont découvert que certaines de ces mutations pouvaient entraîner des changements fonctionnels dans la protéine de pointe du virus (j'en ai parlé dans un post précédent), une structure uaime au-dessus de l'enveloppe virale permettant au coronavirus de se lier aux cellules humaines. Une simulation informatique a prédit que ces mutations augmenteraient son infectivité.
Pour vérifier cette théorie, Li et ses collègues ont infecté des cellules avec des souches porteuses de différentes mutations.Les souches les plus agressives pouvaient générer 270 fois ( !!!) de charge virale par rapport au type le plus faible.
Ces souches ont également tué les cellules le plus rapidement.
C'est un résultat inattendu pour moins d'une douzaine de patients, "indiquant que la véritable diversité des souches virales est encore largement sous-estimée", écrit Li dans son article. Il pourrait y avoir beaucoup, beaucoup plus de souches.
Les mutations étaient des gènes différents de la première souche isolée à Wuhan, où le virus a été détecté pour la première fois fin décembre de l'année dernière.
Le coronavirus change à une vitesse moyenne d'environ une mutation par mois.
Lundi, plus de 10 000 souches avaient été séquencées par les scientifiques du monde entier, contenant plus de 4 300 mutations, selon le Centre national chinois de bioinformation.
La plupart de ces échantillons, cependant, ont été séquencés selon une approche standard qui pourrait générer un résultat rapidement. Les gènes n'ont été lus qu'une seule fois, par exemple, et il y avait une marge d'erreur.
L'équipe de Li a utilisé une méthode plus sophistiquée connue sous le nom de séquençage ultra-profond. Chaque élément constitutif du génome du virus a été lu plus de 100 fois, ce qui a permis aux chercheurs de constater des changements qui auraient pu être négligés par l'approche classique.
Les chercheurs ont également découvert trois changements consécutifs - connus sous le nom de mutations des tri-nucléotides - chez un patient de 60 ans, ce qui était un événement rare. Habituellement, les gènes ont muté à un endroit à la fois. Ce patient a passé plus de 50 jours à l'hôpital, soit beaucoup plus longtemps que les autres patients atteints de COVID-19, et même ses fèces étaient infectieuses avec des souches virales vivantes.
"Il serait très intéressant d'étudier l'impact fonctionnel de cette mutation tri-nucléotidique", ont déclaré Li et ses collègues dans le document.
Le professeur Zhang Xuegong, chef de la division bioinformatique du Laboratoire national des sciences et technologies de l'information de l'Université de Tsinghua, a déclaré que le séquençage ultra-profond pourrait être une stratégie efficace pour suivre la mutation du virus.
"Il peut produire des informations utiles", a-t-il déclaré.
Mais cette approche pourrait être beaucoup plus longue et coûteuse. Il est peu probable qu'elle puisse être appliquée à tous les échantillons.
"Notre compréhension du virus reste assez faible", a déclaré M. Zhang. Des questions telles que l'origine du virus, pourquoi il pourrait tuer certains jeunes gens en bonne santé tout en ne générant aucun symptôme détectable chez beaucoup d'autres ont encore laissé les scientifiques se creuser la tête.
"S'il y a une découverte qui bouleverse la vision dominante, ne soyez pas surpris".
Pour ceux que ça intéresse , a prendre avec des pincettes quand même
vu la syntaxe ça vient du charlatan de telegram ? Je pensais qu'il avait arrêté de raconter ses conneries
il a donné des sources en fait, réessayes
Ayaaaaa croire les gens sur telegram , ils croient tellement à une seconde catastrophique ceux là, il me font de la peine des vrais ykk en puissance
L' Oracle ne s' est jamais trompé depuis janvier, et toi?
Le 21 avril 2020 à 19:56:20 BlancoNBBBB a écrit :
Le coronavirus pourrait se propager par les pets https://twitter.com/dailytatus/1249093837999529985?s=21
Les Cassoulins en sueur