Bonjour chers forumeurs

C'est armée de mon dictionnaire des synonymes et de mon imagination, que je me suis lancée dans ma fic, comme vous avez pu le remarquer ! Cela fais déjà plus d'un mois que je travaille dessus, et je peux vous dire que les six premiers chapitres sont écrits, corrigés, etc... Je vous ai déjà sollicité par le passé avec un topic qui avait pour but de m'aider à trouver des idées de fruits de démons. Certains m'ont aidé, et d'ailleurs je les en remercie
J'ai fait lire le 1er chapitre de ma fic à deux forumeur en qui j'ai confiance, et ils m'en on fait des compliments. Pareil IRL, j'ai fait lire ma fic à des gens, et ils m'en on fait des éloges (et oui et oui )

Je sais ce que vous vous dîtes à cet instant précis : "Oh non, encore une fiction, en plus je suis sûr ça va être de la me***." J'ai tort ?:(
Et bien messieurs, je vous demande de vous relaxer et de prendre dix minutes (voir moins pour les plus forts ) de votre vie pour savourer une fiction travaillée avec amour et détermination. Ce n'est pas une fiction qui sollicite la communauté, mais c'est une fiction qui se savoure avec les yeux (j'exagère à peine ).

Je vais vous placer un peu dans le contexte :

Nous sommes à l'aire où la piraterie fait rage. Combats sanglants, cris d'horreur...La Marine est aux aguets et les Pirates sur le qui-vive. (Ouais c'est de l'impro tout ça ) Et parmi cette vague de pirates, un équipage à décidé de traverser le Nouveau-monde afin de réaliser ses rêves les plus enfouis en eux. (je ne vous donnerais pas plus d'informations, pour ça il faudra lire )

C'était le résumé, pour ceux qui voulaient savoir

Le rapport avec One Piece :

- Les technologies, tel que le Granit Marin, les Escargophones, etc...
- Certaines instances : La Marine, le Gouvernement Mondial, les Pirates (mais ça....)
- Les Noms des mers : South Blue, North Blue, Grand Line, Red Line, etc...

Ce que je vais inventer :

Et bien je vais inventer TOUT les personnages et les îles. Pour ce qui est des personnages de la Marine et du GM, et bien je vais les inventer, naturellement Vous vous demandez certainement où sont passé les Shichibukai ? et bien j'ai décidé de les supprimer Il n'apportaient pas un réel changement dans mon histoire Mais par contre, je vais créer un équivalent des 4 empereurs, mais je ne vous en dis pas plus .

Voilà, je crois que c'est tout Je ne vous donne pas d'indication sur les membre de l'équipage protagonistes, car des informations vous serons révélées au fur et à mesure des chapitres

Je vous laisse avec le chapitre 1 !

P.S.: Il n'y a pas d'introduction car, de un, je ne suis pas fan de celles-ci, et de deux je n'en voyait pas l’intérêt, du moins pour mon histoire (bien que j'y ai quand même réfléchis) Pour ceux que ça dérangerait vraiment, vous n'avez qu'à vous dire que l'introduction est du début du chapitre, jusqu'à "tunnel vertical"
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Bonne lecture
Et donnez moi votre avis sur ce premier chapitre en commentaire

Chapitre 1 : Rêve, diamant et ivresse

Un homme se tenait devant moi, et me murmura à oreille :
« Je t'attendais mon fils. »
Il me serra dans ses bras, puis soudain une force invisible m'attira dans une brèche juste à côté de moi. Je titubai, perdis l'équilibre et tombai dans cette fosse qui se transforma en trou noir.
Je voyais enfin le bout de ces ténèbres après une longue chute, quand, une lumière blanche m'aveugla, et je fus transporté dans un pays de glace. Ma chemise fut remplacée par un long manteau en peau de yack et mes pieds nus furent recouverts de bottes fourrées de laine. Je vis une femme au loin, marchant dans ma direction. Elle titubait. Je m'approchais alors de cette femme ; elle avait une longue chevelure noire de geai mais pourtant elle ressemblait à une vieille dame, en effet elle était très ridées. Je m'était arrêté pour la regarder, quand elle cracha du sang. Je me précipitai alors pour lui porter secours.
« Madame ! Madame ! Répondez-moi !
-Tout est de ma faute, ne m'en veux pas.
-Qu'est-ce que vous racontez ? Je ne vous connais pas. »
Elle me prit par le col et m'observa de son regard vide. Elle cracha à nouveau du sang, de plus en plus, en plus grosses quantités. Je voulais lui dire de tenir le coup, mais aucun son ne sortait de ma bouche, certainement car j'étais trop apeuré à la vue de cette femme qui perdait la vie, lentement dans mes bras. Alors à la place, j'ôtai ma veste et lui passa autour de ses épaules nues par ce froid . Tout à coup, une quinte de toux la pris, et dans un dernier souffle elle me glissa un papier dans la main. C'était fini pour elle... Je voulus me lever pour la transporter quelque part mais un trou noir identique à celui de tout à l'heure fit son apparition à deux mètres de moi, ainsi que cette même pression invisible qui m'attira de nouveau dans cet antre. Je tombais dedans, ne sachant pas où il me mènerait. Je vis enfin le bout de ce long tunnel vertical.

Ikaël se réveilla en sursaut dans son lit, trempé de sueur. Il s'adossa sur le mur et repris son souffle. Quel étrange rêve il venait de faire ; ou du moins un cauchemar. Il se leva, et regarda l'heure sur son escargorloge : il était déjà dix-sept heures trente, il avait donc dormi pendant dix-neuf heures. Il prit une douche et se changea. Il se dirigeait vers son lit et vit un papier sur son oreiller. Il le déplia et le lu. Sur ce papier était écrit le prénom ainsi que le nom d'une femme : « Yoshi Mimazu ». Il sortit de sa cabine et s'assit sur le pont arrière, celui sur lequel sa cabine donnait.
Il rangea le papier dans sa poche, et tâta le bracelet en cuir marron, se terminant avec deux brins de la même couleur, auquel une perle argentée était accrochée, néanmoins, sur les deux il n'y en avait qu'une.

Pourquoi ? Pourquoi lui avaient-ils laissé seulement ce bracelet ? Ikaël se le demandait tout le temps. À chaque fois, il se mettait face au vent et attendait le semblant d'une réponse. Il croyait en Dieu et ses miracles. Il pensait que le vent auquel il faisait face était la connaissance que Dieu voulait lui insuffler. Mais jamais en un an il n'avait eu d'explications. Ikaël est un beau jeune homme au visage angélique. Il possède des cheveux d'un blond cuivré subtil qui mettent en valeur ses yeux clairs. Ses cernes violets accentués par un visage pâle lui auraient donné un air penaud si un tatouage représentant une larme, sous son œil droit, ne venait pas casser ses traits fins, son corps robuste et musclé contrastant parfaitement avec son visage.
« Ah tu es réveillé Ikaël. On a besoin de toi sur le pont.
- Mehdi a encore perdu son Log Pose ?
- Non, pas tout à fait... C'est en rapport avec le diamant qu'on a volé sur l'île précédente. Tu repensais encore à tes parents ?
Ikaël, Kyo et Daï, qui venait d'appeler son capitaine, étaient nés sur la même île. Ils se sont connus grâce à l'orphelinat et leur point commun : tous trois avaient perdu leurs parents.
- Ne t'en fais pas pour moi Daï, ça va. Mais qu’est-ce qui se passe avec Mehdi bordel, j’entends Monica crier ! »
C'est sur ces mots qu'ils partirent en direction du pont.
Monica était en train de taper le navigateur avec une poêle. Mehdi, à chaque fois qu'il se retournait pour la supplier de se calmer se prenait un coup de pied dans les bijoux de famille. Quand Ikaël suivit de l'un de ses deux seconds arriva, la cuisinière arrêta de martyriser le pauvre navigateur et expliqua au capitaine la situation, tandis que Mehdi se roulait au sol en se tenant l'entrejambe.
« Mehdi... manger le diamant... son estomac... disparu... plus rien... pouf ! cria-t-elle essoufflée
- Quoi ? Respire, calmes-toi, dit Ikaël en la tenant par les épaules, qu'est-ce qu'il se passe à la fin ?
Monica respira un bon coup et repris :
- Tu sais le diamant qu'on a volé sur l'île de Manzoku ? Eh bien, Mehdi il l'a mangé cet imbécile ! Je lui ai dit pourtant, fais gaffe c'est pas parce que ce diamant a une forme de fraise que c'est une fraise ! » Mais... tu sais comment il est...
- Mais j'ai pas fait exprès, elle m'a regardé droit dans les yeux cette fraise, je pouvais pas la laisser... se défendit le fautif qui s'était relevé.
- ... »
À présent Ikaël était devenu rouge de fureur : son visage d'habitude assez pâle devint cramoisi, ses yeux verts et bleus s'injectèrent de sang et une artère palpita sur son front. Monica, Kyo ainsi que Daï s'étaient écartés. Seul Mehdi resta face à son capitaine, pétrifié de peur.
« I-Ikaël, t’énerve p-pas je le r-rembourserait le di-diamant...
- Mehdi, je te l'ai répété trente-six fois, mais jamais tu ne m'as écouté. Commença Ikaël tout bas. ALORS MAINTENANT TU VAS ME FAIRE LE PLAISIRS D'ARRÊTER TES CONNERIES ! CASSE-TOI ! »
Mehdi, pourtant plus grand d'au moins trente centimètres qu'Ikaël, paraissait penaud et écrasé face à la colère du capitaine. Il regarda alors Monica, qui paraissait tout aussi apeurée que lui, et elle lui adressa un regard qui signifiait qu'il fallait qu'il s'isole dans sa cabine. Mehdi, courra alors en direction de sa cabine, tête baissée. Ikaël se calma, et alla s'asseoir à la barre, là où Mehdi était habituellement. Monica, elle, retourna aux cuisines pour préparer le dîner de ce soir, tandis que les jumeaux charpentiers Kyo et Daï allèrent réparer le four à charbon.

Une heure passa. Ikaël était toujours à la barre, pensif. Mehdi, sortit de sa cabine située sur le pont arrière, à côté de celle d'Ikaël, et partit vers le pont avant supérieur, là où se trouvait celui auprès duquel il voulait s'excuser. Il traversa la passerelle latérale qui relie l'avant et l'arrière du bateau et descendit l'escalier menant au pont principal. Ikaël entendit des bruits de pas derrière lui. Il se retourna alors et vit Mehdi.
« Euh... Ikaël ? questionna-t-il en montant les escaliers permettant d’accéder au pont supérieur.
- Oui, je t'écoute.
- Je... suis désolé pour tout à l'heure. Je sais que tu es très patient avec moi et que je ne suis pas forcément facile à vivre...
Ikaël ne laissa pas Mehdi finir sa phrase, lui serra la main affectueusement et lui dit :
- N'en parlons plus. Et allons manger, je crois que Monica a terminé de cuisiner. »
Les deux amis se dirigèrent alors, sans bruits, en direction de la cabine salle à manger, d'où se dégageait une odeur absolument divine.

Les cinq compagnons étaient tous autour de la table rectangulaire, se délectant des délicieux plats qu'avait concocté la femme-poisson Monica. Il y avait un rôti de monstre marin avec une sauce à l'ananas et à la viande, un carpaccio de homard cuirassé et de tomate, des tagliatelles à l'encre de sèche, des tartes aux fruits, de la brioche aux raisins ainsi que de la glace à la noix de coco. Maintenant qu'il n'y avait plus de diamant, ce repas était leur seule richesse. Chacun mangeait goulûment et à la fin il ne restait plus rien dans les plats.
Kyo débarrassa, et Daï fit la vaisselle. Une fois qu'ils eurent fini, Ikaël servit une coupe de saké à chacun ; signe d'une grande nouvelle qu'il allait annoncer.
« Bon, les amis, nous allons bientôt accoster sur une nouvelle île n'est-ce pas Mehdi ?
- Oui, je suis près, répliqua-t-il, il faut juste que tu m'indiques sur laquelle tu souhaites te rendre.
- Très bien ! Nous allons débarquer sur Guilmare, l'île du jeu et de la détente ! »
Suite à cette annonce, chacun se demandait ce qu'il pourrait bien faire ou visiter lors de leur escale sur Guilmare.

La fin de soirée se faisait ressentir, et chacun alla se coucher dans sa cabine respective, heureux, plein de rêves et un peu saoul, il faut le dire...
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Voilà Vos impressions sur ce chapitre ?

Défi du chapitre : Trouvez la signification de 2 prénoms de certains membres de l'équipage (Il n'ont pas tous une signification écrite, par exemple Monica est un hommage à ma grand-mère, c'est donc pour vous impossible de le savoir ).

Je poste le chapitre 2 et 3 lundi !

D'accord ^^

Tu vas voir ça va être dare

Je vais éclaircir le mystère Kyo et Daï !
J'ai choisis ces noms, car je trouvais qu'ils les caractérisaient à merveille ! En effet, kyôdai (Kyo+Daï) signifie, pour simplifier, frère C'était tout simple ! Vous n'aviez qu'à taper sur google "kyodai signification" .

P.S.: Tout au long de ma fic je mettrais des noms ayant une signification, comme Kyo et Daï par exemple. Alors amusez-vous à chercher sur google traduction ce qu'ils veulent dire !
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Sur ce, bon chapitre

Le Vent souffle

L'équipage était impatient d'accoster sur Guilmare : Monica pensait à tous les produits du pays qu'elle pourrait cuisiner. Kyo et Daï eux rêvaient aux canons qu'ils pourraient acheter (car Guilmare était spécialisée dans les armes à longue portée) et Mehdi quant à lui, n'avait qu'une chose en tête : les jeux d'argent. Malgré toutes les possibilités de divertissements qu'offrait cette île, Ikaël, lui, se questionnait sur son rêve. Comment ce papier a-t-il pu arriver sur son lit ? Et puis surtout, qui est cette Yoshi Mimazu ? Il repensait au visage triste de cette femme, sa chevelure noire contrastant avec son visage ridé et ses yeux gris.
Kyo se tenait en équilibre sur l'échelle en cordage allant de l'amure droite du bateau jusqu'en haut du mât. Il vit à sa gauche une île en croissant de lune, sans arbres, seulement avec des maisons et des gratte-ciels.
« Terre en vue ! Terre en vue ! répéta-t-il
- Barre à bâbord et gardez le cap, lâchez-les voiles, on rentre dans un alizé. ordonna Mehdi le navigateur. »
Tous se précipitèrent à leur poste. Les voiles furent lâchées, la barre redressée et tous attendirent patiemment. Le vent changea soudain de direction et fit dangereusement tanguer l’embarcation.
« Ce sont les alizés, elle ne sont pas bien dangereuses, mais si vous ne gardez pas impérativement le cap, nous pourrons virer de bord et serons obligés de débarquer sur une autre île.
- T'inquiète on gère Med', répliqua Kyo, sûr de sa lui. »
Le bateau pencha brusquement droite. Une secousse vint le redresser puis une rafale le coucha quasiment à l'horizontale. Kyo reçut l'aide de son frère Daï car celui-ci avait du mal à maintenir la barre droite. Ikaël plongea les Buoy Stabilization, permettant au navire de se stabiliser lors des grands vents. L'embarcation se remit alors dans un axe normal.
« On devrait sortir de ce courant de vent d'ici trente secondes, tenez bon les amis ! Monica tu peux commencer à tirer les voiles, l'alizé va nous expulser jusqu'au large de Guilmare grâce à son vent explosif. »
La femme-poisson monta sur l'échelle de corde et tira la sangle permettant de lever les voiles. L'eau était agitée, et même les nageurs les plus aguerris auraient eu du mal à s'y mouvoir. Des vagues de cinq mètres de haut la frôlèrent. Là où elle se trouvait, l'équilibre était précaire. Elle tira la corde d'un coup sec en enlevant ses deux mains de l'échelle, et bascula. Monica tombait, impuissante. Elle savait qui lui serait difficile de nager dans ces eaux dangereuses, malgré qu'elle soit de la race des hommes-poissons.
« HASTA VOLANS GRIFFIN ! »
Une volée de plumes d'or se rependit, et de ses serres, un griffon vint attraper Monica par le col. Ils s’élevèrent tous deux et l'animal mythique se posa sur le pont avec Monica. L'animal mi-aigle, mi-lion, mi-cheval se métamorphosa : sa tête de lion au bec d'aigle se changea en un visage au teint basané avec de magnifiques yeux jaunes d'or, ses serres d'aigle se transformèrent en de longs bras musclés terminés par des mains aux ongles longs, telles des griffes, et son corps d'oiseau se transmuta en celui d'un grand jeune homme musclé avec une carnation basanée.
« Merci Mehdi, je ferai plus attention la prochaine fois...
- Tout le plaisir était pour moi !
- T'as assuré champion ! le félicita Ikaël. »

Peu de temps après tous ces éloges, les compagnons n’étaient plus qu'à quelques mètres de la côte. Ils virent alors un port et amarrèrent sur celui-ci. Kyo et Daï firent le tour du bateau pour vérifier qu'il était bien stable. Et quand ils revinrent, Ikaël fit asseoir tout son équipage autour de la table de la salle à manger, et commença à leur expliquer ce qu’ils avaient à faire :
« Nous allons nous séparer en deux groupes : Mehdi, Daï et Kyo, vous formerez le groupe Alpha et Monica et moi seront le groupe Oméga. Vous, les Alpha, vous resterez ici et garderez le bateau pendant que nous les Oméga, irons chercher un chirurgien.
- Pour quoi faire ? s'écrièrent les Alpha.
- J'en ai parlé à Monica tout à l'heure, et elle est d'accord. Nous irons chercher un chirurgien pour extraire le diamant de l'estomac de Mehdi.
- Et quel rapport Monica a avec ça ? s'insurgea Kyo. Tu ne nous en as même pas parlé à Daï et moi, tes deux fidèles seconds et amis ! finit-il en faisant une mine attristée
- Devrais-je vous rappeler que Monica à une mémoire hors normes et que tout ce qu'elle voit ou entend, elle le retient ? Elle a trouvé notre médecin sur des avis de recherche et est rentrée en contact avec des gens de cette île qui disent l'avoir aperçue ici même. Et donc elle seule reconnaît son visage. »
Mehdi n'était pas réjoui de cette nouvelle, lui qui pensait pouvoir s'amuser et jouer au black-jack... Il devait rester ici sur le Perséphone, en compagnie des jumeaux sadiques...
« Pourquoi je fais jamais des trucs cool moi...
- Tu t'amuseras une autre fois Med' . Bon, plus de temps à perdre, nous y allons. Si dans deux heures nous ne sommes pas revenus, quittez vos positions et partez à notre recherche. Ah et dernière recommandation, même si un commerçant ambulant viens vous proposer de jouer à un jeu de hasard, n'acceptez en aucun cas. Nous n'avons plus beaucoup d'argent et nous ne pouvons pas nous permettre de remettre nos richesses aux mains du hasard. Tu m'as bien entendu Med' ? N'oubliez pas non plus que cette île est sous la protection de la Marine alors ne nous faisons pas remarquer.
- Oui, oui capitaine Ikaël... répliqua-t-il sans vraiment avoir écouté son interlocuteur. »
Monica ainsi qu'Ikaël saluèrent leurs camarades et s'en allèrent à travers le dédale de rues que présentait Manzoku.
Ils trottinaient doucement et prenaient le temps d'observer les gens, les rues, les magasins, les restaurants et les casinos pour ne pas se perdre sur le chemin du retour. Ikaël gardait toujours en tête le nom de « Yoshi Mimazu ». « Il y a forcément un rapport entre avoir fait ce cauchemar hier après-midi et le fait que nous arrivions sur cette île. » pensait-il.
Cela faisait déjà cinq bonnes minutes qu'ils couraient sans but précis, quand tout à coup Monica s'arrêta.
« Stop. Je me souviens avoir parler à un homme habitant cette maison-ci. Il me l'avait décrite en détail. expliqua la femme.
- Bien, alors allons-y non ? »
Celle-ci acquiesça et entraîna son capitaine vers la demeure en question. Ils frappèrent et un homme ouvrit la minuscule porte en bois. Il les jaugea de la tête aux pieds. Pour couper ce silence pesant, Monica prit la parole :
« Bonjour monsieur Orudo. Je m'appelle Monica et voici mon ami Ikaël. Vous souvenez-vous de moi ? Nous avons parlé récemment via escargophone.
- Ah oui ! Je me souviens de vous. Vous êtes cette femme-poisson qui m'a posé des questions au sujet d'une certaine...
- Chut ! coupa Ikaël. Pourrions-nous en discuter à l'intérieur ? Cette femme est recherchée par la Marine je vous signale. Nous ne voudrions pas attirer leurs soupçons voyez-vous ? »
Le vieillard fit signe de la tête qu'il comprenait et les invita à rentrer dans sa modeste habitation.
Le rez de chaussé dans lequel les deux pirates pénétrèrent, n'était composé que d'une seule pièce qui comprenait, en son centre, une pauvre table décorée d'un napperon autour de laquelle deux chaises en bois étaient disposées. Mais dans le fond, à droite de la pièce, sous les escaliers menant à un étage, une petite cuisinière carrelée était présente. Son propriétaire, un homme âgé d'à peu près quatre-vingts ans avaient l'air d'un ermite : toutes les fenêtres étaient calfeutrées, et la pièce sentait le renfermé.
Il s'assit et invita les deux compagnons à faire de même. Mais Ikaël céda la dernière chaise à sa cuisinière. Le vieil homme réfléchit longuement et commença :
« Laura Ribeault, la femme que vous cherchez est à l'étage, je suis son grand-père. »

Du côté du groupe Alpha, l'ambiance était à l'ennui. Les jumeaux jouaient à un jeu qu'ils avaient inventé et dont seul eux connaissaient les règles : le Pierami. Mehdi, lui, s'ennuyait fermement et était déterminé à ce que cela change. Il avait élaboré un plan étape par étape pour pouvoir aller jouer à son jeu d'argent favori, le black-jack. L'étape une était très simple, il se transformera pour pouvoir voler et quittera le bateau, pour qu'aucun des deux frères ne puisse le suivre. Deuxième étape, il se posera près d'un casino, et enfin la troisième étape consistera à s'amuser.
Il regarda à droite, puis à gauche pour voir si ses camarades étaient toujours occupés : non ils jouaient encore à leur jeu idiot. Alors ni une ni deux, il se transforma à l'aide de son fruit du démon de type zoan mythique, le Grifo Grifo no mi et prit son envol. Il quitta la zone du port et prit la direction du centre-ville. Il regarda derrière lui et vit Daï courir sur un toit de maison. Mehdi avait oublié dans son plan, que les jumeaux sadiques étaient acrobates. Il piqua alors vers le casino le plus proche et se posa juste derrière, pour pouvoir se métamorphoser incognito. Il reprit un corps et des habits normaux : un t-shirt noir assez ample par-dessous une veste jaune curry, ainsi qu'un jean de la même couleur que la veste se resserrant au mi mollets. Ainsi que des espadrilles rouge bordeaux. À présent il ne voyait plus Daï, et entra alors dans l'enceinte du somptueux casino.
« Attention mes poulets, Med' le beau gosse va vous plumer ! dit-il en se passant la main dans les cheveux. »
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Voilà mes poulets gros chapitre, mais y avait du lourd !
J’espère que ça vous aura plus, en tout cas n'hésitez pas à me donner votre avis, personne ne vous jugera Notamment, dites-moi ce que vous pensez de la longueur des phrases, des répétitions, etc...

Question du chapitre : comment voyez-vous Ikaël ? Dessinez-le pour les plus créatifs d'entre-vous ! Je créerais un personnage à l'effigie de celui qui aura fait le plus beau dessin

Continuez d'envoyer vos dessin (bien que personne ne l'ai fait pour l'instant ). Mais pour l'instant, voici la vision que je me faisais d'Ikaël :

Un jeune homme blond, frais et aérien (oui tout ça c'est des notions un peu floues mais bon ). Avec un regard dur et assez perçant, comme s'il pouvait lire dans nous .

J'en ai fais un dessin (sans le bracelet parce que ça viendra la question sur celui-ci) :

*NDT : La larme que vous voyez c'est un tatouage. La larme est du côté gauche, le côté du cœur, pour dire que c'est une blessure profonde et indélébile qu'il à subi-là. Il vous réserve bien des surprise cet Ikaël ...
Le tatouage moche sur sa jambe était censé représenter un tatouage tribal, tel des flamme .
SVP, pas de commentaire sur les mains et les pieds...

C'est donc bien calée dans mon lit que je post le chapitre 3 de ma FIC !''

Chapitre 3 : Un Parfum de richesse

Mehdi était assis à l'une des nombreuses tables de jeu du casino. Il jouait contre deux autres hommes, l'un blond, l'autre roux, et assez massifs. Mais Mehdi, du haut de ses deux mètres dix, les dominaient tous les deux. Il avait cinquante Berrys en jetons. Il avait « emprunté » disait-il, ce qui restait dans la bourse commune de l'équipage. Manches après manches, il perdait toujours un peu plus de ses jetons, et au dernier tour, il fit l'erreur de miser les derniers jetons qui lui restaient. La croupière lui distribua deux cartes : un as de cœur et un neuf de carreau. Étant un éternel insatisfait, Mehdi demanda encore une carte, et cette fois-ci il reçut un valet de pique, le valet de trop, il venait de perdre.
Malgré cela il ne se découragea pas et pour continuer la partie, il essaya de séduire la croupière :

« Bonjour mademoiselle. Pourrais-je vous inviter à prendre un verre ?
- Partez ou j'appelle la Marine monsieur. dit-elle très calmement, certainement habituée à ce genre de situation. »

Le concerné parti immédiatement car il ne voulait pas avoir de problèmes, et se dirigea vers la sortie du bâtiment. Mais près de la sortie, trois hommes répugnant aux cheveux gras et aux dents jaunes s'approchèrent de lui, l'air malveillant :

« Jeune homme ! interpellèrent-ils Mehdi.
- Euh... que me voulez-vous messieurs ? répondit-il en se retournant.
- Oh, que du bien, que du bien pas d'inquiétudes... Tu aimes les Berrys n'est-ce pas ? reprit le « leader » de leur bande.
- Comment le savez-vous ?
- Nous t'avons vu jouer à la table numéro trois, et nous connaissons les regards comme les tiens. compléta le plus petit.
- Si tu veux, nous connaissons un moyen de te faire gagner énormément d'argent ! Veux-tu faire équipe avec nous ? »

Mehdi, accepta naïvement l'offre des trois hommes douteux, qui lui expliquèrent leur plan : ils allaient compter les cartes. Mehdi serait le joueur et Sagi, le plus intelligent des trois allait compter les cartes et lui faire des signes en fonction de, s'il devra reprendre une carte, doubler sa mise ou se coucher. Quant aux deux autres, ils éloigneraient les vigiles un peu trop près de la table de jeu. Ils se mirent d'accord pour partager les gains, soixante-dix pour cent pour les trois, et le reste pour Mehdi. Pour les jetons de départ, les trois voyous lui en fourniraient des factices.
Chacun prit alors son poste, et le croupier distribua deux cartes à chacun des joueurs présents à la table. Sagi fit un clin d’œil à Mehdi, signe qu'il devait doubler sa mise. Le croupier lui distribua une autre carte et doubla sa mise. Il gagna la manche et remporta l'équivalent, en jetons, de cinq cents Berrys. Manches après manches, il gagnait toujours un peu plus de jetons : en effet il avait atteint un total de six mille jetons, qu'il convertit, à la fin de la partie, en Berrys.

« Bravo jeune homme, t'as bien joué.
-Remerciez plutôt votre homme de m'avoir aidé.
-Mais tu sais, compter les cartes s'est interdit, tu n'avais pas peur de te faire prendre ? questionna le leader.
-Je suis un pirate, alors tu sais, je n'en ai que faire des règl... »

Il vit alors au coin d'une machine à Berrys, un homme métis, portant un bandana bleu autour de la tête. Il ne portait aucun haut, seules des bretelles noires maintenant un sarouel de la même couleur se resserrant aux mollets. Et ses chaussures semblaient être des chaussures de clown avec au bout de la chaussure pointue, un petit pompon bleu. Il avait tout l'air d'être acrobate dans un cirque, mais non c'était bel et bien Daï le jumeau sadique. Mehdi prit alors ses jambes à son cou, et sortit en courant du casino, prenant avec lui tout l'argent qu'il avait gagné, n'ayant pas pensé à partager. Le jumeau reconnu alors Mehdi et le poursuivit. Les trois hommes ne s'attendant pas à un départ aussi brusque restèrent cloué sur place pendant environ vingt secondes puis appelèrent un colonel de la Marine se trouvant à l'extérieur :

« Colonel ! Colonel ! Il y a un pirate qui vient de partir par là ! Il nous a volé beaucoup d'argent, aidez-nous, je vous en prie... dirent-ils en faisant tous mine de pleurer pour rendre leur accusation encore plus plausible.
- Pas de soucis messieurs, mes hommes et moi y allons. Soldats, nous avons un pirate à attraper. Comment est-il ?
- Grand et musclé, il a une veste jaune curry, vous ne pouvez pas le rater. Et je crois qu'un homme avec un bandana bleu lui courait après. »

Ils partirent sur ces mots, à la poursuite du « malfaiteur », armes à la main.

Pendant ce temps, du côté du groupe oméga, Ikaël et Monica étaient toujours dans la maison du vieil homme.

« Elle est ici ? Réellement, Laura est ici ? questionna Monica.
- Oui oui, elle est en haut dans sa chambre. affirma le vieillard.
- Peut-on lui parler ? demanda gentillement Ikaël. »

Il acquiesça et appela Laura. Elle descendit aussitôt et, méfiante, ne montrait aucun signe de politesse ni d'une quelconque chaleur envers les pirates.
Monica trouvait cela bizarre, voire même louche que le vieux monsieur leur fasse autant confiance pour montrer sa petite-fille à deux inconnus. Après tout ils sont des pirates, des gens à qui on ne peut faire confiance. Alors celle-ci interrogea le grand-père :

« Monsieur, pourquoi nous faites-vous confiance ?

Il attendit environ une minute et formula une réponse :

- Je le sais. Ma compagne est voyante, et en plus de pouvoir lire dans les cartes, elle a le pouvoir de voyager dans le futur. Donc je le sais. Je le sais que vous avez de bonnes intentions et que ma petite-fille pourra devenir heureuse avec vous. »

Laura n'en revenait pas de ce que son aïeul venait de dire : elle serait heureuse avec des misérables pirates. Elle ne dit rien mais n'en pensait pas moins. Ikaël, qui n'avait pas relevé ces dernières paroles, interrogea :

« Comment se nomme-t-elle votre compagne ?
- Yoshi. Yoshi Mimazu. »

« Yoshi Mimazu ». Ce nom ne cessait de résonner dans la tête du capitaine. Il n'en revenait pas. Il n'écoutait plus ce qu'on lui disait, perdu dans ses pensées. Cela faisait trop de coïncidences pour qu'il ignore tous ces événements... Ikaël recouvra ses esprits et s'excusa auprès de Monica car il ne l'avait pas écoutée. À ce moment-là, la porte s'ouvrit en grinçant et une vieille femme ridée, de petite taille aux longs cheveux noirs fit son apparition dans la pièce.

« Bonjour Laura, bonjour Mario. Je vois que les deux jeunes pirates sont là.
- Oui, je te présente Monica et Ikaël.
- Je connais Ikaël. »

Lui aussi la connaissait. Elle était dans son rêve. Les mêmes cheveux, les mêmes rides, les mêmes yeux gris. C'était donc elle Yoshi Mimazu. Tout à coup, un cri puissant brisa le silence qui régnait dans la petite pièce. Monica regarda par l'interstice de deux planches barricadant la fenêtre, d'où provenait le hurlement. Elle vit deux hommes musclés courir et reconnut une veste jaune et un bandana bleu : Mehdi et Daï. Elle rapporta ce qu'elle venait de voir à Ikaël, qui partit dehors les rattraper.

Quelques courtes minutes plus tard, Ikaël accompagné de son navigateur et de son second revint. Ikaël ne voulant pas causer de soucis à la famille dit :

« On s'expliquera plus tard les gars, sur le bateau. »
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Voici le chapitre qui amène l'intrigue

Question du chapitre : A votre humble avis, qu'est en train de faire Kyo ?

Le 22 décembre 2015 à 18:51:28 Mariv a écrit :
Je vais éclaircir le mystère Kyo et Daï !
J'ai choisis ces noms, car je trouvais qu'ils les caractérisaient à merveille ! En effet, kyôdai (Kyo+Daï) signifie, pour simplifier, frère C'était tout simple ! Vous n'aviez qu'à taper sur google "kyodai signification" .

P.S.: Tout au long de ma fic je mettrais des noms ayant une signification, comme Kyo et Daï par exemple. Alors amusez-vous à chercher sur google traduction ce qu'ils veulent dire !
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Sur ce, bon chapitre

J'avais trouvé

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Bon, du coup j'ai tout lu. Et à vrai dire, je n'ai pas grand chose à dire. C'est bien écrit, dans le fond comme dans la forme. Il y a suffisamment de descriptions pour situer l'action (bon, un bateau c'est pas trop compliqué à imaginer non plus ) et les caractéristiques des personnages introduites implicitement contribuent à ne pas alourdir le texte (l'introduction de la "femme-poisson", du zoan, de certaines descriptions physiques) et ça permet de revenir dessus plus en détail plus tard.

Peut-être juste un manque d'incises et de descriptions dans les dialogues. Genre les expressions des personnages ou leurs sentiments au moment de la prise de parole. Mais ce n'était pas forcement nécessaire ici vu que les dialogues étaient assez bateau (mauvais jeu de mot bonjour).

Bateau dans le sens, petit bavardage, pas dans un sens péjoratif

Voilà voilà

PS : Même si maintenant t'as balancé ta description;

Ikaël, je l'aurais vu du coup blond, avec les cheveux légèrement longs tombant juste au dessus des épaules. Peut-être une frange ou une raie au milieu. Des habits faisant pirate mais assez noble, genre chemise avec un col V, peut-être même des "froufrous" dessus

Pantalon et bottes assez basiques de pirates. Des lanières et ceintures en cuir un peu partout aussi (un basique chez les pirates quoi )

Quelque chose comme ça du coup.

(Je ne m'essaierais pas au dessin je crois, c'est trop flou dans mon esprit pour ça )

Ahah enfin quelqu'un a trouvé

Merci beaucoup Dan je décrirais donc un peu plus les dialogue (du moins l'expression des personnages)
Ton avis très bien construit m'a fait plaisirs

Ahah donc toi tu t'imaginais carrément un Cavendish intéressent...

Tu as lu les quels chapitres ?

Haha, oui, j'voulais d'ailleurs évoquer le nom de Cavendish dans ma description

Ben j'ai lu les 3 chapitres du coup

C'est drôle la vision que chacun peut avoir

Bravo

J'avais juste une question, que penses-tu de la mise en page?

Le 2 premiers chapitres manquaient juste un peu de sauts de ligne

Sinon, le reste est cool, le gras pour les dialogues est une bonne idée. L'italique pour mettre des termes en emphases ou pour les pensées, classique et efficace

Oui, je me suis remise en question par moi-même et j'ai modifié ça Ahah très bien, merci beaucoup

Oh mon dieu J'ai trop a rattrapé !!

2 chapitres, ça va tu vas voir, ça passe vite bonne lecture yoyo

A dans 3heures

Je lirais après les vacs , pour l'instant je préfère profiter de ces derniers jours

Pas de soucis

Bonne année à toutes et à tous !

C'est ici, sur ma FIC que je vous souhaites mes meilleurs vœux. Profitez bien de cette nouvelle année qui, j'espère, ne pourra être que meilleure.
Buvez et mangez bien, car bientôt, place à la galette des rois !
Je n'ai rien à vous offrir, mes écrire est ma manière à moi de vous remercier

Voilà, c'était le paragraphe sentimental .