Et oué, une autre Fic encore. Mais les autres dates, si bien que pour les reprendre, même pour moi qui est créé l'histoire ce serait trop dur (ça fait une éternité!). Pourquoi en refaire une alors? Pour plein de raisons! Il y a longtemps que j'ai écris, j'ai pas mal besoin d'entrainement, pour me changer les idées,...
J'ai donc recyclé le début d'histoire qu'à la base j'avais créé sur un thème Pokémon. J'espère que ça ne vous ennuiera pas!
Contente de te revoir parmi nous ^^
Avec une fic pokémon, qui plus est
La Latys noir
Prologue:
L'humain est l'un des plus grand mystère de ce monde. À sa manière, il crée et sauve, mais il détruit également. La force lui permet de se battre et de vaincre, lui attire la gloire et également le malheur. Il offre les plus belles chose tout en s’appropriant les plus précieuses. Ses créations, toutes plus extraordinaires les unes que les autres, n'avaient cependant que pour unique but de le montrer supérieur à ses semblables. Nulle autre créature en ces terres ne lui ressemble. Aujourd'hui, le monde est dominé, et personne ne sait ce qu'il en adviendra.
Tout a commencé le jour où des héros découvrirent le trésor maudit. Leur nature humaine les poussa à la curiosité. Ils crurent bien faire, mais ils se trompaient. En résolvant l'énigme, ils comprirent leur erreur. Mais trop tard. Rien ne peut réparer leur faute. Alors débuta la guerre, celle qui les fit regretter et désespérer, celle qui détruisit sans but et dont il était impossible de prévoir le dénouement. Ils n'avaient plus aucune influence sur ce qui se produisait.
Le vacarme assourdissant résonnait à des kilomètres. L'eau était malmenée par les deux géants qui se combattaient en vain. Partout, le feu jaillissait, l'eau bouillonnait. De puissants éclairs éclataient dans le ciel sombre et menaçant. Aucun d'eux n'étaient assez puissant pour vaincre l'autre. Le premier repoussait son adversaire de toute sa puissance et tentait de le faire basculer dans l'océan enragé. Mais le second tenait sans mal et ripostait en l’assaillant de coups. Les éléments se déchaînaient tout autour. Au loin, une silhouette sombre se découpait vaguement. Un puissant paquebot s'était retrouvé prit dans la tempête, et tentait de lui résister. Mais aussi imposant soit-il, il était impuissant. Le malchanceux navire disparut très vite dans la tempête de rage et de désespoir. Le monde hurlait sa douleur, sa peur. Rien ne survivrait à la colère des titans, tout était perdu, l'espoir n'était plus permit. Alors, parmi les nuages sombres, une lueur dorée apparue, illuminant subitement la scène. Un puissant hurlement se fit entendre malgré les éléments en désordres, et une troisième créature apparue. A sa vue, la rage des deux géants cesse aussitôt, incapable de continuer la lutte en la présence du Gardien ailé. Ils s'écartèrent l'un et l'autre et s'en retournèrent à leur éternel repos, attendre l'arrivée d'un nouveau libérateur. Le géant du ciel avait disparu, ne laissant aucune trace de son passage. Tout se taisait. L'endroit, redevenu étrangement calme, laissait apparaître, parmi les eaux sinistres et glacées, les vestiges de ce qui peut être avait été un navire.
Merci ^^ (en fait ce n'est plus Pokémon, j'ai du changer le thème pour qu'il soit un peu moins hors sujet)
Pour un prologue c'est bien développé
ah le voila enfin ce texte que j'avais corrigé depuis quelque temps déjà :D
j'ai abandonné à la faire pour le concoure (pas assez de temps ^^)
Chapitre 1: «Premier Départ»
Le bruit des vagues incessantes...une lueur rougeoyante... une canicule presque accablante… quelques brises légères. Elle était assoupie, seule, tout comme chaque jours de sa monotone vie, dans cet endroit qui n'était principalement connu que d'elle. L’atmosphère, calme, n'était jamais perturbé que par les rares volatiles s'aventurant par delà l'endroit désert, sans jamais s'y poser. Elle y vit depuis bien longtemps, très jeune lui avait-on dit, car elle ne s'en gardait aucun souvenir. Pour elle, c'était depuis toujours. Le temps paraissait lent, mais on s'apercevait bien vite qu'il ne laissait aucun répit. C'était une jeune femme de carrure moyenne, dont la peau dorée ne semblait jamais subir la dureté des pierres qui l'entourait. Ses cheveux soyeux et lisses était d'une noirceur d'ébène, retombant tel une cascade sombre sur sur ses épaule musclés, accoutumées aux continuels efforts qu'elle devait fournir pour survivre. Son visage était sale du sable sur lequel elle somnolait et qui recouvrait entièrement son corps, mais cela ne la dérangeait aucunement. Elle n'était pas ce qu'on pouvait qualifié de belle, sans être pour autant laide. Elle était normale. La seule étrangeté qui perturbait ce physique si ordinaire était la couleur de ses yeux. Bien que l'un était brun, ce qui ne semblait en aucun cas étonnant, l'autre était, pour une raison ou une autre, gris. Un gris fade, anormale, qu'aucun autre humain, ne semblait posséder. Cet œil était pour la jeune fille une faiblesse, et, bien que peu incommodante, elle l'obligeait à sans cesse le dissimuler du Soleil toujours présent.
Ses deux plus grands amis, qu'elle considérait comme ses frère et sœur, étaient deux jeunes éons, des créatures semi-draconiques qui, cependant, partageaient de nombreux points communs avec les curieux oiseaux qu'elle croisaient de temps à autres. Tout comme eux, ils avaient la particularité de pouvoir voler. La plus petite était rouge tacheté d'argenté, et ses yeux étaient dorées. L'autre, plus sombre, possédait des yeux dorés. Jamais elle n'avait parcouru le monde autrement que sur leur dos. Leur rapidité était leur plus beau don et chaque fois, c'était une nouvelle expérience qui s'offrait à elle. Mais c'était rare, et pendant longtemps, elle restait assise à attendre que quelque chose, aussi insignifiant que ce soit, arrive pour la distraire. Solys, la petite, et Orion, le grand, lui racontaient souvent ce qui se passait chez les humains autres qu'elle. Jamais ce monde étrange et dangereux ne l'avait attiré, mais aujourd'hui, elle s'apercevait qu'il le fallait. Elle était un fardeau terrible et entravait la liberté des deux créatures qui l'avaient adoptés et lui avaient tout donnés. Sans eux, elle ne serait probablement plus de ce monde.
Ils l'avaient trouvé peu après un jour de très forte tempête. Celle ci avait été si violente que les deux s'était retrouvé désorienté. Ils avaient découvert l'enfant parmi les débris restant d'un paquebot, seule survivante du désastre. Jamais ils ne l'avaient amené chez les humains, par peur. Les éons étaient de nature craintive. Ils possédaient beaucoup de connaissances sur l'humanité, et s'ils l'admiraient, en quelque sorte, ils savaient de quoi les hommes étaient capables, et ne l'approchaient qu'en de rares occasions. Depuis, ils s'occupaient de son éducation: grâce à leur télépathie, elle parlait parfaitement humain et pouvait communiquer avec les autres créatures qui l'entouraient. Ils lui avaient également offert un nom, que la jeune fille appréciait grandement: Latys. Elle n'aurait aucun mal à s'intégrer parmi ceux de son espèce, et cela, d'ailleurs, ne saurait tarder à arriver.
Elle les entendis approcher avant même de les voir. Un son familier, qu'elle se réjouissait d'entendre, car il annonçait la venue des deux compagnons. Aussitôt, elle sentit le bonheur lui emplir le cœur, et dans le même instant, une légère nostalgie. Penser qu'elle aurait à les quitter lui faisait ressentir cet étrange malaise, tout autant que le fait de se retrouver dans le monde inconnu, sans rien ni personne pour la guider. A son annonce, les deux s'étaient promis de lui offrir des vivres pour le voyage qui s'annonçait, comme ultime cadeau ; celui d'adieu. Tout d'abord, des habits correctes, puis de la monnaie humaine. Jamais elle n'avait su où ils se procuraient ces biens et jamais elle ne s'était interrogé là dessus. Les deux étaient bien malheureux de voir leur protégé les quitter. Mais ils savaient également que rien ne la retiendrait. Pour la dernière fois, elle leur fit ses adieux. Et sans se retourner, elle se hisse sur le dos du nessirion, créature majestueuse proche de la tortue, mais surmonté d'un cou allongé et de cornes enroulées, qui patientait au large. Ensemble, ils éloignèrent de l'île sur laquelle toute sa vie, elle avait vécut.
Chapitre deux : «Peines Oublié»
Un cri déchirant parmi les pleures, un éclair aveuglant, une note mal accordée,... l'obscurité la plus complète. La mélodie s'était tue. Qui en recevrait l'héritage ?
De vagues fragments inutiles. C'est tout ce qu'il restait de sa mémoire. Elle déambulait sans but dans les rues lors de sont réveil, entourés de ténèbres menaçantes. Elle progressait parmi une masse conséquente d'êtres tout comme elle. Il semblait. Une mélodie résonnait à ses oreilles, perdu dans l'immense noirceur qui envahissait à présent son cœur. Aucun regards ne s'attardait à elle, tout l'ignorait. Elle était seule. Pleurait-elle? Non, mais elle ne riait pas non plus. Que devrait-elle faire? Elle ne le savait pas. Pourquoi? Elle avait oublié. De sinistres tourbillons sillonnaient autour de ses pensées emmêlés qu'elles peinaient à défaire. Alors, elle leva les yeux. Une jeune femme la regardait, très belle, mais au visage vaguement maussade. Ses yeux étaient vert émeraudes, leur éclat tristement terni par la douce mélancolie qui y régnait. Sa peau était très clair, semblant briller malgré les tristes nuages qui abondaient dans le ciel. Ses cheveux étaient courts, châtains, lui arrivant aux oreilles. Elle portait pour seul vêtement une tunique légère, qui couvrait uniquement la surface de son torse et lui descendant jusqu'au milieu des cuisses. Alors, elle s’aperçut que l'être qu'elle observait n'était que sa propre image se reflétant sur la vitre d'une boutique. Soudain, son regard en croisa un autre, totalement différent. Un jeune homme l'observait à travers le verre, amusé. Son regard noisette la dévisageait tandis qu'il repoussait brièvement de sa main une mèche de sa chevelure rousse sombre. Elle détourna le regard et recommença à marcher, sans savoir où elle allait. Dans son empressement, elle heurta son épaule contre le bras d'un homme qui passait par là. Son regard furieux la surpris, car elle était sur de ne l'avoir que frôlé, mais lorsqu'il leva un bras menaçant vers elle, près la frapper, elle comprit. Elle eu peur, c'est vrai. Terriblement peur contre cette homme qui avec ce poing pouvait lui ôter aisément la vie. Elle se mit alors à détester ce monde, à le détester si fort que tout autour d'elle devint rouge. Il la répugnait. Que devait-elle faire? La réponse ne lui venait toujours pas. Alors elle ferma les les yeux, prête à ressentir la douleur qu'elle ne justifiait pas. Mais elle ne vint pas. Et elle se sentit soudainement attiré vers l'arrière. Elle rouvrit les yeux et vit alors le garçon du magasin, qui lui tirait le bras afin qu'elle le suive. Ne sachant pus que faire, elle se laissa entraîner. Derrière, l'homme s'était retourné pour continuer sa route, l'ignorant à nouveau.
Ils étaient arrivé devant le magasin qu'elle avait vu précédemment, et le garçon lui fit signe d’entrer. D'abord intimidé, elle finit par poser le pied dans la modeste bâtisse. A l'intérieur, tout était simple, des murs nu jusqu’au parquet vieillissant. Des bijoux, tout aussi simples étaient exposés sur de modestes socles. Il n'y avait personne à l'intérieur. Enfin, c'est ce qu'il lui semblait lorsqu'elle jeta un coup d’œil pour la première fois. Mais au fond de la pièce se trouvait un petit comptoir ou semblait somnoler un vieil homme. Pourtant une voix profonde se fit entendre lors de leur arrivée.
«Bienvenu à vous, jeune demoiselle, désirez-vous un quelconque produit contenu dans cette boutique? Ils sont tous purement authentique, car c'est le jeune Kayle ici présent et moi même qui les avons crées de nos mains.
-Grand-père, elle n'est pas une cliente.
-Oh, une jeune amie? C'est tout à fait de ton âge après tout.
-Ne t'en fait pas, elle n'est que de passage.
-Non non, ne te dérange pas pour moi. Installez-vous au fond. Voulez-vous du thé? Excusez moi, c'est la seul chose que je puis vous proposer.»
Surprise, elle ne répondit pas, trop abasourdit pour réaliser ce qu'il se passait. Elle se contenta de suivre le jeune garçon vers une autre pièce.
Tient, j'avais complètement oublié les fics de vaco Tu t'es vachement amélioré depuis la dernière fois
Les deux s'étaient assis l'un en face de l'autre, tenant chacun un bol entre leurs mains. Kayle semblait plus âgé qu'elle. Son visage était chaleureux, bien qu'une vilaine cicatrice lui barrait la joue. Ses cheveux étaient longs, et regroupés en une natte qui retombait dans son dos. Puis, quelque chose la frappa: il était maigre, très maigre. Ses vêtements, aussi insuffisants que ceux qu'elle portait, laissait transparaître la faible corpulence du garçon.
«Comment t'appelles-tu?»
Sa voix la tira hors de ses pensées. Comment s’appelait-elle? Elle ne savait pas non plus. Elle avait tout perdu, jusqu'à sa propre identité. Que devait-elle répondre? Et surtout, pourquoi...
«Pourquoi m'avoir aidé?
-Tu es plutôt amusante comme fille. Disons que je l'ai tout simplement fait sur un coup de tête.
-Hein?
-En quoi est-ce étonnant? Les gens ont plutôt tendance à être reconnaissant lorsqu'on leur offre un service.
-Veux-tu quelque chose de moi?
-Et bien... pas vraiment non... tu es vraiment une fille étonnante. D’ailleurs tu ne m'as toujours pas répondu.
-Ah?
-Ton nom.
-Heu...Je...
Elle posa le bol qu'elle tenait et voulut se lever.
-Merci pour ton aide, mais...
-Pourquoi ne veux-tu pas me répondre
-Ce n'est pas...
-N'en n'aurais-tu pas... à moins que tu l'ai...»
Il la regarda dans les yeux, amusé. Gêné, elle resta immobile comme paralysé. L'avait-il deviné? Comment?
-Tu as vraiment eu de la chance de tomber sur moi, qui suis un garçon plein de bonnes intentions.
-Que...que veux-tu dire?
-Voudrais-tu un nom?
De plus en plus perturbé, elle restait muette, réfléchissant à l'étrangeté de la situation.
-Alors? Insista-t-il.
-Et bien... pourquoi pas...provisoirement... Mais pourquoi? Cela ne te concerne pas!
-Tu ne comprend pas?
-Non.
-Avoir une identité est indispensable si tu veux survivre dans ce monde. Si tu n'es rien, tu te fait écraser. Impose toi et vit. C'est mon slogan.
-Quel intérêt as-tu à m'aider?
-Aucun actuellement, mais qui sait? Un jour peut-être me le redevras-tu.
-Les hommes sont-ils tous ainsi?
-Souvent bien pire. Crois-en mon expérience. Mais avant que ta vision tu monde ne devienne aussi sombre que la mienne, j'aimerais te montrer quelque chose Shelia.
-Shelia?
-Tu n'aimes pas?
-Si, c'est jolie...
-Tant mieux. Suis-moi maintenant!
(De vaco ? ^^) Merci!
Au fait, un petit passage sur ma fic serait sympa
Je sais, j'ai déjà commencé à lire! (Pour une fois que j'ai du temps)
Super, merci
Après avoir traversés maintes et maintes rues qui semblaient un immense labyrinthe à la jeune amnésique, ils arrivèrent tous les deux dans un endroit vide, sans bâtisses ni humain. Shelia n'en croyait pas ses yeux: au loin s’étendait une immense surface d'eau grise. Si grande que son champ de vision ne pouvait l'englober toute entière. Ils s'en approchèrent doucement.
«C'est bien plus beau par temps ensoleillé, mais n'est ce pas magnifique? Demanda le garçon.
-C'est...c'est vraiment beau!
Les yeux écarquillés par la surprise, elle contempla ce paysage si étrange à ses yeux. Peut-être n'en avait-elle jamais vu de tel auparavant, elle aimerait pouvoir le dire.
-Ne laisse jamais la noirceur des humains assombrir ta vue, rappelle toi toujours qu'il y a de belles choses en ce monde, et qu'il en est de même au fond d'eux.
-Pourquoi me dis-tu cela si toi même tu ne peux le voir?
-J'ai par le passé commit trop de pêchés pour pouvoir revenir en arrière. J'ai comprit des choses que je n'aurai jamais du connaître, et j'en ai payé de beaucoup.
-Je pense que tout peut-être pardonnés si tu le souhaites.»
Il sourit comme amusé de sa réponse.
-Tu es encore une enfant et ton esprit est pure. Profites-en.»
Ils restèrent silencieux quelques secondes, leurs yeux fixés sur la surface grisâtre de l'eau, inexpressifs, avant que le garçon ne reprenne la parole.
«Si je t'ai aidé, c'est parce que tu me semblait différente des autres. Et j'avais raison. Tu me rappelle ma sœur...
-Tu as une sœur?
-Elle était gentil et douce, elle voyait le monde comme quelque chose de divin, sans défaut.
-Tu dois beaucoup l'apprécier.
-Elle en a payé de sa vie.
-Oh! Je suis désolé.
-Il ne faut pas. La mort n'est pas quelque chose de malheureux, et dans son cas, elle était même la bienvenue.
-Je trouve que la mort est triste.»
Un sourire, encore. Elle avait l'impression d'être l'enfant à qui l'on apprenait la vie et qui ne voulait rien en entendre. Comment le garçon en était-il arrivé à voir le monde de façon si sombre? Son cœur était-il donc empli de tant de noirceur?
«Comment s'app... Oh, il y a quelque chose, là bas!»
Elle désigna du doigt un long objet posé par l'eau sur le sable humide. Ils s'en approchèrent hâtivement pour l'examiner: c'était une jeune femme à la peau halé plutôt grande. Elle était inerte et l'espace d'un instant, Shelia se demanda si elle était toujours en vie. Kayle retourna le corps avec délicatesse et posa son oreille sur la poitrine de la femme inconsciente.
«Elle vie.» La rassura-t-il
Il posa alors ses mains sur son torse immobile et de mis à pousser dessus plusieurs fois, de façon régulière. Il fit également d'autres gestes étranges que Shelia n'expliquait pas. Au bout de ce qui sembla une éternité, Le corps s'anima et la femme se mit à tousser pendant de Kayle la relevait doucement. Elle recracha plusieurs fois des gerbes d'eau avant de défaillir à nouveau.
«Ramenons-la à la boutique, il faut la réchauffer. Annonça-t-il.
Voilà ce que j'ai réussi à faire lors de mon temps libre, je suis plutôt contente! Maintenant, je vais faire ce que je peux pour continuer.
Et désolé de pourrir une si belle fic avec mes pubs a deux rond
Tu as tort, je trouve que tu écris très bien^^
Merci