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Sujet : Quand on a rien à faire!

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03 décembre 2010 à 06:57:08

On crée un topic pour ainsi le booster avec le plus de messages possible.

Voilà! :)

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03 décembre 2010 à 06:57:19

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03 décembre 2010 à 06:59:13

Le mot chronique peut être employé comme :

adjectif en médecine, une maladie est dite chronique lorsqu'elle dure longtemps.
nom commun désignant un recueil de faits historiques rédigés selon un ordre chronologique.
dénombrable, une chronique est un recueil de faits, consignés par ordre chronologique
en histoire, on utilise ce terme particulièrement pour le Moyen Âge (chroniques médiévales) et pour les travaux du XVIe et XVIIe siècle réalisés sur l'Amérique précolombienne par des descendants indigènes ou en collaboration avec eux.
elle peut constituer un genre littéraire ou cinématographique, caractérisé par l'absence d'une intrigue unique ; il s'agit de la relation d'événements dans leur ordre chronologique sur une période de temps plus ou moins longue ; la chronique a le plus souvent pour protagonistes un groupe de personnages — exemples : 1900 de Bernardo Bertolucci, La Porte du Paradis de Michael Cimino, Nos meilleures années de Marco Tullio Giordana
indénombrable, la chronique est un article de presse consacré à un domaine particulier de l'actualité.
Un livre de l'Ancien Testament, aujourd'hui généralement scindé en deux : Premier livre des Chroniques et Deuxième livre des Chroniques.
Éditions Chronique, maison d'édition francaises
Ce document provient de « http://fr.wikipedia.org/wiki/Chronique ».

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Niveau 6
03 décembre 2010 à 07:00:16

Le syndrome de l'immunodéficience acquise, plus connu sous son acronyme SIDA, ou sida[1] (en anglais : AIDS, acronyme de Acquired Immune Deficiency Syndrome), est le nom d'un ensemble de symptômes consécutifs à la destruction de plusieurs cellules du système immunitaire par un rétrovirus[2],[3]. Le SIDA est le dernier stade de l'infection par ce virus et finit par la mort de l'organisme infecté, des suites de maladies opportunistes.On parle en France de "sidéen" pour désigner une personne malade du sida ( au Canada c'est le terme "sidatique" qui est utilisé)[4].

Il existe plusieurs rétrovirus responsables du sida, chacun infectant une espèce particulière[5]. Le plus connu d'entre eux est le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) infectant l'Homme. Les autres virus sont, parmi d'autres, le VIS infectant les singes et le VIF pour le chat.

Trois modes de transmission ont été observés :

par voie sexuelle, qui est le principal ;
par voie sanguine : qui concerne particulièrement les utilisateurs de drogues injectables, les hémophiles, les transfusés et les professionnels de la santé ;
de la mère à l'enfant : qui peut survenir in utero dans les dernières semaines de la grossesse, au moment de l'accouchement et de l'allaitement.
Une pandémie s'est développée à partir de la fin des années 1970, faisant de cette maladie un nouveau problème sanitaire mondial. La prévention, telle que l'usage du préservatif, constitue de loin la meilleure option, car il n'existe actuellement aucun vaccin permettant de se protéger du virus, et les traitements antiviraux disponibles actuellement ne permettent aucune guérison. Bien qu'ayant une certaine efficacité, ils ne peuvent que retarder la venue du stade « sida », en ralentissant la prolifération du VIH au sein de l'organisme. De plus, ces thérapeutiques, coûteuses, ne sont facilement accessibles que dans les pays développés qui peuvent assurer la charge financière ; dans les pays en développement, plus de 95 % des patients ne bénéficient aujourd'hui d'aucun traitement efficace. C'est pour cette raison que l'ONU, à travers son programme ONUSIDA, a fait de la lutte contre le sida une de ses priorités.

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03 décembre 2010 à 07:00:42

La reconnaissance d'une épidémie dans les années 1970 [modifier]
Les premiers signes de l'épidémie remontent à la fin des années 1970, lorsque des médecins de New York et de San Francisco s'aperçoivent que beaucoup de leurs patients homosexuels souffrent d'asthénie, de perte de poids et parfois même de forme rare et atypique de cancer (comme le sarcome de Kaposi qui s'attaque aux leucocytes). L'existence d'un problème sanitaire est avérée en juillet 1981 lorsque le Center for Disease Control and Prevention (CDC) d'Atlanta relève une fréquence anormalement élevée de sarcomes de Kaposi, en particulier chez des patients homosexuels[6]. La maladie est d'abord connue sous le nom de « gay pneumonie » ou « gay cancer », GRID (Gay-Related Immune Deficiency) ou encore « gay compromise syndrome » aux États-Unis. Ces diverses appellations s'avérèrent inappropriées dès que s'affirma l'universalité de la maladie : dans l'été 1982 débuta aux États-Unis l'usage du sigle A.I.D.S. qui signifia d'abord Acquired Immune Deficiency Syndrome puis Acquired Immunodeficiency Syndrome. En France la Direction Générale de la Santé adopta en 1982 le sigle S.I.D.A. pour Syndrome d'Immunodéficience Acquise ou Syndrome d'Immuno-Dépression Acquise ; avec les années le sigle est devenu un nom : on écrit désormais « sida » [7]. (Cette appellation de « syndrome » se justifiait alors puisque l'on ne connaissait pas la cause de la constellation des troubles observés).

L'origine virale ne fut pas d'emblée évoquée et l'hypothèse d'une intoxication par des produits comme les poppers (stimulant sexuel contenant du nitrite d'amyle) a pu être émise au début, car les six premières personnes malades en avaient toutes été de gros consommateurs. De même, l'identification du virus responsable a été difficile, beaucoup de scientifiques parlant d'HTLV comme cause de l'épidémie. C'est à la même période que de nombreux transfusés sont contaminés par des lots de sang contenant le VIH. En quelques années, le virus va s'étendre pour finir par toucher toutes les couches de la population.

En janvier 1983, l'équipe du Professeur Jean-Claude Chermann, qui travaille à l'Institut Pasteur sous la direction de Luc Montagnier, isole un virus étroitement associé au SIDA[8] ; à ce stade cependant, le lien entre le LAV (Lymphadenopathy Associated Virus) et le Sida n'est pas clairement établi par l'équipe de Luc Montagnier .

Le 23 avril 1984, une conférence de presse est organisée par le United States Department of Health and Human Services. A cette occasion, la secrétaire américaine à la Santé Margaret Heckler annonce d'abord que Robert Gallo et ses collaborateurs ont découvert l'agent causal du sida, un retrovirus baptisé HTLV-III. Elle annonce ensuite que cette équipe est en mesure de produire le virus en masse. Enfin elle annonce la prochaine distribution d'un test de diagnostic [9].

En mai 1986 une Commission de nomenclature virologique forge un sigle pour désigner le virus isolé : HIV (Human Immunodeficiency Virus) que les français transcrivent en VIH [10].

En juin 1986 sous le gouvernement Chirac, le sida devient une maladie à déclaration obligatoire .En décembre 1986, les cas de sida avérés obtenant le statut de maladie de longue durée ouvrent droit à une prise en charge à 100% [11].

Seules les campagnes d'information sur les comportements à risque, les méthodes de propagation de la maladie et surtout les moyens de protection permettront aux pays développés d'enrayer la progression (sans toutefois pouvoir la bloquer). La prise de conscience générale doit aux populations homosexuelles son déploiement rapide ; en effet, de nombreux mouvements, tels que celui d'Act Up, d'AIDES, et des vedettes internationales ont forcé la visibilité, incitant les dirigeants politiques à engager de véritables recherches scientifiques.

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Niveau 6
03 décembre 2010 à 07:01:08

L'origine de la maladie [modifier]
Article détaillé : Origine du virus de l'immunodéficience humaine.
Le VIH est étroitement lié aux virus entraînant des maladies semblables au sida chez les primates, le virus d'immunodéficience simien (VIS). Il existe plusieurs théories sur l'origine du sida, mais il est communément admis que le VIH-1 est une mutation du VIS. Ce dernier infecte notamment les chimpanzés (Pan troglodytes), qui sont des porteurs sains du VIScpz. La transmission chez l'homme a été rendue possible par une mutation du virus.

Les études scientifiques ont suggéré que le virus serait apparu initialement en Afrique de l'Ouest, mais il est possible qu'il y ait eu plusieurs sources initiales distinctes. Le premier échantillon recensé du VIH fut recueilli en 1959 à Léopoldville (aujourd'hui Kinshasa), dans l'actuelle République démocratique du Congo. Parmi les premiers échantillons recueillis, on compte également le cas d'un Américain homosexuel en 1969 et d'un marin hétérosexuel norvégien en 1976.

Au début de l'épidémie, des recherches ont été entreprises pour déterminer le patient zéro qui aurait propagé le virus aux États-Unis. Pendant un temps les soupçons se sont portés sur Gaëtan Dugas, un steward canadien homosexuel qui est mort le 30 mars 1984. Une étude fait remonter l'entrée du VIH aux États-Unis vers 1969, par un immigré haïtien célibataire[12].

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03 décembre 2010 à 07:01:27

Une pandémie [modifier]
Dès le début du XXIe siècle, le SIDA se transforme en une pandémie. Il y a eu de 1981 à 2006 environ 25 millions de morts dues aux maladies en rapport avec le sida[13]. En 2007, l'épidémie semble marquer le pas, le nombre de séropositifs au VIH ayant sensiblement diminué de 38,6 millions en 2006 à 33,2 millions de personnes séropositives au VIH[14]. L'ONUSIDA indique cependant que cette diminution provient d'une meilleure utilisation des outils statistiques, et met en garde contre un optimisme exagéré.

Les principales victimes sont actuellement les habitants des pays en voie de développement. Les raisons sont multiples et varient d'un pays à l'autre : tourisme sexuel pour l'Asie du Sud-Est, absence d'information de la population sur les facteurs de risque de transmission (notamment en Afrique Noire), convictions religieuses interdisant l'utilisation des moyens de protection tels que le préservatif, refus de l'abstinence ou relations hors mariage, manque de moyens ou de volonté pour faire de la prévention et informer les populations (principalement en Afrique et en Asie), voire refus d'admettre les faits.

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03 décembre 2010 à 07:02:00

Modes de transmission [modifier]
Les trois modes de transmission du VIH ont chacun leurs particularités :

La transmission par voie sexuelle
La plupart des infections par le VIH ont été ou sont encore acquises à l'occasion de rapports sexuels non protégés. La transmission sexuelle se fait par contact entre les sécrétions sexuelles (ou du sang contaminé par le virus) et les muqueuses génitales, rectales ou buccales. La probabilité de transmission varie selon le type de rapport sexuel avec une personne infectée entre 0,005% et 0,5% par acte sexuel[15]. Le meilleur moyen de protection contre le VIH dans ce mode de transmission est le préservatif. Suite à la synthèse de plusieurs études, il a été montré que l'usage du préservatif lors de chaque rapport et de manière correcte fait baisser le risque d'infection de 85 %[16].

La transmission par voie sanguine
Ce mode de contamination concerne tout particulièrement les usagers de drogues injectables, les hémophiles et les transfusés. Les professionnels de santé (soins infirmiers, laboratoires) sont aussi concernés, bien que plus rarement. Il ne faut pas négliger les risques de contamination par aiguilles souillées et non ou mal désinfectées (tatouages). La probabilité de transmission varie entre 0,0067 pour le partage de seringue avec un toxicomane séropositif au VIH et 0,9 pour la transfusion sanguine avec du sang contaminé[17].

La transmission de la mère à l'enfant pendant la grossesse
La transmission mère-enfant du virus peut survenir in utero dans les dernières semaines de la grossesse, et au moment de l'accouchement. À noter une tendance à la fausse séropositivité au VIH chez les multipares[18]. En l'absence de traitement, le taux de transmission, entre la mère et le fœtus, avoisine les 20 %. L'allaitement présente aussi un risque supplémentaire de contamination du bébé, de l'ordre de 5 %, ce qui explique qu'il soit déconseillé en cas d'infection de la mère. Cependant, trois études récentes, l'une menée par PJ. Illif & al. au Zimbabwe[19], l'autre par H. Coovadia en Afrique du Sud[20], la dernière par M. Sinkala et al. en Zambie[21], montrent que l'allaitement exclusif précoce réduit le risque global de transmission postnatale à 4 % et accroît la survie des enfants. Actuellement, les traitements disponibles alliés à une césarienne programmée ont réduit ce taux à 1 %[22]. Les résultats sont plus mitigés dans les pays en voie de développement[23],[24], le risque de transmission postnatale diminuant grâce à l'utilisation de la Névirapine jusqu'à 13 % selon HIVNET012, 18 % selon Quaghebeur et al.

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03 décembre 2010 à 07:02:26

Infection par le VIH [modifier]
Le VIH désorganise le système immunitaire en infectant les lymphocytes T CD4+. Ces cellules sont en effet les « coordinatrices » de la réponse immunitaire : elles jouent un rôle tout à fait central. La mort des cellules infectées est consécutive au détournement de la machinerie des lymphocytes, qui ne peuvent plus fabriquer leurs propres molécules, ainsi qu'à la destruction de l'intégrité membranaire au moment de la sortie des virus neo-formés. Par ailleurs, les cellules infectées exposent à leur surface membranaire des protéines virales (complexe Env). Ces protéines sont reconnues par des cellules immunitaires saines et s'accolent au lymphocyte infecté. S'ensuit un processus de « baiser de la mort » (kiss of death) par lequel la cellule saine est détruite par activation de la voie de l'apoptose[25]. Dans ce sens, Luc Montagnier rappelle lors d'un colloque (Bruxelles, décembre 2003) : « la mort massive des lymphocytes T4 n'est pas due à l'infection directe des cellules par la souche virale, qui est alors peu cytopathogène, mais à des mécanismes indirects touchant les cellules CD4+ non infectées. Un des médiateurs de cette apoptose est l'existence d'un fort stress oxydant caractérisé par une prévalence de molécules oxydantes (radicaux libres) sur les défenses antioxydantes de l'organisme[26] ».

En l'absence de traitement, la quasi totalité des patients infectés par le VIH évolue vers le sida, phase ultime de la maladie. La durée d'évolution vers le sida a semblé être de deux ou trois ans au début de la pandémie, mais est plutôt de l'ordre de 10 ans, ainsi que l'ont montré des études faites en Ouganda[27]. Les raisons de la latence de l'apparition de la maladie demeurent inexpliquées de façon satisfaisante.

Un certain nombre de patients ne développent pas le SIDA, même sans traitement:ce sont les asymptomatiques à long terme dont un sous-groupe est composé de contrôleurs du VIH,(estimés à 1% des séropositifs ) ; leur dénombrement - rendu plus difficile depuis le développement des antiretroviraux - a pu faire l'objet de contestation [28]

Il existe deux classifications pour décrire la progression de l'infection VIH, fondées sur les manifestations cliniques et les anomalies biologiques.

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03 décembre 2010 à 07:03:39

Parlons de autres choses maintenant. :)

Quelque chose de plus positifs?

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03 décembre 2010 à 07:04:59

Le gardien de but est un joueur de hockey sur glace qui défend le but de son équipe en bloquant les palets (rondelles) lancés vers lui pour les empêcher d'y entrer, et ainsi éviter que l'équipe adverse ne marque. Le gardien se tient généralement dans, ou tout près, d'une zone peinte sur la glace que l'on nomme la zone du gardien ou l'enclave. À cause de la puissance et de la fréquence de ces lancers, les gardiens portent un équipement spécialement conçu pour protéger leurs corps des impacts directs. Il ne peut en aucun cas pendant le jeu y avoir deux gardiens pour la même équipe sur la glace.

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03 décembre 2010 à 07:05:42

Privilèges [modifier]
La position de gardien de but est typiquement un poste spécialisé au hockey ; dans les hauts niveaux, aucun gardien ne joue à une autre position, et aucun patineur ne joue comme gardien. Un alignement typique compte deux, parfois trois gardiens. Ce joueur possède des privilèges que les autres n'ont pas : il porte un équipement spécial fort différent de celui des autres joueurs et peut légalement saisir la rondelle avec ses mains et déclencher un arrêt de jeu. S'il est frappé, bousculé ou gêné par un joueur adverse, le joueur fautif se voit sanctionné par une pénalité. Dans certaines ligues canadiennes, si la crosse (ou bâton) du gardien se brise, il peut continuer à jouer avec jusqu'au prochain arrêt de jeu, contrairement aux patineurs, qui eux doivent obligatoirement lâcher tout bâton fracassé immédiatement.

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03 décembre 2010 à 07:06:03

Arrêt [modifier]
Quand le gardien bloque la rondelle dirigée vers lui et l'empêche de continuer son chemin jusque dans le but, on parle d'arrêt ou parade. Les gardiens suivent souvent un style, mais en général, ils bloquent les tirs comme ils le peuvent: soit en l'attrapant avec la mitaine, en la déviant avec le bâton, les jambières, le bouclier ou n'importe quelle partie de leur corps, ou en se laissant choir sur la glace en style papillon pour bloquer les tirs bas, particulièrement ceux décochés de près. Après un arrêt, le gardien tente de contrôler le rebond du palet afin d'éviter qu'un joueur adverse ne vienne marquer pendant que le gardien est hors-position (marquer sur un retour de lancer) ou simplement pour permettre à l'équipe du gardien de reprendre de contrôle de la rondelle et ainsi tenter de contre-attaquer. Les gardiens tentent donc le plus souvent d'attraper la rondelle, cela rendant le contrôle de la remise en jeu de celle-ci beaucoup plus aisé pour lui. Si l'adversaire exerce une pression immédiate, le gardien peut choisir de conserver le palet (pour trois secondes ou plus, suivant le jugement d'un officiel) afin d'arrêter le jeu et de provoquer une nouvelle mise en jeu, qui sera effectuée dans le territoire de l'équipe dont le gardien aura ainsi arrêté le jeu. Cependant, si le gardien retient la rondelle pendant trop longtemps sans l'équipe adverse ne fasse pression sur lui, il peut se voir décerner une punition pour avoir retardé le jeu. Récemment, la Ligue nationale de hockey et la Ligue américaine de hockey ont imposé de nouveaux règlements restreignant les gardiens dans le contrôle du palet en dehors de leur zone, notamment derrière le but

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03 décembre 2010 à 07:06:32

Arrêt du bâton/de la crosse : Un arrêt effectué avec la crosse du gardien. Ce dernier ne doit pas tenir le bâton trop fermement au cours d'un tel arrêt; il se doit plutôt de laisser le tir pousser son bâton contre ses guêtres ou ses patins, amortissant le coup.
Arrêt de la jambière : Se dit d'un arrêt effectué à l'aide de n'importe quelle partie de la jambière. Le gardien doit rester calme et patiner à reculons avec le tir, ce qui aide à absorber le choc et à réduire le rebond. Un type d'arrêt de la jambière est l'arrêt papillon.
Arrêt papillon : Sur les tirs bas, les gardiens modernes travaillent généralement en "position papillon", gardant leurs genoux collés et protégeant la zone vulnérable entre leurs jambières (dite en anglais "five hole"). Le gant est gardé haut, afin de parer une éventuelle déviation, et le gardien reste concentré sur le tir.
Arrêt du patin : Arrêt effectué avec le patin. Le gardien décide dans quelle direction le palet devrait être dévié et il aligne son patin dans cette direction. Puis, pliant l'autre jambe, il (ou elle) pousse vers la rondelle, gardant l'autre jambe tendue, pour la repousser tandis que le genou touche la glace.
Bâton ou crosse : Tenue dans la main qui porte le bouclier, la crosse du gardien est une crosse spéciale, différente de celle des patineurs, qui est considérablement élargie dans la partie inférieure pour aider à bloquer les tirs. La palette de cette crosse doit rester bien à plat sur la glace le plus souvent possible. Lors de l'achat d'une nouvelle crosse, le gardien doit porter attention à la "lie" du nouveau bâton. Si cette dernière est trop grande, il sera contraint de jouer sur ses talons, déplaçant son équilibre, tandis qu'une "lie" trop petite place le gardien trop près de la glace, le gênant lorsqu'il doit effectuer des arrêts élevés.
Bouclier ou biscuit (aussi appelé "bloqueur") : Porté à la main droite par les gardiens droitiers (et vice-versa pour les gauchers), le bouclier est une pièce d'équipement rectangulaire, avec un gant permettant au gardien de tenir son bâton. Il protège le poignet du gardien, tout en lui permettant de dévier les lancers loin du filet. Il doit normalement être positionné sur le côté, à une hauteur permettant à la crosse du gardien de rester à plat sur la glace.

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03 décembre 2010 à 07:06:55

Les sept positions à couvrir ("Holes one through seven"): Ce sont les sept endroits où un gardien est le plus susceptible de se faire battre; celui-ci se doit d'y porter une attention accrue et de bien les couvrir. Ce sont:

Le coin inférieur du but, à ras la glace, du côté du bâton du gardien
Le coin inférieur du but, à ras la glace, du côté du gant du gardien
Le coin supérieur du but, du côté du bâton du gardien
Le coin supérieur du but, du côté du gant du gardien
Entre les jambes du gardien
Entre le torse et le bras tenant le bâton
Entre le torse et le bras portant le gant

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Niveau 6
03 décembre 2010 à 07:07:07

:)

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03 décembre 2010 à 07:07:46

Lars Eller (né le 8 mai 1989 à Rødovre au Danemark) est un joueur professionnel de hockey sur glace danois[1]. Il est le fils de Olaf Eller ancien joueur professionnel.

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03 décembre 2010 à 07:08:35

Carrière [modifier]
Formé au Mighty Bulls de Rødovre SIK, il part en 2005 en Suède. Il s'agguérit avec les équipes de jeunes des Frölunda Indians. En 2007, il est choisi au cours du repêchage d'entrée dans la Ligue nationale de hockey par les Blues de Saint-Louis en 1e ronde, en 13e position. La même année, il passe professionnel et joue ses premiers d'Elitserien avec Frölunda. En 2009, il part en Amérique du Nord et est assigné aux Rivermen de Peoria dans la Ligue américaine de hockey. Avec 57 points en 70, il est le meilleur pointeur de l'équipe. Les Rivermen ne se qualifient pas pour les séries éliminatoires de la Coupe Calder. Le 5 novembre 2009, il dispute son premier match dans la LNH contre les Flames de Calgary y inscrivant son premier but.

Le 17 juin 2010, il est échangé avec Ian Schultz aux Canadiens de Montréal en retour de Jaroslav Halák.

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