Pas mal l´idée du sabre avec une lame à double phase. Mais j´aurais préféré un sabre à 2 lames (goût personnel )

Mission sur Nar Shadaa

- Ah la suave puanteur du désespoir et de la misère ! s’écria Atton fous de joie, quand je pense que j’ai pas mis les pieds ici depuis………un bout de temps, en tout cas ! Bienvenus sur Nar Shadda, l’endroit le plus miséreux de tout le système Ytoub, et faites gaffe ou vous mettez les pieds, sinon la chute durerait des heures.

- Génial ! dit Hobby en faisant une grimace.

- Ou peut ont trouver d’anciens soldats de la guerre civile ? demanda Den.

- Le secteur des réfugiés doc, mais il est contrôler par nos petits copains de l’Echange.

- Je vois ! dit l’exilé songeur.

- Cette lune grouille de vie ! Dit Visas lentement, il est difficile de ce concentrer par ici, le surplus d’énergie est impressionnant.

- Une cachette parfaite pour dissimuler une présence dans la force, expliqua Kreia, mais une question ce pose, pour quoi un Jedi cherche a ce cacher ?

- La prime de l’Echange, intervint Bao Dur, ou les Sith qui vous traquent depuis Peragus.

- Nous devons trouver pour quoi l’Echange cherche les Jedi, déclare Den, et quel intérêt trouvent-t-ils a envoyé des droïdes assassins dans les quatre coins de la bordure.

- La prime importe peu, intervins Kreia, ce qui est important, ce sont les Jedi.

- Mais la prime est une menace pour lui ! dit vivement la servante, ont ne peut combattre un ennemie en regardant par-dessus nos épaules.

- Si telle est votre avis ! dit Kreia froidement.

- Et vous doc ? dit Atton en regardant Den, vous décidez quoi ?

Den regarda les tours de Nar Shadaa et dit d’une vois assuré.

- Atton, Hobby et Visas iront enquêter sur cette prime dans les Cantinas de la ville, moi et T3 ainsi que l’Echani partons pour le secteur des réfugiés, quelqu’un la bas sait probablement ou est Zez Kei Ell, Bao Dur et Kreia resteront sur le vaisseau comme renfort au cas ou.

- Bien général ! Opina le Zabrak.

- Prudence ! Recommande l’exilé, j’ai sentis une perturbation dans la force, gardez le comlink allumé.

Tout le monde opina du chef.

- Ont se retrouve ici dans une heure ! Que la force soit avec vous.

Atton jubilait, il allait bientôt jouer au Pazzak, et boire un bon verre de jus de Juma, comme la vie est belle, Hobby et Visas marchait derrière lui et la fillette lançait des regards circulaires dans toutes les directions, l’endroit était bruyant et il y avait des personnes de toutes races, Twi’lek, Gammoréens, Barabel, Trandoshan…………quelle pagaille ! ce coin est un vrais moulins pour les chasseurs de primes et les contrebandiers, mais il faut qu’elle s’y fasse.
- Qui a-t-il ? demande Visas avec sa vois de velours.

- Riens ! dit Hobby en haussant les épaules, c’est pas pareille que sur Telos, il y a de l’ambiance et tout ça, mais j’arrive pas a comprendre pour quoi Atton ce sente si biens dans ce trous de Gundark ?!

- Tu n’as pas de cher toi ?

- Non ! J’ai souvent voyagé avec Bao, il m’a trouvé sur Yanibar et m’a tout de suite adopter, il a fait de moi sa petite frangine adorer et m’a tout appris de la mécanique jusqu’aux arts martiaux.

- ça ne te dérange pas qu’il soit…………… ?

- Un type avec des cornes ? dit Hobby amusé, biens sur que non ! C’est mon grand ours en peluche, si il est musclé comme ça, c’est pour pouvoir porter son cœur immense, Bao est plus qu’un frère pour moi, c’est la seule famille que j’ai.

- Tu as beaucoup de chance ! dit Visas gravement.

- Mais quand il s’agit de principe ! dit Hobby en faisant une grimace, il reste très sévère, je me rappelle le jour ou il a ma fichus une bonne raclée pour avoir tabasser un type qui me cherchait des noises, mais c’était pas ma faute, après ça, il m’a fait comprendre que mes poings devaient toujours servir a protéger les autres, et pas a faire du mal, moi en tout cas, je continue toujours de penser que cet idiot n’a eu ce qu’il méritait.

Visas sourit et découvrit ces dents de perle.

- Il m’arrivait aussi de punir mon petit frère ; confie-t-elle.

- Qui aime biens, châtie biens c’est biens ça ?

- Pas toujours ! dit la Miraluka froidement.

Hobby ce pinça les lèvres et ce remémora le jour ou Deni avait réanimer Visas, son corps était recouvert de cicatrices, des châtiments corporelles qu’elle subissait avec son anciens maître.

- Voila la cantina ! s’écria Atton, un conseil, ne dites pas un seul mot, et ne vous éloignez pas de moi.

- Bas voyons ! dit Hobby en mettant ces mains au poche.

- Je m’y connais alors laisse faire les grandes personnes, aboya le contrebandier.

- Oh mais vas y ! dit la fillette avec dédain, moi j’en ai riens a foutre.

- Observe l’artiste ! dit Atton avec un sourire charmeur.

Atton ce dirigea vers le portier, un Rodiens menacent avec un pistolet Blaster accrocher dans la ceinture.

- Salut mon pote ! dit Atton jovialement, je voudrais un petit renseignement s’il te plais, en échange de quelque crédits biens sur.

- Quelle genre de renseignement ? dit le Rodiens froidement.

- Bah je me demander qu’elle est la plus grosse prime que l’Echange donne en ce moment au chasseurs de primes ?

- J’en sais riens ! dit le Rodiens froidement, mais en tout cas t’as pas intérêt a te frotter a l’Echange, sinon ces gars la bousilleraient t’as grande gueule a coup de matraque.

- Je respecte beaucoup l’Echange mon pote ! s’écria Atton en riant, pour moi c’est comme une mère tu sais ?

- Ah ouais ? dit le Rodiens peu convaincu, et toi la fillette ? En désignant Hobby, c’est quoi l’Echange pour toi ?

Hobby montra Atton du doigt et déclara en faisant une grimace.

- C’est sa mère a lui !

Le contrebandier regarda la fillette avec rage, cette fille délire de plus en plus, le Rodiens éclata de rire et Hobby poussa un soupire frustré.

- Tu me fous la honte ! dit elle au contrebandier, si c’est ça t’as façon de récolter des informations ! ont arrivera jamais a savoir pour quoi ont veut la tête de Deni.

- J’ai pas dit que c’était facile, dit Atton en rougissant.

- Moi je vais boire un peu de jus de Yamu, dit elle avec ennuis, tu viens Visas ?

- Hé mais attend une minute, s’écria Atton embarrassé, c’est moi le chef dans cette équipe non ? Mais attendez nom d’un chien !

Le Rodiens riait a en pleurer, et ne vit même pas Hobby et la Miraluka passer devant lui, Atton serra les dents et cria de rage, puis jeta au portier un regard mauvais.

- Ferma la toi ! dit il menacent.

Mais le Rodiens tapait joyeusement sur ces cuisses, et riait a en pleurer, Atton secoua la tête et entra dans la cantina.

Une femme tenait un fusil Blaster a lunette, et visa dangereusement ça cible, Den marchait tranquillement au cotés de la servante et T3, le regard perdus détacher, il semblait absent de ce monde. Grave erreur ! Dit Lisa avec un sourire diabolique, être toujours en alerte maximum, c’est la règle, et pourtant son ancien supérieur semblait l’avoir oublier, peu importe, elle devait en avoir le cœur net, et il n’y avait qu’une seule solution.

Den marchait toujours le regard perdu, la servante et T3 suivaient le général comme des ombres, mais l’exilé sans crier gare activa rapidement sa lame bleue et dévia le tir mortel sans même le regarder, puis désactiva sa lame et continua de marcher comme si ne riens était, la servante regardait dans toutes les directions et T3 sifflait comme un malade, puis coururent tout deux rejoindre l’exilé, Lisa de son coté sourit amusé et regarda le général s’éloigner avec ces jumelles de poche.

- J’étais pourtant a bonne distance ! dit elle gravement, vous ne pouviez ni voir, ni sentir ma présence, j’avais choisis un ongle parfait et j’ai observer attentivement vos réactions, j’ai crue que vous aviez baisser votre garde, mais en fait, ce regard perdus n’était que de l’auto camouflage, une technique souvent utiliser par les commandos d’élite du cent vingt septième escadron, même un puisant Jedi ne pourrait dévier un tire perdus, mais vous général ! Vous ne cesserez jamais de m’étonner, comment cette idiote de Bastila pouvait avoir un maître si puissant ? Alors qu’elle a succomber dans le coté obscure si ce n’est l’intervention d’un type qui vous ressemble comme deux goûtes d’eau.

Lisa jeta son fusil dans le vide et repris sa mission qu’ont lui a octroyer, mais en tout cas elle est rassuré :

- Résultat du teste ! dit elle malicieusement, le général Orion ce bat relativement biens.

tres bien Merouane j´espere que tu ecrira un jour la suite de des films (jaden core,kayle katarn etc....)je suis sur que tu remplacera mr Lucas un jour..

c´est le plus beau compliment qu´ont m´es fait, merci anduril_fury, tu me donne vraiment une péche de fer pour continuer

bah il a pas tord ta vrément un talent impréssionant

Je suis trop pressé de lire la suite!
Trop bon boulot Tamène.

Il y a qu´un mot à dire : Bravo !

Den marchait toujours les yeux baissés, la servante jetait des regards inquiets dans toutes les directions, un tireur embusqué voulait abattre l’exilé, c’était sur, et pourtant le docteur Orion avait réussi à bloquer le tire avec un simple geste de défense, comme si l’anciens Jedi s’attendait à toute attaque. Depuis qu’il a construis son sabre, l’exilé semblait posséder plus d’assurance, non ! Il semblait devenirs plus puissant chaque jour, son pouvoir grandissait à une vitesse phénoménale, en marchant a ces cotés, l’Echani semblait envelopper d’une douce sensation de biens être, comme si le pouvoir de Den ce répondait en elle. Donnant une impression de sécurité, mais aussi une autre impression de confiance, elle ce souvenait du regard déchirée d’Atris, sa maîtresse en le voyant partir voulait le retenir, mais en vain ! Est-ce qu’Atris l’aime ? Les Jedi n’éprouvent pas d’amour, Est-ce qu’Atris le déteste, les Jedi n’éprouvent pas de haine.

En arrivant devant un immeuble, Den s’arrêta et ordonna de rester dehors, l’Echani allait protester, mais le docteur entra et laissa le droïde et la jeune fille seule, T3 lui siffla hystériquement de le suivre, hésitante, elle finit par entrer a grande enjambé, et la, elle trouva l’exilé penché sur un homme a moitié mort, la jeune poussa un hoquet horrifié, le pauvre homme était dans un état terrible.

- Est-ce qu’il est………… ? Dit elle troublé.

- Non ! il respire, répondit Den, puis en s’adressant a l’homme, avez-vous une dernière volonté ?

L’Echani mit la main dans sa bouche et détourna la tête épouvantée, l’homme regarda l’exilé tristement.

- Ma femme va accoucher ! dit il en tremblant, trouvez un médecin pour elle par pitié.

- Qui vous a fait ça ?
- Les gardes de l’Echange, ils ne laissent personne sortir, ils m’ont tabasser a mort.

- Partez en paix, dit l’exilé d’un ton doux, je suis un Jedi guérisseur.

L’homme sourit rassuré et partis paisiblement dans l’autre monde, Den lui ferma délicatement ces yeux, puis le recouvris avec sa cape, l’Echani pleurait à chaudes larmes, l’exilé posa affectueusement sa main sur son épaule en passant a coté d’elle.

- C’est comme ça tout le temps ? dit elle tristement.

- L’univers est deux fois plus grand pour être mit dans une académie polaire jeune demoiselle, dit Den gravement, a quoi bon reconstruire un ordre Jedi si personne ne fait attention a ce qui ce passe autre part.

- J’ignorais que………dit elle tremblante, des gens soufraient a ce point.

- Vous n’avez encore riens vue.

- Mais il y a des lois………dite elle avec énergie.

- La république n’a aucun pouvoir ici, les gens sont victimes d’esclavages, mais aussi de racisme, une preuve de plus qui montre que la république n’est désormais qu’une chimère.

- Ne dites pas ça docteur Orion ! la république a toujours était une constitution démocratique qui a défendus la paix et la liberté depuis sa création.

- Le pouvoir au main de peuple ? dit Den amusé, qu’est ce qui garantie vraiment cela ?

- Les sénateurs élus par le peuple ! dit l’Echani avec évidence

- Je doute qu’un homme du peuple puisse manger les même plats qu’un sénateur dit Den gravement, un sénateur qui est de surplus, monté au pouvoir par le vote de ce même homme, qu’est que la démocratie ? Donner un pouvoir a un homme aux belles paroles ? Il est très facile de promettre avec de beaux discours et n’importe qui peut le faire aisément, mais le plus dure reste de tenir ces promesses, et la nature humaines est biens trop sombre pour ne pas se laisser corrompre par le pouvoir.

- Vous voulez dire que la démocratie est………

- Le seul pouvoir du peuple est de donner un pouvoir qui risque de les anéantir sans ce rendre compte, c’est comme ça dans la politique, et malheureusement ça le restera pour toujours.

L’Echani était bouleversé, mais elle devait admettre que Den avait raison, les hommes de pouvoir ne font que s’intéresser a leur profits personnelles, et cherchent par tout les moyens a garder leur positions au sommets, et le peuple restera toujours oublier, elle comprend maintenant le conflit légendaire entre les Jedi et les politiciens, un conflit qui durera pour toujours.

Très bonne représentation de la politique d´aujourd´hui (ainsi que d´hier et de demain malheureusement).

- Il est temps de ce mettre au travaille.

Hobby sortis son petit ordinateur modifié, et ce dirigea vers la console de commande des trafics commerciaux, Atton regardait a droite et a gauche et serra les dents avec angoisse, ils étaient dans le quartier des docs et leur enquête dans la cantina n’a riens apporter, adieu le jus de Juma et le Pazzak.

- Actives un peu, dit Atton nerveusement.

- ça va fermes la ! dit la fillette froidement, si t’as pas plaquer tout ton fric sur ce jeu stupide ont en seraient pas dans cette situation grotesque.

- Tu comptes pirater le terminal central ? demande Visas.

- Pas vraiment ! dit Hobby gravement, je consulte la banque national d’informations de la république sur ce dénommée Goto, dans la cantina, le nom de ce gars fait trembler beaucoup de mecs.

- Pas besoins ! dit Atton moqueur, c’est le chef de l’Echange et personne ne l’a vue en face.

- Merci gros bêta, dit Hobby avec grimace, je préfère glaner son pedigree.

- Glaner quoi ? dit Atton surpris.

- Ces activités légales ! Pauvre idiot.

- Pour quoi faire ?!

- Je préfère me taire ! Soupire la fillette.

Visas écoutait attentivement les frappes d’Hobby sur le clavier, puis hocha la tête satisfaite, décidément, la petite sœur adoptive du Zabrak est très en avance pour son age.

- C’est une bonne idée ! dit elle impressionner.

- Contente qu’il y est au moins un cerveau intelligent !

- Salle petite………dit Atton fous de rage.

- Incroyable ! dit la fillette surprise.

- Quoi ? Dit Atton en se penchant dans la console.

- La liste des affaires commerciales de Goto est impressionnante, ce type possède des usines de détritus, des chantiers navales privées et même des transports publiques dans quatre systèmes sans compter celui d’Ytoub, ce gars vaut des milliards.

- Et sans compter le commerce interdis, intervins Visas.

- Pas étonnant que tous les chasseurs de primes veulent bosser pour lui, dit Atton en fronçant les sourcilles, mais pour quoi cette prime sur les Jedi avec tout le fric qu’il a ?

- La question est qui possède suffisamment de ressources pour en venir aux services d’une organisation comme l’Echange ?

- Les Sith ! Répondis Atton.

- Les Sith n’ont pas besoins d’engager une organisation criminel, dit Visas sceptique, ils traquent eux même leur proie.

Hobby poussa un sifflet impressionner.

- Ce type possède même un réseau politico financier, et d’après ce que j’ai pirater, il peut transférer des capitaux, des capitaux énorme je veux dire, mais la liste de ces finances est encore plus impressionnante, ce Goto est le mec le plus riche de toute la galaxie.
- Ce qui veut dire qu’il possède assez de fric pour savoir que le doc est déjà sur la lune, dit Atton en serrant les dents.

Hobby réussi a craqué un code secret, maintenant elle est entrée dans le planning des voles commerciales des docs.

- Apparemment, dit elle gravement, Goto a un petit rival sur la lune.

- Un Hutt ! Confirme Visas.

- T’as raison ! dit Hobby amusé, tu possèdes un instinct infaillible, Vogga le Hutt a réussi a gagner une grande fortune grâce a l’exportation de carburant de Sleyhéron, Goto mène une grande guerre commerciale contre lui, et d’après les chiffres, la grosse limasse a perdus six cargos dans des accidents louches la semaine dernière.

- Ont peut mettre le mot accident entre parenthèse, dit Atton malicieusement.

- Exacte ! dit Hobby, ça nous dit pas pour quoi il veut capturer les Jedi, mais au moins, ont a quelqu’un qui lui en veut sacrément.

- Il faut rapporter ces informations à l’exilé, déclare Visas.

Le secteur des réfugiés est un vrais bidon ville, les gens dormaient par terre, d’autre dans des habitations fabriquer avec d’énormes poutres en acier, et certains dans des conteneurs, Den en voyant un homme agonisant s’élança a son chevet et examina ça jambe blesser, elle était enflé et perdus a tout jamais, le pauvre homme expliqua que c’était les Syrocco qu’ils l’ont tabasser pour avoir commis l’erreur fatale de poser le pied dans leur territoires, le docteur Orion fis signe a la servante de maintenir l’homme fermement, l’Echani demanda a l‘Exilé ce qu’il comptait faire.

- Je vais lui couper la jambe, dit Den gravement, sinon il mourra.

- Docteur Orion ! S’exclama la servante horrifiée.

- Il risque de mourir si je ne le fais pas, dit Den tristement, aidez moi a sauver cet homme.

L’Echani ferma les yeux un moment puis hocha la tête résigné, Den lui fit un sourire encourageant puis ce tourna vers son patient, l’homme hocha la tête a son tour, il lui faisait une entière confiance. Le docteur Orion posa une main sur le front du malade et murmura tout doucement, l’Echani sentis bizarrement une sérénité envahir le coin, comme une auréole bienfaisante, puis Den plongea son regard dans les yeux du vieil homme.

- Tout va biens ! dit il avec une douceur sans nom, ma conscience veille sur vous et vous réconforte, la paix parcoure votre corps et vous vous sentez projeter, la douleur n’a aucune prise sur vous, et ne vous touchera pas.

- Je ne connais pas la douleur ! dit l’homme hypnotisé.

- Détendez vous ! Ordonne l’exilé gravement, et tout ce passera biens.

Prenant un bistouri, le médecin commença a découper le membre malade, l’Echani détourna les yeux mais elle n’entendis aucune plainte du malade, c’était la persuasion la plus efficace qu’elle est vue, même Atris n’aurait pas fais mieux, et au bout de quelque minutes c’était finis, Den enveloppa la cuisse avec des bondages, et administra un tranquillisant qui fis tomber l’homme dans un profond sommeil.

L’Echani assista ensuite l’Exilé avec d’autres patients, et la dernière était la femme enceinte du pauvre homme qu’ils ont vue à l’entrer. Fatigué, elle attendait en dehors du conteneur, adossé au mur, les cris d’accouchement étaient violents, et certains réfugiés attendaient aussi avec inquiétude, la servante entendis des bruits de pas, c’était Atton et Hobby qui couraient, Visas arriva en marchant derrière eux et sentit une vie qui allait sortir par le biais de la force.

- Ou est Deni ? demande Hobby essoufflé, ont viens de découvrir un truc dingue.

L’Echani leur fit un signe avec la tête en direction des cris d’accouchement, Atton fronça les sourcilles.

- Il faut dire au doc de penser d’abord à accomplir notre mission et ensuite s’occuper de notre prochain et pas l’inverse. Dit Il avec une grimace.

- Depuis quand ? demande Visas gravement.

- Trois heures ! répondit L’Echani sur le même ton.

- C’est mauvais ! dit la Miraluka avec un ton sombre, l’exilé va sûrement accomplir une césarienne.

- C’est quoi une………enfin comme tu dis la ?

- Deni va lui ouvrir le……dit Hobby malicieusement.

- Ta gueule ! Cria Atton dégoûter.

Hobby éclata d’un rire moqueur, puis soudains les cris cessèrent, et les pleurs d’un nouveau née ce firent entendre, tout le monde sourit et cria de joie, même Atton bougon au début finis par un rire amusé, la Miraluka sentis un soulagement immense, une vie venait de naître, et c’est le plus fabuleux des sentiment, une impression qu’elle n’a pas ressentis depuis des années, l’Echani fus surprise quand Hobby lui sauta au cou en riant, hésitante, elle finis par taper gentiment le dos de la fillette avec un sourire crispé, Atton caressa doucement la tête de T3 qui sifflait tout heureux aussi.

Den sortis en essuyant ces mains et tous les réfugiés l’entourèrent pour le remercier, l’Exilé hocha gentiment la tête et partis rejoindre ces amis qui le regardaient malicieusement.

- Ont dirait que le code Jedi fait des merveilles, dit Atton en taquinant.

- Alors la Deni ! dit Hobby folle de joie, bravo.

- C’est cette femme courageuse qui a tout fais ! dit Den sereinement, pas moi.

- Et en plus comme je le connais, dit Atton malicieusement, le doc reste très modeste, sans vous elle serait fichu. Alors arrêtez de faire votre fine gueule.

- Oui ! dit Den en baissant les yeux tristement.

- Bah quoi Deni ? dit Hobby surprise, qu’est ce qui ce passe ?

- C’est en rapport avec l’enfant ? demande Visas.

- Il va biens ? dit l’Echani tremblante.

- L’enfant va biens ! dit Den rassurant, mais cette femme n’aura plus d’autre bébé, et elle n’arrive pas l’aliter a cause de son manque de nutrition.

- Oh non ? dit Hobby déchiré.

- Impossible ! dit Atton révolté.

- Avec leur conditions de vie difficile, ce sera un miracle si le petit survie durant les prochains mois.

Tout le monde baissa les yeux tristement, Den essuyait toujours ces mains, puis regarda autour de lui comme s’il cherchait un moyen quelque part, la il aperçu un Twi’lek qui lui fis signe de venir, Den s’éloigna du groupe et rejoigna le réfugier.

- Oui ? Je peux faire quelque chose pour vous ?

- C’est à propos de l’homme qui voyage avec vous, murmure-t-il tout bas, je le connais.

- Atton ?

- Méfiez vous de lui, c’est un tueur née, il était parmi les réfugiés au début de la guerre civile, ont raconte qu’il a assassiner beaucoup d’hommes et de femmes, je vous dis cela car en vous voyant sauver ces pauvres gens, je me suis dit que…………

- Merci ! dit Den gravement.

vivement la suite

trés bien vu le pouvoir de persuasion à l´usage de la medecine.
de temps en temps combine des trucs comme ça.
et est-ce que ce nouveau né a un prochain rôle à jouer dans l´histoire?
continue..

Atton tournoyait tranquillement une carte de Pazzak entre ces doigts, l’Exilé s’approcha de lui et entendis des algorithmes mathématiques en répétition dans son esprit, le contrebandier avait l’air calme et serein, et c’est justement cela le problème.

- Vous m’aviez dit que vous êtes déjà venus sur Nar Shadda n’est ce pas Atton ?

- Exactement !

- J’ai rencontré justement une personne qui prétend vous connaître.

- Ah ouais ? dit Atton froidement, et il vous a dit que je lui devais peut être des crédits.

- Non ! dit Den gravement, il dit que vous n’êtes pas Atton et que vous étiez arrivé avec les réfugiés durant la guerre civile.

- Je suis Atton, répondit le contrebandier nerveusement, et je vous signale que sans moi vous serez encore bloqué sur Peragus.

- Personne ne prétend le contraire.

- Je croyais vous avoir dit de ne pas me poser de questions doc.

- Ce ne sont que des questions légitimes ! dit Den les yeux brillants, de la part d’un amis qui veut vous connaître.

- Moi mon rôle c’est de descendre des gens riens de plus ! dit Atton froidement, ça vous va ?

- Pour quoi Atton ? dit Den durement, amitié et confiance vous sont étrangères ? Pour quoi croyez vous que j’ai respecter votre silence tout ce temps ?

- Qu’est ce que ça peut me foutre ! dit Atton méchamment.

Den regarda le contrebandier droit dans les yeux puis tourna froidement le dos et fis quelque pas, Atton fous de rage lui barra la route :

- De quel droit vous osez me juger doc ? Hein ? De quel droit vous me posez des questions sur moi ou sur mon passé ?

- Posez moi des question sur le miens alors, dit Den gravement.

- Comment vous avez fait pour vivre avec tout ces morts sur la conscience ? dit il avec un sourire moqueur, sur Malachor 5 vous avez tout éradiquer sur votre passage n’est ce pas ?

- Oui et je déplore les morts des deux cotés.

- Quand vous êtes revenus au conseil vous vouliez être exécuter n’est ce pas ? Avouez le !

- ça ne c’est pas passer comme ça.
- Pour quoi vous n’étiez pas rester avec Revan ? demande Atton froidement.

- Pour quoi faire ? dit Den gravement, en tuer d’autre ? Trahir ceux en qui j’ai prêté sermon de protéger contre les Mandaloriens ?

- Laissez moi vous dire une chose doc ! Tous ces Jedi mort dans la guerre civile, ils n’ont eu ce qu’ils méritaient, et la république n’en valait pas moins plus.

- Pour quoi dites vous cela ?

- J’étais soldat doc ! Raconte Atton, et je faisais partie du cent treizième escadrons sous les ordres du général Tarep, et j’ai pris part a l’expédition sur Duro sous le commandement de Revan et Malak, bien peu de Jedi ont rejoins l’armée et beaucoup de soldat étaient tuer, mais nous avions réussi a reprendre Duro, mais le cauchemar ne faisait que commencer.

- Atton ! dit Den ahuris.

- Quand Tarep envoya un message de détresse au conseil Jedi, ils ont refusé de nous aider, et le résultat, Eres III fut brûlé et les incendies ont ravagé toute la planète forestière, et sans compter aussi l’expédition de Venjagga, j’ai y entendus parler vous savez ? Quand la pauvre Cariaga Sin fut tuer et que le général Den Orion prit le commandement du légendaire cent vingt septième escadron et réussi a conquérir tout le système sans demander de renfort, même Revan était impressionner, et je ne parle pas non plus de ces Jedi minable qui ne faisaient que nous regarder crever, il y avait de quoi les haïre.

- Et que c’est il passer ensuite ?

- Après Malachor 5 j’ai tourné le dos a la république et j’ai rejoins les Sith, c’est la moindre des choses qu’ont pouvaient faire pour Revan après nous avoir donner la victoire, surtout que Revan disposait d’une grande puissance politique avec les officiers qui étaient rester avec lui. Mon Hallan, Saul Karath, le général Derred, tout les héros de la guerre le suivait, sauf le général Orion qui était retourné à Coruscant, à l’époque je vous ai traité de lâche.

- Et vous avez combattus à la guerre civile ! Conclut l’Exilé.

- Ouais ! dit Atton avec lassitude, j’avais pour mission de capturer des Jedi vivants et de les torturer jusqu´à ce qu’il accepte la vision de Revan, et ont prétend qu’un Jedi est invincible, il suffisait de les droguer et de les torturer, personne ne réussissait a tenir avec mes méthodes d’interrogatoire, j’étais douée pour ça, et sans parler de mes capacités d’infiltrations, les pauvres ne savaient même pas que j’étais dans les parages, mais un jour j’ai mis les voiles, j’en avez assez de cette vie.

Den poussa un soupire et regarda le contrebandier attentivement.

- Bah voila ! dit il avec un doux sourire, c’était pas la mer a boire.

- Mais doc ! Protesta Atton, j’ai tuer des Jedi et j’ai trahis beaucoup de gens, comment vous allez me regarder après ce que je vous ai dit ?

- A coté de moi vous êtes un enfant de cœur, répondis Den, mon score de tuerie dépasse largement le votre et je n’ai pas le droit de vous juger quel que soient vos actes.

- Mais vous ne savez pas tout.

- Cela me suffit mon amis, dit Den en posant une main affectueuse sur son épaule, vous êtes le pilote de l’Ebon Hawk, et je vous aime biens.

Atton regarda l’exilé avec gratitude, c’était un grand type, un peu téméraire mais un sacré bonhomme, il ce sentait léger maintenant.

« L’enfoiré ! dit il tout heureux, moi qui pensait que jamais tu me pardonnerais et que t’allais me virer ; doc ! T’es une bête ».

- Merci Atton ! dit Den gentiment.

- Chutta ! J’ai arrêté de compter, dit Atton les larmes aux yeux.

L’exilé donna une bonne accolade a Atton, le contrebandier pleura et serra son meilleur amis avec ardeur, cette fois il le protégera jusqu’au bout, il en fais le sermon, et Kreia peut aller ce faire voir.

- Mon vrais nom est Zayne ! dit Atton avec émotion, Zayne Carrick !

Bao Dur avait finis de bricoler le droïde rouge, il devait admettre que son créateur était un vrai génie, ça conception était singulière et son système de fonctionnement encore plus complexe, il irait même a supposer que les droïdes Krath ne feraient pas le poids a coté de lui, et maintenant qu’il est prêt, le général pourra l’activer facilement.

Le Zabrak leva brusquement les yeux, il y avait quelqu’un derrière lui, ces sens étaient en alerte maximum et l’étranger est un type dangereux, à en juger par ces paisibles battements de cœur.

- lieutenant et chef du corps des ingénieurs du cent vingt septième escadrons ! dit une vois sensuelle, le tout puissant Bao Dur.

Le Zabrak aperçus une silhouette adossée contre le mur d’entrer du garage, elle portait une combinaison noire moulante comme celle des commandos d’élite, l’étrangère avait des cheveux noirs comme ceux de Visas mais avec de petite mèches blondes nouées, une peau brune, et des yeux humides et glacials, elle s’avançait vers lui doucement, pas a pas, avec un sourire vide de toute chaleurs humaines, dénouée de sentiments comme un spectre des enfers, Bao Dur fronça les sourcilles, comment oublier cette femme ?

- Toi ! dit le Zabrak en colère, je te connais ! Tu étais capitaine du corps des éclaireurs sur Onderon, toute ton escouade c’est fait massacrés et toi tu as survécus et t’as organiser un mouvement de résistance qui reprit la mission que le général Orion t’a donné, localiser la base pour une attaque en surface, et désactiver les boucliers planétaires.

Bao Dur sortis sa hache et lourde et désigna l’intruse avec son arme.

- Lisa Hesse ! dit il gravement, capitaine du corps des éclaireurs sur Dxun, et chef d’infanterie sur Vendaxa ; a l’époque je ne comprenais jamais pour quoi le général t’accorder ça confiance. Toi ! Avec t’es méthodes cruelle, tu n’épargnais personne au combat, et tu exécutais froidement t’es prisonniers de guerre.

Lisa éclata d’un rire diabolique, elle était amusé a souhait, Bao Dur sentis un frisson lui parcourir l’échine, cette femme possède une froideur digne d’un seigneur Sith, et l’assurance qu’elle affichait la rendait encore plus dangereuse.

- Un Morgukaï m’avait dit un jour, dit elle amusé, qu’ils me haïssent, pourvus qu’ils me craignent, dix années ont suffit pour te ramollir mon beau, quand je pense que personne ne pouvait te battre au corps a corps, tu étais le meilleur d’entre nous, a la fois savant et guerrier, tu faisais la fierté de ta race. Dix ans, ça fait juste deux mots, mais ces années ont été longues à vivre.

- Suffisamment longues pour que quelqu’un puisse devenir encore plus pourri, quand je pense que le général te tenait en estime, car avant tu avais une force indescriptible en toi, quand tu commençais un combat, tu te battais à la loyale, mais cette femme que je vois devant moi, n’est pas une guerrière, mais un assassins sans âme et sans cœur ! dit Bao dur en levant son arme.

- L’assassin connaît mieux la force guerrière de ces ennemies, répliqua Lisa en souriant, devenirs un simple mécanicien t’a affaiblie.

- La force d’un mécanicien est suffisante pour protéger mes proches, dit Bao Dur froidement, je n’ai plus besoins d’être soldat pour être fort.

- Si c’est le cas ! Laisses moi te dire que t’a échouer, dit Lisa moqueuse, pendant que tu bricolais ici, j’ai observer attentivement l’exilé, et j’ai tirer sur lui avec un fusil Blaster a lunette, et le résultat a dépasser toute mes espérances, le général est suffisamment fort pour ce protéger lui-même, par contre, cette Mandalorienne que tu appelles petite sœur, ce trouvait en plein dans ma ligne de mire.

- Tu n’as quand même pas………… ?!

- Rassure toi je n’étais pas d’humeur a tuer, mais ce sera différend quand je t’aurais tuer ici, vois tu ! J’ai un cœur mon chérie, une fois mort, elle te rejoindra dans l’autre monde.

Bao Dur jeta son arme et ce mit directement en position de K’thri, Lisa amusé leva ces main adopta la position du K’tara. Un art martial utilisé par les Forces Spéciales, le K´tara était rapide et mortel: il s´agissait d´infliger le maximum de dommage à son ennemi (voire le tuer) en faisant le minimum de bruit. Les mouvements étaient rapides et par des gestes précis. L´attaquant effectuait ainsi plusieurs prises entre les épaules de son ennemi et ses hanches. Ainsi, un combattant expérimenté pouvait en quelques secondes désarmer son ennemi, le rendre inconscient sans attirer un tant soit peu l´attention, Lisa était un vrai maître dans cette discipline, et le Zabrak le savait parfaitement, sans crier gare les deux combattants s’élancèrent au combat avec des coups de poings dévastateurs, Lisa fut étonner de voir que l’Iridonniens n’avait pas du tout changé, il avait toujours cette force prodigieuse, et sans parler de sa capacité a contrôler son rythme cardiaque, Lisa bloquait et contre attaquait, Bao Dur évitait les coups et enchaîna des doubles coups de pieds en l’air que la jeune femme évita avec justesse, puis elle donna un rapide coup de poing dans sa poitrine mais le Zabrak encaissa vigoureusement, Lisa décida de jouer sa stratégie préféré, elle sauta sur lui, et l’embrassa goulûment sur la bouche, Bao Dur surpris, relâcha sa garde, Lisa donna rapidement un violent coup tranchant sur sa nuque, le Zabrak s’effondra et la jeune femme sortis enfin son Blaster et pointa le canon de son arme entre ces deux yeux.

- Les mecs sont tous pareilles ! dit elle amusé, baraqués et stupide, si je pouvais en dire des Zabraks.

Lisa essuya sa bouche et crache par terre.

- Tu vas me dire maintenant ou est l’exilé où sinon………

- Ou sinon quoi ? dit une vois froide derrière elle.

Lisa sentis brusquement une lame d’un poignard glisser sur sa gorge, et regardant doucement par-dessus son épaule, elle aperçus une jeune femme au un voile rouge avec les yeux bandées, comment elle a fait pour s’approcher d’elle sans qu’elle sente sa présence.

- Si tu bouges un muscle, menace la Miraluka, je te tranche la tête.

- Il ce passe quoi ici ? demande Hobby en arrivant au courant.

Lisa aperçus le général qui arrivait avec Atton et la servante, il portait toujours son brassard dans le bras et la jeune femme sentis une émotions violente déchirer sa poitrine, il était la ! A quelque pas d’elle, c’était son général, son supérieur, un des rares hommes qu’elle respecte au plus haut point, il avait toujours ce visage grave et paisible, et cette sensation de sérénité encore plus chaude qu’avant, le pouvoir de Den parcourait son corps telle une aura protectrice et la jeune femme s’avança vers lui et ce mit en garde a vous.

- Capitaine Lisa Hesse sous vos ordres mon général !

- Repos soldat ! répondit Den gentiment.
Lisa avait toujours traiter les hommes comme des jouets, idiots et facile a manipuler, pareille au tous et pourtant l’homme qui ce tenait en face d’elle était biens étrange, elle n’avait aucun pouvoir sur lui, il faisait partis des hommes véritable comme son fiancé défunt, ou comme un anciens amis disparus.

- Les années ont laisser peu de marques dur vous mon général.

- Vous le croyez vraiment ? dit Den avec un triste sourire.

Lisa fronça les sourcilles mais n’insista pas.

- Puis je vous avouez que vos beau yeux bleus illuminent ce vaisseau ? dit elle avec un sourire angélique.

Den sourit amusé, Lisa n’a pas changé d’un pouce, toujours aussi séductrice que jamais, mais néanmoins ce compliment lui réchauffa le cœur, Atton poussa un soupire ennuyer, la servante regardait l’étrangère soupçonneuse, et Visas planta froidement le poignard dans l’établis puis ce dirigea vers ces appartements sous les regards surpris des autres, Lisa ce pencha vers Den et murmura tout doucement sur son oreille.

- Elle me déteste !

- Vous vouliez me parler ? dit Den gravement.

- En privée mon général ! Puis en regardant Bao Dur ; a charge a revanche mon beau.

Le Zabrak baissa les yeux et serra le poing mécanique, Hobby lui prit doucement la main.

- Quand tu voudras ! dit il tout bas.

Lisa marchait a coté de Den, ils étaient a quelque mètres de l’Ebon Hawk, la nuit était plus éclatante que jamais, et les lumières de Nar Shadaa ressemblaient a des étoiles terrestres.

- Nous vivons vraiment dans une fausse paix, dit Lisa gravement , les troubles ne cessent de grandir partout dans la galaxie.

- Vous ne m’apprenez riens de nouveau, répondit Den, j’ai vue le secteur des réfugiés.

- Ce n’est riens comparé a ce que la république endure chaque jours.

- Riens comparé a la république ? dit Den froidement, ces gens meurent chaque jours sous l’oppression de l’Echange, comment dites vous des chose pareilles ?

Lisa affronta le regard du général sereinement.

- Ce sera plus pire mon général ! Vous ignorez que beaucoup de systèmes ont quitter la république après la fin de la guerre civile, ils estiment qu’ils n’ont riens a gagner avec un gouvernement qui n’a pas sue garder la paix dans leur protectorats, le sénat est a moitié vide, d’ici trois ans au plus la république chutera.

- Que fait le gouvernement ?

- L’administration du chancelier fut dissoute, et l’amiral Dodonna prit le commandement et déclara la loi martiale, et de ce pas, tout les anciens corps d’armes des guerres Mandaloriennes furent reformés, parmi eux le célèbre Cent vingt septième escadron.

- Pour qu’elle raison ?

- Trois puissances réclament la place du chancelier suprême, le système Corelliens, le consortium Hapes, et l’alliance Bothan, tous ont mit leur flottes de combats en état de guerre, et sans parler d’une vive hostilité entre Dodonna et ces trois partis qui risque de conduire a une autre guerre civile.

- Dont la république et les Sith seront l’arbitre !

- Sa me dégoûte autant que vous mon général, dit Lisa écoeuré.

- Qu’envisage Dodonna ?

- L’amiral a tout essayer, mais les trois puissance refusent d’entendre raison ,et c’en fiche éperdument de la menace Sith , et sont même prêt a employer la force, les autre mondes c’en fiche éperdument, leur seuls soucis est de reconstruire leur planètes loin de tous.

- Qui leur en voudraient ! Ironisa l’exilé.
- Le projet restauration était l’unique moyen de regagner confiance en l’opinion publique, mais avec la destruction de Peragus, et Onderon qui connaît en ce moment une grande crise politique, les chose sont de pire en pire.

- Quelle est votre mission capitaine ?

- Je fais partie des services secrets Alpha Blue, mon général ! dit Lisa gravement, ma mission est d’assassiner les bosses de la Czerka dans huit systèmes, le projet restauration ne dois en aucun cas échouer.

- Assassiner ! dit Den gravement, c’es très mal d’employer ce terme devant un médecin capitaine !

- Je suis nettoyeuse mon général, dit Lisa gravement, et mon rôle dans cette galaxie, est de la nettoyer de ces puces, un soldat reste un soldat, et une tueuse reste une tueuse.

Den resta silencieux, et la jeune femme regarda son ancien supérieur attentivement, le général semblait méditer les paroles de Lisa.

- L’amiral Dodonna souhaite que vous repreniez le commandement du cent vingt septième, cette armée est toujours rester votre, et la république a grondement besoins d’un Jedi avec elle.

- Je dois malheureusement décliner cette offre capitaine, dit Den a regret, je dois rapidement retrouver les derniers Jedi restants, et si possible, organiser rapidement un conseil Jedi extraordinaire, mais par contre, je verrais ce que je peux faire pour le carburant.

- Et ensuite ?

- Ensuite ont verra.

Lisa afficha un sourire au coin, elle ne sait pas comment, mais elle est rassuré, l’exilé est toujours un allier de la république, et reste un atout majeur dans leur efforts pour la reconstruire.

- Chutta ! dit elle amusé.

- Pour quoi ? dit Den surpris.

- Il faut dire que je n’ai pas de chance avec les mecs ! j’en rencontre toujours des idiots, mais pour une fois que j’en vois un qui me plait, il ce trouve qu’il est déjà pris, c’est la deuxième fois que ça m’arrive.

Lisa regarda Den avec des yeux brillants, l’exilé vit la jeune femme s’approcher doucement de lui, ces lèvres n’étaient qu’à quelques centimètres des siens.

- Elle a raison de vous aimer mon général ! dit elle chargé d’émotions, vous êtes un brave type.

- Capitaine je………

- Chut ! dit elle en posant le doigt sur sa bouche, ne dites plus riens.

Lisa embrassa tendrement l’exilé sur la bouche, mais ce n’était qu’un frôlement de lèvres qui n’a durer que quelque secondes, puis la jeune femme partie sans ce retourner, elle ne voulait pas croiser son regard, sinon elle risquerait de chavirer, sur son chemins, elle aperçus Bao Dur adossé contre le mur, les bras croisés, en passant a coté de lui :

- Veilles sur lui ! Ordonne-t-elle froidement, un gars de sa trompe ne coure pas les rues de nos jours.

- Je suis assez biens placé pour le savoir ! réplique le Zabrak.

- Heureusement pour toi, car je te garantie que si jamais il lui arrivait malheur tu serais ma prochaine cible.

- Je m’en réjouis d’avance ! dit Bao Dur amusé.

Lisa sourit a son tours et continua son chemin.

Salut Tamène. Premièrement la suite est excellente comme d´habitude. Mais passons aux "critiques":
-Le premier homme prit que Lisa aime, c´est qui? ( je pense à une personne mais je n´oserais pas prononcer son nom ici, envoi la réponse sur mon mail)
-Je n´envisageais pas qu´elle puisse éprouver de tels sentiments pour le général. Elle était sous l´admiration d´un tel homme capable d´ordonner à des troupes de se sacrifier sans éprouver de remord. Il lui ressemblait. Je pense qu´elle devrait être déçut de voir un si grand meneur devenir ce qu´il est maintenant. Et devrait le pousser à redevenir le général Den Orion. Il a encore les capacités.
Je l´envisagerais plus dans ce sens mais tu es libre. L´histoire est passionnante et je te fais confiance pour la suite.

salut Nécro

j´ai respectais seulement l´histoire de Lisa, et d´aprés sa fiche, le seul homme qu´elle aimait c´est son fiancée tuer par Carth Onasi sur Naboo, et je te rassure, elle n´éprouve qu´une vive amitié pour le général, c´est juste que ce personnage aime beaucoup exprimer ces émotions (la scéne du baiser n´est un encouragement et pas une expréssion d´amours) j´ai pas voulus justement donner des indications aux lecteurs pour respecter l´intrigue de t´as fic.

Lisa est certe déçus par le devenirs de Den, mais elle a trop de respect pour lui avouer ça en face, c´est pour ça qu´elle menace Bao Dur de biens veiller sur lui.

Néaumoins si tu es déçus, je comprendrais, et je pourais si tu veux supprimmer cette partie de la fic, car Lisa reste ta création et c´est ton personnage fétiche.

réponds moi vite

pas la peine d´aller aussi loin, mais j´avais comprit autre chose en lisant la suite.
"j’en rencontre toujours des idiots, mais pour une fois que j’en vois un qui me plait, il ce trouve qu’il est déjà pris, c’est la deuxième fois que ça m’arrive. "
Tu parlais que c´était la deuxième fois, hors son fiancé n´était pas prit, j´ai comprit de travers peut être.
J´avais cru comprendre qu´elle aimait Revan, car amoureux d´une autre ou Carth hanté par le souvenir de sa femme décédé.
Continu comme tu le fait, et si j´ai des interrogations je t´en ferai part.
Vivement la suite.

heureux que t´a pigé Nécro, j´éspére seulement que tu ne trouve pas Lisa un peu psycopathe avec Bao Dur quand elle le provoque.

sinon merci pour tes encouragement

elle certe un peu violente , dans mon histoire elle le sera moins, tu te doute bien pourquoi!