Eye_ : Je n'ai pas entendu parler du nain pendu du Magicien d'Oz. Tu peux me dire de quoi ça parle en gros ?
Il se semblerait qu'un des nain jouant un habitant d'Oz se serait suicide a un arbre de la foret après un chagrin d'amour.
Cependant, personne ne s'est aperçue de la présence du cadavre, et l'on a continuer de jouer les scènes normalement.
Vidéo de la scène :
http://m.youtube.com/#/watch?v=P8YVeMwhDNI&desktop_uri=%2Fwatch%3Fv%3DP8YVeMwhDNI&gl=FR
Il me semble compliquer de truquer une telle image. Mais peut être le "pendu" n'est qu'un oiseau électronique tombe de son perchoir ?
Merci pour l'information. Effectivement, je viens de me renseigner c'est très intriguant, d'autant plus qu'il semple y avoir eu deux version, la première est cette version avec le nain, puis une version a été modifié par la suite ou cette fois on remarque un cygne qui ouvre ses ailes, à croire que le "nain pendu" de la première version serait bel et bien ce que clament les croyances populaires.
Voici ta version qui est la première version du film: http://www.youtube.com/watch?v=P8YVeMwhDNI
et là voici la nouvelle version avec le cygne: http://www.youtube.com/watch?v=GtQJn8Y_o_Q&feature=youtu.be
Intéressant ! Mais comment expliquer une telle différence ..?
Le film a t'il été retouche ultérieurement ?
Retouche volontairement *
Dans le sens, est ce que les producteurs s'accordent pour donner de la valeur a cette histoire de nain pendu et donc n'ont pas voulu laisser sa dans le film?
Tout porte à croire que oui après avoir vu ces faits.
Et bien merci shadmaturi ! Tu viens de résoudre une des grandes question de ma vie x)
Maintenant, je ne vais plus pouvoir regarder ce film de la même manière...
C'était ironique ou sincère de ta part ? ^^'
Sincère
Oui des trucs des fois sans intérêts peuvent me perturber pendant longtemps X)
Eh eh ^^ ne t'en fait pas, je te comprends. Il m'est arrivé pareil pour diverses histoires, dont celle de Jack l'éventreur OO (et je ne plaisante pas). En tout cas, je te remercie, ça m'aura appris une histoire troublante comme j'en cherche avec difficulté ^^'.
En parlant de trouble, je suis dégouté que ma PS3 soit morte XP Je vais devoir attendre Noël pour avoir la nouvelle Slim... Bref, c'était un hors sujet, désolé ^^'
Shadmaturi je te vends un pack complet Xbox si tu veux
Sinon, j'ai essayé de me renseigner par l'Histoire de Lavanville dans PokéMon, mais dans le général je n'arrive pas vraiment à bien saisir la définition de creepypasta
Creepypasta: la foret
J'écris car la peur me pousse à le faire. La peur ... ou plutôt la terreur. Celle qui prend racine dans notre plus tendre enfance mais qui continue à nous tourmenter toute notre vie ... Enfant, cette peur est incarnée par le monstre sous notre lit, mais plus nous avançons dans la vie, plus elle devient informe, insaisissable … mais bien présente. Ne sous-estimez jamais le pouvoir de la peur, retenez au moins ça de mon histoire ...Mon histoire commence on ne peut plus simplement vers le mois de novembre. Étant un passionné de tout ce qui touche à la nature, je décidai d'organiser une sortie avec un ami partageant la même passion. Habitant près d'une vaste forêt, la destination était toute trouvée : aussi, un samedi matin, vers 4 heures, nous nous mîmes en route. Nous espérions pouvoir apercevoir des animaux, ce qui était impossible durant la journée. Il était relativement facile de les voir à cette heure-ci sans compter que nous nous étions équipés de lunettes de vision nocturne.On appelait cette forêt "La Forêt du Corgebin", si le nom peut vous sembler étrange, je n’y faisais pour ma part même plus attention. Cette forêt était surtout connue pour sa taille, et des gens venaient s’y balader tous les week-ends. Bien sûr, comme toutes les forêts, elle avait son lot d'histoires étranges, réelles ou non, qu'on aimait se raconter le soir.L’une d'elle, qui n’était malheureusement pas une légende, avait eu lieu quelques années auparavant. Un élève de l'école primaire avait été retrouvé pendu à un arbre par un promeneur : l’enfant en question était porté disparu depuis la veille. On n’a jamais vraiment su ce qui s’était passé : la gendarmerie avait évoqué un tueur-en-série qui sévissait alors dans la région. Même si j’ai honte à présent, je me souviens nettement qu’à l’époque, je ressentais une vive antipathie envers ce garçon qui avait provoqué mon interdiction de sortie jusqu’à « ce que les choses rentrent dans l’ordre ».Comme toujours dans ce genre de village, la rumeur a enflé, cette mort était devenue le seul sujet de conversation. Les langues se déliaient. On racontait que le promeneur qui avait découvert l’enfant était devenu fou et que le médecin légiste avait démissionné. Bien sûr, il ne fallait rien prendre au mot, enfin, c’est ce qu’on se disait.Une ou deux semaines après, le promeneur avait été retrouvé pendu, chez lui. Un ami de mes parents, gendarme, leur a confié que les deux morts étaient probablement liées, mais par des liens qui les dépassaient tous. Il avait ajouté en riant, nerveusement sans doute :- Je ne pourrais jamais, au grand jamais, oublier le visage de ce type. C’est comme s’il avait vu la chose la plus effrayante de sa vie et qu’il s’était dépêché de se pendre pour y échapper. Le lendemain, il était repassé à la maison, s’était servi un grand verre de whisky et avait simplement dit à mon père :- Tu sais ce type ? Il est mort avant d’avoir été pendu. Et on a aucune foutue idée de comment. Cette histoire me rend fou.Je crois que ce sont les derniers mots qu’il a dit de la soirée.Les habitants attribuaient bientôt toutes les disparitions du coin à cette forêt - il faut dire que beaucoup d'enfants se volatilisaient du jour au lendemain à cette époque-. Il y avait sans doute plusieurs raisons à ça, déménagement, divorce ou je ne sais quoi d'autre. Toujours est-il que l'endroit où on avait retrouvé le garçon était considéré comme maudit et plus personne n'osait y aller tant la psychose enflait. Personnellement, j'essayais encore de me persuader que c'était par simple respect pour l'enfant et sa famille, mais j'avais tort. Il y avait réellement quelque chose de malfaisant dans cette forêt.Ce samedi matin donc, un bon quart d'heure après notre départ, nous arrivâmes à l'orée de la forêt. Je ne sais pas si vous avez déjà eu des lunettes de vision nocturne, mais il ne faut pas être quelqu'un d'imaginatif, sous peine de devenir fou. En effet, ce n'était pas du matériel d'une grande qualité, et il y avait toujours des espèces de petits points blancs qui se baladent un peu partout dans mon champ de vison. Enfin, si ça pouvait nous permettre de voir des animaux, ça valait la peine, tout comme s'être levé à 3 heures.D'ailleurs, nous étions chanceux, car juste devant nous, à une petite dizaine de mètres se tenaient 2 cerfs. Je tentais de me rapprocher discrètement du groupe, suivis de mon ami. Ce n’était pas facile, car il fallait éviter tout ce qui pouvait faire du bruit et faire fuir les animaux : nous sentir leur était impossible car nous étions dans le bon sens du vent. Je sortis mon caméscope et nous nous mîmes à progresser lentement. C’était un soir de pleine lune, filmer était donc possible.Arrivé à quelques mètres, les cerfs sentirent notre présence et se mirent à courir dans la direction opposée. Sans trop réfléchir, et aussi pour ne pas avoir le sentiment d'être venu pour rien, nous les poursuivîmes sur quelques centaines de mètres, aidés de nos lunettes. On se rapprochait lentement, mais je commençais à être sacrément essoufflé.
Creepypasta:la forêt partie 2
Il n'y avait plus un bruit.Mon cœur bondit dans ma poitrine quand les cerfs foncèrent dans notre direction pour fuir, ayant visiblement jugé qu'il valait mieux affronter deux humains que ce qu'il y avait plus loin. Excédé par ces histoires, et surtout pour évacuer ma peur, je gueulais :-ET HO L’ESPRIT ON EST LA, RAMENE DONC TON PUTAIN DE CUL BRUMEUX !J'entendis un rire derrière moi et je me mis aussi à rire à gorge déployée. Nous savions tous les deux que c'était nerveux, mais que voulez-vous, quand le fou rire vous prend, vous ne pouvez guère qu'attendre patiemment.Filmant toujours, je m'avançais vers l'arbre, suivis de -très- près par mon ami. L’air se rafraichissait au fur et à mesure de notre progression.- Et bien, ça n’a rien de très effrayant tout ça. Je crois qu’on aura rien ce soir avec le bruit qu’on a fait. Pas d’animaux. Pas d’esprits. Je sais même pas pourquoi j’ai ramené cette foutue caméra.Je tournai le dos à l’arbre et nous nous apprêtâmes à partir. Mais soudain, je remarquais que l’écran du caméscope faisait de la « neige ». Intrigué, je regardai de plus près et je mis quelques petits coups sur l’engin dans le vain espoir d’arranger les choses. Je la montrai à mon ami qui venait de se retourner :- Hé regarde le caméscope il fait un truc bizarre.Mon ami jeta un œil, puis s’écria :- Waa, c’est quoi ce bordel ?- Je ne sais pas, la cassette est neuve pourtant, je l’ai acheté hier. Je comprend pas.Le caméscope se mit à faire une succession de bruits bizarres, et s’éteignit avec une odeur de brulé.-Je crois qu’il vient de rendre l’âme.-Je crois aussi oui … enfin il commençait à se faire vieux. Il devait … PUTAIN REGARDE !Malgré le fait que l’appareil semblait inutilisable, il avait recommencé à « neiger » sur l’écran. Puis l’image se fit plus nette. Nous regardions tous deux l’écran afficher une photo de plus en plus claire. Soudain, mon ami se mit à gémir. Je me retournai vers lui, mais il pointa l’appareil :-Oh putain de merde. Mais regarde non de Dieu REGARDE.Ce que je fis. Puis tout devint clair. L’image qui s’affichait sur l’écran représentait l’arbre, et on pouvait nettement distinguer une personne pendue dessus. Il y avait quelque chose dans sa main, quelque chose qui ressemblait à … un caméscope …-Faut qu’on se casse d’ici. Et vite.Je ne pouvais qu’approuver, et nous nous mîmes à courir comme des fous en direction de chez moi. Mon cœur battait tellement vite -de peur- que j’étais persuadé qu’il allait exploser. Soudain, un cri. J’entendis mon ami trébucher et se mettre à hurler. Je fis volte-face pour constater qu’il était au sol, aux prises avec quelque chose que je ne voyais pas.-PUTAIN IL T’ARRIVE QUOI ?-J’EN SAIS RIEN Y A UN TRUC QUI M’EST RENTRE DEDANS AIDE MOI JE T’EN PRIE IL Y A DES VOIX DANS MA TETE … MERDE JE VAIS Y PASSER AIDE MOI NE ME LAISSE PAS AVEC CA(…Te tuer…)- … DEVIENS FOU ÉCOUTE-LES ELLES TE PARLENT(…insulté…)Je me sentis obligé de murmurer :-Je les entends aussi ...(défié … déchirer …ton esprit…)-Que … que voulez-vous ?Aucune réponse. Je vomis. J’étais essoufflé. Essoufflé. De peur. Ma poitrine était comprimée par un sentiment de terreur que je n’avais jusqu’alors jamais connu. Mon ami pleurait derrière moi. Les voix étaient parties. Les bruits de la forêt revenus. Rien d'autre n'avait d'importance. Mais rien ne serais plus jamais comme avant. Rien. Et nous le savions tous les deux. Je suis encore là, près de deux ans après. Les voix nous tourmentent chaque nuit, chaque nuit elles viennent nous rappeler qu’elles viendront nous chercher … le moment venu. Chaque nuit, nous connaissons la même terreur. Il y a longtemps que nous avons cessé de chercher à comprendre pourquoi. Alors, on se soulage avec ce qu’on a. J’ai écrit ce texte entre deux prises d’héroïne. Ça nous permet de tenir et d’oublier les voix, même si elles viennent nous rappeler inlassablement qu’elles sont là et qu’elles le seront toujours. Un jour, la peur sera trop forte et nous en mourrons. Je suis maintenant presque sûr que le garçon et le promeneur se sont suicidés pour échapper aux voix.Mais elles les ont tué avant car elles sont les plus fortes.
Creepypasta : Hatbook
Je ne sais pas si vous connaissez le Deep Web. C'est le web qui contient toutes les pages non indexées par les moteurs de recherche. Mon explication est simple, mais y accéder est beaucoup plus complexe en vrai. Ces pages sont peut-être introuvables sur Google, mais il est possible de chercher des informations dessus si vous ne savez pas ce que c'est et que vous souhaitez approfondir le sujet. En bref, j'ai téléchargé sur le Deep Web un plug-in bien spécial.Je sais ce que vous vous dites, connaisseurs du Deep, contrairement aux novices. Il ne faut pas télécharger dessus, il y a plein de virus, blablabla... Mais mon problème n'est pas que je suis tombé sur un virus. Le plug-in était réservé à Facebook, et au début tout allait pour le mieux : il était dit que cela permettait de nouvelles fonctionnalités, comme par exemple passer du journal au mur, action impossible, en moins de deux, ou même d'avoir une nouvelle messagerie instantanée, l'explication accompagnée bien sûr de plusieurs captures d'écran qui garantissaient une certaine fiabilité... Mais lorsque je l'eus installé, rien ne se déroula comme prévu. J'étais naïf. Le plug-in était en réalité appelé "Hatebook". Je ne m'étais pas posé de questions en lisant le titre. Le contenu seul aiguisait ma curiosité. Déjà, le plug-in ne s'installa pas sur mon compte Facebook, mais sur une fenêtre à part. Le design de Hatebook était rouge clair, avec de grosses lettres blanches. Dans une pop-up, des chiffres apparurent à l'écran. Il y avait sur la fenêtre ouverte une case sélectionnable où l'on pouvait taper des lettres. J'écris au hasard : "F". Mes contacts Facebook dont le nom commençait par un F apparurent sous la case. Ne savant pas ce que je faisais, je cliquai sur le nom de ma cousine Fanny. Le compte à rebours se déclencha. La fenêtre vira soudain au rouge sang, et le bruit des nouveaux messages dans une discussion instantanée retentit, dix fois plus fort que d'habitude. Chaque seconde s'écoulant était marquée par ce son, qui devenait de plus en plus dérangeant. Il restait à présent 22h avant que le compte à rebours ne se finisse. En descendant mon curseur sur la fenêtre, je vis un message accompagné de deux boutons, "Oui" et "Non"."Vous venez de lancer un défi à Hatebook. Le rendre plus complexe ?"Curieux et excité, je répondis "Oui". Je dus choisir un nombre entre 1 et 21. Je sélectionnai le 20. Le compte à rebours se débita de 20 heures en une seconde.Sur mon écran s'afficha le message : "Analyse des données en cours.", suivi du lieu où habitait ma cousine, du nom du lycée où elle était, etc. J'eus un peu peur mais je me dis tout de suite que toutes ces infos étaient inscrites sur Facebook et que ce n'était pas un exploit de connaître tout ça. J'eus la présence d'esprit d'aller voir le mur de Fanny. Un statut récemment publié via son mobile indiquait qu'elle se trouvait dans un restaurant très connu dans sa ville, et qu'elle en adorait la nourriture. 9 personnes aimaient ça. Je fis de même. Je basculai ensuite sur Hatebook et j'aperçus que la position exacte de Fanny était inscrite, c'est-à-dire le restaurant dont elle parlait dans son statut. Une carte s'afficha. C'était le plan de la ville de Fanny. Deux gros points rouges étaient visibles, un qui bougeait et l'autre qui restait statique à l'endroit du restaurant. Le point se rapprochait de plus en plus de l'autre (qui devait représenter ma cousine), venant de nulle part. J'étais spectateur de l'avancement d'une personne que je ne connaissais ni d'Adam ni d'Eve, qui allait faire je ne sais quoi avec ma cousine. Je commençai à prendre panique. Il restait 50 minutes. Qu'allait-il se passer ? Je décidai de fermer la pop-up. Mon ordinateur ne répondit plus. Je voyais encore le compteur et les minutes défilaient plus vite qu'à la normale. Le point avançait doucement, mais il atteindrait bientôt son but. J'appelai ma cousine. Une fois. Deux fois. Trois fois et toujours la messagerie. "Putain mais qu'est-ce qu'elle fout ?? Elle a toujours son portable sur elle d'habitude !" pensai-je. Mon stress montait, tandis que je laissais un message je constatais l'avancement du point rouge, qui s'avérait encore plus rapide."Fanny, j'ai fait une connerie je crois, c'est dur à expliquer, tu vas peut-être me prendre pour un fou mais..."Plus que 20 minutes, puisque le compteur défilait anormalement."... Prends garde à toi, mets-toi à l'abri. Ne pose pas de questions et fais ce que je te dis. Quitte le restaurant tout de suite. Rappelle-moi quand t'es en sécurité." Je dis ces mots d'une traite, comme pour m'en débarasser le plus rapidement possible. Pour me rassurer, je pensai que Hatebook n'était peut-être qu'un fake pour effrayer les internautes, et que j'avais réagi comme le surfeur lambda. Il fallait être plus malin que ça. Oui, c'était cela, je m'étais sûrement fait berner.J'aurais bien voulu me complaire dans mon utopie mais les chiffres rouge sang sur l'écran me ramenèrent très vite à la réalité.Soudain, le compteur bloqua à 10 minutes 23. "Ouf... ! Quelqu'un a réussi à arrêter Hatebook. Fanny est sauvée, en plus elle a dû écouter mon message et voir mes trois appels maintenant, car elle devait manger, elle va vite me rappeler, je vais tout lui expliquer, tout va bien." me disais-je. Malheureusement, après ce blocage, les chiffres défilèrent à toute vitesse jusqu'à atteindre 30 secondes. Une demi-minute qui s'écoula normalement. Une demi-minute durant laquelle je me sentis impuissant.Les dernières secondes s'égrainèrent doucement. Puis le 0 fatal apparut.Les deux points se rencontrèrent.Il ne se passa rien durant toute une minute. Puis "Fin" s'inscrivit sur Hatebook.Par réflexe, je remis Facebook. J'avais une notification."Fanny *** a posté une photo sur votre Mur.""Quoi ? Pourquoi elle fait ça ? Quelle photo ça peut être ?" me demandai-je.J'aurais voulu ne pas le savoir. Fanny avait publié, ou du moins la personne qui était sur le compte de Fanny, une photo d'elle, la tête écrasée sur la cuvette des toilettes, sûrement celles du restaurant. Le sang inondait la cabine. Ma cousine était morte et son cadavre était maintenant affiché sur mon mur Facebook. Dès la publication, beaucoup de mes amis se mirent à commenter, à dire qu'ils étaient choqués, qu'ils ne comprenaient pas ce que c'était. Ils signalèrent la photo.Je vis dans la description de la photo : "Hatebook © 2012Merci de votre confiance."Le visage ensanglanté de ma cousine me hantait à présent. La fenêtre de Hatebook clignota. On me demandait un versement d'une somme astronomique par Paypal. Pourquoi ? Je venais de perdre ma cousine, la personne la plus chère à mes yeux, et on me harcelait jusqu'au bout. Les larmes coulaient le long de mes joues, j'en bus jusqu'à plus soif. Elles inondaient le clavier sur lequel je tapotais en rythme. Car oui, sans ciller, je cherchai à arrêter Hatebook. Il le fallait. Je ne me rendais pas encore bien compte de ce qui m'arrivait. Et c'est encore mon cas. Fermer Hatebook me semblait la solution. Il le prit comme un refus de paiement.J'utilisai Tor et je fis des recherches sur le Deep Web. Sur le Hidden Wiki, le wikipédia de ce web parallèle, était inscrit en majuscule que Hatebook était en réalité un réseau français de tueurs en série. Il y avait des petits groupes de serial killer par région, et selon l'emplacement de la personne à éliminer ceux-ci se relayaient. On nageait en plein roman policier. Je me rapellai soudain de la phrase inscrite lors de l'installation : "Hatebook vous permet de couper contact avec les personnes qui compliquent votre vie." avec écrit en petit : "Une demande de suppression est payante, sous peine de représailles".Payer ces gens pour avoir tué ma cousine... Et puis quoi encore ? Malgré cela, c'était quand même moi qui avait ordonné ce meurtre.Une pop-up s'ouvrit. Le compte à rebours. J'avais refusé de payer, j'allais devoir, sans jeu de mot, en payer le prix. Ma ville était inscrite sur la fenêtre.Je supprimai vite sur Facebook la précision d'où je me trouvais. Rien à faire, la carte était déjà apparue, avec un point qui devait me symboliser, moi, la proie, et l'autre qui arrivait.A l'heure où j'écris ce texte, le compte à rebours indique qu'il me reste 1 heure. J'espère juste que mon cadavre ne sera pas affiché sur mon mur Facebook.Faites attention aux informations que vous laissez sur votre compte de réseau social. N'importe qui pourrait les utiliser à des fins malsaines. N'installez jamais Hatebook. Le mur de Fanny est devenu un musée des horreurs. Le tueur continue encore de poster des photos de son cadavre, prises dans différents angles de vue. Si Hatebook ne me retrouve pas, je ferai tout pour fermer le compte de ma cousine, afin qu'elle garde une certaine dignité.
C'est totalement illisible...
Shad, si une nouvelle histoire bizarre me revient, je t'en ferais part x)
Une creepypasta, disons que c'est une histoire inventée de toute pièce, mais essayant de s'appuyer sur des événements, photos, vidéo réelles ou créé pour l'occasion afin d'augmenter l'immersion ou essayer de rendre au maximum une histoire véridique.
Il est donc souvent difficile de discerner le réel, la creepy, la légende urbaine etc,
Merci Evye
Du coup oui, discerner le fake du réel dvient plus compliqué.
Quelqu'un en sait un peu plus sur les Time Jumper ?
Beaucoup sont démontés, du moins ceux que je connaisse. Il y a d'ailleurs de nombreux topics sur le forum en parlant
Up
Yen a une ou 2 sur smash bros et mario kart si vous voulez je men rapelle plu alors chercher
C'est toujours actif ici ?